Bâtiment Nord

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 12 Octobre 2016
Bâtiment Nord - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Economie
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Depuis le 9 septembre 2015, la chaudière du bâtiment Nord a consommé 2 114 litres de fuel. C'est ce qui résulte de la livraison de ce matin :

12 octobre 2016.

Bien qu'il dispose d'un tuyau de 60 mètres de long, Patrick ERMENEUX doit garer son camion dans l'avant-cour, faire traverser la cour par son tuyau (trop court de 6 mètres pour passer par la porte du fond de la cour)...

12 octobre 2016.

... et récupérer celui-ci dans l'arrière-cour, à travers une grille de l'ancienne cuisine :

12 octobre 2016.

Mais, lorsque j'aurai installé là ma bibliothèque, il faudra penser à faire livrer le fuel en plein été, quand le sol peut supporter le poids du camion.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 12 Octobre 2016
Journal du chantier - Menuiserie - Logis - Bâtiment Nord
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Depuis hier à l'aube, Gérald NEREMBOURG, compagnon de Sébastien LEBOISNE, s'escrime, dans ma chambre mortuaire, pour en faire briller les boiseries posées là il y a deux ans.

11 octobre 2016.

11 octobre 2016.

11 octobre 2016.

11 octobre 2016.

11 octobre 2016.

11 octobre 2016.

11 octobre 2016.

Voici la cire qu'il utilise (recommandée par Pascal BRESSON) :

11 octobre 2016.

11 octobre 2016.

P.S. : En fin de 2ème journée de travail, les boiseries brillent :

12 octobre 2016.

Gérald a en outre passé un produit éclaircisseur sur des portes que Pascal BRESSON avait négligé de traiter lors de leur pose et qui ont subi, l'hiver dernier, l'humidité de la cage d'escalier du logis. Les voici alors que le produit de traitement n'a pas encore séché :

12 octobre 2016.

12 octobre 2016.

Dylan me recommande vivement un de ses copains pour être mon deuxième "emploi d'avenir". Je lui demande de l'introduire dans les circuits de la mission locale de Flers et de lui conseiller de me transmettre sans attendre son C.-V.
Je me suis rendu ce matin à Alençon, dans les bureaux de la M.S.A.

Normalement, il ne devrait plus y avoir de problème pour l'élaboration des bulletins de salaire de Benjamin et Dylan. Je passe sur les détails mais voici une bonne chose de faite.
Une étude attentive du site internet du conseil départemental de l'Orne m'a permis ce matin de détecter qu'il existe une possibilité de faire subventionner par le département notre activité favorite de réinsertion de jeunes sur le marché du travail, dans les métiers du bâtiment, de l'entretien d'espaces verts et de plates-bandes et de la sylviculture.

Je m'empresse de prendre les contacts utiles. Je me dis qu'il sera peut-être nécessaire de scinder l'A.D.D.O.O.E. pour bien circonscrire le domaine subventionnable.

Et, tant qu'on y est, pourquoi ne pas étendre nos activités d'insertion au bénéfice des départements limitrophes. J'ai déjà une touche dans la Manche mais why not en Mayenne too ?
Benjamin a quand même fini par me remettre ce matin une copie des recettes de cuisine que lui avait transmises Igor :

C'est bigrement synthétique...
Au courrier ce matin, une lettre de la mission locale de Flers m'informant que le conseil départemental de l'Orne a formellement accepté de couvrir les trois quarts du coût de Dylan, ceci dans le cadre de la réglementation des "emplois d'avenir".

Excellent. Il me reste encore des données à entrer sur le site internet qui m'est désigné afin que me soit remboursée l'avance de trésorerie que j'ai dû consentir au titre du premier salaire de ce jeune homme.
Le système que j'ai monté en m'appuyant sur la réglemention des "emplois d'avenir" semble intéresser suffisamment de personnes, très souvent différentes du public habituel de l'A.D.D.O.O.E., pour que j'établisse une partition des activités en constituant une nouvelle association qui pourrait s'appeler "Association pour l'insertion professionnelle de jeunes dans l'Ouest Ornais, le Sud Manche et le Nord Mayenne" (APIJOMM). Corrélativement, il faudra que j'adapte en conséquence les statuts de l'A.D.D.O.O.E. qui se concentrerait désormais sur son premier objet statutaire, donc que je transfère les contrats de travail de Benjamin et de Dylan de l'A.D.D.O.O.E. à cette APIJOMM.

