Le puits de la ferme ce soir...
Il reste encore à jointoyer la pierre sommitale : Le lien communiqué par Guy HEDOUIN, rédigé de surcroît par notre experte favorite, Jeanine ROUCH, vous permettra de comparer. Sur ces bases, je mets en délibéré.
Donc vos avis, please ?
Archives, histoire, documentation
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 1er Aout 2014
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Ferme et son fournil - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation
rédigé le Vendredi 1er Aout 2014
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Ferme et son fournil - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation
Stephen ELLCOCK
rédigé le Samedi 2 Aout 2014
Florilège de faits ou d'œuvres contemporains de la Chaslerie - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles - Florilèges
rédigé le Samedi 2 Aout 2014
Florilège de faits ou d'œuvres contemporains de la Chaslerie - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles - Florilèges
Dragonfly helmet, made in Japan in the 17th century
'High-ranking lords began to embellish their helmets with sculptural forms so that they could be visually located on the battlefield. Exotic helmets (kawari kabuto) also allowed leaders to choose symbolic motifs for their helmets that reflected some aspect of their personality or that of their collective battalions. This helmet is shaped like a giant dragonfly. In Japan, the dragonfly is symbolic of focused endeavor and vigilance because of its manner of moving up, down and sideways while continuing to face forward. In addition, in ancient texts Japan was often referred to as Akitsushima (Land of the Dragonflies), because of their abundance. They were also thought to be the spirits of rice, since they are often to be found hovering above the flooded rice fields'. - from the Minneapolis Institute of Arts description.N.D.L.R. : A peu de chose près, contemporain de la Chaslerie.
'High-ranking lords began to embellish their helmets with sculptural forms so that they could be visually located on the battlefield. Exotic helmets (kawari kabuto) also allowed leaders to choose symbolic motifs for their helmets that reflected some aspect of their personality or that of their collective battalions. This helmet is shaped like a giant dragonfly. In Japan, the dragonfly is symbolic of focused endeavor and vigilance because of its manner of moving up, down and sideways while continuing to face forward. In addition, in ancient texts Japan was often referred to as Akitsushima (Land of the Dragonflies), because of their abundance. They were also thought to be the spirits of rice, since they are often to be found hovering above the flooded rice fields'. - from the Minneapolis Institute of Arts description.N.D.L.R. : A peu de chose près, contemporain de la Chaslerie.
Stephen ELLCOCK
rédigé le Samedi 2 Aout 2014
Florilège de faits ou d'œuvres contemporains de la Chaslerie - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles - Florilèges
rédigé le Samedi 2 Aout 2014
Florilège de faits ou d'œuvres contemporains de la Chaslerie - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles - Florilèges
"String of Melodies" by Mendbayr, Mongolian throat singer and ensemble.
N.D.L.R. : Mériterait d'être contemporain de la Chaslerie s'il ne l'est pas, ce qui resterait à prouver.
N.D.L.R. : Mériterait d'être contemporain de la Chaslerie s'il ne l'est pas, ce qui resterait à prouver.
Stephen ELLCOCK
rédigé le Samedi 2 Aout 2014
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles
rédigé le Samedi 2 Aout 2014
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles
Silver Swan Automaton
Bowes Museum , County Durham
N.D.L.R. : Construit en 1773. Donc presque contemporain des écuries de la Chaslerie et de Jean MIDY, leur charpentier qui en a signé une sablière.
Bowes Museum , County Durham
N.D.L.R. : Construit en 1773. Donc presque contemporain des écuries de la Chaslerie et de Jean MIDY, leur charpentier qui en a signé une sablière.
Stephen ELLCOCK
rédigé le Dimanche 3 Aout 2014
Florilège de faits ou d'œuvres contemporains de la Chaslerie - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles - Florilèges
rédigé le Dimanche 3 Aout 2014
Florilège de faits ou d'œuvres contemporains de la Chaslerie - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles - Florilèges
Hans Hoffmann ca. 1578N.D.L.R. : Contemporain de la Chaslerie.
