Archives, histoire, documentation

Je retrouve un message de 2010 où je rendais compte de ma découverte que les forfaits commis sur l'aile Ouest dans les années 1950 avaient reçu le feu vert d'un "architecte en chef du gouvernement" (et non d'un A.C.M.H., comme je l'avais écrit à l'époque, mais quelle est la différence ?).

A propos de ce que j'appelle le "salon de l'aile de la belle-mère" mais que ce document datant de mon année de naissance dénomme "salle de séjour", le "devis descriptif" précise certaines hypothèses que j'ai eu l'occasion de formuler, et encore récemment,...

... en particulier que :
- le mur qu'Igor est en train de finir de démonter résulte de la reconstruction dans les années 1950, avec insertion d'un "conduit de fumée", d'un mur préexistant mais "en mauvais état" ;
- surtout, la cheminée est issue des "matériaux récupérés sur place", de même que la "porte en chêne", sans qu'hélas plus de précisions ne soient données sur les endroits précis où elles ont été trouvées ni (pour prolonger un débat que j'avais eu avec Benoît MAFFRE) sur la date de leur implantation à ces endroits.
A l'évidence, lorsque la porte d'entrée dans le colombier a été percée telle que nous la connaissons, il a été utilisé de vieux corbeaux, vraisemblablement de cheminée :

24 janvier 2023.

24 janvier 2023.


Il pourrait être intéressant de savoir, sinon où ils avaient été trouvés, du moins quelle était la qualité exacte de leur décor.
Écomusée du Perche (via "Facebook")
rédigé le Jeudi 26 Janvier 2023
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles
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Dans le cadre de Tout Feu Tout Flamme dans le Perche, nouvelle exposition temporaire et conférence (samedi 4 février à 15h) à l'Écomusée du Perche !
La cheminée, source de lumière et de chaleur, est présente dans la plupart des habitations, anciennes comme plus récentes, voire très contemporaines.

Mais depuis quelle époque peut-on réellement parler de cheminée?
Quels sont ses usages, ses équipements, et que représente-t-elle d’un point de vue symbolique?

L’Écomusée vous propose de découvrir une petite histoire de cet élément architectural depuis le Moyen Âge, dans les maisons du Perche et du haut-Maine.

Je poste cette page qui comblera ceux de ce groupe qui s'intéressent à l'architecture normande des nobles demeures.
Le livre entier est consultable gratuitement en naviguant sur ces pages.

Jadis noz peres se contentoient de faire bastir un bon corps d’hostel, un pavillon ou une tour ronde, une basse-court de mesnagerie, et autres pieces necessaires à loger eux et leur famille, sans faire des bastimens superbes, comme aujourd’hui on fait, grands corps d’hostel, pavillons, courts, arrierecourts, bassecourts, galleries, salles, portiques, perrons, ballustres et autres. On n’observoit point tant par dehors la proportion de la Geometrie, et de l’Architecture, qui en beaucoup d’édifices a gasté la commodité du dedans.
Bernard de Girard du Haillan, Les causes de l’extreme cherté qui est aujourd’huy en France…, Paris, 1574
.
J'ai eu la curiosité de demander à Igor de faire sauter le joint entourant l'une des deux pierres qui avaient attiré mon attention.

La chose s'est révélée très aisée.

Le résultat est on ne peut plus clair et confirme parfaitement l'hypothèse avancée par Alexandre HOFFMANN (que je ne crois pas avoir l'honneur de connaître), hypothèse de surcroît formulée en termes tout à fait appropriés :

27 janvier 2023.

27 janvier 2023.

27 janvier 2023.

27 janvier 2023.

27 janvier 2023.


Du coup, je me suis déplacé vers ma lithothèque pour y photographier des pierres trouvées au manoir favori, le plus souvent enfouies dans la terre,...

27 janvier 2023.

27 janvier 2023.

27 janvier 2023.

27 janvier 2023.

