Archives, histoire, documentation

Lilian GIBERT nous fait savoir qu'un important rapport sur l'usage des pesticides en agriculture vient d'être publié.

Je l'en remercie et recommande l'étude attentive de ce document, même si l'on aimerait que l'on n'en reste pas au stade des études mais que l'on interdise enfin l'usage immodéré de ces poisons pour la bio-diversité, pour la santé des agriculteurs et de tous ceux qui vivent à la campagne.

S'agissant de la grande porte d'entrée du logis, on sait que la seule proposition de M. MAFFRE à ce jour est de réimplanter à cet endroit une porte de l'"aile de la belle-mère". J'ai expliqué pourquoi cette proposition peine à me convaincre.

Je cherche donc à me documenter de mon côté sur ce que serait une porte appropriée au style de la maçonnerie (c'est-à-dire du Renaissance modifié,il est vrai, sous la Régence). J'ai ainsi trouvé la page "Door Obsessed" sur "Facebook" dont j'extrais les photos suivantes :

P.S. (du 31 juillet 2016) : Sur le même sujet, voir également ceci et cela.
Château de Villeneuve-Lembron (Puy-de-Dôme) :

N.D.L.R. : Une très nette ressemblance avec notre manoir favori. Permet d'imaginer, entre autres, les douves et les lucarnes, grandes ou petites, telles qu'elles ont pu y exister. Sans parler des meneaux. On s'y croirait !

Autre idée à retenir : l'enduit sur les murs extérieurs. Bien sûr.
Sur une aile de la cour, je ne manque pas de remarquer un décor bicolore qui m'intrigue et qui, à lui seul, mériterait peut-être la visite.

A l'évidence, contemporain de la Chaslerie (ou, du moins, de même style et remplissant les mêmes fonctions).

Je poursuis ma découverte, via "Google" :

(Début de citation)

Le château de Villeneuve Lembron fut édifié à la fin du XVème siècle pour Rigaud d'Aureille, bailli des montagnes d'Auvergne, maître d'hôtel des rois Louis XI, Charles VIII, Louis XII et François Ier. Érigée en baronnie, la terre de Villeneuve échut à la famille des Montmorin au début du XVIème siècle. Gaspard de Montmorin embellit le château d'un grand décor peint de grotesques, dont il reste quelques remarquables témoignages dans la salle d'apparat (embrasures des fenêtres) et dans les grandes écuries. En 1643, Villeneuve-Lembron fut acquis par Isaac Dufour, trésorier de France, qui aménagea l'ancienne forteresse. Il transforma la cour intérieure, aménagea une galerie à portique et décora les plafonds et les cheminées du premier étage.
Le château fut ensuite transmis à la famille Pélissier de Féligonde, qui le conserva jusqu'en 1919. Le bâtiment, de plan carré, est cantonné de quatre tours. Il a été décoré d'un ensemble de peintures murales dont il subsiste des vestiges dans les deux galeries du corps de logis, sur les murs extérieurs et dans la chapelle.

Le château est entouré de fossés et l'on accède à cette enceinte intérieure par une porte en anse de panier qui donne accès à une basse cour. C'est un château de transition entre le Moyen Age et la Renaissance : les quatre tours rondes et les larges fossés témoignent de l'idée du rôle défensif des châteaux qui persistait encore à l'époque de sa construction. En revanche l'aménagement intérieur est bien celui d'un château de plaisance. Les menuiseries et les serrureries de ces logis datent du XVème siècle. Les ailes Est et ouest ont été construites sous Louis XIII et des ouvertures, portes et fenêtres, ont été refaites.

Sous la galerie, la cour intérieure est ornée au rez-de-chaussée, de peintures humoristiques à fresque. En effet, à l'abri des galeries de la cour, la vivacité de l'imaginaire médiéval revit grâce aux peintures murales : on remarquera en outre un portrait de Rigaud d'Aureille et des illustrations de contes satyriques comme le "dit de la Bigorne" et celui de la "Chiche Face" ainsi que le "dit de l'astrologue" et le "dit du vieux maître d'hôtel".
Avec les successeurs de Rigaud d'Aureille, le château fut habillé de décors Renaissance : la voûte du bâtiment des écuries est orné de peintures murales évoquant l'opposition du bien et du mal. Les ébrasements des fenêtres se peuplent quant à eux de personnages de la mythologie romaine

L'illustration de maximes familières, comme celles de "la Bigorne et du vieux Maître" ou de "l'Astrologue", côtoie un décor inspiré de savantes références littéraires.

(Fin de citation)

Même les stalles, dans la chapelle, rappellent fortement celles (plus belles, d'après moi) de notre manoir favori.

