Architecture-M.O.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Dimanche 22 Décembre 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Menuiserie - Aile "de la belle-mère"
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Pour permettre à Igor de travailler dans l'écurie comme il le fait, avec d'anciennes lattes de parquet, dans le colombier, je contacte en priorité la scierie de Lonlay-l'Abbaye :

(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : dimanche 22 décembre 2019 17:45
À : scierie.gerault@laposte.net <scierie.gerault@laposte.net>
Objet : Devis

Monsieur,

Suite à ma visite avant-hier matin, je vous prie de me communiquer votre devis pour la fourniture de 400 m2 de planches de chêne, en bois sec (équivalent sec à 14/16 %) de 27 mm d'épaisseur, largeurs entre 11 et 23 cm, longueurs supérieures à 2 m et inférieures à 3,5 m, avec tolérance aubier en contre-parement, nœuds sains de diamètre maxi 25 mm.

Prière de me préciser si la longueur et la largeur des planches influent sur le montant du devis et, si oui, comment.

Prière de me communiquer un échantillon pour qu'on soit bien d'accord.

Cordialement,

Pierre-Paul FOURCADE
La Chaslerie
La Haute Chapelle
06 12 96 01 34

(Fin de citation)
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Dimanche 22 Décembre 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Logis - Désultoirement vôtre ! - Anecdotes
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A 20 heures 45, c'est-à-dire il y a une minute, j'ai entendu un nouveau contingent de pierres ou de briques débouler à l'intérieur du conduit de la cheminée Nord du logis.

L'urgence d'une réparation sérieuse ne fait plus aucun doute.

P.S. (du 23 décembre 2019 à 9 heures) : Nous en sommes ce matin à 16 pierres ou briques échouées sur le parquet du 1er étage du logis :

23 décembre 2019.


Après avoir prévenu hier l'architecte du patrimoine, j'écris ce matin à la D.R.A.C.
J'apprends qu'Igor et Daniel (que j'appelle désormais le "brexiter") se sont réconciliés :


Je vais donc pouvoir, au titre de l'APIJOMM, recruter Daniel en C.D.D. à temps partiel à compter du début de 2020.

Puisque nous en sommes à redéménager les pavés de la cour, mon idée serait de confier à ces deux jeunes gens le soin de remplacer, dans la charretterie, le sol en terre battu actuel par un pavage de "qualité FOURCADE". Cette charretterie est, comme l'on sait, ouverte vers le Nord et les abondantes précipitations récentes ont transformé son sol en bouillabaisse. Il est temps de réagir.

Et, si possible également, on tâchera de canaliser les eaux de pluie dans l'allée qui descend de la D22. Chaque année, cette allée très empruntée arrive au printemps ravinée et ça finit par me coûter cher de la faire remettre en état avec la même périodicité.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 23 Décembre 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Menuiserie - Aile "de la belle-mère"
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Pour le moment, j'ai eu beau courir la Normandie, j'ai fait chou blanc dans ma quête des lattes de parquet de chêne nécessaires pour terminer les travaux d'isolation des combles du colombier. Il y a quelques années, j'avais fait brûler ou jeter les lattes des années 1950 démontées au 1er étage du bâtiment Nord. Dommage, peut-être.

Il nous reste pourtant du stock à récupérer au 1er étage du logis (elles y ont 8 cm de large, ce qui serait acceptable pour traiter le dessous des terrassons, sachant que le dessous des brisis a été traité en lattes de 7 cm)...

23 décembre 2019.

23 décembre 2019.

23 décembre 2019.


A noter qu'au centre de l'ancienne chambre du 1er étage du logis, il y a actuellement au sol un mauvais réemploi d'un parquet un peu plus sophistiqué, sans doute issu d'un appartement du quartier de la rue ou du square de l'Alboni à Paris, je veux dire un héritage GOUPIL installé ici par mon prédécesseur des années 1950.
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : lundi 23 décembre 2019 15:32
À : (...)architecte@gmail.com>
Cc : C. F. ; T. F.
Objet : RE: Chaslerie - Signalé

Plus précisément, la partie la plus fragile et qui s'écroule est surtout le haut du muret intérieur au conduit. C'est lui qui avait été monté en briques après l'incendie de 1884 et on n'y a pas touché lors des "travaux RONSSERAY" de charpente-couverture d'il y a une douzaine d'années. Ceci dit, il y a aussi des pierres qui tombent ; celles-ci doivent provenir de l'intérieur, autre que ce muret, dudit conduit. En fait, on peut se demander si ce ne sont pas toutes les parties hautes du conduit, visibles de l'extérieur, qui sont plus ou moins mûres.