... et qui confortent une fois de plus l'affirmation que la Chaslerie conserve ses racines médiévales.
Tout Terre (via "Facebook")
rédigé le Mercredi 1er Février 2023
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Amis céramistes d’art (adhérents Tout Terre ou non), cette annonce peut vous intéresser !
« La Céramique sur les toits » exposera des épis et tuiles de faîtage, dans les jardins de l’abbaye de Tuffé-Val-de-La-Chéronne (72160), d’avril à novembre 2023.
Organisée par l’association des Amis de l’abbaye de Tuffé et Philippe Ménard, collègue reconnu dans le domaine des ornements de toits, l’exposition a pour but d’illustrer la diversité des productions régionales d’épis de faîtage et tuiles faitières, sur l’Ouest de la France (Pays de la Loire et départements limitrophes), à travers l’exemple d’une dizaine d’artistes.
Dernière date limite d'envoi des dossiers le 20 février 2023
Contacts pour obtenir un bulletin d’inscription : 02 44 32 17 56 / 06 41 82 50 93 - amis.abbaye.tuffe@orange.fr

Vérification faite, cela fera bientôt dix ans (!!!) que je dialogue avec la conservation régionale des monuments historiques de Normandie (avant même l'arrivée en poste de l'actuel conservateur régional et la complexification des procédures qui n'a fait que croître et embellir depuis cette époque) pour essayer d'organiser la restauration des menuiseries extérieures du logis.

Voici, par exemple, le texte du courriel que j'avais envoyé à la D.R.A.C. le 17 janvier 2014 :

(Début de citation)

Le 17/01/2014 09:24, Pierre-Paul Fourcade a écrit à Arnaud Tiercelin :

> Cher Monsieur,
>
> M. MAFFRE est passé à la Chaslerie hier après-midi.
>
> Il fait facilement part de ses premières impressions, de sorte qu'il a critiqué diverses réalisations. Je dois dire que je n'ai pas trouvé que ses remarques étaient dénuées de pertinence, il me semble avoir l'œil.
>
> Sur le fond, il semble considérer qu'il serait utile de disposer d'une "étude" pour définir les châssis des portes et fenêtres du logis ; il considère qu'il ne serait pas gênant que ces châssis ne soient pas d'un modèle analogue à l'actuel (ou aux fenêtres du bâtiment Nord, approuvées en leur temps par M. RONSSERAY). Nous nous étions déjà posé la question avec M. RONSSERAY et nous avions opté, au contraire, pour une cohérence forte en la matière. Mais, écoutant M. MAFFRE, je ne suis pas indifférent à la rationalité de sa démarche, même si je sais que mon épouse et mon aîné seraient des plus réservés sur l'idée de devoir, de fil en aiguille et par exemple, mettre ensuite au rebut le décor (que j'ai toujours trouvé assez moche) du salon du logis. Bref, procéder rationnellement risquerait de me conduire à des dépenses supérieures à celles que j'imaginais, et vous savez que je fais déjà le maximum. Mais il me semble que vous m'aviez dit un mot, lors de notre dernier entretien, sur la possibilité que l'Etat subventionne une telle "étude". Auriez-vous l'amabilité de me rafraîchir la mémoire sur ce point ?
>
> Bien entendu, si une "étude" était décidée, je redéploierais mon programme 2014 pour rester dans les ordres de grandeur évoqués lors de notre dernier entretien.
>
> On a aussi dit un mot avec M. MAFFRE de mes interrogations, en liaison avec mon aîné, sur le mode de chauffage de la Chaslerie. Là aussi, des conseils sérieux me seraient utiles, notamment et d'abord pour savoir où faire passer des tuyaux avant de restaurer le dallage des sols ou les enduits des murs.
>
> Bien cordialement,
>
> PPF


(Fin de citation)

Il est ainsi prouvé qu'à ce jour, cela fait neuf ans et dix-sept jours au moins que nous enfilons des perles à ce seul sujet (sans parler des autres, au moins aussi affriolants comme la très hautement invraisemblable "problématique du pavement-cailloutis de la cour", pour ne citer qu'elle ; on sait qu'il n'a été trouvé rien de mieux par un très talentueux et très digne interlocuteur obligé pour bloquer de fait, il y a désormais trois ans, et sans le moindre souci de valeur ajoutée, les moindres travaux impliquant la desserte des bâtiments en cause par des tuyauteries de chauffage, c'est-à-dire de fait la quasi-totalité du chantier).

Bientôt dix ans d'un côté et trois de l'autre !
Et qui imagine encore que tous les records ne sont pas faits pour être battus ?