The Metropolitan Museum of Art, New York
rédigé le Dimanche 3 Aout 2014
Florilège de faits ou d'œuvres contemporains de la Chaslerie - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles - Florilèges
rédigé le Dimanche 3 Aout 2014
Florilège de faits ou d'œuvres contemporains de la Chaslerie - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles - Florilèges
This tiny instrument incorporates an organ and a virginal built into an ebony tabletop chest of drawers.
Featured Artwork of the Day: Lorenz Hauslaib (German, 1568–1625) | Claviorganum | 1598N.D.L.R. : Contemporain de la Chaslerie.
Featured Artwork of the Day: Lorenz Hauslaib (German, 1568–1625) | Claviorganum | 1598N.D.L.R. : Contemporain de la Chaslerie.
Roxane LEGAY
rédigé le Dimanche 3 Aout 2014
Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - Animation, fêtes, visites - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation
rédigé le Dimanche 3 Aout 2014
Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - Animation, fêtes, visites - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation
Bonjour,
J'étais dans le Midi lors de la sortie du magazine. Je viens de le découvrir et suis d'accord avec vous. J'ai été trahie à bien des égards. Mon papier initial n'a pas grand-chose à voir avec ce galimatias. Et la fin "nunuche", n'est pas de moi. Vous remercierez le rédacteur en chef. De plus, le sens de lecture avec le papier de la Cousinière devant une photo de la Chaslerie m'a profondément choquée.
Je tiens à votre disposition, le papier original.
Cordialement.
R. Legay
N.D.L.R. : Merci pour ce commentaire à propos d'une revue à laquelle je suis abonné depuis longtemps, que j'aime beaucoup feuilleter et parfois même lire, et que j'avais été intrigué, mais pas étonné, de voir s'intéresser à une assez obscure bâtisse du bocage.
J'étais dans le Midi lors de la sortie du magazine. Je viens de le découvrir et suis d'accord avec vous. J'ai été trahie à bien des égards. Mon papier initial n'a pas grand-chose à voir avec ce galimatias. Et la fin "nunuche", n'est pas de moi. Vous remercierez le rédacteur en chef. De plus, le sens de lecture avec le papier de la Cousinière devant une photo de la Chaslerie m'a profondément choquée.
Je tiens à votre disposition, le papier original.
Cordialement.
R. Legay
N.D.L.R. : Merci pour ce commentaire à propos d'une revue à laquelle je suis abonné depuis longtemps, que j'aime beaucoup feuilleter et parfois même lire, et que j'avais été intrigué, mais pas étonné, de voir s'intéresser à une assez obscure bâtisse du bocage.
Sting TUNG
rédigé le Mardi 5 Aout 2014
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Abords, Avenue, terrasse - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation
rédigé le Mardi 5 Aout 2014
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Abords, Avenue, terrasse - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation
I would like to become stone bridge,
Withstand wind and five hundred years,
Five hundred years by the sun,
By five hundred and rain,
Just wish you walk from the bridge....N.D.L.R. : Je n'oublie pas que j'aurais un petit pont de pierres à reconstituer au débouché du bief amont dans la douve Sud. Il me le faudrait plus large que celui-ci, afin qu'il soit capable de supporter un tracteur.
Withstand wind and five hundred years,
Five hundred years by the sun,
By five hundred and rain,
Just wish you walk from the bridge....N.D.L.R. : Je n'oublie pas que j'aurais un petit pont de pierres à reconstituer au débouché du bief amont dans la douve Sud. Il me le faudrait plus large que celui-ci, afin qu'il soit capable de supporter un tracteur.
Mickaël CHARTUS
rédigé le Mardi 5 Aout 2014
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Pour l'étude de diagnostic - Histoire de la Chaslerie - Histoire des occupants de la Chaslerie - Généalogie et sagas familiales
rédigé le Mardi 5 Aout 2014
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Pour l'étude de diagnostic - Histoire de la Chaslerie - Histoire des occupants de la Chaslerie - Généalogie et sagas familiales
Bonjour,
On parle souvent de la famille Ledin de la Chälerie, mais il existait une autre branche des Ledin au lieu de la Guerche, tout près de la Châlerie et dont le plus ancien représentant authentifié fut un nommé Guillaume, Sieur du Rocher et de la Guerche, époux de Marie Le Court (+1609).
