Aspects juridiques

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 20 Mai 2017
Journal du chantier - Plomberie-chauffage - Ferme et son fournil - Vie du site - Aspects juridiques
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Dès que j'ai vu sur quel plan entendait se placer l'avocate adverse, j'ai communiqué avec les artisans qui interviennent de temps à autre sur notre chantier favori, afin qu'ils veuillent bien me fournir des attestations destinées à me défendre contre des accusations proférées à propos de notre site favori. Chacun a accepté et je leur exprime ici toute ma reconnaissance. Voici ces attestations :

J'ai bien sûr occulté sur la dernière, avant de la mettre en ligne, le nom de l'artisan au service de qui tant d'horreurs ont été proférées par son avocate (y compris, hier, qu'il était mon 4ème plombier, ce qui est faux même si cela n'aurait, je pense, rien d'anormal après 26 ans de chantier).

Merci les amis ! Je vous rends hommage par ailleurs et à ma façon, comme vous le savez, en vous citant au tableau d'honneur de mes artisans favoris mais, une fois de plus, vous avez été à la hauteur et je souhaite vous dire que je vous en suis très reconnaissant !

Je précise que Roland BOUSSIN manque ici à l'appel. Il aurait toute sa place parmi ses pairs mais je n'ai pas voulu le déranger dans sa retraite prise dernièrement, ni son gendre et successeur Franck LIEGEAS qui doit être particulièrement débordé par des tâches administratives au moment de cette transition.

A noter que, dans ses dernières écritures, l'avocate adverse a rejeté toutes ces attestations au motif qu'elles ne sont pas entièrement manuscrites. Je ne doute pas que, si elle n'avait pas attendu le tout dernier moment pour m'informer de cette critique, chacun de ces artisans aurait fait le maximum pour me transmettre son texte dans la forme optimale.
(Début de citation)

De : Guillaume Gendraud <guillaume.gendraud@tenqi.fr>
Envoyé : samedi 13 octobre 2018 23:31
À : Pierre-Paul Fourcade
Objet : Re: Préservation des infos du site favori, voire de celui-ci

Re,

C'est un choix qu'a fait Thomas, sûrement parce qu'étant donné votre grand nombre de photos, cela coûte moins cher d'utiliser Amazon pour le gros du stockage (photos), et OVH pour faire s'exécuter les pages du site Internet.

Concernant mes interventions, si le site Internet ne plante pas, je n'aurai pas à intervenir. S'il y a un souci (comme la semaine dernière), on peut toujours prévoir une heure ou 2 par an (40€ HT / heure).

Numériquement,

Guillaume "Matrix" Gendraud
Conseil, expertise et développement technique
https://www.tenqi.fr
06.16.53.69.37

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De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : samedi 13 octobre 2018 22:25
À : Guillaume Gendraud
Objet : RE: Préservation des infos du site favori, voire de celui-ci

Ma question couvrait également, si vous l'acceptez, le coût de votre propre intervention pour maintenir le site.

Et pourquoi prévoir deux hébergeurs ?

PPF

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De : Guillaume Gendraud <guillaume.gendraud@tenqi.fr>
Envoyé : samedi 13 octobre 2018 22:10
À : Pierre-Paul Fourcade
Objet : Re: Préservation des infos du site favori, voire de celui-ci

Bonsoir,

Il n'existe pas vraiment de site Internet pour archiver un site.
Celui dont je vous avais parlé par téléphone (archive.org) fonctionne selon son bon vouloir. On ne peut rien lui imposer (et donc tout peut être supprimé si cela lui dit).
Le seul moyen que je vois est de conserver le nom de domaine et les hébergements (OVH+Amazon).
Si je me réfère aux dernières factures que vous avez réglées chez ceux-ci :
- OVH : nom de domaine : 6,99€ HT / an
- OVH : hébergement : 203,88€ HT / an
- Amazon : hébergement : 12,40€ TTC / mois
Ce qui donne 401,84€ TTC / an.

On ne peut pas provisionner une avance chez ces 2 prestataires :
- OVH : on peut commander pour maximum 3 ans. Donc il faut renouveler tous les 3 ans
- Amazon : c'est paiement à la fin du mois, en fonction du nombre de consultations.

Numériquement,

Guillaume "Matrix" Gendraud
Conseil, expertise et développement technique
https://www.tenqi.fr
06.16.53.69.37

_____________________________________________________________

Le 13/10/2018 à 04:02, Pierre-Paul Fourcade a écrit :

> Cher Guillaume,
>
> Suite à mon appel, pouvez-vous me dire :
> quelle provision prévoir pour maintenir le site après que j'aurai cessé d'y écrire ?
> quel site permettrait d'archiver le site favori ?
>
> Bien cordialement,
>
> PPF
>
(Fin de citation)
Ma cousine, Claudine RAVETON, m'a transmis hier soir la copie de son courriel à la cartophile intéressée par Hué et par Alphonse GUERIN, lui précisant que "nous voulons, mes sœurs et moi insister sur le fait que le livre de notre père "Réminiscences" était exclusivement destiné à ses enfants et petits-enfants. Il ne souhaitait d'ailleurs pas le faire éditer; c'est un cadeau offert par (N.D.L.R. : Je suppose que ma cousine a voulu dire "à") ses petits-enfants en 2015 .
Il en a donné un exemplaire à sa cousine Simone Fourcade mais il n'est évidemment pas dans le commerce et nous ne souhaitons pas en voir publier des extraits que ce soit dans une brochure, ou sur internet.
Nous vous remercions de respecter notre volonté."

De cet envoi, je retiens d'abord les adresses de courriel des deux sœurs de Claudine. Ces adresses manquaient en effet à ma collection.