Allez, pour se donner du cœur à l'ouvrage, on reprend tous ensemble avec moi : "VIVE LA FRANCE ET LES JOUEURS D'ACCORDEON, Y A DU CIEL BLEU ET DU SOLEIL PARTOUM ET DES AMOUREUX QUI S'DONNENT D'LA JOIE !"
Le FOGEFOR réunit des stagiaires de tous horizons, de l'aristo fieffé de plusieurs centaines d'hectares de bois à l'émondeur blanchi sous le harnois, comme le pittoresque et sympathique Gérard FERRUEL...

... qui nous a donné aujourd'hui un aperçu de ses talents :

3 février 2023.

3 février 2023.


C'est lui en particulier qui est l'auteur de la statue visible au bord de la route à La Ferrière-aux-Etangs.

Carole a posé des jalons pour qu'il se produise un jour prochain au manoir favori.
Bonsoir Monsieur,
En pélerinage sur les pas de mon enfance avec mon épouse, je ne peux m'empêcher de vous envoyer ces deux jolies photographies...

12 février 2023.

12 février 2023.

... pour vous dire que malheureusement la Chaslerie n'est pas assez "classée" pour recevoir des canalisations. En revanche à Azay-le-Rideau cela ne pose aucun souci.
A transmettre à votre architecte (en évitant de lui donner mon nom !)
Bien à vous,
P.-A. C.

N.D.L.R. : Cher Monsieur, merci pour cet intéressant témoignage.

En vérité, à la Chaslerie, l'architecte du patrimoine, l'excellent Arnaud PAQUIN, n'est pas celui qui a choisi de bloquer, de fait, le chantier pour une raison tirée du classement parmi les monuments historiques des "restes du pavement-cailloutis de la cour".

Ce qui bloque en revanche, c'est l'interprétation qu'une certaine administration, régionalement conservée comme elle l'est, a semblé vouloir donner il y a trois ans, lors d'une réunion mémorable, à un arrêté préfectoral dont le moins qu'on puisse dire, sans grand risque d'être contredit à mon avis, est que son instruction avait été très "superficielle", à tous les sens du terme et au moins sur ce point particulier...

Donc, et parce que je me veux, par souci de mon hygiène personnelle, d'un tempérament fondamentalement optimiste, j'ose espérer qu'une absurdité aussi manifeste que cette position ne sera bientôt qu'un mauvais souvenir, justement grâce à l'excellent Arnaud PAQUIN, dès qu'il aura pu être autorisé à lancer cette fameuse "étude préalable d'ensemble" dont "La SVAADE" comme moi avons la plus grande hâte de disposer enfin.
Je vous adresse comme convenu les tomettes extraites des fossés chez nous. Après reproduction par les Ets. Fauvel dans la Manche nous venons de les poser dans la grande salle du premier :


Bien amicalement
Pierre Coeuche

N.D.L.R. : Merci beaucoup ! J'ai hâte de voir cette réalisation à la tour aux Anglais !


Bien amicalement,
PPF
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : mercredi 22 février 2023 13:54
À : AUBIN Vincent <vincent.aubin@laregionnormandie.fr>
Cc : <laurine.courtois@laregionnormandie.fr>; <marie.perreau@laregionnormandie.fr>; Hugues HOURDIN et les membres du bureau de "La SVAADE" ; arnaudpaquin architecte <arnaudpaquin.architecte@gmail.com>
Objet : Manoir de la Chaslerie - Etude préalable d'ensemble

Monsieur,

Je viens d'être informé par M. TIERCELIN qu'en dépit des dispositions de la circulaire de la D.R.A.C. qui m'avaient laissé espérer un taux de subvention de 60 % de la part de l'Etat pour l'"étude préalable d'ensemble" (que la D.R.A.C. a choisi d'appeler "étude de faisabilité de l'ensemble du site du manoir de la Chaslerie à La Haute Chapelle" et dont elle considère à tort qu'elle ne concernera que des parties inscrites), le taux qui sera retenu sera de moitié moins, soit 30 %.

Compte tenu de l'ampleur du programme de travaux prévisible et des limites connues de mon autofinancement, je sollicite donc de la part de la Région le taux maximal qu'il lui est possible d'attribuer à "l'ensemble du site" en question dont je rappelle que les parties les plus substantielles sont classées.