Quelqu'un a-t'il des renseignements sur cette branche et fut-elle cousin des Ledin de la Châlerie ?
N.D.L.R. : Bonjour à notre nouvel intervenant.
La Guerche est un "village" (=lieu-dit) de la commune actuelle de La Haute-Chapelle, distant d'environ 700 mètres de la Chaslerie. De même, le Rocher est un village de Lonlay-l'Abbaye, à peine plus éloigné et qui était encore la propriété de mes prédécesseurs quand ils m'ont vendu la Chaslerie en 1991. La Guerche et le Rocher étaient surtout la propriété du dernier LEDIN, puis de son gendre VASSY, avant la Révolution et la vente des Biens Nationaux qui en résulta.
J'ai entendu parler d'une famille LEDIN à la Guerche mais, dans mon souvenir, il était prétendu qu'elle n'était pas noble. La proximité géographique et l'homonymie sont néanmoins remarquables et, en première approche, il paraît probable que cette famille n'était pas sans lien avec les LEDIN de la CHASLERIE.
En réalité, le chartrier de la Chaslerie a, à ma connaissance, disparu à la Révolution. On le retrouve vers 1820 lorsqu'il est vendu au poids au dénommé CAILLEBOTTE, érudit local auto-proclamé dont les idées favorables à la Révolution ont pu distordre la vision de ces vieux papiers et contribuer à l'abaissement des mérites des LEDIN pour rehausser ceux de GOUPIL et de ses successeurs, bénéficiaires du bradage ainsi organisé. Ces derniers, tenant désormais le haut du pavé après leurs faciles acquisitions, n'avaient évidemment pas intérêt, notamment dans le climat de l'époque, à ce que soient vantés leurs prédécesseurs évincés. Des pièces de ce chartrier ont réapparu vers 1950 quand un dénommé DURAND de SAINT-FRONT faisait commerce de vieux papiers à Paris et les a dispersées. Il reste cependant un "fonds DURAND de SAINT-FRONT" aux Archives de l'Orne mais, de même que d'autres documents anciens relatifs aux LEDIN, il n'y a que marginalement été classé et exploité.
Le problème vient de ce que, depuis CAILLEBOTTE, ses suiveurs et autres érudits locaux auto-proclamés se sont contentés de colporter ses thèses orientées, selon la technique qu'on appelle aujourd'hui le "copier-coller", technique bien connue des flemmards. Jamais, à ma connaissance, la distorsion de la réalité opérée par CAILLEBOTTE n'a été expertisée. De nos jours, le résultat de cette approche contestable se retrouve, de temps à autre, dans les travaux publiés par l'association "Le Pays Bas-Normand".
Enfin, s'agissant des descendants contemporains des acheteurs de Biens Nationaux du secteur, plusieurs sont encore "fieffés" dans le voisinage mais le plus souvent sans "goût authentique des choses du passé" (pour reprendre l'expression de l'un d'entre eux), de sorte que leurs manoirs respectifs sont souvent mal entretenus et, parfois même, à l'abandon, ce qui est fort regrettable de mon point de vue. Cela n'empêche pas quelques-uns d'entre eux de porter beau. Parfois, l'on apprécie ici de leur rabattre le caquet, comme ils le méritent à l'évidence, et ce d'autant plus que plusieurs d'entre eux (pas tous, Dieu merci) sont objectivement antipathiques et/ou d'un invraisemblable radinisme.
On parle souvent de la famille Ledin de la Chälerie, mais il existait une autre branche des Ledin au lieu de la Guerche, tout près de la Châlerie et dont le plus ancien représentant authentifié fut un nommé Guillaume, Sieur du Rocher et de la Guerche, époux de Marie Le Court (+1609).
Quelqu'un a-t'il des renseignements sur cette branche et fut-elle cousin des Ledin de la Châlerie ?
N.D.L.R. : Bonjour à notre nouvel intervenant.
La Guerche est un "village" (=lieu-dit) de la commune actuelle de La Haute-Chapelle, distant d'environ 700 mètres de la Chaslerie. De même, le Rocher est un village de Lonlay-l'Abbaye, à peine plus éloigné et qui était encore la propriété de mes prédécesseurs quand ils m'ont vendu la Chaslerie en 1991. La Guerche et le Rocher étaient surtout la propriété du dernier LEDIN, puis de son gendre VASSY, avant la Révolution et la vente des Biens Nationaux qui en résulta.
