Bien entendu, cette semaine, Pascal est obligé par la météo de rester chez lui.
Bernard, en revanche, est venu aujourd'hui débroussailler le terrain de la Josselinière, au bord du Beaudouët, que j'avais fait planter d'aulnes glutineux il y a 11 ans déjà. Ces arbres ont bien poussé. Voici Bernard à l'oeuvre, à l'aide du tracteur Valtra : Il m'a dit que, ce matin à deux reprises, un sanglier s'est approché du tracteur, comme pour le narguer. Cet animal doit se plaire à cet endroit. Comme on le comprend...
Arboriculture-horticulture
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 2 Décembre 2010
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Nature (hors géologie) - Météo - Désultoirement vôtre !
rédigé le Jeudi 2 Décembre 2010
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Nature (hors géologie) - Météo - Désultoirement vôtre !
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 12 Février 2011
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Plomberie-chauffage - Arboriculture-horticulture - Bâtiment Nord - Ferme et son fournil
rédigé le Samedi 12 Février 2011
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Plomberie-chauffage - Arboriculture-horticulture - Bâtiment Nord - Ferme et son fournil
Pascal a terminé la semaine en continuant à maçonner à l'intérieur de la ferme :Ce matin, j'attends la visite de M. DELTA, le plombier, de M. PRUNIER, le carreleur, et de Pascal. Nous devons nous mettre d'accord sur les travaux au sol des deux pièces du bâtiment Nord critiques à ce stade du chantier, soit l'entrée et la chambre du rez-de-chaussée (avec son cabinet de toilettes et son dressing). J'en profiterai pour voir avec M. DELTA s'il peut déplacer la fixation de la future cuvette de w.-c.
P.S. 1 : La réunion de ce matin s'est très bien passée. M. DELTA a accepté, sans difficulté, de déplacer le socle de la cuvette. Ces Messieurs ont parlé des épaisseurs des matériaux qu'ils vont superposer sur le sol. Mon intention est enfin d'avancer prioritairement dans la restauration intérieure du bâtiment Nord ; cette fois, Carole m'en a en effet convaincu. Cela se fera par étapes. Je ne sais encore combien de temps cela prendra.
P.S. 2 : J'ai croisé Bernard dans l'après-midi. Il souffre du dos, ce qui explique son absence ces derniers jours. Je lui souhaite un prompt rétablissement.
P.S. 1 : La réunion de ce matin s'est très bien passée. M. DELTA a accepté, sans difficulté, de déplacer le socle de la cuvette. Ces Messieurs ont parlé des épaisseurs des matériaux qu'ils vont superposer sur le sol. Mon intention est enfin d'avancer prioritairement dans la restauration intérieure du bâtiment Nord ; cette fois, Carole m'en a en effet convaincu. Cela se fera par étapes. Je ne sais encore combien de temps cela prendra.
P.S. 2 : J'ai croisé Bernard dans l'après-midi. Il souffre du dos, ce qui explique son absence ces derniers jours. Je lui souhaite un prompt rétablissement.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 25 Février 2011
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Terrassement - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Cave - Ferme et son fournil
rédigé le Vendredi 25 Février 2011
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Terrassement - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Cave - Ferme et son fournil
Pendant que Pascal remonte, comme l'on sait, la fenêtre Ouest du rez-de-chaussée de l'extension Sud de la ferme, Bernard travaille à 2 km de là, au Tertre Linot. Il continue à remettre de l'ordre dans le terrain bahuté qu'il m'a vendu il y a quelques années. Ce terrain va donc redevenir aussi propre qu'un sou neuf. Voici Bernard à l'oeuvre ce matin :Et voici un lierre que Bernard va faire disparaître, à ma demande. Le diamètre de son tronc montre qu'il est parti à l'assaut du chêne il y a belle lurette :En bas du Tertre Linot, Bernard me fait découvrir un puits qu'il utilisait pour abreuver ses vaches dans le temps. Il est plein jusqu'au niveau du sol exactement, ce qui montre à quel point le terrain est humide à cet endroit.
Cela me donne l'idée de regarder jusqu'où est montée l'eau dans le puits de la ferme de la Chaslerie. Voici la réponse :Elle s'y trouve actuellement à 1 m 45 sous le niveau du sol. Elle est ainsi montée de 2 m 50 depuis l'été (voir le message posté le 31 août 2010 en page 4 sous cet onglet). Pascal me dit qu'il l'a même vue plus haute dans le courant de l'hiver. Autrement dit, la sécheresse n'est pas encore pour demain par ici.