Bien cordialement,

PPF

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De : (...)architecte@gmail.com>
Envoyé : lundi 23 décembre 2019 15:24
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>; (...)@culture.gouv.fr>
Objet : Re: Chaslerie - Signalé

Bonjour,

oui, donc j'ai raison, ce sont les maçonneries intérieures de la cheminée qui sont fragilisées. Car ce sont les seules parties exposées aux vents. La consolidation des cheminées a du être réalisé avec les travaux de couverture. D'où mon incompréhension. Dès lors, ce sont des travaux qui sont différents de la consolidation des charpentes.

Bien à vous,

(...)
Architecte DPLG - Architecte du Patrimoine
(...)

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Le lun. 23 déc. 2019 à 14:07, Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com> a écrit :

Madame,

Je me suis sans doute mal exprimé. L'âtre (si c'est bien la partie au sol ou bien le fond visible de la cheminée) n'est pas en cause. Pas plus que le fait que j'ai démonté la "cheminée de Mebzon" qui était une ânerie supplémentaire (la liste est longue) de mon prédécesseur des années 1950, en fait une parfaite incongruité puisque cette cheminée date du début de la guerre de 100 ans, ce qui n'a rien à faire dans notre logis.

Les pierres et briques qui tombent ces jours-ci viennent en effet de beaucoup plus haut, près de la sortie du conduit de la cheminée. L'exposition directe et immédiate de cette sortie aux courants d'air, à la pluie et au gel a fini par porter sa marque et le phénomène semble s'accélérer. D'où ces questions d'échafaudage que j'évoquais précédemment comme étant probablement la principale cause du coût des réparations. Je joins un croquis pour tâcher de clarifier ma présentation.

Dans mon courriel de ce matin à M. TIERCELIN (dont vous étiez en cc), j'ai parlé d'une "nouvelle tranche" subventionnable qui couvrirait la question des "poutres pourries" et cette nouvelle question du conduit de la cheminée. A dire vrai, il faudrait, pour bien faire, déclarer à la DRAC que je vais faire installer par BODIN une cheminée Renaissance en granit roux originaire de Bellou-en-Houme (que je viens tout juste d'acheter et qui doit m'être livrée vers le 6 janvier) à la place de l'ancienne "cheminée de Mebzon" que j'ai fait déposer proprement par BODIN (mais, à dire vrai, sans autorisation, cette turpitude étant connue de la DRAC).

Mon idée est que, compte tenu des délais mis pour transformer une idée en travaux concrets, il ne faut pas hésiter à avoir plusieurs trains sur les rails en même temps. Or la 3ème tranche des menuiseries extérieures du logis est déjà dans les limbes, de même que la question des "poutres pourries". Donc, ce matin, je n'ai complété qu'à la marge. Nous aurons aussi, dès que possible, à faire subventionner les menuiseries extérieures de l'aile Ouest qui sont toutes sub-claquantes (notamment celles du colombier et de la tour Louis XIII, ainsi que celles de l'ancien salon de l'"aile de la belle-mère", que j'aimerais restaurer avant de passer le relais à mon aîné ; je précise que celles du colombier sont particulièrement prioritaires à mes yeux car elles conditionnent l'habitabilité de ce bâtiment qu'avec ma famille, je souhaite aussi prochaine que possible).

N'hésitez pas à m'appeler si mes propos vous paraissent encore obscurs.

Bien cordialement,

PPF

N.B. : La "cheminée de Mebzon", proprement démontée et sur palettes, est à vendre. Je n'en ai nulle part l'usage ici. Si vous connaissez des amateurs...

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De : (...)architecte@gmail.com>
Envoyé : lundi 23 décembre 2019 12:07
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>; (...)@culture.gouv.fr>; CORESPA
Objet : Re: Chaslerie - Signalé

Bonjour,

Je fais aussi vite que possible.
Je gère le dossier par urgence comme vous l'avez constaté avec le passage des artisans sur le chantier.

Si vous avez eu des chutes de briques, cela veux dire que votre atre de cheminée n'est pas stable. Cela est surprenant car les travaux de couverture ont été conduits il y a quelques années.

Bien cordialement,

(...)
Architecte DPLG - Architecte du Patrimoine
(...)