Je lis par ailleurs : "En pleine restauration, l'intérieur du château est fermé à la visite mais le parc ainsi que les écuries décorées de fresque du 16ème siècle sont ouverts pendant les travaux.
La réouverture totale du château est annoncée pour le 8 juillet 2016."

Il faut absolument que j'aille le visiter sans tarder !

N.D.L.R. 2 : Donc ce château appartient à l'Etat. L'intérieur manque en effet de vie. Dommage que le coyautage des couvertures soit aussi sec. Et qu'une aile ait disparu, remplacée par un mur qui ne me semble pas du meilleur effet. A part cela, l'ensemble est très remarquable, assurément.
Château de Bagnols (Rhône) :

N.D.L.R. : Utile pour la restauration de la porte charretière, anciennement cloutée, de notre manoir favori. Dans l'immédiat, il y a d'autres priorités.
Carole a retrouvé un document que j'avais égaré depuis très, très longtemps.

Je me rappelle les conditions dans lesquelles je l'avais obtenu. J'étais alors midship à bord du porte-avions "Foch" et m'étais adressé dans les termes suivants à mon supérieur hiérarchique, le capitaine de corvette TRIPIER, alors responsable de la navigation du bâtiment :

"- Commandant, mes respects du matin, pourriez-vous me signer ce papier ?
- Mais, Fourcade, vous n'y pensez pas ? Vous êtes incapable de diriger ne fut-ce qu'un hors-bord !
- Je sais bien, Commandant, mais il y a le texte.
- Montrez-moi ça !"

Et c'est ainsi qu'un brillant officier de marine, qui mourut prématurément alors qu'il était vice-amiral d'escadre, fut contraint de faire délivrer à un "chef de quart" incompétent de 22 ans le document suivant qui me permettrait de commander, y compris en haute-mer, rien de moins que le yacht d'ONASSIS :

Je précise que j'avais choisi la "Royale" pour effectuer mon service militaire car mon père m'avait affirmé que c'était l'arme la moins militaire, donc qu'elle pourrait me convenir. Et, en tant que polytechnicien, on y était automatiquement bombardé "chef de quart".

En plus, je souffrais d'un mal de mer chronique si bien que, lors d'un stage à l'Ecole Navale, j'avais été noté "malade, n'assure pas son quart".

Lorsque, douze ans plus tard, en dégustant des langoustes à l'Île-Longue, j'avais raconté ce dernier fait d'arme à l'un de mes collègues du Conseil supérieur des transports, ce personnage m'avait ostensiblement tourné le dos. Je me rappelle le nom de ce triste sire, c'était l'amiral COATANEA, et il devait être alors quelque chose comme chef d'état-major de la marine.

(C'était ma minute anar du jour, ça fait du bien.)

P.S. : Hiérarchiquement placé entre TRIPIER et moi, il y avait un fana mili qui parlait habituellement à toute allure, l'E.V.1 SAUTTER qui, lui aussi, a pris du galon. Je n'avais pas beaucoup d'affinités avec ce prot, mais en avais davantage avec le successeur du C.C. TRIPIER, le C.F. MERVEILLEUX du VIGNAUD. Je me souviens cependant qu'à la suite de mon dernier quart qui s'était effectué sans encombre une nuit, de minuit à 4 heures du matin précisément, le pacha du "Foch", un brave homme, le C.V. MONTPELLIER, m'avait collé, sur dénonciation de SAUTTER, trois jours d'arrêts de rigueur pour "ivresse à la passerelle" ; en réalité, je n'étais pas rond mais juste légèrement fatigué et, surtout, affalé dans le fauteuil du pacha pour récupérer un peu après un dîner mémorable au carré des officiers subalternes, ce qui avait dû contrarier l'autre fayot, toujours jugulaire-jugulaire.

Avec TRIPIER, ma relation avait été bonne bien que distante puisque je le trouvais très snob. Un jour, il m'avait demandé ce que je pensais d'un article plein de formules mathématiques savantes qu'il avait dû recevoir de l'état-major et qui le rendait perplexe ; cela parlait, si j'ai bonne mémoire, de manœuvres de sous-marins ; j'avais lu le truc et avais expliqué à TRIPIER le sens du topo, non sans ajouter qu'à mon avis, les formules mathématiques témoignaient surtout de la frustration de l'auteur ou de sa nostalgie de ses années de prépa mais qu'au total, tout cela ne valait pas tripette. J'avais alors aperçu, dans le regard de mon interlocuteur, un éclair de malice me témoignant qu'il avait dû aimer ce compte-rendu un tantinet provocateur.
Reçu hier un appel téléphonique de Caroline BARROW, guide-conférencière à Pau. Elle m'a expliqué qu'elle effectuait des recherches sur l'hôtel GASSION de Pau, sur les familles MERILLON-CLINCH et BATAILLE-SEVIGNAC et que son attention avait été attirée par mon blog qu'elle trouve "passionnant" (sic), et particulièrement par un message où il est question d'un carnet de bal de Julia FOURCADE.