On a donc eu bien raison de drainer les abords des bâtiments alentours fin septembre dernier (voir les messages sous cet onglet à partir de la page 5 et du 25 septembre 2010). Tous ces drains fonctionnent très bien. L'intérieur de la cave est parfaitement assaini désormais, comme l'avait été il y a quelques années l'intérieur de la ferme.
Cela me donne l'idée de regarder jusqu'où est montée l'eau dans le puits de la ferme de la Chaslerie. Voici la réponse :Elle s'y trouve actuellement à 1 m 45 sous le niveau du sol. Elle est ainsi montée de 2 m 50 depuis l'été (voir le message posté le 31 août 2010 en page 4 sous cet onglet). Pascal me dit qu'il l'a même vue plus haute dans le courant de l'hiver. Autrement dit, la sécheresse n'est pas encore pour demain par ici.
On a donc eu bien raison de drainer les abords des bâtiments alentours fin septembre dernier (voir les messages sous cet onglet à partir de la page 5 et du 25 septembre 2010). Tous ces drains fonctionnent très bien. L'intérieur de la cave est parfaitement assaini désormais, comme l'avait été il y a quelques années l'intérieur de la ferme.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 11 Mars 2011
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse
rédigé le Vendredi 11 Mars 2011
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse
Cette nuit vers 3 h du matin, alors que je descendais de la Kangoo, j'ai été accueilli par une bonne odeur d'herbe fraîchement coupée. Bernard a donc passé le "John Deere" pour la première fois de l'année.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 12 Mars 2011
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Logis - Aile "de la belle-mère" - Murs divers
rédigé le Samedi 12 Mars 2011
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Logis - Aile "de la belle-mère" - Murs divers
Carole est d'une grande égalité d'humeur, ce n'est pas la moindre de ses qualités.
Lorsqu'elle est arrivée hier en fin d'après-midi à la Chaslerie, elle s'est d'abord dirigée vers la pièce qui sert de cuisine où elle a constaté que ses camélias en pots faisaient peine à voir. Elle les avait achetés à Saint-Jean-de-Beauregard à l'automne mais n'avait donné aucune instruction à Bernard pour les soigner en son absence. De mon côté, je n'avais rien fait non plus. Au bout d'un moment dans cette pièce, elle m'a dit : "Et ces grilles ?"
Nous avons traversé la cour en silence. J'avais un peu d'appréhension parce qu'avant que le soir ne tombe, les grilles sont particulièrement visibles de l'intérieur des pièces, sur fond de verdure éclairée par le soleil couchant.
Dans la salle-à-manger, elle m'a dit : "C'est ce à quoi je m'attendais."Dans le salon, elle a ajouté, d'un ton dépité : "Ah là, là !" puis, résignée en quittant la pièce : "De toutes façons, maintenant, ce qui est fait est fait !" Nous sommes allés faire un tour sur la terrasse. Là, elle a reconnu : "Vu d'ici, ça a de l'allure, et ça complète bien la façade."Elle a ensuite examiné le détail des grilles du salon et commenté : "Il n'y a pas à dire, c'est du beau travail !"Devant le mur qui relie la chapelle au manoir, elle m'a demandé : "Et le portail, où en es-tu ?" J'ai grommelé qu'on y pensait. La "bataille" semblait gagnée.
Enfin, le soir, après être montée à l'étage en passant devant le grand-oncle Paul, peu avant de s'endormir du sommeil du juste, elle a conclu ces découvertes d'un sobre : "On se sent bien en sécurité !"
Lorsqu'elle est arrivée hier en fin d'après-midi à la Chaslerie, elle s'est d'abord dirigée vers la pièce qui sert de cuisine où elle a constaté que ses camélias en pots faisaient peine à voir. Elle les avait achetés à Saint-Jean-de-Beauregard à l'automne mais n'avait donné aucune instruction à Bernard pour les soigner en son absence. De mon côté, je n'avais rien fait non plus. Au bout d'un moment dans cette pièce, elle m'a dit : "Et ces grilles ?"
Nous avons traversé la cour en silence. J'avais un peu d'appréhension parce qu'avant que le soir ne tombe, les grilles sont particulièrement visibles de l'intérieur des pièces, sur fond de verdure éclairée par le soleil couchant.
