Archives, histoire, documentation

J’ai toujours pensé que l’humour constituait la plus puissante des armes contre la bêtise, l’obscurantisme, le fanatisme, le désespoir, l’absurdité de l’existence et Terry Jones fut sans conteste l’un des plus brillants soldats de cette cause au sein de la merveilleuse et pacifique armée des Monty Python.

N.D.L.R. : Le sage a dit : "On peut rire de tout mais pas avec n'importe qui".

J'en ai encore reçu une illustration intéressante, bien qu'assez inattendue, du moins par moi, et pas plus tard que ce matin.

Peut-être aussi faudrait-il se méfier également des gens qui, avec beaucoup d'insistance, vous disent ou, même, vous écrivent à tout bout de champ qu'ils apprécient votre franchise. Il n'est pas exclus qu'ils puissent être les mêmes.

N.D.L.R. 2 (à 21 h 30) : Je viens d'avoir mon aîné au téléphone. Je lui avais préalablement transmis la copie d'échanges de courriels de ce matin afin qu'il puisse, à tête reposée et en faisant abstraction de tout ce qui peut biaiser ma propre appréciation, me donner son avis sur le clash en question.

Son avis est clair : il n'y avait pas lieu de prendre la mouche après mon courriel de la veille (qui a amusé mon aîné) ; mon interlocuteur aurait donc adopté une position injustifiée.

Voici qui me soulage après que j'ai essayé plusieurs fois, sans y réussir, de joindre téléphoniquement mon interlocuteur pour essayer de recoller les morceaux. Mais, au moins à propos de cette affaire, me voici conforté dans ma propre appréciation.

C'est bon d'avoir quelqu'un avec qui pouvoir échanger dans de tels cas.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 27 Janvier 2020
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Anecdotes - Références culturelles
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(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : lundi 27 janvier 2020 05:13
À : mediatheque.flers@flers-agglo.fr <mediatheque.flers@flers-agglo.fr>
Cc : accueil@flerstourisme.fr <accueil@flerstourisme.fr>
Objet : Concours d'orthographe du 8/2/20 au centre Madeleine-Louaintier

Bonjour !

Je souhaite m'inscrire, dans la catégorie "seniors amateurs", à la 6ème édition du concours d'orthographe "N'ayons pas peur des mots".

Cordialement,

Pierre-Paul FOURCADE
La Chaslerie
La Haute Chapelle
61700 - Domfront-en-Poiraie
06 12 96 01 34

(Fin de citation)
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : lundi 27 janvier 2020 09:09
À : (...)@college-de-france.fr
Cc : Carole Fourcade
Objet : RE: château

Chère Madame,

Merci beaucoup pour ce conseil que je vais m'empresser de suivre.

Merci beaucoup, également, de nous admettre dans le cénacle de vos amis, nous permettant ainsi de dialoguer avec des personnes passionnantes. A ce propos, puis-je vous demander le nom de la dame en rouge, "fieffée" du côté de Honfleur ?

Nous sommes en travaux à Paris (pour quelques semaines encore) et en Normandie (pour beaucoup plus longtemps). Mais nous aimerions beaucoup vous inviter chez nous, notamment pour vous présenter des amis qui pourraient vous aider si (...). Auriez-vous une date disponible à partir du début du printemps prochain ?

Respectueusement,

PPF

___________________________________________________________________

De : (...)@college-de-france.fr
Envoyé : lundi 27 janvier 2020 08:53
À : penadomf@msn.com <penadomf@msn.com>
Objet : château

Cher ami,

Après votre départ, hier, nous avons parlé de votre problème (...) à notre ami (...) et il s'en est étonné. Je pense que vous devriez lui téléphoner car il pourrait vous préciser vos droits.
Claude était professeur d'architecture à la Sorbonne, ami d'Alexandre Gady, et très au courant des lois. Époux de (...) que nous connaissons par France Culture.
Leur numéro de téléphone est le (...).
En espérant que cela puisse vous être utile.

Merci encore pour les chocolats et votre présence,

Amitiés à votre épouse et à vous,

(...)

(Fin de citation)
Jean-Pierre ARBON
rédigé le Lundi 27 Janvier 2020
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles
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France Culture, les deux rats et moi
Publié le 27 janvier 2020

Il semble que mon interprétation des fables de La Fontaine vienne de trouver un début de reconnaissance. L’une d’elles (Les deux rats le renard et l’œuf) a été diffusée samedi matin sur France Culture, au début de l’émission Concordance des temps de Jean-Noël Jeanneney, dont on trouvera le podcast ici (fable à partir de 3mn 20s).

