Bâtiment Nord

Igor m'annonce qu'il ne pourra venir travailler ni demain mardi, ni jeudi.

Il considère pouvoir poser 100 pavés par jour. Je calcule que cela représente une longueur de "trottoir" de 6,60 mètres.

Pour accélérer le mouvement, je téléphone au candidat de la semaine dernière.
Il accepte le job à compter de vendredi prochain.
Il sera préposé à la fabrication de la colle et au transport des matériaux (colle et pavés).
Igor pense que cela lui permettra de poser 200 pavés par jour.

Ceci n'est pas assez rapide pour moi. Igor propose de s'adjoindre les services de son copain Cristi. Il prétend que ce dernier aura la même productivité que lui.

Je donne mon accord. A 25 mètres de "trottoir" par jour, on pourra ne pas retarder l'entrée des terrassiers dans la cour. Et, avec un peu de chance, terminer ces opérations de pavage pour la fin juillet.

Je demande qu'on pave également, sur des rectangles de dimensions suffisantes, les sorties des passages, d'une part entre la cour et l'arrière-cour, d'autre part entre l'arrière-cuisine du bâtiment Nord et l'arrière-cour. En effet j'en ai assez que, chaque hiver, on soit accueillis là par une immonde gadoue.
Hello,
Quelle longueur, au total, pour finir ce travail... de romain ?

N.D.L.R. : Pour la tranche en cours : 62 m.
Dont : Façade Ouest : 34 m (dont une petite quinzaine de mètres déjà faits au moment où je réponds).
Nord de la tour Louis XIII : 8 m.
Nord du bâtiment Nord : 20 m.

Dans la cour : 82 m.
Dont Façade Ouest : 32 m.
Bâtiment Nord : 14 m.
Logis : 22 m.
Tour Sud-Ouest et mur Sud-Est : 8 m.
Mur Sud-Ouest : 6 m.

Donc, si l'équipe de 3 fonctionne, il restera encore 2 jours de travail pour la tranche en cours et 4 jours pour la pose des pavés de la suivante.
Donc, en comptant le passage au kärcher et le jointoiement de la 2ème tranche, deux à trois semaines de travail.

L'objectif de fin juillet, pour tenir compte des aléas du chantier et des contraintes du terrassier, n'est donc pas idiot.
Nous aurons alors utilisé, y compris les deux "terrasses" envisagées à ce stade, du côté de l'arrière-cour, une centaine de m2 de pavés.
Il restera du stock pour de nouvelles aventures !
En plus d'apporter 5 cm (finalement, et non 10, ceci à la demande d'Igor) de "stériles" supplémentaires, notamment le long de la façade Ouest, les terrassiers, Philippe et Jérôme, ont terminé ce stade de leur intervention sur les récents fossés extérieurs :

24 juin 2019.

24 juin 2019.

24 juin 2019.

24 juin 2019.

24 juin 2019.

24 juin 2019.

24 juin 2019.

24 juin 2019.

Sans Igor et sans eux, demain devrait être beaucoup plus calme.
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : lundi 24 juin 2019 21:26
À : (...)
Objet : TR: Devis - Dossier n°199191 - DOMFRONT EN POIRAIE

Cher Monsieur,

J'ai interrogé Patrice CAHART, inspecteur général des finances honoraire, ancien conseiller à la Cour de Cassation, ancien directeur de la législation fiscale au ministère des finances, vice-président de la "Demeure Historique" où il est notamment en charge de la fiscalité.

Son avis est clair : la TVA à taux réduit s'applique, sans qu'on ait besoin du visa d'un architecte.

Je pense que ceci clôt cette partie du débat.

Cordialement,

PPF

_______________________________________________________________________

De : Patrice CAHART
Envoyé : lundi 24 juin 2019 21:19
À : 'Pierre-Paul Fourcade'
Objet : RE: Devis - Dossier n°199191 - DOMFRONT EN POIRAIE

A mon avis (mais je n'ai pas de précédent) : TVA taux réduit, sans visa d'un architecte.

patrice

_______________________________________________________________________

De : Pierre-Paul Fourcade [mailto:penadomf@msn.com]
Envoyé : vendredi 21 juin 2019 17:49
À : p.cahart
Objet : TR: Devis - Dossier n°199191 - DOMFRONT EN POIRAIE

Cher Patrice,

Puis-je te soumettre les questions suivantes, résumant le débat ci-joint ?