Dans la salle-à-manger, elle m'a dit : "C'est ce à quoi je m'attendais."Dans le salon, elle a ajouté, d'un ton dépité : "Ah là, là !" puis, résignée en quittant la pièce : "De toutes façons, maintenant, ce qui est fait est fait !" Nous sommes allés faire un tour sur la terrasse. Là, elle a reconnu : "Vu d'ici, ça a de l'allure, et ça complète bien la façade."Elle a ensuite examiné le détail des grilles du salon et commenté : "Il n'y a pas à dire, c'est du beau travail !"Devant le mur qui relie la chapelle au manoir, elle m'a demandé : "Et le portail, où en es-tu ?" J'ai grommelé qu'on y pensait. La "bataille" semblait gagnée.
Enfin, le soir, après être montée à l'étage en passant devant le grand-oncle Paul, peu avant de s'endormir du sommeil du juste, elle a conclu ces découvertes d'un sobre : "On se sent bien en sécurité !"
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 12 Mars 2011
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Murs divers - Nature (hors géologie) - Désultoirement vôtre !
rédigé le Samedi 12 Mars 2011
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Murs divers - Nature (hors géologie) - Désultoirement vôtre !
Après avoir nettoyé le terrain du Tertre Linot, Bernard travaille actuellement au Nord de la Chaslerie, en bordure du champ des nièces de Jeannette LEVEQUE. Il m'a signalé hier qu'il avait trouvé là, dans le fossé, des traces de construction. Je m'y suis rendu en promenade cet après-midi avec Carole.
Effectivement, il y a là des vestiges de maçonnerie très ancienne, peut-être d'un bâtiment. Et aussi un petit pont de pierres enfin dégagé des ronces qui en interdisaient la vue :De quand date ce pont ? De plus de trois siècles, certainement. Il a dû en passer, là, des charrettes chargées de foin ou de sarrasin, ce "blé noir" que Pascal retrouve désormais, par seaux entiers, dans les murs de la ferme où l'ont accumulé des générations de rongeurs.
Il y a un petit pont comparable, mais vraisemblablement plus récent, au Sud de la douve Est. Lors d'une "Journée du patrimoine", une vieille dame m'a raconté qu'il y a plus d'une soixantaine d'années, elle allait nettoyer son linge au lavoir qui se trouvait à proximité de cet endroit :J'envisageais de récupérer les pierres du second pont afin de les réutiliser dans mes travaux. Mais, maintenant que j'ai vu l'autre, je choisis de les conserver en l'état et, un jour peut-être, de les restaurer. Sur le premier, il faudrait resserrer les pierres. On verra, je vais y réfléchir...
Effectivement, il y a là des vestiges de maçonnerie très ancienne, peut-être d'un bâtiment. Et aussi un petit pont de pierres enfin dégagé des ronces qui en interdisaient la vue :De quand date ce pont ? De plus de trois siècles, certainement. Il a dû en passer, là, des charrettes chargées de foin ou de sarrasin, ce "blé noir" que Pascal retrouve désormais, par seaux entiers, dans les murs de la ferme où l'ont accumulé des générations de rongeurs.
Il y a un petit pont comparable, mais vraisemblablement plus récent, au Sud de la douve Est. Lors d'une "Journée du patrimoine", une vieille dame m'a raconté qu'il y a plus d'une soixantaine d'années, elle allait nettoyer son linge au lavoir qui se trouvait à proximité de cet endroit :J'envisageais de récupérer les pierres du second pont afin de les réutiliser dans mes travaux. Mais, maintenant que j'ai vu l'autre, je choisis de les conserver en l'état et, un jour peut-être, de les restaurer. Sur le premier, il faudrait resserrer les pierres. On verra, je vais y réfléchir...
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 14 Mars 2011
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse
rédigé le Lundi 14 Mars 2011
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 25 Mars 2011
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Météo - Désultoirement vôtre !
rédigé le Vendredi 25 Mars 2011
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Météo - Désultoirement vôtre !
Malgré de nombreuses déviations pour travaux sur les 60 premiers kilomètres de la route à partir de Paris, j'ai mis 2 h 30 pour arriver à la Chaslerie.
J'y ai été accueilli par une lune descendante et une odeur montante d'herbe coupée ; Bernard a donc passé le "John Deere" pour la 2ème fois de l'année. Avec le temps quasi estival que nous connaissons, elle avait dû bien repousser cette semaine. Je me dis qu'il faudrait noter le nombre d'heures de fonctionnement affiché au compteur de cet engin en ce début de saison, cela me donnerait à l'avenir une meilleure idée du nombre de fois, chaque année, où nous devons sur le métier remettre notre ouvrage. Quand je pense qu'il y a 20 ans à peine, je croyais, en bon parisien, qu'une seule coupe suffirait à l'année...