Sur le fond, je fais part, une nouvelle fois, de ma perplexité personnelle face à ce type de position, certes fondé en droit. Je signale quand même qu'après dix ans d'animation quotidienne de ce blog, je ne saisis toujours pas le moindre enjeu réel d'une telle crispation. Je tendrais même à voir - n'ayons pas peur des mots - une forme d'obscurantisme dans ce genre d'attitude, conscient qu'en sens inverse, on me qualifierait facilement d'irresponsable, voire d'exhibitionniste.

Pour garder néanmoins le débat au niveau qui convient, je me bornerai à citer MONTAIGNE, dans sa célèbre adresse "Au Lecteur" des "Essais" :


"C'est ici un livre de bonne foi, lecteur. Il t'avertit dès l'entrée que je ne m'y suis proposé aucune fin, que domestique et privée. Je n'y ai eu nulle considération de ton service, ni de ma gloire. Mes forces ne sont pas capables d'un tel dessein. Je l'ai voué à la commodité particulière de mes parents et amis : à ce que m'ayant perdu (ce qu'ils ont à faire bientôt) ils y puissent retrouver aucuns traits de mes conditions et humeurs, et que par ce moyen ils nourrissent plus entière et plus vive la connaissance qu'ils ont eue de moi. Si c'eût été pour rechercher la faveur du monde, je me fusse mieux paré et me présenterais en une marche étudiée. Je veux qu'on m'y voie en ma façon simple, naturelle et ordinaire, sans contention ni artifice : car c'est moi que je peins. Mes défauts s'y liront au vif, et ma forme naïve, autant que la révérence publique me l'a permis. Que si j'eusse été entre ces nations qu'on dit vivre encore sous la douce liberté des premières lois de nature, je t'assure que je m'y fusse très volontiers peint tout entier, et tout nu. Ainsi, lecteur, je suis moi-même la matière de mon livre : ce n'est pas raison que tu emploies ton loisir en un sujet si frivole et si vain. Adieu donc : de Montaigne, ce premier de mars mille cinq cent quatre-vingt."


Contemporain de la Chaslerie.
C'est tout dire.
Pour la seconde fois de la semaine, j'ai visité hier un monument historique dont le propriétaire ne veut pas que des photos apparaissent sur la toile (ce en quoi il démontre qu'il n'y navigue pas souvent car, vérification faite, de telles photos y figurent déjà, au moins pour les extérieurs, mises en ligne par des gens qui n'ont rien à voir avec moi).

S'agissant de monuments dont le principal intérêt réside sans conteste dans ce que les juristes appellent des "immeubles par destination" (ici des escaliers ou des boiseries, là des pierres prises dans les maçonneries), je ne vois pas ce qu'ils peuvent redouter. Ce faisant, ils entravent la transmission de savoirs qui seraient très utiles afin que les nouvelles générations d'artisans soient documentées sur la maîtrise de leurs prédécesseurs. En sont-ils seulement conscients ? Donc, pour ma part, je vois avant tout - on n'en sera pas étonné - de l'obscurantisme - du moins sur de tels sujets - dans l'esprit de tels propriétaires. Ou, peut-être - sait-on jamais ? -, une forme de honte de n'avoir pas mis plus d'énergie à entretenir ou à restaurer leurs monuments ; mais là, ce n'est pas moi qui leur reprocherais de ne pas être aussi fous que moi, c'est-à-dire des sortes de Bernard PALISSY de la restauration de vieilles pierres.

Quoi qu'il en soit, j'enfreins la consigne - et promets, à toutes fins utiles, que ce sera le seul cas pour ce qui concerne ces deux monuments - à propos d'une porte intérieure que j'ai vue hier, recouverte d'un côté par des bandes de métal cloué :

10 juillet 2019.

10 juillet 2019.

Très beau modèle, "dans son jus" et rare, selon moi.

Si quelqu'un réprouve cette transgression, exceptionnelle je le souligne, des consignes reçues, je serais très intéressé de lire pourquoi. Je propose à cette personne d'exprimer son point de vue sous forme, par exemple, de commentaire à ce message, afin que je nous puissions essayer de comprendre ses arguments dont je ne doute pas qu'ils seraient très instructifs.
En Bretagne, un homme reconstruit seul un manoir "dans les règles de l'art".


N.D.L.R. : Merci beaucoup pour cette info. Sans nul doute, cela vaut le voyage.

Comme vous avez la gentillesse d'intervenir avec empathie sur mon site (ce n'est pas la première fois que je le remarque), accepteriez-vous de m'accompagner à la rencontre de ce personnage ?

Pour info, dans l'article communiqué, je relève une phrase : "une bonne restauration est une restauration qui ne se voit pas". C'est exactement ce que je pense. J'avais d'ailleurs été frappé lors de la première visite de Benoît MAFFRE à la Chaslerie par la remarque qu'il avait immédiatement faite : "c'est troublant, on ne voit pas où sont vos restaurations". Or, si tel est le cas, c'est parce que je veille à ce qu'il en aille ainsi, notamment en ne m'adressant qu'à des artisans capables de me satisfaire (ou à un garçon aussi doué, soigneux et intelligent qu'Igor). Et parce que, lorsque quelque chose ne me plaît pas, je n'hésite pas à faire refaire, même si cela explose mon budget (à l'exemple d'une ferronnerie récemment bâclée par un artisan, par ailleurs sympathique mais qui partait à la retraite).

Mais, à la différence de la personne dont cet article narre l'expérience, je ne fais rien moi-même. Strictement rien. Si ce n'est trouver les bons artisans, maintenir un contact infusé d'admiration avec ceux qui sont bons, virer les autres quels qu'ils soient s'ils ont failli à leur tâche. Et surtout, gérer la strasse (en l'espèce ses préposés obligés) qui nous bouffe avec, si souvent (mais pas toujours ni tout le temps), une valeur ajoutée négative. Et, plus encore, trouver les sous et gratter les fonds de tiroir pour avancer dans mon programme. En supportant, s'il le faut, les reproches, l'ingratitude ou même l'indifférence de quelques-uns dont j'aurais espéré mieux.