Je vais m'atteler à cette transformation dans les prochains jours. Je veillerai à ce que l'on soit pleinement opérationnels au moment où le recrutement de nouveaux "emplois d'avenir" redeviendra possible, c'est-à-dire à partir du 1er janvier prochain.
Si je récapitule, l'état de ma nouvelle usine à gaz est le suivant :
- Benjamin et Dylan sont salariés de l'A.D.D.O.O.E., leurs bulletins de salaire étant préparés par la M.S.A. ;
- dans mes démarches pour leur trouver du travail ailleurs qu'à notre manoir favori, je rencontre un succès qui m'encourage à développer l'expérience des "emplois d'avenir" ;
- je m'apprête donc à recruter, dans les mois qui viennent, plusieurs "emplois d'avenir" supplémentaires ; chaque recrutement, outre qu'il apportera de la souplesse dans l'affectation de tout ou partie de l'équipe ainsi constituée, abaissera le coût moyen de celle-ci : ainsi, avec deux "emplois d'avenir", l'équipe de trois hommes reviendrait au total à 1,5 fois le coût d'un smicard, donc chaque salarié reviendrait en moyenne, charges comprises, à la moitié du coût (charges comprises) d'un smicard ; avec quatre "emplois d'avenir", ce qui me semble tout à fait envisageable dès 2017, les cinq hommes coûteraient au total autant que deux smicards, de sorte que chacun reviendrait en moyenne à 40 % du coût d'un smicard ;
- je vais rechercher des subventions auprès de divers conseils départementaux en vue d'alléger le coût de Benjamin qui encadrera cette équipe ; en première approche, l'Orne, qui supporte la charge des "emplois d'avenir" ainsi recrutés localement, pourrait accepter d'intervenir à ce niveau également ; dès lors que d'autres jeunes seraient recrutés et employés dans des départements limitrophes, leurs conseils départementaux seraient également sollicités ;
- je recherche des alliances avec des entrepreneurs qui pourraient être suffisamment intéressés par la qualité de notre travail d'insertion professionnelle et de formation pour recruter ces jeunes lorsqu'ils arriveraient en fin de droits au titre des "emplois d'avenir" (soit, en l'état des textes réglementaires, au bout de trois ans après leur recrutement) ;
- enfin, je fais étudier les dispositions fiscales dont les employeurs de tous ces jeunes pourraient également se prévaloir, le cas échéant, pour abaisser le coût net pour eux de ce système.

Je précise que j'ai conçu cette usine à gaz lorsque, constatant l'aboulie du repreneur pressenti de notre manoir favori dans un contexte de chute de mes revenus et d'extinction de mon épargne financière, j'ai dû rechercher des voies nouvelles, astucieuses mais toujours légales, pour abaisser pour moi la charge de mes employés. Puisque, grâce à la martingale trouvée, un effet boule de neige vertueux est susceptible d'être développé, je me dis qu'autant contribuer tous ensemble à faire reculer le chômage des jeunes du secteur. D'où l'idée de structurer cet effort en toute transparence et en veillant à ce que tous ceux qui ont un intérêt au succès de cette expérience (jeunes concernés, employeurs potentiels, entrepreneurs locaux, administrations diverses, y compris les formateurs professionnels) s'appuient les uns sur les autres.