J’avoue avoir été assez surpris d’apprendre par un ami que j’étais en train de parler à la radio. Mais quoi ? Mon nom était cité, et si je n’ai mis aucune restriction à l’utilisation de mes enregistrements postés sur Youtube (ils sont de libre accès et de libre usage), c’est bien pour qu’ils puissent être diffusés le plus largement possible, medias nationaux compris (même si, à la vérité, je n’avais jamais jusqu’ici envisagé le cas).

Que France Culture donc, ou toute autre station, continue à puiser dans mes versions des fables pour faire entendre du La Fontaine et procurer (espérons-le) quelque plaisir à leurs auditeurs.


N.D.L.R. : Même opinion pour l'usage de mes œuvres (si la chose en vaut la peine). Et vive la liberté d'expression !
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 28 Janvier 2020
Vie des associations - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Anecdotes - APIJOMM - api
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(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mardi 28 janvier 2020 17:38
À : Igor
Objet : TR: Atelier Stuc et Badigeon

Tu pourrais regarder à défaut de mettre la main à la pâte...

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De : Logis Nature - Falaise <logisnature@orange.fr>
Envoyé : mardi 28 janvier 2020 14:52
À : (...)
Objet : Atelier Stuc et Badigeon

Bonjour à tous,

Comme convenu lors de votre présence à l’atelier terre nous devions vous communiquez la date de notre prochain atelier STUC et BADIGEON : celui-ci aura lieu le Samedi 08 février de 9h30-12h, si vous souhaitez vous inscrire contactez-nous.

Cordialement

L’équipe Logis Nature
Logis Nature - Falaise
02 31 90 78 84
https://www.logis-nature.fr/

(Fin de citation)
Jacques ATTALI (via "Facebook")
rédigé le Mardi 28 Janvier 2020
Vie du site - Aspects juridiques - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Pouvoirs publics, élus locaux
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Pause, s’il vous plaît !

Les mots ont toujours tué. Soit par le mal que l’insulte et la diffamation peuvent faire. Soit par l’incitation à la violence physique qu’ils peuvent entraîner.
Des gens insultés, harcelés, au travail ou dans leur vie privée, ont mis fin à leurs jours. Des gens dont on promène la tête au bout d’une pique, dont on encourage à l’usage de la force pour leur faire quitter un pouvoir démocratiquement conquis, ne sont pas loin d’être dans la même situation : le harcèlement politique n’est jamais bon pour la démocratie.

On en est là aujourd’hui, dans beaucoup de pays.

En Grande Bretagne, en Italie, aux Etats-Unis, en Espagne, et dans tant d’autres pays, la violence des mots atteint des proportions folles. Les propos hallucinants du président des Etats-Unis et de ses soutiens allument bien des mèches. A l’autre extrême, certains extrémistes écologistes en arrivent à demander qu’on en finisse avec l’espèce humaine, parce qu’elle a depuis toujours eu le projet de soumettre la nature. Dans un tout autre contexte, le discours de haine des fondamentalistes a précédé leur passage à l’acte ; contre les femmes, contre les infidèles, contre leurs propres coreligionnaires, contre ceux qui mettent en avant les principes de la laïcité.

Les réseaux sociaux ajoutent à cette libération de la parole. La haine y est partout. Les menaces de mort, en général anonymes, s’y multiplient. Comme si ces gens-là prenaient prétexte de ne pas être entendus, dans le cadre des institutions, pour crier de plus en plus fort. Cela ne s’arrêtera pas au champ de la politique. Ce langage deviendra celui de la conversation quotidienne, et la menace n’y sera plus, ne sera plus virtuelle. C’est là où « la banalité du mal », concept philosophique imaginé en 1963 par Hannah Arendt à propos de Adolf Eichmann, prend un tout nouveau sens.

Ce retour de la violence verbale, prélude à celui de la violence physique, est particulièrement inquiétant en France, pays qui n’a jamais accepté l’idée de se réformer, et qui n’avance que par des révolutions. Au point que ce sont des révolutions, ou des coups d’Etat, qui ont enfanté, d’une façon ou d’une autre, nos cinq républiques.

