Je viens de m'apercevoir que le parquet du premier étage de la tour Nord-Est a la bonne patine et la bonne largeur de lattes pour pouvoir être réemployé entre les chevrons du colombier. Il y en a pour 11 ou 12 m2.
En complétant par des lattes du parquet de mon ancienne chambre du 1er étage du logis, quitte à les faire retailler à 7 cm de largeur (alors qu'elles en ont 9), on devrait pouvoir mener à bien le chantier des terrassons du colombier.
Je mets donc fin à ma quête de lattes de parquet via internet. Tant mieux, c'était fastidieux et je n'avais pas trouvé mon bonheur.
Avant d'aller démonter ces lattes du logis, ce qu'il fera sans doute la semaine prochaine, Igor commence à habiller l'intérieur des lucarnes du colombier :
La nouvelle du jour est que l'ancien pavage est également en pente vers l'Ouest, une pente semble-t-il d'autant plus forte qu'on se rapproche des écuries :
C'en serait presque à se demander si l'on ne rencontrait pas une 4ème douve en poursuivant dans cette direction, à l'époque où les écuries n'étaient pas encore construites.
Il faisait -3°C ce matin et le chauffage ne fonctionnait pas au 1er étage du bâtiment Nord (c'est-à-dire dans les chambres).
A gla gla !
Régis FOUILLEUL vient de changer la pompe défaillante :
P.S. (du 31 décembre 2009 à 15 heures) : Régis est repassé car Carole se plaignait que le radiateur reste froid dans sa chambre. Il a suffi qu'il tourne le robinet. On n'est pas très doués.
Avec Igor, on se demande comment obtenir, au niveau des lucarnes, que l'air circule entre les lattes et le "skytech" de manière que la condensation ne finisse pas par pourrir un jour le bois :
Nous n'avons pas encore mis en œuvre de solution satisfaisante mais on a quelques idées.
Le matin...
... et l'après-midi...
...
les temps sont difficiles !
P.S. : Igor tient à préciser qu'ils bossent quand même de temps en temps. Comprendre entre les cafés.
Tant que les menuiseries des ouvertures n'y auront pas été installées, Igor sera bloqué dans son travail de pose de lattes à l'intérieur des lucarnes du colombier.
Ce matin, il a commencé à démonter le plancher du 1er étage de la tour Nord-Est :
Je rappelle que ces lattes serviront au niveau des terrassons du colombier. Quant au sol du 1er étage de la tour Nord-Est, il sera recouvert de carrelage lorsque cette pièce abritera une salle-de-bains (avec une baignoire, ce qui sera un luxe ici).
P.S. (à midi) : Ah, merde, je crois que c'est du châtaignier !
Il y a, sur les photos suivantes et d'après moi, deux morceaux de latte en châtaignier et un en chêne :
Je précise que la latte en chêne est la plus épaisse (celle à gauche de la première photo et en haut de la deuxième).
Je ne sais pas ce que vous en pensez mais je trouve qu'on ne peut pas dire que la différence interdise l'usage que l'on en aurait dans le colombier.
Je vais quand même essayer d'obtenir l'avis de Sébastien LEBOISNE.
P.S. (à 17 h 30) : Sébastien, interrogé, me dit que les deux essences se patineront de la même façon. Il estime que l'on peut les juxtaposer, surtout s'il y a une nette séparation entre les deux, comme ce sera le cas ici entre les brisis et les terrassons.
Igor va donc pouvoir reprendre le démontage.
A la lumière de la fin de journée, les différences de couleur entre le chêne et le châtaignier sont imperceptibles :
La question se pose néanmoins de savoir s'il en ira de même une fois que Julien ROBVEILLE (dont j'attends le devis) aura installé ses éclairages.
Pour éviter les hiatus, on veillera à réserver le chêne (dont il nous reste peu) aux angles de la charpente, destinés à être les moins visibles.
Dans l'immédiat, Igor fait disparaître des poutres les dernières traces de l'horrible revêtement des années 1950 (des toiles cimentées et peinturlurées qui ont sauté dès le début de la restauration de la charpente du colombier, ce devait être en 2015) :
L'avis d'
Emmanuel PICAULT me serait bien utile à propos du calepinage à mettre en œuvre pour le pavage de la cour.
Mais son frère Vincent, à qui j'ai téléphoné aujourd'hui, ne sait pas quand il réapparaîtra dans le pays. Il y vient une fois par an, m'indique-t-il.
Le démontage des lattes de châtaignier s'avère délicat. Souvent les rainures se déchirent, ce qui se traduira par des pertes non prises en compte dans mes anticipations :
Pour récupérer les lattes, Igor a eu l'idée de les détacher des lambourdes en en abandonnant une extrémité, découpée à la tronçonneuse. Ainsi les chutes sont moindres et le travail beaucoup plus rapide qu'à la barre à mine :
Igor retire les clous des lattes récupérées :
Dans la future salle-de-bains, un peu de ménage ne serait pas inutile :
On n'y voit plus grand chose mais Igor a entrepris de démonter le sol du 1er étage de la tour Nord-Est :
Il continuera lundi.
De mon côté, je vais réfléchir à la suite des opérations dans cette tour. Devrais-je en profiter pour reprendre à ma façon le plafond de l'étage en-dessous ? Ce serait mon idée, peut-être en utilisant les solives anciennes, achetées du côté du Mans, que l'on devrait me livrer enfin un de ces jours. J'envisage également de restaurer les corbeaux soutenant la poutraison de ce plafond qui serait peint à l'ancienne. Mais, puisqu'il y aurait une salle-de-bains à l'étage, ne devrais-je pas d'abord faire poser par l'entreprise PICAULT un dispositif à base de poutrelles en béton analogue à celui du rez-de-chaussée du colombier ? Après tout, on disposerait de toute la place nécessaire pour cela.
Miracle de la technique moderne, Igor a réussi à faire venir l'électricité au 1er étage du logis, il continue donc, plus longtemps que prévu, à récurer le 1er étage de la tour Nord-Est.
Guguss est très intéressé :
Etat des lieux au 1er étage du logis, dans sa moitié Nord :
Le plafond de la pièce du rez-de-chaussée de la tour Nord-Est :
Du travail ni fait, ni à faire, des matériaux de merde (années 1950...), je déteste cela.
J'observe un point d'humidité dans un angle :
Il correspond à un autre point d'humidité que j'avais remarqué à l'étage au-dessus :
Il faudra surveiller ça. Cela correspond au petit muret qui se trouve au Sud de la petite terrasse du dessus de l'arrière-cuisine du bâtiment Nord.
Pendant que Francis débarrasse les gravats du 1er étage du logis...
... Igor poursuit le curetage de la cour. La récolte du jour paraît devoir rester maigre ; près de l'"aile de la belle-mère", il ne semble plus y avoir de pavage mais un ramassis de pierres et de cailloux :
Il est certain que le grattage de la couche de bitume sollicite beaucoup la mini-pelle :
En fin de matinée, une attache du godet au bras articulé a fini de se fendre :
Il faudra remplacer ce godet ; je vais essayer d'en trouver un d'occasion. En attendant, le décapage se poursuivra à l'ancienne (pelle, pioche et huile de coude).
S'il se confirme que les résultats de décapage sont, au moins à ce stade, décevants du côté du colombier...
... en revanche, du côté Nord de la cour, une belle ligne de pavés se prolonge, comme on s'en doutait, jusqu'à la limite présumée de l'ancienne "aile en retour" :
Les jours rallongent, certes, mais pas suffisamment pour que j'aie pu bien me rendre compte des progrès de l'après-midi :