N.D.L.R. 2 (15 minutes plus tard) : Comment l'avais-je oublié ? Je passe aussi pas mal de temps à intervenir sur ce site et je pense qu'il est unique en son genre. En tout cas, je n'en connais nul équivalent.

J'ai pour principe de ne pas me laisser dicter ce que je peux, dois, ne peux pas ou ne dois pas y écrire. Or ce ne sont pas les donneurs de leçons qui manquent en la matière. Ils sont d'autant plus ridicules à mes yeux qu'ils ne sont pas fichus, pour ce qui les concerne, d'écrire vite et bien (et sans fautes d'orthographe qui me gonflent) ce qu'ils pensent. Tout juste bons à prendre des positions de principe fermées. Le genre castrateur. Mon réflexe est de leur redire ici de la façon la plus nette : qu'ils aillent se faire cuire un œuf !

Mais soyons plus constructifs. Sur le fond, je rappelle que ce site est d'ores et déjà muni d'un "bureau des pleurs" où l'on écoute les doléances et donne suite à celles qui, lorsque cela arrive, le méritent. Le seul défaut de ce dispositif, si l'on veut bien réfléchir deux minutes, est que j'y suis à la fois juge et partie. Voici un défaut que l'on pourrait certes, au moins en théorie, monter en épingle, au point même d'en chier un half-track. A dire vrai, personne n'a, à ce jour, mis le doigt sur ce défaut. Mais, comme le savent ceux qui peuvent comprendre, c'est-à-dire ceux qui réfléchissent, je suis ouvert à une adaptation en la matière, je veux dire à favoriser l'intervention d'un "vieux sage" (ou d'un autre) si cela paraît indispensable à la tranquillité de certain(e)s. "Do you see what (and who) I mean ?"
Voici le texte de la lettre, datée de ce jour, que sauf avis contraire de M. LESCROART, de Carole ou de mon aîné, à qui j'ai soumis une précédente version peu différente sur le fond, j'adresserai demain matin à l'architecte du patrimoine en charge de notre chantier favori :

(Début de citation)

Madame,

M. Yves LESCROART me signale ce matin, après que je vous ai adressé le chèque correspondant à votre facture n°1 reçue hier, que vous souhaitez que je vous renvoie signés les documents que vous m’aviez adressés début septembre par lettre recommandée.

Ces documents comportent, semble-t-il, un certain nombre d’oublis sur lesquels M. LESCROART pourra vous éclairer afin que vous y remédiiez en tant que de besoin.

Ils comportent par ailleurs un certain nombre de novations par rapport à notre accord contractuel tel qu’il avait été acté par mon courriel du 1er août dernier. Nous avons étudié ces novations qui, toutes sauf celle relative à mon activité internet, recueillent mon accord. La demande sous-jacente correspondant à cette dernière paraissant injustifiable en l’état du droit encadrant la liberté d’expression dans notre pays, j’ai simplement considéré qu’il était inutile que la question soit évoquée dans deux paragraphes du CCG (le G7 et le G9 nouveaux) et, plus précisément, biffé la disposition excessive de l’article G 9.3. Pour autant, et comme convenu dès notre première rencontre, je continuerai bien entendu à ne pas citer votre nom sur internet tant que vous ne m’en aurez pas donné l’autorisation.

Comme je le lui ai déjà exprimé, je suis reconnaissant à votre collègue M. Arnaud PAQUIN de m’avoir mis en relation avec vous car je pense et j’espère que nous pourrons faire un excellent travail.

Au-delà du champ défini dans le contrat ainsi modifié et complété, je pense que, si vous en aviez convenance et comme j’en ai laissé la demande par de récents messages sur votre répondeur, vous pourriez intervenir également entre le bureau d’études et moi. Le bureau d’études est chargé, principalement, de déterminer si une chaufferie unique pourrait suffire à la Chaslerie (étant entendu qu’on devrait pouvoir s’y chauffer par aquathermie et, le plus souvent, par le sol) et de dessiner tous les circuits utiles aux artisans concernés (eau, électricité, chauffage, wifi, etc).

Comme je l’ai indiqué lors de notre première réunion de chantier, jeudi dernier, j’ai toutefois été informé que le bureau d’études qui m’avait été recommandé par une architecte de qualité entend mettre fin à la mission que je lui ai confiée en juin dernier et dont, semble-t-il, il ne pouvait respecter le calendrier qu’il avait pourtant lui-même fixé. Ce dossier serait donc vraisemblablement à reprendre à la base. Nous pourrions en reparler si vous le voulez bien.

Je vous prie d’agréer, Madame, l’expression de mes salutations distinguées.

(Fin de citation)
Après prise en compte des suggestions formulées par M. LESCROART hier soir et réflexion, cette nuit, sur ce que sont mes intentions et possibilités, j'ai amendé et complété mon projet de lettre à l'architecte du patrimoine mandatée.

Voici la version de mon texte que je compte lui expédier dès l'ouverture de la poste tout à l'heure :

(Début de citation)

Madame,

M. Yves LESCROART me signale ce matin que vous souhaitez que je vous renvoie signés les documents que vous m’aviez adressés début septembre par lettre recommandée.

Ces documents comportent, semble-t-il, un certain nombre d’oublis que M. LESCROART m’a signalés ; ces pièces devront donc y être jointes :
Sur le CCG :
- Annexe financière mentionnée en P. 3 (case cochée à cet effet)
Sur le CCP :
- Programme précis de l’opération (y compris la question dite des « poutres pourries » du 1er étage Nord du logis)
- Calendrier prévisionnel global (à recaler en fonction des conclusions de notre réunion du 14 novembre)
- votre attestation d’assurance
.

Ces documents contiennent par ailleurs un certain nombre de novations par rapport à notre accord contractuel tel qu’il avait été acté par mon courriel du 1er août dernier. Nous avons étudié ces novations qui, toutes sauf celle relative à mon activité internet, recueillent mon accord.