Le taux de TVA réduit est-il applicable au travail d'un géomètre dont l'intervention est nécessaire en préalable de travaux visant à des économies d'énergie ?

Faut-il qu'un architecte tamponne le dossier pour y avoir droit ?

Amitiés,

PPF

(Fin de citation)
Echange téléphonique ce matin avec Julien ANDRE, du bureau d'études "bee +".

Avant de lancer les terrassements dans la cour, ainsi que le pavage de la "terrasse" Ouest, je souhaitais connaître ses préconisations quant à la profondeur et au diamètre de différents tuyaux à mettre en place rapidement.

Pour l'arrivée de l'eau potable en provenance de l'arrière-cour, il m'a répondu qu'il n'y a pas de problème particulier. En revanche, pour l'eau des forages d'aquathermie, il souhaite disposer d'un délai suffisant pour caler ses recommandations.

Ceci me paraît justifié. Mais cela signifie qu'on devra vivre pendant quelques mois avec des fossés ouverts dans la cour. Et que je devrai trouver des solutions sans Igor pour des pavages. Et je ne parle pas des réflexions peu amènes que ces contretemps vont encore me valoir de la part de certain(e)s.
Je viens d'accepter les devis du bureau d'études "bee +".

La mission comporte trois volets :
- une "mission d'assistance à maîtrise d'ouvrage" comprenant notamment des recommandations sur la composition des parois et planchers ;
- une "mission fluides" consistant en la "rédaction des travaux des lots fluides" avec plans d'exécution et plans de synthèse ;
- une "étude de faisabilité Aquathermie" en trois étapes : (1) caractérisation détaillée des besoins énergétiques, (2) caractérisation de la ressource exploitée et (3) dimensionnement de l'installation.

Les délais de réalisation de ces trois volets sont, respectivement, de 2 semaines, 4 semaines (mais avec un démarrage en octobre) et 12 semaines, le tout étant conditionné par la réception des plans du géomètre.
Il semble qu'il y ait, par ici, des personnes qui apprécient mon travail et qui cherchent à m'aider dans le pilotage de notre chantier favori. Je leur en suis très reconnaissant.

Ainsi, 25 minutes après que j'ai annoncé à l'agence "Phénix" la fin de la collaboration avec leur candidat, j'ai reçu un appel téléphonique du titulaire d'un C.A.P. de maçonnerie qui vient de faire l'objet d'un licenciement économique et que m'envoie le patron du restaurant ouvrier où je déjeune les mercredis.

Ce garçon, qui se prénomme Kevin, commencera ici lundi prochain à 8 h 45.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 28 Juin 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Terrassement - Bâtiment Nord
1
Ne sachant trop où nous réfugier cette après-midi pour éviter le soleil, nous avons d'abord pensé à paver la première terrasse envisagée, celle au débouché de la porte de la cour à l'arrière-cour...

28 juin 2019.

... mais le soleil nous a vite rattrapés, tandis qu'Igor concluait à la nécessité de retirer du "stérile" du sol.

On s'est donc rabattus au pied du mur Nord du bâtiment Nord, avec l'objectif de curer la fosse aval...

28 juin 2019.

... puis d'aménager la sortie des eaux pluviales vers cette fosse :

28 juin 2019.

28 juin 2019.

Igor reviendra travailler demain, sans doute seul car je devrais être retenu à Pontorson une bonne partie de la journée.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 2 Juillet 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Bâtiment Nord - Tour Louis XIII
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En milieu de journée, tant ce matin que cette après-midi, nous avons passé beaucoup de temps à gamberger, en essayant d'imaginer la meilleure transition possible entre le "trottoir" de la tour Louis XIII et celui du bâtiment Nord. Parmi les questions à trancher, il y avait notamment celle du choix de la ligne de partage des eaux, entre celles qui couleront vers l'évacuation Sud-Ouest et celles qui seront orientées vers l'évacuation Nord-Est :

2 juillet 2019.


J'ai demandé que le "trottoir" puisse être prolongé de la tour Louis XIII vers la future "terrasse n°1" (celle au pied du passage entre la cour et l'arrière-cour). Donc Francis s'est mis à creuser à la mini-pelle :

2 juillet 2019.