Que ceux qui sont susceptibles d'être intéressés par mon système n'hésitent pas à me contacter, je répondrai, dans le rôle de tabellion que je m'attribue, à toutes leurs demandes d'explications complémentaires.
J'ai reçu ce matin la visite de Boris MAHE, le "référent" de Dylan à la mission locale de Flers. Il venait nous parler de la formation professionnelle à mettre en place en faveur de ce jeune homme. Je n'ai pas compris grand chose à ses propos, si ce n'est que le dispositif requis va déséquilibrer les comptes prévisionnels de ma petite usine à gaz. Il nous a remis, à Dylan et à moi, deux feuilles rappelant la législation du travail en cas d'emploi de jeunes (Dylan aura 18 ans en février prochain), m'a fait signer un dossier sans m'en remettre une copie (ce dossier précisait que Dylan devait repasser les épreuves théoriques de son C.A.P. de "constructeur de canalisations" à la fin de ce mois de novembre) et m'a promis de m'adresser divers documents que je mettrai en ligne dès réception. Enfin il m'a informé que, la réglementation n'arrêtant pas de changer, il n'était pas garanti qu'il soit de nouveau possible de recruter des "emplois d'avenir" dès le 1er janvier prochain mais que l'on ne saurait exclure, non plus, que la pompe soit réamorcée plus tôt.

Pas simple tout ça.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 24 Novembre 2016
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Ferronnerie - Menuiserie - Logis - Bâtiment Nord
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Je me rends ce matin à Alençon pour déposer à l'U.D.A.P. de l'Orne quatre dossiers de plus de 100 pages chacun, afin d'amorcer l'instruction des demandes d'autorisation de travaux et de subvention relatives à la restauration des menuiseries extérieures du logis.

Parallèlement, je transmets à la conservation régionale des monuments historiques de Normandie une note de 5 pages que j'ai rédigée hier et où j'expose, à l'appui de ces demandes, mes commentaires personnels sur (1) la nature de ces travaux, (2) le financement de ces travaux et (3) le phasage de ces travaux. En particulier, j'explique que mes moyens financiers ne me permettront pas de mener à bien la restauration de ces menuiseries avant que j'aie atteint l'âge de 70 ans au moins et que, dans l'intervalle, je n'aurai vraisemblablement pas la possibilité de procéder à des travaux intérieurs pour accroître ma surface habitable (curseur bloqué à 25 m2, sans tenir compte du fournil de la ferme, il est vrai distant de 150 mètres) ; de la sorte, la disposition d'une cuisine proche de la salle-à-manger et celle d'un bureau-bibliothèque que je souhaite aménager à la place de l'ancienne cuisine (dans le bâtiment Nord) sont renvoyées à des jours meilleurs. En tout cas, ultérieurs.

Dans la définition de ce programme de travaux et comme toujours depuis 25 ans que je suis en charge de ce monument, ma priorité est l'intérêt de ce dernier. Un tel choix n'est pas facile à vivre pour tout le monde.

P.S. : Sur le phasage des travaux, voici un extrait de ce que j'ai écrit à la D.R.A.C. :

(début de citation)

Pour ce découpage, mes critères personnels sont les suivants, toujours dans l’intérêt principal du monument :
- commencer par me mettre en position de purger le reliquat de subvention de l’Etat disponible au titre du « programme 2014 » ; ce reliquat concerne les enduits intérieurs de la cage d’escalier ; il vaudrait mieux réaliser ces enduits une fois les menuiseries posées. Je propose donc de traiter en premier les menuiseries de la cage d’escalier ;
- traiter les urgences sanitaires. Les fenêtres les plus malades sont, au premier étage du logis, dans ce que j’appelle la « salle dévastée » (sous-entendu par l’incendie), c’est-à-dire cette pièce de 60 m2 au-dessus du salon, à savoir la fenêtre Sud (qui est en coma dépassé) et les deux fenêtres Ouest (qui sont presque en aussi mauvais état) ;
- pour le reste, commencer à faire enfin entrer en piste l’habitabilité des pièces. Donc poursuivre par la salle-à-manger (rez-de-chaussée du logis, pièce Nord) puis par la chambre au-dessus de la salle-à-manger. Dans les deux cas, je tâcherai de restaurer les deux pièces en question dans la foulée. Comme il le sait, je souhaite que M. MAFFRE m’assiste pour ce travail. Pour la chambre à l’étage, il faudra changer une poutre pourrie. Pour ces travaux intérieurs, je solliciterai de nouvelles subventions de la part de l’Etat.
- C’est la restauration des fenêtres du salon (rez-de-chaussée) que j’aurais tendance à faire passer en dernier. En effet, il y a, dans ce salon, des boiseries IIIème République de qualité très médiocre et que je trouve incongrues en ce lieu mais je n’imagine pas pouvoir, de mon vivant, restaurer ce volume. On ferait donc passer les fenêtres correspondantes en dernier.
- Bien entendu, le bon sens voudrait que, dans la mesure du possible, les pièces des tours soient traitées en même temps que les pièces du logis directement attenantes.
- Enfin, ce phasage des travaux, pièce par pièce, est susceptible d’être modifié s’il apparaît, après la première tranche de travaux, notamment en raison du vitrage, que l’unité des menuiseries des façades est plus importante optiquement que l’unité des menuiseries des pièces.