J'ai entendu parler d'une famille LEDIN à la Guerche mais, dans mon souvenir, il était prétendu qu'elle n'était pas noble. La proximité géographique et l'homonymie sont néanmoins remarquables et, en première approche, il paraît probable que cette famille n'était pas sans lien avec les LEDIN de la CHASLERIE.
En réalité, le chartrier de la Chaslerie a, à ma connaissance, disparu à la Révolution. On le retrouve vers 1820 lorsqu'il est vendu au poids au dénommé CAILLEBOTTE, érudit local auto-proclamé dont les idées favorables à la Révolution ont pu distordre la vision de ces vieux papiers et contribuer à l'abaissement des mérites des LEDIN pour rehausser ceux de GOUPIL et de ses successeurs, bénéficiaires du bradage ainsi organisé. Ces derniers, tenant désormais le haut du pavé après leurs faciles acquisitions, n'avaient évidemment pas intérêt, notamment dans le climat de l'époque, à ce que soient vantés leurs prédécesseurs évincés. Des pièces de ce chartrier ont réapparu vers 1950 quand un dénommé DURAND de SAINT-FRONT faisait commerce de vieux papiers à Paris et les a dispersées. Il reste cependant un "fonds DURAND de SAINT-FRONT" aux Archives de l'Orne mais, de même que d'autres documents anciens relatifs aux LEDIN, il n'y a que marginalement été classé et exploité.
Le problème vient de ce que, depuis CAILLEBOTTE, ses suiveurs et autres érudits locaux auto-proclamés se sont contentés de colporter ses thèses orientées, selon la technique qu'on appelle aujourd'hui le "copier-coller", technique bien connue des flemmards. Jamais, à ma connaissance, la distorsion de la réalité opérée par CAILLEBOTTE n'a été expertisée. De nos jours, le résultat de cette approche contestable se retrouve, de temps à autre, dans les travaux publiés par l'association "Le Pays Bas-Normand".
Enfin, s'agissant des descendants contemporains des acheteurs de Biens Nationaux du secteur, plusieurs sont encore "fieffés" dans le voisinage mais le plus souvent sans "goût authentique des choses du passé" (pour reprendre l'expression de l'un d'entre eux), de sorte que leurs manoirs respectifs sont souvent mal entretenus et, parfois même, à l'abandon, ce qui est fort regrettable de mon point de vue. Cela n'empêche pas quelques-uns d'entre eux de porter beau. Parfois, l'on apprécie ici de leur rabattre le caquet, comme ils le méritent à l'évidence, et ce d'autant plus que plusieurs d'entre eux (pas tous, Dieu merci) sont objectivement antipathiques et/ou d'un invraisemblable radinisme.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 7 Aout 2014
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Anecdotes - Références culturelles
rédigé le Jeudi 7 Aout 2014
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Anecdotes - Références culturelles
Je participais un jour (censuré) à une sortie en (censuré) d'amateurs de vieilles pierres. Dans le château qui a accueilli notre pique-nique, la nouvelle propriétaire n'a pas souhaité nous laisser entrer dans sa demeure familiale mais nous a montré des photos de certains décors intérieurs.
J'ai ainsi remarqué un tableau posé en trumeau sur une cheminée dont voici la photo de la photo :[img:900]Photo censurée le 8/9/16 à la demande de la propriétaire du château en question.[/img]Il se trouve en effet que j'en conserve un identique à la Chaslerie, peint sur 3 planches, que j'ai acheté aux enchères, le 26 mars 2006, à Louviers, auprès de Me Jean-Emmanuel PRUNIER. Il m'a été vendu comme provenant de l'"Ecole de Fontainebleau" et datant de 1600 environ. Il représente une scène fameuse de l'Antiquité Romaine, lorsque Mucius gagne son surnom de Scaevola en inventant le terrorisme.
J'aurais aimé observer le trumeau de plus près mais la propriétaire n'a rien voulu entendre. Je n'ai même pas pu obtenir son adresse de courriel pour lui envoyer ma preuve que son exemplaire a probablement été tronqué :Tant pis pour elle. Elle finira sans doute par l'apprendre grâce à notre site favori.