Bien cordialement,

PPF

(Fin de citation)
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : mercredi 22 février 2023 18:30
À : ROCHAS Philippe <philippe.rochas@culture.gouv.fr>
Cc : Hugues HOURDIN et bureau de "La SVAADE" ; arnaudpaquin architecte <arnaudpaquin.architecte@gmail.com> ; BOURA Frédérique <frederique.boura@culture.gouv.fr>
Objet : Manoir de la Chaslerie - "Etude de faisabilité de l'ensemble du site"

Monsieur le conservateur régional,

Par lettre du 9 février dernier, vous avez accusé réception de ma demande de subvention, au taux de 60 % de la part de l'Etat, en vue de la réalisation de l'"étude de faisabilité" en objet mais affirmé que "l'ensemble du site" en question est protégé par une simple inscription à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques "par arrêtés du 02 novembre 1926 et 26 octobre 1993".

Une telle affirmation ne peut que laisser pantois puisque les parties principales du manoir ont été classées parmi les monuments historiques par arrêté ministériel du 4 juillet 1995. Il est vrai toutefois que tout, à la Chaslerie, est au moins inscrit, intérieurement comme extérieurement, par les deux arrêtés que vous citez à juste titre à ce sujet.

La question de cette qualification est très importante pour le maître d'ouvrage que je suis et pour l'association "La SVAADE", locataire du manoir où elle organise des spectacles de qualité et qui ambitionne légitimement d'y développer ses activités en toutes saisons, y compris sous forme de résidences d'artistes. En effet, le taux des subventions sur parties inscrites est inférieur à celui sur parties classées, ainsi que le rappelle le "guide d'application des critères d'intervention financière de l'Etat/Ministère de la culture" mis à jour le 16 décembre 2021 sous le timbre de la D.R.A.C. de Normandie.

Je suis donc intervenu par courriel du 14 février dernier auprès de vos services en priant que soit corrigée l'erreur en question. N'obtenant pas de réponse, j'ai appelé ce matin M. TIERCELIN qui, si j'ai bien entendu, m'a dit que le taux de subvention de 30 % que vous compteriez appliquer à ce dossier est le maximum pour les études sur parties inscrites, ce qui serait adapté au cas de la Chaslerie, d'autant qu'en vertu du raisonnement qui aurait cours dans vos services, vous entendriez "faire une moyenne" pour tenir compte du fait que "bien qu'inscrites, diverses parties de la Chaslerie ne présentent pas d'intérêt, si bien que les travaux qui y seraient menés n'auraient pas vocation à être subventionnables par l'Etat".

Or, si, comme on le souhaiterait, l'arithmétique et les protections au titre des monuments historiques doivent conserver le moindre sens dans de tels débats, un raisonnement en moyenne devrait aboutir, du fait de l'importance relative de ce classement pour "l'ensemble du site" à un taux de subvention très sensiblement supérieur à ces 30 %.

En effet, outre la chapelle et certains extérieurs de l'"aile Ouest" que M. TIERCELIN m'a cités ce matin et qui ne sauraient être considérés comme négligeables au titre de cette "étude de diagnostic" (ne serait-ce qu'en raison des fautes professionnelles commises par une architecte en chef des monuments historiques ou des insuffisances de deux architectes du patrimoine, tous comportements ayant abouti à des aberrations auxquelles il serait grand temps de remédier), il y a, parmi les parties classées, d'autres contraintes, comme celles que vous avez vous-même mises en avant lors de votre mémorable visite à la Chaslerie il y a trois ans, en compagnie d'une représentante du service régional d'archéologie. A cette occasion, vous avez choisi de bloquer de fait tous travaux intérieurs sur les principaux bâtiments du manoir. Je n'insiste pas sur le fait que le classement de la cour sur lequel vous avez alors basé votre argumentation a été acté à la suite d'une instruction pour le moins "superficielle" du dossier sur ce point particulier. Or, comme vous ne pouvez l'ignorer, le sol de la cour sera un point de passage obligé pour différents travaux envisagés prioritairement, faute de quoi :
- ma famille continuerait à se trouver bloquée dans 65 m2 malgré 32 ans de travaux menés avec constance et le plus grand soin de ma part ;
- surtout, l'association "La SVAADE" devrait continuer à cantonner ses concerts et autres animations culturelles à la seule belle saison, ce qui paraîtrait particulièrement absurde et fâcheux, compte tenu de son développement très encourageant et des projets qu'elle a d'ores et déjà exprimés : c'est ainsi l'accueil-même des artistes, des conférenciers et du public, c'est-à-dire l'objet-même de "La SVAADE", qui serait en cause. Je suis habilité à vous écrire que le président de "La SVAADE", M. Hugues HOURDIN, Conseiller d'Etat honoraire, partage totalement mon analyse sur tous les points que je viens de rappeler.