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Le dim. 22 déc. 2019 à 20:49, Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com> a écrit :

https://www.chaslerie.fr/blog/message/47617

Bien cordialement,

PPF

(Fin de citation)
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 25 Décembre 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Terrassement - Aile "de la belle-mère" - Murs divers
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De retour en fin d'après-midi aujourd'hui au manoir favori, j'ai pris quelques photos de l'état d'avancement du curetage de la cour, hier, par Igor :

25 décembre 2019.

25 décembre 2019.

25 décembre 2019.

25 décembre 2019.

25 décembre 2019.

25 décembre 2019.

25 décembre 2019.

25 décembre 2019.

Comme on le voit, il y a une grosse lacune de pavage devant la porte charretière mais le pavage existe toujours près du colombier. On aperçoit également une nouvelle ligne de gros pavés à un endroit inattendu (à droite de la deuxième photo).

En ce qui concerne la grosse lacune, elle est peut-être attribuable aux travaux de drainage de la cour dans les années 1950. A moins qu'elle ne soit plus ancienne ; on tâchera de résoudre cette énigme dans les prochains jours.
Après qu'Igor m'a reparlé du problème, je ne suis pas sûr d'arriver à le faire coopérer avec Daniel sur le même chantier. Ceci ne me simplifie pas la vie.

Ce matin, j'avais chargé Igor de poursuivre le curetage de la cour. Mais il vaut peut-être mieux que je conserve cette tâche pour Daniel.

Donc, cette après-midi, j'ai demandé à Igor de poursuivre la pose de lattes de parquet entre les chevrons du colombier. A quelques détails dans les angles et aux lucarnes près, on peut dire que le travail est terminé au niveau des brisis :

27 décembre 2019.

Pour ce qui concerne l'habillage de l'intérieur des lucarnes, Igor me dit à juste titre être gêné tant que les menuiseries des ouvertures n'ont pas été posées. J'espère que celles-ci pourront être fabriquées dans des délais pas trop éloignés afin qu'Igor puisse parfaire son travail à ces endroits avant la fin de son contrat.

Enfin, pour ce qui est du dessous des terrassons, il vaut mieux attendre que je nous ai trouvé suffisamment de lattes de parquet anciennes en chêne ciré pour que les terrassons soient équipés à partir d'un seul lot homogène.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 27 Décembre 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Menuiserie - Aile "de la belle-mère"
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Désireux de savoir quelle surface de parquet nous serait nécessaire pour traiter les terrassons du colombier et quelle surface de planches prévoir pour traiter de même les combles des écuries, j'ai recherché ces informations dans l'"étude préalable à la restauration de la charpente et de la couverture des écuries et du colombier", document signé en 2006 par l'A.C.M.H. alors pressenti pour la maîtrise d’œuvre de ces travaux :

En vain chercherait-on ce type d'informations ou quelque chose d'approchant dans l'"estimation sommaire" d'alors, signée du même, du coût de ces travaux où il n'eut pas été indécent qu'elle figurât :

J'ai donc dû écarquiller les yeux sur les plans et coupes annexés à cette étude :


D'où je conclus que :
- pour les terrassons du colombier, 20 m2 de lattes suffiront (compte tenu du fait qu'il nous en reste à peu près 6) alors que les brisis en auront absorbé une cinquantaine ; pas étonnant que les planchers des deux niveaux supérieurs précédents du colombier n'aient pas suffi (surtout si l'on tient compte de l'ancienne trémie, des espaces dévolus dans les années 1950 aux cabinets de toilette et des chutes inévitables lors du démontage) ;
- pour les écuries, le chiffrage de 400 m2 que j'ai indiqué à la scierie ne tient pas compte des 10 cm de largeur de chevron tous les 45 cm de couverture ; autant dire que 315 m2 devraient suffire.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 28 Décembre 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Menuiserie - Logis - Aile "de la belle-mère"
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Je viens de m'apercevoir que le parquet du premier étage de la tour Nord-Est a la bonne patine et la bonne largeur de lattes pour pouvoir être réemployé entre les chevrons du colombier. Il y en a pour 11 ou 12 m2.

En complétant par des lattes du parquet de mon ancienne chambre du 1er étage du logis, quitte à les faire retailler à 7 cm de largeur (alors qu'elles en ont 9), on devrait pouvoir mener à bien le chantier des terrassons du colombier.

Je mets donc fin à ma quête de lattes de parquet via internet. Tant mieux, c'était fastidieux et je n'avais pas trouvé mon bonheur.