P.S. (du 8 septembre 2016) : La propriétaire du château en question est, paraît-il, furieuse et me menacerait d'un procès (ce qu'elle n'a d'ailleurs pas le courage de faire en face, ni elle, ni son mari d'ailleurs car, bien entendu, tout ça, c'est de l'intox et des méthodes de fier-à-bras peu recommandables et vouées, d'abord au ridicule, puis, sans aucun doute, à l'échec). Elle l'a néanmoins fait savoir à l'organisatrice du pique-nique.
Pour ne pas risquer de chagriner cette dernière, une amie charmante et que j'ai toujours plaisir à rencontrer quand l'occasion s'en présente, j'ai bien voulu condescendre à enlever de notre site favori cette photo qui était au demeurant assez moche.
Au passage, et parce que je me sens une fois encore l'âme chevaleresque, je voudrais quand même féliciter cette propriétaire qui nous confirme aujourd'hui qu'elle a aussi de bonnes fréquentations et, parfois au moins, de bonnes lectures, sinon dans les œuvres de Jean-Jacques ROUSSEAU, du moins sur la toile.
J'ai ainsi remarqué un tableau posé en trumeau sur une cheminée dont voici la photo de la photo :[img:900]Photo censurée le 8/9/16 à la demande de la propriétaire du château en question.[/img]Il se trouve en effet que j'en conserve un identique à la Chaslerie, peint sur 3 planches, que j'ai acheté aux enchères, le 26 mars 2006, à Louviers, auprès de Me Jean-Emmanuel PRUNIER. Il m'a été vendu comme provenant de l'"Ecole de Fontainebleau" et datant de 1600 environ. Il représente une scène fameuse de l'Antiquité Romaine, lorsque Mucius gagne son surnom de Scaevola en inventant le terrorisme.
J'aurais aimé observer le trumeau de plus près mais la propriétaire n'a rien voulu entendre. Je n'ai même pas pu obtenir son adresse de courriel pour lui envoyer ma preuve que son exemplaire a probablement été tronqué :Tant pis pour elle. Elle finira sans doute par l'apprendre grâce à notre site favori.
P.S. (du 8 septembre 2016) : La propriétaire du château en question est, paraît-il, furieuse et me menacerait d'un procès (ce qu'elle n'a d'ailleurs pas le courage de faire en face, ni elle, ni son mari d'ailleurs car, bien entendu, tout ça, c'est de l'intox et des méthodes de fier-à-bras peu recommandables et vouées, d'abord au ridicule, puis, sans aucun doute, à l'échec). Elle l'a néanmoins fait savoir à l'organisatrice du pique-nique.
Pour ne pas risquer de chagriner cette dernière, une amie charmante et que j'ai toujours plaisir à rencontrer quand l'occasion s'en présente, j'ai bien voulu condescendre à enlever de notre site favori cette photo qui était au demeurant assez moche.
Au passage, et parce que je me sens une fois encore l'âme chevaleresque, je voudrais quand même féliciter cette propriétaire qui nous confirme aujourd'hui qu'elle a aussi de bonnes fréquentations et, parfois au moins, de bonnes lectures, sinon dans les œuvres de Jean-Jacques ROUSSEAU, du moins sur la toile.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 7 Aout 2014
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis - Aile "de la belle-mère" - Florilège de sols - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Pour l'étude de diagnostic - Idées de travaux à venir - Florilèges
rédigé le Jeudi 7 Aout 2014
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis - Aile "de la belle-mère" - Florilège de sols - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Pour l'étude de diagnostic - Idées de travaux à venir - Florilèges
Hier, au château de la Grande Courbe (sur la commune de Brée, en Mayenne), j'ai notamment remarqué les tomettes d'une chambre qui pourraient nous inspirer pour la salle-à-manger du logis...... ainsi que les restes d'un pavage en schiste dans les anciennes écuries, dans la aula du château :
The Metropolitan Museum of Art, New York
rédigé le Vendredi 8 Aout 2014
Florilège de faits ou d'œuvres contemporains de la Chaslerie - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles - Florilèges
rédigé le Vendredi 8 Aout 2014
Florilège de faits ou d'œuvres contemporains de la Chaslerie - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles - Florilèges
Anonymous, French, 16th century | Portrait of a Man | 1594 N.D.L.R. : Contemporain de la Chaslerie.