Sur de telles bases, la première tranche (...) pourrait concerner :
- la cage d’escalier (...) ;
- la « pièce dévastée » sans tenir compte de la tour (...) ;
- la maçonnerie de la tour Sud (...).

Si cela ne vous gêne pas, je préciserai le contenu des tranches ultérieures au fur et à mesure de l’avancement du chantier.

(fin de citation)

P.S. 2 : Un autre passage de mon courrier à la D.R.A.C. mérite d'être cité ici. J'y évoque le financement des travaux :

(début de citation)

Vous savez que, depuis 25 ans que je l’ai acheté, j’ai consenti d’énormes efforts financiers à mon échelle dans l’intérêt du monument. A ce jour, seuls peuvent néanmoins être considérés comme habitables tout au long de l’année 25 m2 environ, situés dans le bâtiment Nord. Depuis quelques mois, il s’ajoute à cela le fournil de la ferme, situé à environ 150 mètres du manoir mais l’expérience de cette année montre qu’il demeure inoccupé bien que chauffé.

Je sollicite donc, de la part de l’Etat, la compréhension de cette situation, donc le taux maximum de subvention.

Même à cette condition, le niveau de mes revenus m’imposera en tout état de cause d’étaler le chantier sur plusieurs années. Par voie de conséquence, il me paraît probable que lorsque j’aurai atteint l’âge de 70 ans, ayant consacré les 6 prochaines années à la restauration de ces menuiseries du logis, je ne disposerai toujours pas de plus de ces 25 m2 habitables, n’ayant pas été en mesure de financer en sus, par exemple, l’installation d’une cuisine proche de la salle-à-manger ni celle de la bibliothèque-bureau dont je rêve pour le volume restant à restaurer au rez-de-chaussée du bâtiment Nord.

(fin de citation)

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 24 Janvier 2017
Journal du chantier - Menuiserie - Bâtiment Nord
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Pascal BRESSON vient de me transmettre les photos du meuble, en cours de finition dans son atelier et qu'il viendra ajuster la semaine prochaine pour qu'il s'insère dans le petit angle sous pente de ma chambrette monacalo-monastique :

24 janvier 2017.

24 janvier 2017.

24 janvier 2017.

Il y aura ainsi une partie rangement, pour entreposer couettes, housses et oreillers, afin de m'aider à survivre l'hiver, et une partie étagères, constituant ainsi un premier embryon de ma bibliothèque idéale (j'ai d'ailleurs demandé à Pascal d'ajouter deux planches, pour que je puisse conserver à portée de main un maximum de livres de poche ou de la "Pléiade"). Un fois ce meuble scellé, je considérerai que les travaux sont enfin terminés dans cette chambrette où, à dire vrai, se déroule plus d'un tiers de mon existence.

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Beautiful Libraries and Bookshops...Door, hidden in the library, Austrian National Library, Vienna, photo by Amanda Rust, FEOtwo via Flickr.

N.D.L.R. : Y penser si j'arrive un jour à financer la bibliothèque dont je rêve. (J'envisage en effet de dissimuler la porte de séparation avec la chaufferie actuelle, future arrière-cuisine dans mon idée.)