Elle souhaitait plus d'infos. Je lui ai dit que tout ce que je savais était consigné sur notre site favori mais qu'elle aurait sans doute intérêt à contacter ma cousine Dominique CHADAL, dont je lui ai donné les coordonnées.

Au passage, je note une fois de plus les étonnantes connexions que favorise notre site favori.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Dimanche 28 Aout 2016
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Les "Maisons paysannes de l'Orne" organisaient hier une visite dans la région de Mortagne. Il s'agissait de découvrir quelques utilisations de bâtiments traditionnels par des architectes contemporains. Je m'étais inscrit à cette journée au dernier moment et, je dois le dire, un peu par désœuvrement.

Parti trop tard de la Chaslerie, j'ai dû rouler parfois à plus de 160 km/h mais je pense ne pas avoir été flashé cette fois-ci.

Je suis arrivé au moment où s'ébranlait le groupe, où j'ai eu le plaisir de retrouver Marie-Laurence MALLARD...

27 août 2016.

... et Eric BENOÎT...

27 août 2016.

... pour une découverte du nouveau "Pôle Santé du Bassin de Mortagne-au-Perche" :

27 août 2016.

Nous nous sommes ensuite rendus à Réveillon, chez une architecte qui nous a présenté sa demeure :

27 août 2016.

27 août 2016.

27 août 2016.

Est-ce ce porche d'entrée à la facture un peu rude à mes yeux ou bien ce bassin de nage privé de 25 mètres de long (excusez du peu)...

27 août 2016.

... ou bien le fait que deux "pinball machines" trônent dans la cuisine, derrière cette porte vitrée, qui m'ont achevé ?

27 août 2016.

Ou bien, plus prosaïquement, le fait que, dans la hâte de mon réveil, j'avais oublié de me munir d'une pique-nique ?

Le fait est qu'à ce stade de la promenade, je me suis éclipsé. Aussi discrètement que j'en suis capable, vous me connaissez.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 29 Aout 2016
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J'ai, avec Jean LEMARIE, une relation de grande confiance. Chaque fois qu'il me vend un meuble ou un bibelot, il m'indique son prix de revient et je trouve normal qu'en contrepartie de son travail de recherche, de négociation, de transport, de stockage et, parfois, de restauration, il touche une marge de 40 %.

Pour la dalle tombale livrée, sa marge sur son prix d'achat s'est élevée à 33 %. Comme je lui faisais remarquer que je trouvais ça maigrichon comme super discount, il m'a fait un petit cadeau complémentaire, cette clochette en bronze en forme de gente dame contemporaine de la Chaslerie...

28 août 2016.

... dont il m'a dit penser qu'elle a dû être fondue au 19ème siècle mais pourrait être plus ancienne.

Je soulève donc la jupe de la donzelle...

28 août 2016.

... et, compte tenu de l'usure que je constate, due notamment au battement du gond, suis du même avis que lui : nous n'avons pas affaire à un perdreau de l'année ou, du moins, à une oie blanche.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 29 Aout 2016
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A ce stade de l'histoire, je vous vois brûler du désir d'apprendre ce qui m'a valu ce super discount si généreusement octroyé par l'ami LEMARIE. Je vais vous l'expliquer. (Et, au passage, l'ami Domino pourra constater que je n'ai pas mégoté pour multiplier les liens de mon site vers le sien, afin de favoriser la statistique de fréquentation de ce dernier puisque je sais qu'il est sensible à sa bonne marche).

Ainsi donc, comme cela m'arrive de temps à autre, j'avais passé une tête chez l'ami "John", à Notre-Dame-du-Touchet, pour observer les nouvelles pièces entreposées dans sa caverne d'Ali Baba et voici ce que j'avais remarqué :

28 août 2016.

28 août 2016.

28 août 2016.

J'avais reconnu là, grâce aux coquilles Saint-Jacques, l'ordre de Saint-Michel, ainsi que deux bâtons de maréchal, une mitre d'évêque et un galero cardinalice, sans compter une croix de Lorraine. Sur le blason, une striure verticale (dont je ne me rappelais plus la signification) et cette écharpe (dont j'ignorais le terme héraldique).

Donc, première recherche, trouver la couleur représentée par ces striures verticales, via "Google" en entrant "couleurs héraldiques" et en regardant "Images" :

Nous avions face à nous un beau rouge, dit "gueules" (pas la peine de retenir la faute d'orthographe). Pour ce qui concerne l'écharpe et par le même procédé...