Les comportements de l’ancienne direction de France Telecom, qui a poussé au suicide bien des employés de la firme, rejoignent les discours hallucinants des dirigeants de la France Insoumise, qui en appellent à la violation des lois, à la violence physique contre le président de la République et les élus de son parti. Et plus encore, ces dirigeants politiques, appuyés par quelques syndicalistes et quelques associations, soutenus par quelques médias suicidaires, en sont même à organiser des retraites aux flambeaux : n’importe qui avec un peu de culture y voit un rappel des grandes parades fascistes et nazies. Et même s’ils prétendent que cela renvoie aux premiers 14 juillet, ce rappel de la révolution française met surtout l’accent sur l’horreur de la Terreur, symbolisée par les abjectes silhouettes de la tête d’Emmanuel Macron placée au bout d’une pique.

Tout cela ne sert que Marine Le Pen, dont pourtant tout, en principe, sépare l’extrême gauche. Oui, Jean-Luc Mélenchon, qui fut un grand ministre et qui reste un homme cultivé, est en train de devenir le marchepied de l’extrême droite. Ce ne serait pas le premier, dans la gauche française, à avoir fait ce chemin. Sans doute le fait-il, au moins inconsciemment, pour faire battre celui qui le dérange surtout parce qu’il a réussi à conquérir démocratiquement en six mois un pouvoir dont lui, Mélenchon, rêve depuis quarante ans.

Je dis cela sans viser particulièrement un élu. Ni pour défendre un président particulier de la République. Ni pour soutenir des réformes dont je n’approuve pas toutes les modalités. Ce sont les institutions qui sont en cause. Ce sont elles qu’il faut défendre. Et en particulier la liberté d’opinion, la liberté de la presse, la liberté syndicale, qui seront les premières victimes de ce que ces fossoyeurs croient défendre.

Il faut y mettre fin au plus tôt.

D’abord en appliquant avec rigueur les lois de la république, qui condamnent ce genre de comportements, même si leurs auteurs sont des représentants du peuple, ou des syndicalistes : Plus on a de responsabilités publiques, plus on doit donner l’exemple.

Ensuite en dénonçant, discréditant ceux qui tiennent de tels propos, même s’ils ne sont pas illégaux. Ils doivent comprendre qu’insulter, crier, n’est pas un argument, et ne convainc personne. Ils doivent comprendre que, par leurs fonctions même, leur rôle est d’être les intermédiaires des inquiétudes et des colères des peuples, et non de les exacerber.

La République est notre bien commun ; et avec elle, la tolérance, la laïcité, et bien d’autres trésors. Soyons en fier. Ne les bafouons pas. En faisant des mots les alliés, et non les ennemis, de la liberté.

j@attali.com

N.D.L.R. : D'accord.

Défendre la liberté d'opinion, la liberté d'expression : vaste programme !
HAUTEFORT, Périgord Noir, 24 Dordogne, Nouvelle Aquitaine. à 40 km de Périgueux, créé sur une période allant de la fin du 16e siècle à la fin du 17ème siècle sur les bases d’une ancienne forteresse médiévale. c’est l’un des rares édifices classiques de la Dordogne. Actuellement propriété d’une fondation, ouvert à la visite de mars à novembre.


N.D.L.R. : Pour partie contemporain de la Chaslerie.

Quand je vois les difficultés sans fin auxquelles je ne cesse de me heurter pour restaurer notre manoir favori et le drainage permanent et massif que cela entraîne sur mes finances de retraité de la fonction publique, je ne peux que me demander qui peut aujourd'hui en France entretenir un truc pareil.

N.D.L.R. 2 : J'ai la réponse...