Stephen ELLCOCK
rédigé le Vendredi 8 Aout 2014
Florilège de faits ou d'œuvres contemporains de la Chaslerie - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles - Florilèges
rédigé le Vendredi 8 Aout 2014
Florilège de faits ou d'œuvres contemporains de la Chaslerie - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles - Florilèges
Lavinia Fontana, Portrait of a Girl Covered in Hair (Portrait of Antonietta Gonsalvus), 1595N.D.L.R. : Contemporaine de la Chaslerie.
Stephen ELLCOCK
rédigé le Vendredi 8 Aout 2014
Florilège de faits ou d'œuvres contemporains de la Chaslerie - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles - Florilèges
rédigé le Vendredi 8 Aout 2014
Florilège de faits ou d'œuvres contemporains de la Chaslerie - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles - Florilèges
Cornelis de Vos, Two Sisters, ca.1615N.D.L.R. : Contemporain de la Chaslerie.
Stephen ELLCOCK
rédigé le Vendredi 8 Aout 2014
Florilège de faits ou d'œuvres contemporains de la Chaslerie - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles - Florilèges
rédigé le Vendredi 8 Aout 2014
Florilège de faits ou d'œuvres contemporains de la Chaslerie - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles - Florilèges
Georg Flegel (German, 1566 – 1638)N.D.L.R. : Contemporain de la Chaslerie.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 19 Aout 2014
Menuiserie - Chapelle - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation
rédigé le Mardi 19 Aout 2014
Menuiserie - Chapelle - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation
J'ouvre ici une parenthèse technique.
Je me suis toujours demandé ce qu'il advenait des cercueils, une fois la tombe refermée.
Je me rappelle être resté en arrêt devant la tombe encore ouverte où ma grand-tante, Tante Suzanne (comprendre Suzanne BONEU, née LABATU) venait d'être inhumée. Freinant la progression des parents venus balancer le goupillon, j'avais été pris à partie par Tonton René, le nouveau veuf, d'une manière vive qui m'avait marqué (et que je n'avais pas manqué d' attribuer à son émotion ainsi qu'à son âge canonique). Mais, ce jour-là, ainsi interrompu, je n'avais rien vu.
Il n'en est pas allé de même, l'autre jour, au cimetière de Saint-Sul :L'état de déglingue du cercueil de 1979 tranche avec la relative bonne conservation de ses confrères antérieurs. J'ai donc interrogé mes nouveaux copains, les croque-morts du coin, qui attendaient l'arrivée d'un nouveau macchabée encore en train de se faire encenser à l'église alors que nous conversions fort civilement, ma foi, au milieu des fleurs fraîches et des gerbes enrubannées.
Voici donc ce que j'ai appris et que je vous livre tel quel, car autant ne pas mourir idiot.
Pour confectionner les cercueils, les menuisiers utilisent depuis 50 ans du bois vert. Celui-ci, soumis à des variations hygrométriques malgré la qualité des tombeaux, pourrit beaucoup plus vite que le matériau utilisé autrefois, sans parler de l'évolution du contenu. Il paraît que les cercueils américains, tels qu'on les voit, tout rutilants, à la télé, ne valent pas beaucoup mieux mais je n'ai pas encore pu apprendre pourquoi. La suite au prochain numéro.
C'est toujours bon à savoir, n'est-ce pas ?
Et qui a dit que notre site favori ne servait à rien ?
Je me suis toujours demandé ce qu'il advenait des cercueils, une fois la tombe refermée.
Je me rappelle être resté en arrêt devant la tombe encore ouverte où ma grand-tante, Tante Suzanne (comprendre Suzanne BONEU, née LABATU) venait d'être inhumée. Freinant la progression des parents venus balancer le goupillon, j'avais été pris à partie par Tonton René, le nouveau veuf, d'une manière vive qui m'avait marqué (et que je n'avais pas manqué d' attribuer à son émotion ainsi qu'à son âge canonique). Mais, ce jour-là, ainsi interrompu, je n'avais rien vu.