Avant d'aller démonter ces lattes du logis, ce qu'il fera sans doute la semaine prochaine, Igor commence à habiller l'intérieur des lucarnes du colombier :

28 décembre 2019.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 30 Décembre 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Terrassement - Aile "de la belle-mère"
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La nouvelle du jour est que l'ancien pavage est également en pente vers l'Ouest, une pente semble-t-il d'autant plus forte qu'on se rapproche des écuries :

30 décembre 2019.

30 décembre 2019.

30 décembre 2019.

C'en serait presque à se demander si l'on ne rencontrait pas une 4ème douve en poursuivant dans cette direction, à l'époque où les écuries n'étaient pas encore construites.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 30 Décembre 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Plomberie-chauffage - Bâtiment Nord
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Il faisait -3°C ce matin et le chauffage ne fonctionnait pas au 1er étage du bâtiment Nord (c'est-à-dire dans les chambres).
A gla gla !


Régis FOUILLEUL vient de changer la pompe défaillante :

30 décembre 2019.


P.S. (du 31 décembre 2009 à 15 heures) : Régis est repassé car Carole se plaignait que le radiateur reste froid dans sa chambre. Il a suffi qu'il tourne le robinet. On n'est pas très doués.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 30 Décembre 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Menuiserie - Aile "de la belle-mère"
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Avec Igor, on se demande comment obtenir, au niveau des lucarnes, que l'air circule entre les lattes et le "skytech" de manière que la condensation ne finisse pas par pourrir un jour le bois :

30 décembre 2019.

30 décembre 2019.

Nous n'avons pas encore mis en œuvre de solution satisfaisante mais on a quelques idées.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 2 Janvier 2020
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Menuiserie - Logis - Aile "de la belle-mère"
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Tant que les menuiseries des ouvertures n'y auront pas été installées, Igor sera bloqué dans son travail de pose de lattes à l'intérieur des lucarnes du colombier.

Ce matin, il a commencé à démonter le plancher du 1er étage de la tour Nord-Est :

2 janvier 2020.

Je rappelle que ces lattes serviront au niveau des terrassons du colombier. Quant au sol du 1er étage de la tour Nord-Est, il sera recouvert de carrelage lorsque cette pièce abritera une salle-de-bains (avec une baignoire, ce qui sera un luxe ici).

P.S. (à midi) : Ah, zut, je crois que c'est du châtaignier !

2 janvier 2020.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 2 Janvier 2020
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Menuiserie - Aile "de la belle-mère"
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Il y a, sur les photos suivantes et d'après moi, deux morceaux de latte en châtaignier et un en chêne :

2 janvier 2020.

2 janvier 2020.

2 janvier 2020.

Je précise que la latte en chêne est la plus épaisse (celle à gauche de la première photo et en haut de la deuxième).

Je ne sais pas ce que vous en pensez mais je trouve qu'on ne peut pas dire que la différence interdise l'usage que l'on en aurait dans le colombier.

Je vais quand même essayer d'obtenir l'avis de Sébastien LEBOISNE.

P.S. (à 17 h 30) : Sébastien, interrogé, me dit que les deux essences se patineront de la même façon. Il estime que l'on peut les juxtaposer, surtout s'il y a une nette séparation entre les deux, comme ce sera le cas ici entre les brisis et les terrassons.

Igor va donc pouvoir reprendre le démontage.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 2 Janvier 2020
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Menuiserie - Aile "de la belle-mère"
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A la lumière de la fin de journée, les différences de couleur entre le chêne et le châtaignier sont imperceptibles :

2 janvier 2020.

La question se pose néanmoins de savoir s'il en ira de même une fois que Julien ROBVEILLE (dont j'attends le devis) aura installé ses éclairages.

Pour éviter les hiatus, on veillera à réserver le chêne (dont il nous reste peu) aux angles de la charpente, destinés à être les moins visibles.

Dans l'immédiat, Igor fait disparaître des poutres les dernières traces de l'horrible revêtement des années 1950 (des toiles cimentées et peinturlurées qui ont sauté dès le début de la restauration de la charpente du colombier, ce devait être en 2015) :

2 janvier 2020.

2 janvier 2020.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 3 Janvier 2020
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Menuiserie - Logis
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Pour récupérer les lattes, Igor a eu l'idée de les détacher des lambourdes en en abandonnant une extrémité, découpée à la tronçonneuse. Ainsi les chutes sont moindres et le travail beaucoup plus rapide qu'à la barre à mine :

3 janvier 2020.