2 juillet 2019.

2 juillet 2019.

Finalement, nous avons décidé de reboucher ce dernier fossé ; la ligne de partage des eaux se trouvera au milieu de la façade Nord de la tour Louis XIII et les eaux de pluie du début du bassin Nord-Est couleront dans une canalisation enterrée à la place de ce fossé rebouché, une grille devant être disposée au coin Nord-Est de la tour Louis XIII.

Ces choix ont nécessité que je fasse un aller-retour à Flers, chez "Axel", pour louer un laser de terrassier. En effet, il ne fallait pas se tromper dans les pentes et les hauteurs à retenir.
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : jeudi 4 juillet 2019 01:55
À : Francis Doré
Objet : Chaslerie et Mont Crespin

Cher professeur,

Vous souvenez-vous du Mont Crespin à propos duquel je vois que vous aviez produit un document pour le B.R.G.M. en 1983 ?

J'ai acheté hier soir une quinzaine de m2 de dalles qui en proviennent :

3 juillet 2019.

3 juillet 2019.

3 juillet 2019.

3 juillet 2019.

Si vous avez des infos sur cette carrière, y compris des anecdotes sur son exploitation et l'usage de ses granits, sachez que nous (le "site favori" et moi) sommes preneurs.

Bien cordialement,

PPF

(Fin de citation)
A propos de la carrière du Mont Crespin, à Frênes, le vendeur du lot de dalles de granit m'a fourni cette nuit, via le site "leboncoin.fr" grâce auquel nous sommes entrés en contact, quelques informations complémentaires. Je le cite : "Le dernier tailleur de pierres a quitté le site en 1960 d'après les informations dont je dispose. Avant les bombardements de 1944, Flers était totalement construit en granit du Mont-Crespin (cf article). Bonne réception, A samedi."

C'est en effet ce samedi qu'il doit me livrer ces dalles.
L'annonce de "leboncoin.fr" m'a été signalée hier matin par Frédéric LE BON, de l'entreprise BODIN. Elle avait été mise en ligne la veille au soir mais Frédéric a placé des "alertes" sur divers sites internet et l'avait immédiatement repérée en pensant à moi.

Hier matin, je me trouvais à Paris, et fort occupé comme je le raconterai dans un prochain message.

J'ai immédiatement contacté le vendeur et nous sommes convenus que je passerais le voir dès hier soir, à son domicile à Frênes, c'est-à-dire près de Tinchebray.

Lorsque je suis arrivé à une dizaine de mètres de sa maison, il est sorti sur le devant de son portail et m'a dit : "Je vous reconnais, vous êtes le propriétaire de la Chaslerie, on admire vos travaux, l’œuvre d'une vie". (La suite de la discussion m'a appris que mon vendeur ne connaît pas notre site favori - ce qui est un grand tort - mais qu'il vient régulièrement à notre manoir favori lors des "Journées du Patrimoine" - ce qui est pas mal, quand même -).

Après une pareille entrée en matière, vous ne serez pas surpris que j'aie topé en dépit d'un prix élevé et bien que j'aie vu, dès que je l'ai découvert, que ce lot serait très insuffisant pour l'usage auquel je pensais, à savoir le futur dallage de la salle-à-manger de notre logis favori. J'ai également compris tout de suite que les dalles de ce lot sont du XIXème siècle, donc peu patinées par des siècles d'usage (comme c'était le cas des dalles utilisées en 2014 pour l'entrée du logis, dalles qui avaient déjà été découvertes - celles-ci à La Motte-Fouquet - par l'excellent Frédéric). Mais leur couleur me convient, et elles comportent les mêmes types de "crapauds" (inclusions noires) que celles du lot de 2014.

Ces dalles proviennent, paraît-il, pour l'essentiel, du sol d'une ancienne écurie du secteur. Mon vendeur en a utilisé une bonne trentaine de m2 pour une terrasse, bien jointoyée au ciment, sur le côté de sa maison. Il a consommé un autre lot, celui-ci non jointoyé, pour servir de bordure à son potager mais désire garder ces dernières à cet endroit. Dommage pour ce qui nous concerne mais je lui ai demandé de me signaler d'autres lots analogues dont il aurait connaissance.

