Architecture-M.O.

Alex s'est occupé hier de la moitié Sud de la sablière extérieure Ouest. Il a commencé par la dégager du haut de la façade :

29 mai 2015.

Il a dû pour ceci couper le tenon de la sablière Sud. Voici l'extrémité Sud pourrie de la sablière qu'il a ainsi dépostée :

29 mai 2015.

L'extrémité Nord ne vaut pas mieux :

29 mai 2015.

29 mai 2015.

Voici Alex en train de couper cette dernière...

29 mai 2015.

... puis de parfaire la coupe au ciseau...

29 mai 2015.

... ce qui lui donne un profil qui facilitera la tenue de la greffe à venir :

29 mai 2015.

P.S. du 31 mai 2015 : A la réflexion, je me demande s'il est bon que les greffes visibles sur les sablières s'effectuent, sur le colombier, selon des plans à 45°, c'est-à-dire comportent une section apparente en zigzag. Je rappelle que, sur la sablière Sud du colombier, au niveau de la lucarne, les angles sont à 90°, donc comportent des sections apparentes verticales. Il en avait été de même pour les greffes que Roland BOUSSIN avait réalisées sur les sablières de la chapelle. Alors, pourquoi cette novation sur le colombier ? Je vais demander son avis à M. MAFFRE.

Vendredi matin, Thierry était tout fringant en début de matinée :

29 mai 2015.

29 mai 2015.

Il a passé la journée à se battre avec la greffe de la sablière Sud du colombier :

29 mai 2015.

Le fait est que sa forme sera particulièrement complexe...

29 mai 2015.

29 mai 2015.

... sans parler du fait qu'elle devra ne pas affaiblir l'assemblage initial, c'est-à-dire le raccord, tel qu'il existe depuis l'origine, entre les deux moitiés de la sablière Sud, d'où cette encoche que taille Thierry :

29 mai 2015.

En fin de journée, la greffe n'avait pas fini d'être ajustée.

Igor avançait à un bon rythme sur le deuxième petit pont.

31 mai 2015.

Il va pourtant falloir que je l'interrompe bientôt car d'autres priorités apparaissent :

- à la demande de Thierry BOURRE, il devrait aller couper les ronces du côté de l'"Avenue Fourcade" ;

- à la demande de la S.A.R.L. BOUSSIN-LIEGEAS, il faudra qu'il aille restaurer les espaces entre sablières du colombier et rejointoyer le haut des murs sous les sablières déplacées pour leur propre restauration ;

- à ma demande, il va falloir couper de nouveau l'herbe aux abords immédiats du manoir et finir de tailler diverses haies, notamment celle sur la D22 car, quand on sort de la propriété, on ne voit plus les voitures qui arrivent de la gauche, souvent à toute allure malgré le panneau.

Il y a quelques jours, j'ai envoyé à Dominique LEMAIRE le courriel suivant :

(début de citation)

Cher Domino,

Après que tu as brillamment relevé le gant à propos des éoliennes, je te propose un autre défi.

Il s'agirait pour toi d'illustrer deux lois fondamentales :

- la loi de FORNARI : "Une erreur répétée est un parti architectural".

- la loi de FOURCADE : "Il faut toujours penser à faire de petites conneries. Ainsi, le jour où une grosse est commise, elle se voit moins".

Toutes appréciations, philosophiques ou autres, sont bien entendu libres et même bienvenues.

Amitiés,

PPF

(fin de citation)

En guise de cas pratique immédiat, il s'agirait de déterminer si la coupe en zigzag des sablières du colombier obéit à la première loi ou à la seconde.

Je verse au dossier quelques photos des sablières de la chapelle, réalisées par le même artisan sur un bâtiment classé du même manoir :

1er juin 2015.

1er juin 2015.

1er juin 2015.

1er juin 2015.

Thierry me fait observer que les greffes qu'il avait réalisées antérieurement à la Chaslerie étaient droites, comme sur la tour Nord-Est :

1er juin 2015.