Considérant, pour cette dernière, que la demande sous-jacente correspondante serait injustifiable en l’état du droit encadrant la liberté d’expression dans notre pays, j’ai estimé qu’il était inutile que la question figure dans deux paragraphes du CCG (le G7 et le G9 nouveaux) et, plus précisément, biffé la disposition excessive de l’article G 9.3. du CCG. Pour autant, et comme convenu dès notre première rencontre, je continuerai à ne pas citer votre nom sur internet tant que vous ne m’en aurez pas donné l’autorisation.

Je vous ai déjà adressé ce matin le chèque correspondant à votre facture n°1 reçue hier.

Comme je le lui ai déjà exprimé, je suis reconnaissant à votre collègue M. Arnaud PAQUIN de m’avoir mis en relation avec vous car je pense que nous pourrons faire un excellent travail.

Au-delà du champ défini dans le contrat ainsi modifié, je pense que, si vous en aviez convenance et comme j’en ai laissé la demande par de récents messages sur votre répondeur, vous pourriez intervenir également entre le bureau d’études et moi. Le bureau d’études est chargé, principalement, de déterminer si une chaufferie unique pourrait suffire à la Chaslerie (étant entendu qu’on devrait pouvoir s’y chauffer par aquathermie et, le plus souvent, par le sol) et de dessiner tous les circuits utiles aux artisans concernés (eau, électricité, chauffage, wifi, courants faibles, etc).

Comme je l’ai indiqué lors de notre première réunion de chantier, jeudi dernier, j’ai toutefois été informé que le bureau d’études qui m’avait été recommandé par une architecte de qualité entend mettre fin à la mission que je lui ai confiée en juin dernier et dont, semble-t-il, il ne pouvait respecter le calendrier qu’il avait pourtant lui-même fixé. Ce dossier serait donc vraisemblablement à reprendre à la base. Nous pourrions en reparler si vous le voulez bien.

J’ajoute que, sous réserve des conditions financières, je serais prêt à vous confier la maitrise d’œuvre de l’ensemble des installations techniques, et - pourquoi pas ? - de l’ensemble de la restauration des parties inscrites que je pense et espère pouvoir mener à bien avant de passer, si possible, le relais de la maîtrise d’ouvrage à mon aîné, d’ici environ 5 ans.

Mon espoir serait ainsi de pouvoir personnellement mener à bien le programme de travaux de restauration suivant que je me suis assigné, avec les particularités suivantes :
- Dans le logis :
o Cage d’escalier : pose de radiateurs puis enduits sur les murs, avant l’expiration de la subvention accordée par la D.R.A.C. ;
o Salle-à-manger : modification de la poutraison du plafond par densification des solives, changement des poutres et pose de corbeaux qui pourraient être inspirés de ceux du manoir du Bas au Teilleul ; peinture de la nouvelle poutraison ;
o Chambre Nord : boiseries sur les murs ;
o 1er étage de la tour Nord-Est : salle de bains avec baignoire ;
o Rez-de-chaussée de la tour Nord-Est : l’usage qui pourra être donné à cette pièce n’est pas défini à ce jour ; le plafond pourra être abaissé ; pose de corbeaux ; le sol devra continuer à témoigner de l’ancienne forme des fondations.
- Dans l’aile Ouest :
o Toutes les menuiseries extérieures qui, selon l’ "esquisse" du 19 juillet 2018 de M. PAQUIN, devront être restaurées ;
o Au rez-de-chaussée du colombier : installation de la chaufferie (que j’espère unique), d’un w.-c., d’une salle-de-bains avec baignoire ; réservation d’une cuisine pour l’ensemble de l’aile ;
o Au 1er étage du colombier : modification éventuelle de la poutraison du plafond (je m’interroge sur l’état des poutres et la densité des solives) ; boiseries Louis XVI sur les murs (y compris la cheminée) de cette pièce destinée à être mon bureau-bibliothèque ;
o Au 2ème étage du colombier : achèvement, si c’est encore nécessaire, du programme de travaux en cours ; prévoir une illumination possible de la poutraison (M. ROBVEILLE, électricien à Caen, réalisant des merveilles en la matière) ;
o La mise en place d’un escalier n’entre pas dans mes intentions ; je me déclare néanmoins très satisfait de l’ "esquisse" de M. PAQUIN à ce sujet ; je considère que l'escalier ainsi recommandé serait approprié pour servir de colonne vertébrale à la restauration de toute l'aile.
- Dans le bâtiment Nord :
o Installation d’un cabinet de toilettes au rez-de-chaussée ; la douche sera implantée au plus près de la fenêtre ; attention : il y a déjà un chauffage par le sol dans cette pièce ;
o Installation d’une cuisine et d’une arrière-cuisine au rez-de-chaussée.
- Dans la chapelle : installation d’un radiateur et d’un système de ventilation destinés à stopper la dégradation des peintures murales malgré leur restauration récente ;
- Dans la cave : mise en place d’une isolation thermique de la couverture ; le chauffage devra pouvoir être installé à partir de la chaufferie centrale du manoir ;
- Dans la cour : finition de l’aménagement, y compris par l’installation d’un système d’illuminations par M. ROBVEILLE.


Je vous prie d’agréer, Madame, l’expression de mes salutations distinguées.

(Fin de citation)

Si jamais j’arrive au bout de ce programme, je pourrai peut-être me dire que mon passage sur Terre n'aura pas été complètement inutile.
Jacques ATTALI (via "Facebook")
rédigé le Mardi 28 Janvier 2020
Vie du site - Aspects juridiques - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Pouvoirs publics, élus locaux
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Pause, s’il vous plaît !