En faisant mon petit tour du propriétaire, j'ai eu un choc. Je serai plus explicite demain matin, photos à l'appui...
J'y ai été accueilli par une lune descendante et une odeur montante d'herbe coupée ; Bernard a donc passé le "John Deere" pour la 2ème fois de l'année. Avec le temps quasi estival que nous connaissons, elle avait dû bien repousser cette semaine. Je me dis qu'il faudrait noter le nombre d'heures de fonctionnement affiché au compteur de cet engin en ce début de saison, cela me donnerait à l'avenir une meilleure idée du nombre de fois, chaque année, où nous devons sur le métier remettre notre ouvrage. Quand je pense qu'il y a 20 ans à peine, je croyais, en bon parisien, qu'une seule coupe suffirait à l'année...
En faisant mon petit tour du propriétaire, j'ai eu un choc. Je serai plus explicite demain matin, photos à l'appui...
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 1er Avril 2011
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Nature (hors géologie) - Références culturelles - Désultoirement vôtre !
rédigé le Vendredi 1er Avril 2011
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Nature (hors géologie) - Références culturelles - Désultoirement vôtre !
Aux abords de la Chaslerie et dans tout le Domfrontais, les poiriers viennent de fleurir !Même les poiriers plantés il y a à peine un an, de l'autre côté des douves, sont de la fête. Hervé a remis des veaux dans les prés, les jonquilles projettent leurs dernières étincelles, l'hiver est oublié !
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 8 Avril 2011
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - A la Chaslerie - Annonces
rédigé le Vendredi 8 Avril 2011
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - A la Chaslerie - Annonces
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 19 Avril 2011
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Nature (hors géologie) - Désultoirement vôtre !
rédigé le Mardi 19 Avril 2011
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Nature (hors géologie) - Désultoirement vôtre !
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 21 Avril 2011
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Ferme et son fournil - Nature (hors géologie) - Météo - Désultoirement vôtre !
rédigé le Jeudi 21 Avril 2011
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Ferme et son fournil - Nature (hors géologie) - Météo - Désultoirement vôtre !
Quatrième tonte d'herbe de l'année.
L'air est envahi d'aigrettes de pissenlit. Quant aux vers de tipule que j'observais, la semaine dernière, partout au sol de l'allée qui descend de la D 22, ils se sont transformés en graciles cousins dont se repaissent désormais de gloutonnes araignées aux fenêtres de mon bureau.
Dans le puits de la ferme, l'eau est à 2,75 m sous le niveau du sol. Elle a donc baissé de 1,30 m depuis mon observation du 25 février dernier (relatée sous l'onglet "Journal du chantier"). Nous sommes encore 1,20 m au-dessus de l'étiage de l'été mais j'imagine que mes plus jeunes plantations ont déjà commencé à souffrir. Si le temps se maintient au beau fixe, il faudra bientôt veiller à les arroser.
L'air est envahi d'aigrettes de pissenlit. Quant aux vers de tipule que j'observais, la semaine dernière, partout au sol de l'allée qui descend de la D 22, ils se sont transformés en graciles cousins dont se repaissent désormais de gloutonnes araignées aux fenêtres de mon bureau.
Dans le puits de la ferme, l'eau est à 2,75 m sous le niveau du sol. Elle a donc baissé de 1,30 m depuis mon observation du 25 février dernier (relatée sous l'onglet "Journal du chantier"). Nous sommes encore 1,20 m au-dessus de l'étiage de l'été mais j'imagine que mes plus jeunes plantations ont déjà commencé à souffrir. Si le temps se maintient au beau fixe, il faudra bientôt veiller à les arroser.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 4 Mai 2011
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Nature (hors géologie) - Références culturelles - Désultoirement vôtre !
rédigé le Mercredi 4 Mai 2011
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Nature (hors géologie) - Références culturelles - Désultoirement vôtre !
La maladie des buis, la connaissez-vous ? Apparue depuis 2 ou 3 ans sur les buis de la cour de la Chaslerie, elle s'est fortement développée cette année :Comme nous évitons de recourir aux pesticides, Carole a imaginé de transplanter ces plants malades sur un autre terrain où ils auront plus d'espace pour se développer.
C'est Bernard qui a été chargé de l'opération. Le voici, d'ailleurs, triomphant :Cette pose avantageuse ne vous rappelle personne ? En fait, notre roi-soleil local n'y est pas allé avec le dos de la cuillère :Je me dis que, si ces buis résistent à ce traitement de cheval, il ne pourra plus rien leur arriver de grave...