... et qu'il en était allé de même pour les travaux réalisés pour mon prédécesseur dans les années 1970, sur la tour Louis XIII :

1er juin 2015.

1er juin 2015.

Bien que ces photos ne soient pas très claires, je confirme que toutes les greffes réalisées sur les sablières de la Chaslerie ont été droites, qu'elles aient été réalisées par le même artisan (chapelle, tour Nord-Est) ou par son prédécesseur (tour Louis XIII).

La question paraît donc se poser de savoir si, sur le colombier, nous ne serions pas, en introduisant la novation de greffes en zigzag, en train d'appliquer simultanément les deux lois d'anthologie rappelées ci-dessus. J'interroge donc de nouveau l'architecte.

P.S. : J'insiste avec d'autant plus de conviction que les raccords de sablières ont été droits tant sur les écuries (dont la charpente a été restaurée l'an dernier sous le contrôle du même architecte)...

1er juin 2015.

... que sur le bâtiment Nord :

1er juin 2015.

En fait, il n'y a qu'un endroit où la coupe est oblique, c'est à l'angle du bâtiment Nord et du logis...

1er juin 2015.

... et le résultat en est complètement raté.

Tressons une nouvelle couronne à notre site favori qui, une fois de plus, a prouvé son utilité pour éclairer les artisans en peine.

Régis, Alex et Thierry se demandaient cet après-midi, en tirant des ficelles, comment disposer les arêtiers des terrassons du colombier :

3 juin 2015.

3 juin 2015.

3 juin 2015.

3 juin 2015.

Le fait est que la tour étant à peu près carrée, ces arêtiers devraient "a priori" converger en un point unique. Mais l'insertion d'un faitage les a vrillés par rapport aux arêtiers des brisis.

En outre, ces jeunes gens étaient perplexes quant à la façon de traiter les sablières hautes (celles qui séparent les brisis des terrassons). Je les ai donc entraînés dans mon bureau...

3 juin 2015.

... pour leur montrer des photos du démontage dont ils n'avaient pas été témoins, dont celles-ci :

11 mai 2015.

11 mai 2015.

Ayant ainsi compris que ces sablières hautes étaient recouvertes de planchettes, ils ont pu remonter rassérénés dans les échafaudages, la difficulté qu'ils rencontraient étant donc résolue :

3 juin 2015.

J'ai vérifié sur l'ensemble des bâtiments de la Chaslerie si mes remarques sur les liens des sablières étaient fondées ou non.

Or, qu'il s'agisse du logis...

1er juin 2015.

1er juin 2015.

1er juin 2015.

... de la tour Sud-Ouest...

1er juin 2015.

1er juin 2015.

... du logis sur sa façade Sud...

1er juin 2015.

... ou même de la charretterie...

1er juin 2015.

... on retrouve partout des liens droits et non en zigzag.

Le seul endroit où cette observation ne se vérifie pas est la cave...

1er juin 2015.

... où j'ai vu une greffe oblique de sablière réussie.

Il est vrai que, sur la cave, les greffes, effectuées il y a une vingtaine d'années par Roland BOUSSIN sous le contrôle de Nicolas GAUTIER, A.B.F., ...

1er juin 2015.

1er juin 2015.

... étaient particulièrement délicates :

1er juin 2015.

J'espère donc qu'à la prochaine réunion de chantier, programmée pour le lundi 8 juin à venir, il sera possible de rectifier les orientations pour les sablières du colombier.

Il y a d'ailleurs un autre sujet que je voudrais qu'on réexamine lors de cette réunion. Je l'évoquerai dans un prochain message.

Thierry a poursuivi son travail sur la greffe de la sablière extérieure sous la lucarne Sud. Voici la forme finale de la greffe avant pose...

1er juin 2015.

... et la voici après pose mais avant rabotage :

1er juin 2015.

1er juin 2015.

... puis après rabotage et frottage à l'ammoniac (de façon à faciliter la patine) :

1er juin 2015.

On remarquera que Thierry a dû adoucir une rupture de ligne à la jonction entre l'ancienne sablière et la greffe :

1er juin 2015.

1er juin 2015.