En particulier, il ne saurait exister le moindre doute sur le fait que la bonne implantation des tuyauteries et autres équipements nécessaires au chauffage ou à la circulation de divers fluides sera une question-clé, prioritaire et majeure de l'"étude de faisabilité" en question. A l'évidence, ces tuyauteries diverses devront cheminer à travers le sol de la cour et à travers ou le long de murs, ces derniers classés sans la moindre ambiguïté, eux.

Par conséquent, prétendre dans ces conditions que l'"étude de faisabilité" puisse, à bon droit ou équitablement, ne concerner, même "en moyenne", que des parties inscrites semble relever de l'erreur manifeste d'appréciation.

Je vous prie donc de bien vouloir réviser la position que M. TIERCELIN, dans le prolongement de votre lettre du 9 février dernier, m'a affirmée ce matin être celle de la conservation régionale des monuments historiques de Normandie, donc attribuer à l'"étude de faisabilité" en question un taux de subvention en bien meilleur rapport avec le taux de 60 % indiqué par la circulaire du 16 décembre 2021 pour les études de diagnostic sur parties classées.

Je vous prie d'agréer, Monsieur le conservateur régional, l'expression de ma considération distinguée.

Pierre-Paul FOURCADE

(Fin de citation)
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : jeudi 23 février 2023 08:46
À : AUBIN Vincent <vincent.aubin@laregionnormandie.fr>
Cc : PERREAU Marie <marie.perreau@laregionnormandie.fr>; Hugues HOURDIN et les autres membres du bureau de "La SVAADE" ; arnaudpaquin architecte <arnaudpaquin.architecte@gmail.com>
Objet : RE: Manoir de la Chaslerie - Etude préalable d'ensemble

Merci pour cette correction qui va dans le bon sens.

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De : AUBIN Vincent <vincent.aubin@laregionnormandie.fr>
Envoyé : jeudi 23 février 2023 08:44
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Objet : RE: Manoir de la Chaslerie - Etude préalable d'ensemble


Pour vous rassurer on s’aligne sur la DRAC sur leur taux dans la limite de 40%.

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De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : jeudi 23 février 2023 08:41
À : AUBIN Vincent <vincent.aubin@laregionnormandie.fr>
Cc : PERREAU Marie <marie.perreau@laregionnormandie.fr>; Hugues HOURDIN et les autres membres du bureau de "La SVAADE"; arnaudpaquin architecte <arnaudpaquin.architecte@gmail.com>
Objet : RE: Manoir de la Chaslerie - Etude préalable d'ensemble

Cher Monsieur,

Ne vous alignez pas trop tôt, s'il vous plaît, sur une position qui résulte d'une mauvaise analyse du dossier par la C.R.M.H., ce que "La SVAADE" et moi nous employons à faire corriger.

Cordialement,

PPF

______________________________________________________________________________________

De : AUBIN Vincent <vincent.aubin@laregionnormandie.fr>
Envoyé : jeudi 23 février 2023 08:16
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Cc : PERREAU Marie <marie.perreau@laregionnormandie.fr>
Objet : RE: Manoir de la Chaslerie - Etude préalable d'ensemble

Bonjour,

Nous nous alignerons sur le taux de la DRAC soit 30%.

Cordialement.

Vincent AUBIN
Région Normandie
Chef du service Patrimoine et Inventaire

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De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : jeudi 23 février 2023 07:38
À : AUBIN Vincent <vincent.aubin@laregionnormandie.fr>
Cc : COURTOIS Laurine <laurine.courtois@laregionnormandie.fr>; Hugues HOURDIN et les autres membres du bureau de "La SVAADE"
Objet : TR: Manoir de la Chaslerie - "Etude de faisabilité de l'ensemble du site"

Cher Monsieur,

Pour votre parfaite information, je vous prie de trouver ci-joint le texte du courriel que j'ai adressé hier à M. ROCHAS, avec copie à Mme BOURA, la D.R.A.C. de Normandie.

"La SVAADE" et moi attendons la réponse qui y sera apportée et nous tenons prêts à intervenir rapidement si, par extraordinaire, la C.R.M.H. devait continuer dans ses errements présents.

Bien cordialement,

PPF

(Fin de citation)