... je déduisais qu'il fallait lire "De gueules bandé d'". Muni de ce sésame, je tentais de nouveau ma chance. Banco ! L'écu d'un NOAILLES apparaissait. Arrivé là, j'entrais "famille Noailles" dans le moteur de recherche et tombais sur ceci :

Tout y était, la couronne (ducale donc) et le collier de l'ordre de Saint-Michel, ainsi que celui de l'ordre du Saint-Esprit. Lecture rapide de la "fiche Wikipedia" : 4 maréchaux de France, plus un cardinal dont l'écu est surmonté d'une croix de Lorraine : tout collait ! Et en plus, cerise sur le gâteau, je crois que, dans une vie antérieure, lorsque je dirigeais les opérations de la Standard Chartered en France, il m'avait été donné de rencontrer un Hélie de NOAILLES, duc d'AYEN (l'actuel duc de NOAILLES) qui était, de mémoire, l'ami d'un de mes collaborateurs. Bien.

Comme je suis curieux de nature, j'ai poursuivi mes investigations sur cette maison et appris que l'un d'eux, "désargenté" (d'où la vente des bijoux de famille ?), avait, durant la fameuse nuit du 4 août 1789, fait voter l'abolition des privilèges. Un bien curieux bonhomme...

Tout ceci m'allait comme un gant et je me suis dit que j'avais levé là de beaux lièvres pour "John" qui allait pouvoir désormais se montrer très savant face à ses clients, donc doper la valeur de ses armoiries de chêne. Pour moi, un petit cadeau en perspective...

La suite, vous la connaissez.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 3 Septembre 2016
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Les journées sont trop courtes pour que je mette en ligne beaucoup de messages. Je passe trop de temps loin de mon ordi, dans un autobus ou à table (un excellent cochon de lait en a fait les frais hier), et n'ai pas sous la main tout le matériel dont j'aurais besoin.

Voici néanmoins une photo de la tour de Belém à Lisbonne que je trouve très belle (la tour comme, d'ailleurs, la photo) :

1er septembre 2016.

Dommage quand même qu'il y ait cette passerelle au premier plan. Je suis d'avis qu'il serait utile de rétablir le caractère d'ilot sur le Tage de la base de cette tour, ainsi que nous, Normands savons le faire...

Cette tour date de l'époque, antérieure de deux générations à notre manoir favori, où les navigateurs portugais découvraient et conquéraient une grande partie du monde, du Brésil à l'Afrique du Sud, à l'Inde ou à l'Indonésie jusqu'à un échec au Japon. D'énormes résultats pour un pays de taille si modeste. Donc grande nation, ici aussi !

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 7 Septembre 2016
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J'aime beaucoup le style manuélin, reflet d'une époque enthousiaste où de hardis navigateurs découvraient le Monde et rapportaient, au pays, des rêves et des moyens qu'ils allaient fixer dans la pierre. J'aime ces cordages et ces cœurs d'artichaut (pour lutter contre le scorbut), en bas-relief, qui captent la lumière du soleil éclatant et découpent des ombres profondes sur la pierre :

1er septembre 2016.

1er septembre 2016.

1er septembre 2016.

1er septembre 2016.

1er septembre 2016.

1er septembre 2016.

1er septembre 2016.

1er septembre 2016.

1er septembre 2016.

1er septembre 2016.

1er septembre 2016.

3 septembre 2016.

3 septembre 2016.

3 septembre 2016.

3 septembre 2016.

3 septembre 2016.

3 septembre 2016.

3 septembre 2016.

3 septembre 2016.

3 septembre 2016.

3 septembre 2016.

3 septembre 2016.

3 septembre 2016.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 7 Septembre 2016
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles
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Bien sûr, quand je voyage ainsi, j'observe tout particulièrement les savoir-faire locaux ou les objets dignes de m'inspirer pour les travaux à venir (peut-être) dans notre manoir favori.

Ainsi, des menuiseries des portes, dont le soleil ou sa réverbération sculptent les ombres d'une manière idéale :

1er septembre 2016.

1er septembre 2016.

1er septembre 2016.

1er septembre 2016.

2 septembre 2016.

2 septembre 2016.

2 septembre 2016.

2 septembre 2016.

2 septembre 2016.

3 septembre 2016.

3 septembre 2016.

3 septembre 2016.

3 septembre 2016.

3 septembre 2016.

3 septembre 2016.

3 septembre 2016.

3 septembre 2016.

Même remarque pour les menuiseries de fenêtres :

2 septembre 2016.

J'observe que, dans ce pays, les artisans arrivent même à vitrer des grilles en fer forgé :

5 septembre 2016.

5 septembre 2016.

Etonnant !