Il n'en est pas allé de même, l'autre jour, au cimetière de Saint-Sul :L'état de déglingue du cercueil de 1979 tranche avec la relative bonne conservation de ses confrères antérieurs. J'ai donc interrogé mes nouveaux copains, les croque-morts du coin, qui attendaient l'arrivée d'un nouveau macchabée encore en train de se faire encenser à l'église alors que nous conversions fort civilement, ma foi, au milieu des fleurs fraîches et des gerbes enrubannées.
Voici donc ce que j'ai appris et que je vous livre tel quel, car autant ne pas mourir idiot.
Pour confectionner les cercueils, les menuisiers utilisent depuis 50 ans du bois vert. Celui-ci, soumis à des variations hygrométriques malgré la qualité des tombeaux, pourrit beaucoup plus vite que le matériau utilisé autrefois, sans parler de l'évolution du contenu. Il paraît que les cercueils américains, tels qu'on les voit, tout rutilants, à la télé, ne valent pas beaucoup mieux mais je n'ai pas encore pu apprendre pourquoi. La suite au prochain numéro.
C'est toujours bon à savoir, n'est-ce pas ?
Et qui a dit que notre site favori ne servait à rien ?
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 25 Aout 2014
Journal du chantier - Electricité - Ferronnerie - Logis - Vie du site - Entretien du site - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation
rédigé le Lundi 25 Aout 2014
Journal du chantier - Electricité - Ferronnerie - Logis - Vie du site - Entretien du site - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation
Lors de la messe de mariage, samedi dernier du côté de Provins, j'ai remarqué des ferronneries qui pourraient avoir leur place dans l'escalier du logis :P.S. : Vacherie d'ordi n° 2. Avec Photoshop, je n'arrive pas à faire tourner les photos ! J'attendrai donc qu'"Orditop" me répare l'ordi n°1 pour poursuivre.
P.S. 2 (du 27 août 2014) : Mon ordi étant réparé, voici la photo redressée :Puisque je vais demander l'avis de notre architecte favori, M. MAFFRE, voici deux autres modèles que j'ai photographiés récemment au château de Montal, près de Saint-Céré (Lot) :Dans un prochain message, je rendrai compte de ma récente visite au château de Montal, passionnante pour moi à plusieurs titres, notamment quant au mobilier et aux revêtements de sol. J'y ai pris 167 photos, c'est dire à quel point j'ai été intéressé !
P.S. 2 (du 27 août 2014) : Mon ordi étant réparé, voici la photo redressée :Puisque je vais demander l'avis de notre architecte favori, M. MAFFRE, voici deux autres modèles que j'ai photographiés récemment au château de Montal, près de Saint-Céré (Lot) :Dans un prochain message, je rendrai compte de ma récente visite au château de Montal, passionnante pour moi à plusieurs titres, notamment quant au mobilier et aux revêtements de sol. J'y ai pris 167 photos, c'est dire à quel point j'ai été intéressé !
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 28 Aout 2014
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Généalogie et sagas familiales
rédigé le Jeudi 28 Aout 2014
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Généalogie et sagas familiales
Après Tarbes, je suis repassé à Aucun, que Dominique CHADAL avait déjà exploré il y a deux ans :J'ai commencé par un tour à l'église du village...... où j'ai parcouru les explications rédigées...... par un très probable parent :J'ai particulièrement observé les fonts baptismaux où une kyrielle de mes ancêtres ont dû connaître leur premier bain...... le bénitier où ils trempaient le bout de leurs doigts gourds...... ainsi que le confessionnal où ils devaient venir confier toutes leurs turpitudes (ou presque) :Enfin, j'ai escaladé les galeries d'où, dans la chaleur montante, ces fiers montagnards devaient assister à l'office :
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 28 Aout 2014
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Généalogie et sagas familiales
rédigé le Jeudi 28 Aout 2014
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Généalogie et sagas familiales
Un tour dans le village d'Aucun vous tente-t-il ?