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 1er Février 2017
Journal du chantier - Electricité - Bâtiment Nord - Tour Louis XIII - Vie du site - Entretien du site
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Ma ligne téléphonique était en dérangement depuis le dernier week-end, de sorte qu'il ne m'était plus possible de surfer sur la toile, donc d'intervenir sur notre site favori.

Orange, que j'avais appelé dès que j'avais compris que la ligne était coupée, c'est-à-dire dimanche soir, n'a pas pu m'envoyer son réparateur (payant) avant ce matin. Dès lundi, j'avais néanmoins pu me faire confier par le magasin Orange de Flers une "boîte 4G" qui aurait pu me permettre de brancher mon téléphone portable en wifi sur internet. Manque de chance, notre manoir favori n'est pas couvert par la 4G, contrairement à Domfront. Le bourg de La Haute Chapelle reçoit la 3G mais pas la Chaslerie. Ce matin, le réparateur m'a appris, si j'ai bien noté, que la Chaslerie est branchée sur "2,4 Mega4" alors que Domfront le serait sur 20. En outre, il paraît que les choses ne devraient pas s'améliorer avant longtemps pour que la couverture de mon coin du bocage permette une connexion rapide. Donc je suis condamné à ramer.

Quant à la panne, le réparateur a eu beaucoup de mal à en trouver le lieu. Nous avons exploré en vain divers bâtiments ainsi que, sous la pluie, les abords du manoir en essayant d'apercevoir ce maudit câble téléphonique. Le réparateur a constaté que celui qui desservait la ferme était H.S. et y a remédié. Mais il restait à retrouver celui connecté à ma "Livebox".

Heureusement, j'ai pensé à appeler à la rescousse un jeune électricien déjà intervenu à la Chaslerie et qui a pu nous rejoindre d'autant plus vite qu'il a le malheur de se retrouver sans emploi depuis quelques jours. Ce jeune homme se souvenait, contrairement à moi, de l'existence d'une cache dans les boiseries de la chambre mortuaire. La clé de l'énigme se trouvait là.

1er février 2017.

En fait, un câble téléphonique noyé dans la maçonnerie dans l'angle Nord-Ouest du bâtiment Nord s'est retrouvé sectionné sans que l'on sache pourquoi. Y a-t-il eu un arc électrique qui l'a fait fondre ? Ou bien le mur a-t-il bougé à l'occasion du récent dégel ?

Heureusement, deux câbles avaient été passés dans la maçonnerie dont l'un, de réserve, était intact et a pu être branché à la place du segment inutilisable.

La moralité de cette histoire est que le jeune électricien reviendra dans quelques jours percer la maçonnerie en question pour y passer un fourreau qui pourra servir lors de la réparation de la prochaine panne.

1er février 2017.

P.S. : Un S.M.S. d'Orange m'apprend cet après-midi même que leurs constatations lors de l'intervention de ce matin leur permettent de m'informer que le déplacement du technicien ne me sera pas facturé. Je les en remercie.

Dylan TIRARD et moi sommes convenus hier, d'un commun accord, de mettre fin à la relation de travail qu'il avait conclue avec l'A.D.D.O.O.E.

J'ai demandé dès ce matin à la mission locale de Flers de me communiquer les C.-V. de candidats à sa succession qui soient dignes de confiance.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 1er Février 2017
Journal du chantier - Menuiserie - Bâtiment Nord
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Pascal BRESSON a livré hier le rangement de sa fabrication destiné à être scellé dans le coin aigu de ma chambrette monacalo-monastique :

31 janvier 2017.

Une journée entière a été nécessaire à deux hommes pour découper les parties d'arbalétrier qui gênaient et ajuster ce rangement :

31 janvier 2017.

31 janvier 2017.

31 janvier 2017.

31 janvier 2017.

31 janvier 2017.

31 janvier 2017.

Hier soir, le résultat faisait plaisir à voir :

31 janvier 2017.

31 janvier 2017.

Ce matin, j'ai commencé à installer là, à portée de main, de premiers livres dûment sélectionnés :

1er février 2017.

Par ailleurs, Pascal BRESSON a ciré hier les deux cache-radiateurs du bâtiment Nord :

31 janvier 2017.