Les mots ont toujours tué. Soit par le mal que l’insulte et la diffamation peuvent faire. Soit par l’incitation à la violence physique qu’ils peuvent entraîner.
Des gens insultés, harcelés, au travail ou dans leur vie privée, ont mis fin à leurs jours. Des gens dont on promène la tête au bout d’une pique, dont on encourage à l’usage de la force pour leur faire quitter un pouvoir démocratiquement conquis, ne sont pas loin d’être dans la même situation : le harcèlement politique n’est jamais bon pour la démocratie.

On en est là aujourd’hui, dans beaucoup de pays.

En Grande Bretagne, en Italie, aux Etats-Unis, en Espagne, et dans tant d’autres pays, la violence des mots atteint des proportions folles. Les propos hallucinants du président des Etats-Unis et de ses soutiens allument bien des mèches. A l’autre extrême, certains extrémistes écologistes en arrivent à demander qu’on en finisse avec l’espèce humaine, parce qu’elle a depuis toujours eu le projet de soumettre la nature. Dans un tout autre contexte, le discours de haine des fondamentalistes a précédé leur passage à l’acte ; contre les femmes, contre les infidèles, contre leurs propres coreligionnaires, contre ceux qui mettent en avant les principes de la laïcité.

Les réseaux sociaux ajoutent à cette libération de la parole. La haine y est partout. Les menaces de mort, en général anonymes, s’y multiplient. Comme si ces gens-là prenaient prétexte de ne pas être entendus, dans le cadre des institutions, pour crier de plus en plus fort. Cela ne s’arrêtera pas au champ de la politique. Ce langage deviendra celui de la conversation quotidienne, et la menace n’y sera plus, ne sera plus virtuelle. C’est là où « la banalité du mal », concept philosophique imaginé en 1963 par Hannah Arendt à propos de Adolf Eichmann, prend un tout nouveau sens.

Ce retour de la violence verbale, prélude à celui de la violence physique, est particulièrement inquiétant en France, pays qui n’a jamais accepté l’idée de se réformer, et qui n’avance que par des révolutions. Au point que ce sont des révolutions, ou des coups d’Etat, qui ont enfanté, d’une façon ou d’une autre, nos cinq républiques.

Les comportements de l’ancienne direction de France Telecom, qui a poussé au suicide bien des employés de la firme, rejoignent les discours hallucinants des dirigeants de la France Insoumise, qui en appellent à la violation des lois, à la violence physique contre le président de la République et les élus de son parti. Et plus encore, ces dirigeants politiques, appuyés par quelques syndicalistes et quelques associations, soutenus par quelques médias suicidaires, en sont même à organiser des retraites aux flambeaux : n’importe qui avec un peu de culture y voit un rappel des grandes parades fascistes et nazies. Et même s’ils prétendent que cela renvoie aux premiers 14 juillet, ce rappel de la révolution française met surtout l’accent sur l’horreur de la Terreur, symbolisée par les abjectes silhouettes de la tête d’Emmanuel Macron placée au bout d’une pique.

Tout cela ne sert que Marine Le Pen, dont pourtant tout, en principe, sépare l’extrême gauche. Oui, Jean-Luc Mélenchon, qui fut un grand ministre et qui reste un homme cultivé, est en train de devenir le marchepied de l’extrême droite. Ce ne serait pas le premier, dans la gauche française, à avoir fait ce chemin. Sans doute le fait-il, au moins inconsciemment, pour faire battre celui qui le dérange surtout parce qu’il a réussi à conquérir démocratiquement en six mois un pouvoir dont lui, Mélenchon, rêve depuis quarante ans.

Je dis cela sans viser particulièrement un élu. Ni pour défendre un président particulier de la République. Ni pour soutenir des réformes dont je n’approuve pas toutes les modalités. Ce sont les institutions qui sont en cause. Ce sont elles qu’il faut défendre. Et en particulier la liberté d’opinion, la liberté de la presse, la liberté syndicale, qui seront les premières victimes de ce que ces fossoyeurs croient défendre.

Il faut y mettre fin au plus tôt.

D’abord en appliquant avec rigueur les lois de la république, qui condamnent ce genre de comportements, même si leurs auteurs sont des représentants du peuple, ou des syndicalistes : Plus on a de responsabilités publiques, plus on doit donner l’exemple.

Ensuite en dénonçant, discréditant ceux qui tiennent de tels propos, même s’ils ne sont pas illégaux. Ils doivent comprendre qu’insulter, crier, n’est pas un argument, et ne convainc personne. Ils doivent comprendre que, par leurs fonctions même, leur rôle est d’être les intermédiaires des inquiétudes et des colères des peuples, et non de les exacerber.

La République est notre bien commun ; et avec elle, la tolérance, la laïcité, et bien d’autres trésors. Soyons en fier. Ne les bafouons pas. En faisant des mots les alliés, et non les ennemis, de la liberté.

j@attali.com

N.D.L.R. : D'accord.

Défendre la liberté d'opinion, la liberté d'expression : vaste programme !
En écho à l’entretien de François Sureau dans Le Figaro, sur les lois liberticides, cette "anecdote", puisque c'est ainsi qu'on appelait en URSS les plaisanteries politiques. (Et raconter ou écouter une "anecdote" valait trois ans de camp) : "Ne pensez pas. Si vous pensez ne parlez pas. Si vous parlez, n'écrivez pas. Si vous écrivez, ne publiez pas. Si vous publiez, ne vous étonnez pas. "‬

N.D.L.R. : Je ne m'étonne pas, je déplore. Et, bien sûr, je maintiens !

« Je maintiendrai la vertu et noblesse.
Je maintiendrai de mon nom la haultesse.
Je maintiendrai l'honneur, la foy, la loy
de Dieu, du Roy, de mes amys et moy. »
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 30 Décembre 2020
Vie du site - Aspects juridiques - Entretien du site - Désultoirement vôtre ! - Transmission du patrimoine
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(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mercredi 30 décembre 2020 06:44
À : LESCURE CHARLES <charles.lescure@notaires.fr>
Objet : RE: Urgence signalée - Testament

Maître,

Devant être hospitalisé lundi prochain, je souhaite signer mon testament lundi matin au plus tard.
Ses principales dispositions sont les suivantes, que je vous prie de compléter pour le rendre applicable sans délai.