Il ne reste plus qu'à fixer définitivement cette greffe qui est ici simplement posée. Thierry m'a dit qu'il la chevillerait à l'ancienne pièce de bois mais que, compte tenu de la faible épaisseur de cette dernière à des endroits critiques, il serait également obligé de visser (ces vis ne se verront pas).

Voici l'état, avant greffe, de la sablière extérieure du colombier sous la lucarne Sud-Est :

1er juin 2015.

On voit les ravages que produisent des infiltrations d'eau non soignées :

1er juin 2015.

Le bois a ainsi pourri sur plus de 10 cm de profondeur (mes doigts tendus ne touchent pas le fond) :

1er juin 2015.

Voici le spectacle après enlèvement de l'essentiel de la partie pourrie...

3 juin 2015.

... et le voici après simple insertion de la greffe dans cette encoche et avant rabotage et autres finitions :

3 juin 2015.

3 juin 2015.

Le nouveau poinçon Est avait rejoint son entrait neuf le 1er juin dernier et le faitage avait été posé, ainsi que les arbalétriers s'appuyant sur le nouveau poinçon :

1er juin 2015.

1er juin 2015.

Régis s'est alors occupé du brisis Ouest, en particulier de son poteau nettement pourri vers l'extérieur...

1er juin 2015.

3 juin 2015.

Il a commencé par retirer la moitié extérieure de la sablière supérieure...

1er juin 2015.

... ainsi que la partie pourrie du poteau en-dessous :

1er juin 2015.

1er juin 2015.

1er juin 2015.

3 juin 2015.

Il a greffé le poteau...

3 juin 2015.

3 juin 2015.

... puis la sablière :

3 juin 2015.

Les voici en cours de fixation :

3 juin 2015.

J'en viens à la seconde question qui me turlupine et que je souhaiterais voir réétudiée lors de la prochaine réunion de chantier. Il s'agit d'une erreur manifeste de l'équipe probable de Jean MIDY mourant voici 250 ans environ. Il y a en effet un hic au niveau de la sablière intérieure haute, à l'angle Nord-Ouest : il manque une dizaine de cm à la pièce de bois en question...

3 juin 2015.

1er juin 2015.

... et c'est moche, notamment vu de l'intérieur du colombier :

1er juin 2015.

En l'absence de greffe, le défaut serait visible, même après revêtement intérieur.

Compte tenu de la qualité et du coût des travaux entrepris, j'estime qu'il ne faut pas mollir : il est grand temps de réparer l'erreur des Anciens, ce qui peut être fait facilement avec notre équipe de charpentiers favorite.

Thierry en a quasiment fini avec les greffes des sablières au niveau des lucarnes.

Voici un petit reportage consacré pour l'essentiel à la restauration de la sablière extérieure basse, sous la lucarne Nord-Est :

4 juin 2015.

D'abord scier les bouts de lattes de parquet qui gêneraient la manœuvre de la grosse scie électrique :

4 juin 2015.

Puis ôter la partie malade, d'abord avec cette scie qui coupe à 45° :

4 juin 2015.

Voici où on est au terme de cette étape :

4 juin 2015.

Faire éclater le bois...

4 juin 2015.

... poursuivre à la tronçonneuse...

4 juin 2015.

... en veillant à ne pas affaiblir le lien (sur la droite de l'ouverture pratiquée) entre la sablière extérieure et l'intérieure...

4 juin 2015.

... puis parfaire la coupe au ciseau à bois :

4 juin 2015.

Commencer à tailler la pièce de bois qui fournira la greffe :

4 juin 2015.

Quand elle est dégrossie, la glisser dans la fente (en utilisant la chute comme chausse-pied), de manière à mieux comprendre les ajustements à effectuer :

4 juin 2015.

Procéder aux ajustements (sur la photo suivante, la pièce à insérer dans la fente est retournée ; sa face supérieure est tournée vers le bas et sa face arrière vers l'avant) :

4 juin 2015.

Quand elle a été ajustée (en veillant notamment au lien entre sablières), raboter sa face visible en tant que nécessaire :

5 juin 2015.