Ces dalles ont un autre inconvénient à mes yeux puisque leur largeur est uniforme et relativement faible (32 ou 33 cm), alors que le lot de 2014 était panaché (33, 38 et 43 cm). Autrement dit, si elles devaient être utilisées pour la salle-à-manger de notre logis favori, on aimerait bien qu'il y en ait d'autres de plus grande largeur, de manière à ce qu'il n'y ait pas de hiatus entre les sols de l'entrée et de la salle-à-manger qui se trouve être contiguë.

Bref, dès que j'ai topé pour ce lot, j'ai téléphoné à Frédéric LE BON pour l'en informer et le remercier. Je lui ai dit que j'attendais la réponse du bureau d'études pour savoir à quelle épaisseur scier ces dalles, de manière à permettre le chauffage par le sol. J'ai ajouté que, comme cela, on aurait du matériau pour compléter la surface. Frédéric m'a répondu qu'il n'y aurait pas de problème pour scier ces dalles mais que jamais on ne parviendrait à reproduire leur patine comme je l'imaginais.

Bien. Mon idée d'utiliser ces dalles pour la salle-à-manger avait un sérieux plomb dans l'aile.

Mais Frédéric m'a indiqué avoir été "alerté" (comme indiqué ci-dessus) par une autre annonce. Il me l'a décrite et j'ai marqué mon intérêt. Je n'en dis pas plus ici car le dossier est en cours. Ce pourrait être une excellente nouvelle.

Quant aux dalles achetées hier, je vais en parler à Igor tout à l'heure. Peut-être pourrait-on les affecter à la "terrasse n°1" ? Ce serait une façon, en les exposant aux intempéries, de leur faire acquérir un supplément de patine. Et il suffirait, me semble-t-il, de les poser sur un support comme de la chaux - et non du Baticim - pour pouvoir les déchausser facilement quand on en aurait un meilleur usage. A voir. Mais quid des pentes et des évacuations d'eaux pluviales à l'endroit en question ?
Je suis passé ce matin, seul, chez le cuisiniste de mon aîné, afin de prendre connaissance du résultat de ses premières cogitations à propos de ce que pourrait être le plan de la future cuisine du bâtiment Nord. Mon souci est en effet de clarifier la question du choix du meilleur usage des volumes disponibles au rez-de-chaussée du bâtiment Nord. Ceci sans aborder encore la question du choix des matériaux ou des matériels (si ce n'est que la hotte aspirante sera incorporée au plan du réchaud).

Ghislain BARBREL est équipé d'un logiciel qui permet tout un tas de fonctionnalités très commodes pour visualiser les idées que l'on peut avoir. Voici le tirage-papier de ce premier travail :

Comme on le voit, ce travail est basé sur deux hypothèses principales :
- l'idée d'implanter la partie cuisine "stricto sensu" du côté de la salle-à-manger du logis et non du côté de l'entrée du bâtiment Nord ;
- l'idée que l'arrière-cuisine ne serait pas réquisitionnée par une nouvelle chaufferie.

Ainsi calé, ce travail me paraît très intéressant :
- j'aime bien la proposition de faire disparaître dans les boiseries du fond de la pièce la porte qui se trouve entre la cuisine et l'arrière-cuisine ; en effet, j'ai toujours trouvé cette porte très moche et trop étroite ;
- l'arrière-cuisine ainsi conçue me paraît adaptée à nos usages, y compris les placards à balais, bottes ou imperméables, proches de la porte de sortie de l'arrière-cuisine vers l'arrière-cour.

Toutefois je m'interroge sur la pertinence de la première hypothèse, c'est-à-dire sur l'opportunité de substituer à l'idée d'une cuisine "stricto sensu" proche de la salle-à-manger celle d'un tel usage près de l'entrée du bâtiment Nord.

Je verrais à cette substitution deux avantages principaux :
- ne pas réduire, du fait des boiseries, la profondeur de la deuxième moitié de la pièce ; ainsi, un plafond de "solives à 45° sur le modèle du Grand Taute" ne serait pas déséquilibré comme il le serait fortement dans la première hypothèse ;
- faciliter, les jours de réception, le débarras de la salle-à-manger du logis grâce à la proximité de l'électro-ménager bruyant dans l'arrière-cuisine, sans nécessiter qu'on doive se mouvoir dans un espace déjà colonisé par l'électro-ménager et autres impedimenta silencieux.