(Début de citation)

1 - Je souhaite être enterré dans la chapelle du manoir de la Chaslerie (2ème tombe à l'Est en partant de l'autel ; à défaut, 3ème), sous les inscriptions suivantes :
Pierre-Paul FOURCADE
1952 - (année de ma mort)
"Arissou arissat, castagne lusente"

Les travaux de rejointoiement de la tombe devront être confiés soit à l'entreprise BODIN, soit à Cyrille RIALLAND (maçon à Lonlay-l'Abbaye) qui utiliseront de la chaux de Saint-Astier et du sable de couleur appropriée (type Longny-au-Perche).

2 - Je désire que le site www.chaslerie.fr demeure en fonctionnement 50 ans après mon décès et que les mots de passe permettant d'accéder à la totalité des messages (y compris "Privé" et "PPF dans le texte") soient confiés à mes petits-enfants quand le dernier survivant aura dépassé l'âge de 18 ans. Quant au mot de passe permettant d'accéder à l'administration du site, il sera, après cristallisation des messages du site antérieurs à mon décès, transmis au nouveau propriétaire du manoir (...).
Pour l'application des dispositions de cet article, je désigne "Cambérabéro" ou (...) pour s'acquitter de ces rôles ; à défaut, pour choisir une personne compétente pour s'acquitter de cette tâche. Une provision pour frais de 50 000 € devra être constituée prioritairement sur mon héritage.

3 - L'évaluation des biens ornais devra être confiée à un expert reconnu (cabinet LE NAIL si possible) et tiendra compte de toutes les sujétions de la propriété (notamment son démembrement entre diverses S.C.I. et les baux en cours).

(...)

(Fin de citation)
Dorénavant, et sans même attendre l'assemblée générale de la SVAADE, le 17 août prochain à 17 heures 30 à la Chaslerie, toutes les photos de ce site ayant ou susceptible d'avoir un lien avec la SVAADE ou les travaux de restauration réalisés ou seulement envisagés par elle, porteront la mention "(c) SVAADE".

Ceci est notamment destiné à m'aider à me faire à l'idée que j'ai transmis à d'autres, au moins mentalement, le flambeau de ce qui m'aura tant tenu à cœur depuis plus de trente ans.
Pour info, des discussions sont activement en cours, entre le bureau de la SVAADE et moi, afin de marquer sans ambiguïté le rôle et les attributions de chacun à la suite de la signature du bail du 18 août dernier.

Je comprends qu'au cours de la présente "phase de transition", on me trouve parfois un peu trop envahissant et que cette mise au point pourrait aboutir, entre autres, à la mise en ligne d'un nouveau site internet, celui-ci sous la responsabilité de la SVAADE.

Pour autant, il ne m'est pas (pas encore ?) demandé de m'abstenir de commenter de ma fenêtre la vie de cette jeune et dynamique association. Je continuerai donc de le faire de la même façon, notamment sous l'onglet "Nouvelles associations" du site favori où je mêle, il est vrai, les topos relatifs aux trois associations que j'ai contribué à créer, par démembrement en quelque sorte de l'association initiale des "Amis du manoir de la Chaslerie" (actuellement dénommée, pour ne s'en tenir qu'à son sigle, "A.R.D.A.M.C."). Donc, si vous me suivez bien, vous continuerez de retrouver sous ledit onglet, tout ce qui touche, outre la SVAADE, à l'A.D.D.O.O.E. (combats anti-éoliens, le site propre de cette association ayant été perdu lors d'un incendie chez l'hébergeur) ou à l'APIJOMM (emploi en vue de la réinsertion).
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 22 Septembre 2021
Vie du site - Aspects juridiques - Entretien du site
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(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mercredi 22 septembre 2021 01:25
À : "Cambérabéro"
Objet : RE: Site

Compte tenu des circonstances, il serait préférable que vous envoyiez vous-même, en une seule commande, tous les messages du site dans "Privé/PPF dans le texte".

Je pourrais les en ressortir ensuite cas par cas.

(Fin de citation)
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : mercredi 22 septembre 2021 03:23
À : Hugues HOURDIN ; Jean Thuaudet ; Jacques Meyer ; Flore Merlin
Cc : C. F.
Objet : Affaires de la SVAADE - Volets "Animation" et "Vie sociale"

Chers amis,

La présence de Flore, hier, à mes côtés, a permis d'assurer, je le pense, le relais nécessaire entre mes initiatives de propriétaire de la Chaslerie et la vie normale de votre association dans les deux domaines importants que sont ses activités d'animation culturelle et ses responsabilités de personne morale autonome.

En effet :

1 - pour ce qui concerne les animations du mois d'octobre prochain :
11 - des contacts opérationnels ont été pris auprès de l'office de tourisme de Domfront à propos de la billetterie ; celle-ci a déjà enregistré de premières réservations ;
12 - j'ai transmis à Flore les coordonnées des artistes invités, de manière de permettre à la SVAADE de les contacter pour s'assurer des termes des contrats, sachant que, s'agissant de David PETRLIK, je suis convenu avec lui de le conduire, après le spectacle, à Clermont-Ferrand ; il pourra également passer la nuit à la Chaslerie ;
13 - j'ai transmis à Flore un lot d'affiches et de flyers imprimés et lui ai montré où a eu lieu leur impression ;
14 - je rappelle que j'ai adressé, avant-hier soir, un courriel que je considère comme raté à mes "amis" pour les inviter à s'inscrire à ces animations ; parmi ces "amis" figurait (par erreur de ma part dans la confection de ma liste) (...) mais les autres élus et les officiels du type fonctionnaires n'ont pas été contactés par moi à ces sujets ;
15 - Flore a pu répondre aux questions du correspondant local d'"Ouest-France" et j'ai veillé, du moins je l'espère, à rester en retrait ;

2 - pour ce qui concerne la vente des maquettes, un lot de maquettes a été déposé à l'office de tourisme de Domfront qui les vendra aux prix de 15 € pour les petites et 30 € pour les "Collector" numérotées, tout en mettant l'accent sur la possibilité pour les personnes intéressées d'en recevoir en contrepartie de dons de respectivement 30 € au moins et 60 € au moins ;

3 - pour ce qui concerne les formalités administratives :
31 - la maison des associations a reçu tous documents utiles pour le transfert du siège ainsi que pour officialiser à la préfecture celui-ci et le nouveau bureau ;
32 - le CIC n'attend plus que de recevoir un pouvoir de Hugues à Jacques afin de lui donner la signature sur le compte.