Fixer la greffe à la sablière extérieure à l'aide de chevilles de chêne :

5 juin 2015.

Fixer de même la greffe sous la lucarne Sud-Est...

5 juin 2015.

... et commencer à en faire autant à la greffe de la lucarne Sud :

5 juin 2015.

Je précise qu'il n'y a pas lieu de s'étonner de la couleur des parties neuves : elles seront invisibles une fois la couverture posée.

Régis a passé beaucoup de temps à soigner les parties pourries de l'ossature intérieure du versant Ouest des brisis.

Il a chevillé la greffe du poteau atteint...

4 juin 2015.

... dont le profil est désormais nickel :

4 juin 2015.

De même, il a restauré la sablière supérieure extérieure Ouest en y chevillant une planche de chêne soigneusement ajustée :

4 juin 2015.

4 juin 2015.

4 juin 2015.

Après quoi, il a installé une nouvelle sablière supérieure extérieure sur ce versant Ouest, que voici vue du Sud...

5 juin 2015.

... puis vue du Nord (on voit bien le travail réalisée sur la sablière intérieure correspondante) :

3 juin 2015.

Vu de dessous, l'ensemble est redevenu nickel et prêt à recevoir les chevrons :

5 juin 2015.

A noter que le lien que l'on voit à gauche de la dernière photo (la pièce oblique) a été taillé dans un de ces vieux bouts de bois que je stocke aux alentours de la ferme, sous des tôles ondulées ; l'original était trop compliqué à restaurer et le jeu n'en valait pas la chandelle puisque nous avions une rechange pratiquement impeccable.

En fin de semaine, de nouveaux arêtiers ont pris place contre le poinçon Est. Les voici vus du Sud-Est...

5 juin 2015.

... puis du Nord-Est :

5 juin 2015.

J'entends que Régis et Thierry se demandent si, compte tenu du poids des tuiles des terrassons et de l'angle relativement aplati de ceux-ci, il n'y aurait pas lieu de conforter les arêtiers par un lien issu du bas des poinçons par exemple (je suis réservé sur le principe de cette novation). Il y a aussi des interrogations sur les anciennes pannes trop courtes des terrassons et l'opportunité de prolonger les échantignoles des arbalétriers pour relever ces pannes ou bien, carrément, de remplacer ces dernières par des pièces de bois neuves et de bonne longueur (solution qui, je l'avoue, aurait ma préférence).

Ces questions seront à traiter lundi lors de la 3ème réunion de chantier sous la houlette de l'architecte, M. MAFFRE. Cette réunion devrait se tenir en présence de la représentante de la D.R.A.C. en charge des monuments classés dans l'Orne, Emeline LE NOZAHIC, qui pourra ainsi constater, je pense, que tout se passe très bien à ce stade.

Comme me le disait récemment un ami, "Je ne souhaite pas solliciter la protection de mon monument car on n'est plus maître chez soi".

M. MAFFRE n'a rien voulu savoir, les coupes des greffes des sablières réalisées sous son contrôle seront en zigzag.

8 juin 2015.

8 juin 2015.

8 juin 2015.

8 juin 2015.

8 juin 2015.

8 juin 2015.

J'ai néanmoins obtenu que l'erreur des Anciens, dans l'angle Nord-Ouest des sablières hautes, soit corrigée.

M. MAFFRE ayant souhaité que des pièces métalliques viennent renforcer la solidité des angles des sablières hautes, il a choisi de suivre mon idée plutôt que celle de Roland BOUSSIN à propos de la forme à donner à ces renforts. Ce dernier pensait à deux "L" de part et d'autre de chaque arêtier. J'ai fait valoir qu'il valait mieux, aux 4 angles concernés, un "L" horizontal portant un sabot où insérer l'arêtier.