A la recherche de cousins FOURCADE, j'ai d'abord pensé à jeter un coup d'œil au monument aux morts :Apparemment, il ne devait plus rester beaucoup de parents dans le pays.
J'ai posé la question à quelques autochtones. Ils n'ont su me citer que la gardienne du musée local et bistrotière par la même occasion.
Pas de chance, elle venait de perdre son gendre, dénommé DELGADO. Donc le musée et le débit de boissons étaient fermés :Il ne me restait plus qu'à déambuler dans le village...... et, dans l'ensemble, ce que j'y ai vu m'a plu. A l'évidence, malgré la rudesse des moyens du bord...... on connaît la belle ouvrage dans cette vallée : ... du moins, si l'on fait abstraction de certaines reprises hideuses en ciment :Après un dernier regard vers les pierres du musée dont les protubérances me rappelaient les décors des fonts baptismaux et du bénitier de l'église voisine...... j'ai repris le volant de ma fidèle Kangoo, garée devant le Café FOURCADE...... en me promettant de revenir dans ce pays avec Carole, pour enfin faire la connaissance de ma cousine la bistrotière du cru.
P.S. : De retour à la Chaslerie, j'ai découvert sur l'annuaire en ligne qu'il resterait deux foyers FOURCADE à Aucun, un André (05 62 97 12 03) et un Daniel (05 62 97 49 01). On tâchera d'aller un jour les saluer.
P.S. 2 : Je m'en doutais mais il paraît plus que probable que j'aie pas mal de sang Maure. Voici qui nous renverrait avant l'an 732... On dirait qu'André FOURCADE, qui avait rédigé la pancarte dans l'église, est décédé en 1999 ; ma cousine serait donc sa veuve.
A la recherche de cousins FOURCADE, j'ai d'abord pensé à jeter un coup d'œil au monument aux morts :Apparemment, il ne devait plus rester beaucoup de parents dans le pays.
J'ai posé la question à quelques autochtones. Ils n'ont su me citer que la gardienne du musée local et bistrotière par la même occasion.
Pas de chance, elle venait de perdre son gendre, dénommé DELGADO. Donc le musée et le débit de boissons étaient fermés :Il ne me restait plus qu'à déambuler dans le village...... et, dans l'ensemble, ce que j'y ai vu m'a plu. A l'évidence, malgré la rudesse des moyens du bord...... on connaît la belle ouvrage dans cette vallée : ... du moins, si l'on fait abstraction de certaines reprises hideuses en ciment :Après un dernier regard vers les pierres du musée dont les protubérances me rappelaient les décors des fonts baptismaux et du bénitier de l'église voisine...... j'ai repris le volant de ma fidèle Kangoo, garée devant le Café FOURCADE...... en me promettant de revenir dans ce pays avec Carole, pour enfin faire la connaissance de ma cousine la bistrotière du cru.
P.S. : De retour à la Chaslerie, j'ai découvert sur l'annuaire en ligne qu'il resterait deux foyers FOURCADE à Aucun, un André (05 62 97 12 03) et un Daniel (05 62 97 49 01). On tâchera d'aller un jour les saluer.
P.S. 2 : Je m'en doutais mais il paraît plus que probable que j'aie pas mal de sang Maure. Voici qui nous renverrait avant l'an 732... On dirait qu'André FOURCADE, qui avait rédigé la pancarte dans l'église, est décédé en 1999 ; ma cousine serait donc sa veuve.
I 1000 quadri più belli di tutti i tempi
rédigé le Vendredi 29 Aout 2014
Florilège de faits ou d'œuvres contemporains de la Chaslerie - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles - Florilèges
rédigé le Vendredi 29 Aout 2014
Florilège de faits ou d'œuvres contemporains de la Chaslerie - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles - Florilèges
Vittore Carpaccio (1455-1526)
Sogno di S.Orsola, Sesto Episodio (1495)
tempera su tela - 274x267cm
Gallerie dell'Accademia, Venezia (ltaly)N.D.L.R. : Contemporain de la Chaslerie (à un siècle près).
Sogno di S.Orsola, Sesto Episodio (1495)
tempera su tela - 274x267cm
Gallerie dell'Accademia, Venezia (ltaly)N.D.L.R. : Contemporain de la Chaslerie (à un siècle près).