4 - Par ailleurs, pour ce qui concerne les animations à programmer pour 2022 :
41 - j'ai indiqué à Hugues que le contact avec Silvère JARROSSON est interrompu pour moi, de sorte que je n'ai pu recevoir aucune assurance qu'il confirmera sa promesse d'une "performance" à la Chaslerie avec Théotime LANGLOIS de SWARTE ;
42 - contrairement à ce que j'avais initialement envisagé (et pour quoi Carole avait réservé un hôtel), je ne me rendrai pas à Amou (Landes) cette semaine pour y rencontrer Jean-Pierre ARBON et Marie-Christine BARRAULT en vue de donner suite à leur accord de principe sur un spectacle "La Fontaine / Brassens" ; je communiquerai les coordonnées de Jean-Pierre pour être relayé face à lui et me dégager du dossier (en me tenant prêt à aider, bien entendu, si demandé) ;
43 - la maison des associations de Domfront est prête à nous aider à la billetterie ;
44 - pendant les heures de trajet dans mon véhicule personnel vers Clermont-Ferrand, je compte, mais seulement si vous en êtes d'accord, demander à David PETRLIK s'il accepterait un rôle de conseiller artistique de la SVAADE, de manière à aider aux contacts avec des musiciens de qualité (pour "Septembre Musical de l'Orne", Philippe TOUSSAINT m'a dit fidéliser son directeur artistique par (...)).

A ce stade de la "période transitoire", il me semble que je n'ai plus de rôle moteur à jouer à l'avenir dans ces "Volets" de l'action de la SVAADE. Je vous aiderai néanmoins volontiers si vous en faites la demande.

5 - Point important : Flore m'ayant dit son trouble devant les perturbations que mon site internet ne peut manquer, selon elle, d'occasionner au détriment de l'action de la SVAADE, notamment dans son rôle de maître d'ouvrage, j'ai demandé à "Cambérabéro" (le programmeur en charge des aspects techniques du site) d'en fermer l'accès des blogs au public. Je pourrai, dans un second temps, déverrouiller cas par cas l'accès à certains messages, notamment si ceci apparaît utile, par exemple si la SVAADE en fait la demande pour compléter sa documentation.

6 - Pour la suite, il me semble que la SVAADE pourrait retenir la priorité de contacter un architecte du patrimoine pour lui confier la maîtrise d'œuvre de l'important chantier à venir. A ce sujet :
61 - M. (...), qui m'avait promis l'envoi de sa proposition de contrat n'en a encore rien fait et je n'ai pas réussi à obtenir d'explication de sa part ;
62 - la conservation régionale des M.H. n'a pas répondu à mes courriels consécutifs à ma réunion avec eux le 30 août dernier.

7 - Je signale enfin que, si la SVAADE compte monter plus de six spectacles par an, elle devrait respecter une réglementation particulière. J'ai demandé l'aide de la D.R.A.C. pour nous éclairer à ces sujets mais, à ce jour, ces efforts sont restés sans écho. Sans doute conviendrait-il que, sous sa propre signature, la SVAADE me relaye là aussi.

Bien cordialement,

PPF

(Fin de citation)
Les "mentions légales" du site favori viennent d'être modifiées pour indiquer que l'association propriétaire de celui-ci s'appelle "Les amis de la Chaslerie", ce qui est la nouvelle dénomination de l'"Association pour la restauration, la défense et l'animation du manoir de la Chaslerie (ARDAMC)" constituée dès 1991.

Ce changement de dénomination a été voté lors d'une A.G.E. tenue le 10 août dernier (l'après-midi du jour où "La SVAADE" avait tenu la sienne) :


Les formalités déclaratives auprès de la préfecture sont en cours, avec l'aide de la "Maison des associations" de Domfront.
lefigaro.fr
rédigé le Jeudi 9 Février 2023
Vie du site - Aspects juridiques - Désultoirement vôtre ! - Anecdotes
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Affaire Hanouna-Boyard : C8 condamné à payer une amende record de 3,5 millions d'euros

La sanction de l'Arcom est tombée : au terme de la procédure engagée après les propos de Cyril Hanouna pendant l'émission « Touche pas à mon poste », diffusée le 10 novembre 2022, la chaîne C8 doit payer un montant de 3,5 millions d'euros.

Cyril Hanouna avait violemment pris à partie le député Louis Boyard (LFI), le traitant de « merde», de «bouffon», de «tocard», d'«abruti», après que celui avait accusé les «cinq personnes les plus riches» de France d'«appauvrir l'Afrique», citant Vincent Bolloré, propriétaire du groupe Canal+ et de sa chaîne C8, lors d'une séquence consacrée au bateau de migrants Ocean Viking.

N.D.L.R. : Où l'on vérifie que toute vérité n'est pas toujours bonne à dire à n'importe qui à n'importe quel endroit (ici, les poubelles de la télé si je comprends bien).

Une question que je ne vois évoquée nulle part : qui va empocher le pactole ?

Ce qui est sûr, c'est que, dans son genre, ce jeune député a beaucoup de talent.