Pour le reste, j'ai retenu que, d'après Roland BOUSSIN, l'ossature intérieure de la charpente du colombier n'était pas due à Jean MIDY. Il ne reconnaît pas son style. Il a sans doute raison. L'ossature intérieure lui semble surdimensionnée, signe qu'à l'époque des premières charpentes mansardées, la doctrine n'était pas fixée. En outre, l'intervention d'une autre équipe de charpentiers que la première serait confirmée sur ce que j'appelle l'ossature extérieure.

Igor a commencé à restaurer les maçonneries entre sablières. Alors qu'il se proposait de scier les lattes du parquet des combles qui le gênaient pour accéder à son espace de travail, je lui ai suggéré de se borner à en retirer certaines, de manière à permettre leur repose si mon aîné désire conserver ce parquet :

8 juin 2015.

8 juin 2015.

8 juin 2015.

8 juin 2015.

Un coulis de chaux a ensuite été déversé de manière à s'infiltrer dans les anfractuosités des murs...

8 juin 2015.

... ce qui a permis de confirmer que ce travail n'était pas du luxe puisque du coulis est ressorti dans la chambre située sous les compbles :

8 juin 2015.

Enfin, Igor a disposé un mortier de chaux jusqu'au bas desdites sablières, du moins côté Sud à ce stade :

8 juin 2015.

Je persiste à trouver que l'architecte a fait un mauvais choix en donnant aux greffes réalisées sous son contrôle un profil en zizgag...

9 juin 2014.

... alors que, sur le même bâtiment, les Anciens avaient toujours prévu des coupes droites, comme encore ici sur la sablière Est,...

9 juin 2014.

... et alors que j'ai montré qu'il en était allé de même, à une seule exception près (la cave), sur tous, absolument tous, les autres bâtiments de la Chaslerie.

Mais M. MAFFRE a refusé d'en démordre, affirmant que les coupes qu'il préconise sont un gage de solidité des greffes et que, de toutes façons, la patine qui sera appliquée ne permettra plus de voir la différence. Dans le rôle d'observateur attentif qui est le mien en l'espèce, je déplore cette novation alors qu'il reste à prouver qu'il existe le moindre risque de cisaillement du schéma traditionnel. Donc puisque, semble-t-il, mon avis compte pour du beurre, les compagnons de Roland BOUSSIN ont appliqué les instructions qui leur ont été confirmées hier sans que M. BOUSSIN, qui avait pourtant réalisé la plupart des coupes droites antérieures, n'émette la moindre objection. Cette dernière observation ne m'a pas étonné de la part d'un individu dont je crois, depuis le temps, assez bien connaître le caractère.

A noter que ces compagnons, Thierry et Alex en l'occurrence, ne sont plus que deux sur notre chantier favori alors que la S.A.R.L. BOUSSIN-LIEGEAS n'a toujours pas été capable, malgré les demandes réitérées de mon fils et de l'architecte, de fournir le moindre calendrier de la suite de ses interventions. Ce constat permet d'imaginer que cette entreprise ne tiendra pas ses derniers engagements de terminer le chantier pour la fin juillet 2015 plus qu'elle ne l'avait fait, comme l'on sait, pour un début avant la fin de 2014.

J'observe également que les compagnons de cette entreprise ne disposant pas des outils traditionnels pour former les moulures des sablières, sont obligés de bidouiller ces dernières avec des engins modernes,...

9 juin 2014.

... y compris une tronçonneuse, au moins pour commencer le travail.

9 juin 2014.

Et les finitions, au moins avant patine, paraissent à ce stade devoir s'en ressentir.

9 juin 2014.

9 juin 2014.

Dans un ordre d'idées voisin, je signale que, hier, lors de la réunion de chantier, M. MAFFRE a refusé de me suivre lorsque j'ai redemandé que les traces de scie moderne soient effacées des flancs des entraits des poinçons (comme ils l'ont bien été sur le nouveau poinçon Est, ce qui confirme, bien entendu, que cette intervention n'aurait rien d'impossible). Il va jusqu'à dire qu'il faut que l'œil fasse la différence entre les parties anciennes et les parties neuves : foutaises d'après moi !

Bref, il y a comme qui dirait de meilleurs jours pour les payeurs.
Ou, du moins, pour leur représentant.