Ghislain BARBREL pense qu'il serait loisible de prévoir une poutre factice au plafond de la cuisine de manière à rééquilibrer "mon" plafond sans procéder à la permutation à laquelle je pense.

Il envisage de venir réfléchir à cette question sur place, avant un prochain "debriefing" début août.
Pour une raison qui m'échappe, mon ordi avait classé ce courriel parmi les "indésirables" :

(Début de citation)

De : Cuisines BARBREL <contact@cuisinesbarbrel.fr>
Envoyé : jeudi 4 juillet 2019 14:56
À : penadomf@msn.com
Objet : Vues de Dessus + Perspectives

Bonjour Monsieur FOURCADE,

Comme convenu, veuillez trouver en PJ les Vues de Dessus ainsi que quelques Perspectives concernant votre Cuisine et Arrière Cuisine :

- pour la cuisine :
. le plan ;
. la perspective 1 ;
. la perspective 2 ;
. la perspective 3 ;

- pour l'arrière-cuisine :
. le plan ;
. la perspective 1 ;
. la perspective 2 ;
. la perspective 3 ;
. la perspective 4.

Vous en souhaitant bonne réception et restant à votre disposition si besoin,

Meilleures salutations,

Pauline BARBREL
La Vallée
61320 JOUE DU BOIS
02.50.45.91.64 / 06.14.44.54.03

(Fin de citation)
Comme promis, Régis FOUILLEUL est venu passer une gaine dans le trou creusé hier par Igor puis, dans cette gaine, un tuyau pour l'alimentation en eau potable. J'ai demandé que soit enterrée, à toutes fins utiles, une seconde gaine de réservation :

5 juillet 2019.

5 juillet 2019.

5 juillet 2019.

5 juillet 2019.

5 juillet 2019.

5 juillet 2019.

Les dalles de granit doivent m'être livrées demain, en deux rotations. Il est prévu que Philippe JARRY nous prête une dameuse lundi, ce qui permettra à Igor de daller la "terrasse n°1" dans la foulée. Du moins, dès que nous nous serons mis d'accord sur le calepinage.
Un S.M.S. reçu hier soir de Julien ANDRE m'apprend que le géomètre confirme son intervention pour le 11 juillet. En revanche, "le rendu de la mise au propre est plus incertain", Julien précisant : "A mon avis, dernière semaine de juillet".

Je doute que, dans ces conditions, on puisse disposer des conclusions du bureau d'études avant septembre.

Autrement dit, les choses étant ce qu'elles sont (mes moyens financiers, la météo et les disponibilités des artisans), on risque fort de devoir décaler d'une année les terrassements de la cour, ce qui serait fâcheux à beaucoup de titres.

Je réfléchis au problème.
Régis FOUILLEUL m'a communiqué avant-hier les coordonnées d'un maçon auto-entrepreneur de sa connaissance qui pourrait s'occuper de mes vieilles pierres favorites.

J'ai contacté ce garçon. Mon idée serait de le prendre à l'essai dès qu'il serait disponible avant de lui proposer le "full time job" dont notre chantier favori va de nouveau avoir besoin.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 6 Juillet 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Bâtiment Nord
0
Mon vendeur de dalles de granit du Mont Crespin m'a livré ce matin la moitié du lot. Il y en aura 91 en tout. La seconde moitié arrivera cette après-midi :

6 juillet 2019.

6 juillet 2019.

Il paraît que ces dalles étaient au sol d'écuries cadastrées en 1832.

Telles qu'elles ont été déposées dans l'arrière-cour, elle seront faciles à choisir avant leur pose.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 6 Juillet 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Bâtiment Nord
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Retour au manoir favori où toutes les dalles sont arrivées...

6 juillet 2019.

6 juillet 2019.

... accompagnées du message suivant : "Monsieur Fourcade, vous trouverez en pièces jointes 2 captures d'écrans. Un plan de la section A du cadastre de 1832 où se trouve le bâtiment en question (la Romagnerie) et un plan pour positionner cette section A par rapport au Mont Crespin orthographié à cette époque Montcrêpin. Il y a, à vol d'oiseau, 2 km seulement entre les anciennes carrières et le bâtiment où se trouvaient ces dalles. Bonne réception."