Et dire que j'ai assez bien connu un gendre... et qu'un autre est le fils d'un ancien collègue...
Châteaux, Manoirs et Gentilhommières (via "Facebook")
rédigé le Dimanche 2 Février 2020
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Pour l'étude de diagnostic - Idées de travaux à venir - Références culturelles
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Le château de Landreville est une maison-forte située dans la commune française de Bayonville dans le département des Ardennes.
C'est un rare exemple encore pratiquement intact d’une habitation seigneuriale ardennaise de la pré-Renaissance.
Le château de Landreville avec ses quatre tours et ses douves fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 12 août 20061.
Il est aujourd'hui un Luxury Bed & Breakfast avec chambres d'hôtes aussi bien au château même que dans le pavillon de chasse.
La châtellenie est attestée au xiie siècle. Le château de Landreville a été bâti au début du XIVe et restructuré au milieu du XVIe siècle.
Le château de Landreville représente 800 ans d’histoire, de drames et de joies, qui furent partagés par les familles Landreville, Issenart, Grandpré, Chennery, Beauvais, Maillart, Meixmoron... Le portrait de Claude-François de Maillard (ou Maillart), seigneur et premier marquis de Landreville, a été peint par Nicolas de Largillierre vers 1735.
C'est ici que vivait la légendaire « Dame Blanche » et les descendants de Jean Colin-Maillard, le valeureux chevalier de Huy d'après lequel naquit le jeu de colin-maillard
C'est Pierre de Maillart, baron de Landres et propriétaire à l'époque aussi-bien du château de Gruyères (Ardennes) que de celui de Landres, qui décida de réaménager le château de Landreville en 1567, demeure abandonnée à elle-même après qu'un incendie détruisit les intérieurs sous l'occupation de l'armée de Charles Quint en 1552. Il ira y habiter dès 1570 avec sa jeune femme, Guillemette de Beauvais, propriétaire des lieux.
Le nom du jeu viendrait de Jean Colin-Maillard, un guerrier hutois, ayant combattu le comte de Louvain au xe siècle et qui eut les yeux crevés au cours d'une bataille, mais continua à se battre, frappant au hasard tout autour de lui.
Ce visage aux yeux crevés est représenté sur une sculpture en pierre du portrait du valeureux guerrier Johan Coley Maillard dit « le Grand Maillard » et de sa femme Jeanne de Seille réalisée sur une des cheminées monumentales de l'ancien Château de Landreville, demeure française de sa famille après qu'elle eut quitté la Belgique vers 1350:


N.D.L.R. : Des ressemblances avec notre manoir favori (du moins dans les extérieurs), ce qui n'est guère étonnant puisqu'ils sont pour partie contemporains.

Y repenser si, un jour, on restaure les lucarnes du logis.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 4 Février 2020
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Anecdotes - Références culturelles
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Pour rentrer de Nantes, mon G.P.S. m'a fait passer par Fougères dont j'ai admiré l'impressionnant château :

4 février 220.

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Tous les troquets autour du château étaient fermés. Tous sauf un chinois qui est en réalité vietnamien. J'y ai très bien déjeuné, seul client dans tout l'établissement.

Ensuite, mon G.P.S. m'a fait circuler au pied du château de la Chaize, aux Loges-Marchis. Mon ami Bertrand en était hélas absent.
En dernière page du "Monde" daté d'hier :

J'imagine sans mal que ça ne doit pas être drôle tous les jours de travailler dans un tel contexte.

Moi, je n'aurais pas aimé. C'est sûr !
Domfront 61700 (via "Facebook")
rédigé le Dimanche 9 Février 2020
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation
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St Front hier et St Front aujourd'hui :


N.D.L.R. : Eh bien, j'ai une nette préférence pour le Saint-Front d'hier. Cette civilisation de la bagnole aura beaucoup détruit, sans même parler des petits oiseaux disparus. On ne voit plus que du bitume et de la quincaillerie partout. C'est moche. Heureusement, l'ancien presbytère vient d'être restauré, c'est toujours ça.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 10 Février 2020
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Anecdotes
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J'ai vainement cherché, dans les "Ouest-France" du week-end et de ce lundi, la moindre indication sur le concours d'orthographe. En revanche, j'ai trouvé en ligne ces photos :

8 février 2020.

8 février 2020.

Pour la gloire, il faudra sans doute attendre jeudi et la parution des prochains numéros de "L'Orne combattante" et du "Publicateur Libre".
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 11 Février 2020
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Anecdotes
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Jean LOUCHET a voulu ce soir m'expliquer comment fonctionne un piano droit. Je crois que j'ai compris l'essentiel, même si un feutre a fini par lui rester dans la main :

11 février 2020.

11 février 2020.

11 février 2020.

11 février 2020.

Ensuite il a souhaité m'initier aux bases de l'harmonie musicale, avec force explications mathématiques et là, son propos m'est rapidement passé au-dessus de la tête même si j'intègre bien les idées générales. Lui, il baigne là-dedans depuis l'âge de 7 ans, il sait réparer les pianos, les clavecins et a même écrit plusieurs bouquins sur de tels sujets, sa spécialité étant les pianos à queue de la fin du XIXème siècle. Je crois qu'il va me falloir beaucoup bosser pour rattraper un tout petit peu de mon retard. Y arriverai-je ? En tout cas, je n'ai pas encore eu le temps de me poser devant mon nouveau jouet.