N.D.L.R. 2 (le 10 février 2023 à 23 heures 30) : D'après ce que je lis, le pactole irait au "Centre national du cinéma et de l'image animée" (CNC), qui soutient et finance la production cinématographique en France.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 4 Décembre 2023
Vie des associations - Vie du site - Aspects juridiques - Entretien du site
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Pour en finir avec l'exposé de mes réflexions sur "Domfront-Patrimoine", il convient que j'explique ce qui me pousse à recommander la création de "Domfront-Patrimoine au Carré (DP 2)".

Je pense qu'il est d'intérêt général qu'en l'état de ce qui a été présenté il y a cinq ans comme le "projet MORIN", il existe un endroit où la population domfrontaise (et, plus généralement, tous ceux qui s'intéressent au devenir de Domfront-en-Poiraie) puisse venir s'informer et échanger sur ce fameux mais si fumeux dossier.

"Domfront-Patrimoine au Carré" pourrait, forte de son respect de la légalité, tendre dans un premier temps la main à la municipalité de Domfront-Patrimoine afin de l'inviter à un dialogue actif autour de ce dossier.

Bien entendu, il ne m'échappe pas que la municipalité de Domfront-en-Poiraie dispose de toute la légitimité, issue des urnes, nécessaire pour traiter ce dossier comme elle l'entend, c'est-à-dire y compris "en catimini" (comme j'aurais tendance à le lui reprocher) ou en faisant appel, à très grands frais d'argent public, à tous les bureaux d'études qu'il lui plaît ou lui plaira (y compris moult "scénographes", un "programmiste", etc) ou encore à un "romancier" qui, vu de ma fenêtre, paraît quelque peu tombé du ciel, d'autant que, malgré mes invites, je n'ai pu échanger utilement à ce jour avec lui.

Le "projet MORIN" est, sans conteste, majeur pour l'avenir de Domfront-en-Poiraie, ne serait-ce qu'en raison des montants en cause : 5 000 € en moyenne pour chacun des 4 000 habitants (environ) de Domfront-en-Poiraie.

Mais nombreux me paraissent ceux qui s'interrogent sur la façon dont ce dossier est traité à ce jour par tous les élus concernés (parlementaires, conseillers régionaux de Normandie, conseillers départementaux de l'Orne, élus de Domfront-en-Poiraie) ainsi que par les fonctionnaires ou agents placés sous leur autorité directe, sans oublier les services extérieurs de l'Etat (dont la préfecture de la région Normandie, la préfecture de l'Orne et, notamment, les services extérieurs des ministères chargés de la culture ou du tourisme).

Il paraît nécessaire qu'une "personne morale" existe, susceptible de jouer un rôle d'interface entre tous ceux qui, à un titre ou à un autre, s'intéressent à l'avenir de Domfront-en-Poiraie, et ceux qui appartiennent au personnel politico-administratif en charge, notamment, du "projet MORIN".

Telle est la motivation principale de la fondation de "Domfront-Patrimoine au Carré", fondation qui est en cours à ce jour et dont j'entends rendre compte, pour ce qui me concerne et au moins dans un premier temps, via le site internet de l'association "Les amis de la Chaslerie", c'est-à-dire sous l'onglet https://www.chaslerie.fr/blog/domfront-patrimoine-au-carre du site "www.chaslerie.fr".

D'ores et déjà, j'invite tous ceux que la création de "Domfront-Patrimoine au Carré" intéresse et qui souhaitent donc privilégier la voie d'un dialogue responsable et éclairé pour favoriser le bon déroulement du "projet MORIN" à me contacter, de préférence par courriel à l'adresse "penadomf@msn.com".
Je continue à repointer la dernière version (transmise le 15 janvier dernier) de l'"étude de diagnostic d'ensemble". A cette heure (23 heures 30), j'en suis arrivé à la partie intitulée "II - Etude historique et patrimoniale".

A cette occasion, je relève que les accusations portées contre moi en A.G.O. et E. de l'"A.R.C.D." par un individu qui ne se reconnaît pas sous la qualification d'"érudit local auto-proclamé contemporain" étaient parfaitement injustifiées sur le fond (voir notamment les pages 1, 66 et 67 de ce document).

Bref, "s'en méfier !", comme il est écrit dans "Le sceptre d'Ottokar" en légende d'une photo représentant les pieds de Tintin (les tintinophiles et autres gens cultivés comprendront).

P.S. (à 11 heures 30) : Après vérification, la citation exacte est "se méfier !" :


P.S. 2 (du 26 janvier 2024 à 22 heures) : Il semble difficile à ce membre de fait du fan-club d'admettre que le site favori est une œuvre de l'esprit en devenir permanent, du moins tant que je vivrai (peut-on espérer). Il va sans dire que, pour ce qui me concerne, j'assume et respecte le contenu de ses "mentions légales".

Ceci signifie en particulier que si quelqu'un est mécontent du contenu d'un message, il lui est toujours possible d'en obtenir la modification, en me signalant ce qui lui déplaît. J'ai toujours tenu immédiatement le plus grand compte de telles remarques. Ceci, bien sûr, pour autant que la bonne foi de l'interlocuteur et le caractère raisonnable de sa demande ne soulèvent pas, d'évidence, d'interrogations plus graves.

A dire vrai, depuis bientôt quinze ans que ce site existe (comme le temps passe...), je n'ai jamais eu affaire à quiconque puisse être concerné par ma dernière remarque, celle-ci pouvant donc apparaître comme une simple clause de style.
Pour info, le P.S. que je viens d'ajouter à un message d'il y a un peu moins de trois ans.

Il me semble que c'est un très gros avantage du site favori de garder la trace, également, d'appréciations fausses que j'ai pu porter à l'occasion sur tel ou tel sujet. Et je me garde de les faire disparaître car, loin de prétendre être infaillible, j'estime utile, dans la démarche qui est la mienne, que l'on puisse retrouver le cheminement que j'ai pu suivre.