P.S. du 17 juillet 2012 : Quinze mois plus tard, aucun des buis n'a résisté...
C'est Bernard qui a été chargé de l'opération. Le voici, d'ailleurs, triomphant :Cette pose avantageuse ne vous rappelle personne ? En fait, notre roi-soleil local n'y est pas allé avec le dos de la cuillère :Je me dis que, si ces buis résistent à ce traitement de cheval, il ne pourra plus rien leur arriver de grave...
P.S. du 17 juillet 2012 : Quinze mois plus tard, aucun des buis n'a résisté...
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 5 Mai 2011
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Références culturelles - Désultoirement vôtre !
rédigé le Jeudi 5 Mai 2011
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Références culturelles - Désultoirement vôtre !
Thierry BOURRE est passé vérifier l'état de ses plantations. Tout va bien ! Le voici derrière un épicéa commun du cadran celtique Ouest. On peut donc le dire : "duos habet et bene pendantes !"Que dis-je "duos" ? "Multos", plutôt !
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 6 Mai 2011
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Nature (hors géologie) - Désultoirement vôtre !
rédigé le Vendredi 6 Mai 2011
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Nature (hors géologie) - Désultoirement vôtre !
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Dimanche 8 Mai 2011
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Ferme et son fournil - Météo - Désultoirement vôtre !
rédigé le Dimanche 8 Mai 2011
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Ferme et son fournil - Météo - Désultoirement vôtre !
Devant le manoir, dans l'avant-cour, l'herbe commence à dessécher ; on se croirait en plein été.
Depuis ma précédente observation relatée sous cet onglet le 21 avril dernier, le niveau de l'eau a encore baissé de 17 cm dans le puits de la ferme, soit en moyenne 1 cm par jour.
Lors de sa récente visite, Thierry BOURRE m'a toutefois indiqué qu'il n'y avait encore aucun danger pour nos plantations.
Depuis ma précédente observation relatée sous cet onglet le 21 avril dernier, le niveau de l'eau a encore baissé de 17 cm dans le puits de la ferme, soit en moyenne 1 cm par jour.
Lors de sa récente visite, Thierry BOURRE m'a toutefois indiqué qu'il n'y avait encore aucun danger pour nos plantations.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 10 Mai 2011
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Météo - Désultoirement vôtre !
rédigé le Mardi 10 Mai 2011
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Météo - Désultoirement vôtre !
La S.A.R.L. LEMARINIER est venue aujourd'hui planter une quarantaine d'hortensias "Hydrangea Mousmée" sur un talus, au pied de chênes, en bordure de l'arrière-cour du manoir :Mickaël m'a fait observer qu'à cet endroit où, en hiver, on ne compte pas les sources, la terre est actuellement très sèche.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 25 Mai 2011
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Animation, fêtes, visites - Vie des associations
rédigé le Mercredi 25 Mai 2011
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Animation, fêtes, visites - Vie des associations
Guy HEDOUIN
rédigé le Mercredi 25 Mai 2011
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Animation, fêtes, visites - Anecdotes - Vie des associations - Désultoirement vôtre !
rédigé le Mercredi 25 Mai 2011
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Animation, fêtes, visites - Anecdotes - Vie des associations - Désultoirement vôtre !
Bonjour,
Je constate que vous soignez vos abords afin de recevoir comme il le faut les VMF.
Votre escapade cyclo-motorisée me fait bien rire, vous devriez acheter un sac à dos avec panneau solaire incorporé afin de recharger votre batterie..........
Bonne après-midi et à demain.
Je constate que vous soignez vos abords afin de recevoir comme il le faut les VMF.
Votre escapade cyclo-motorisée me fait bien rire, vous devriez acheter un sac à dos avec panneau solaire incorporé afin de recharger votre batterie..........
Bonne après-midi et à demain.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 31 Mai 2011
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse
rédigé le Mardi 31 Mai 2011
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse
A ma demande, Bernard a nettoyé aujourd'hui au kärcher diverses surfaces maçonnées de la Chaslerie. Maintenant que les pierres sont propres, Pascal devrait pouvoir passer un produit hydrofuge.
Claude MARTIN est venu avec Blacky voir les copains et récupérer un papier l'autorisant à chasser deux chevreuils à la Chaslerie à la saison prochaine. Le voici en train d'évoquer ses souvenirs avec Bernard :
Claude MARTIN est venu avec Blacky voir les copains et récupérer un papier l'autorisant à chasser deux chevreuils à la Chaslerie à la saison prochaine. Le voici en train d'évoquer ses souvenirs avec Bernard :