APIJOMM

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 11 Octobre 2024
Vie des associations - Désultoirement vôtre ! - Anecdotes - APIJOMM - api
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Francis m'a transmis ce matin un "avis d'arrêt de travail" prolongeant l'arrêt en cours jusqu'au 3 novembre 2024.
Et il m'informe qu'il prendra ensuite trois semaines de congés.

Quant à Mickaël, il va prendre immédiatement trois semaines de congés de son côté.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 12 Décembre 2024
APIJOMM - api
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Mikaël PEDRETTI a demandé ce matin à bénéficier d'une rupture conventionnelle de son contrat de travail.

P.S. (du 12 décembre 2024 à 15 heures) : Je ne vois aucun inconvénient à accéder rapidement à sa demande. Il ne reste plus à choisir que sa date de départ.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 24 Décembre 2024
APIJOMM - api
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Rupture conventionnelle du contrat de travail de Mikaël PEDRETTI signée hier à sa demande.
J'aurai sans doute à me mettre bientôt à la recherche de son successeur, ce dont je me serais volontiers passé.

Par ailleurs, dans l'affaire qui oppose l'APIJOMM à un ancien salarié, Me Lori HELLOCO m'a informé hier que, "suite aux conclusions déposées de part et d'autre, la cour d'appel a fixé ce dossier pour plaidoirie à l'audience du 16 juin prochain à 13 H 45.
Préalablement à cette audience la cour rendra une ordonnance de clôture le 21 mai 2025."
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 16 Janvier 2025
Privé - APIJOMM - api
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(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : jeudi 16 janvier 2025 15:22
À : ddetspp-rupture-conventionnelle@orne.gouv.fr
Cc : Hugues HOURDIN
Objet : APIJOMM - Convention de rupture de CDI

Monsieur le directeur,

Suivant votre conseil dont nous vous remercions, M. PEDRETTI et moi venons de signer le document joint, de manière à compléter votre saisine pour homologation :


Je vous prie d'agréer, Monsieur le directeur, l'expression de ma considération distinguée.

Pierre-Paul FOURCADE
06 12 96 01 34

(Fin de citation)
Arnaud PAQUIN vient de m'informer qu'un accident le retient auprès de son père.

Un S.M.S. de Francis m'a indiqué ce matin qu'il ne quitte plus son épouse à l'hôpital d'Alençon.

Un troisième ami qui est également dans la souffrance n'en dort plus ou fait des cauchemars.

Un quatrième, traité pour un cancer des fumeurs, m'a appris hier qu'il devrait être opéré le 26 mars prochain d'un anévrisme de l'aorte. Il est inquiet.

Un cinquième, atteint de la même maladie, se recroqueville sur lui-même et n'a plus le courage de faire face aux procès qui l'assaillent.

On a connu de meilleurs débuts d'année.
Je viens de remplir l'"attestation employeur destinée à France Travail" et consécutive à la rupture conventionnelle du contrat de travail de Mikaël PEDRETTI.

C'est un document de huit pages, monstrueusement compliqué et maladivement intrusif qui, de surcroît, doublonne totalement avec ce que l'administration sait déjà.

Vite, Elon MUSK, au boulot !
Francis me relance pour que je lui remplisse le dernier formulaire qu'il a reçu de la M.S.A. intitulé "attestation de salaire pour le paiement des indemnités journalières maladie etc" (cerfa n° 50920#06).
Je vais le faire mais quelle barbe !
Deux pages, rien que pour la notice, quelle connerie ! Alors que s'ils travaillaient un peu moins stupidement, ils s'apercevraient sans doute qu'ils ont déjà sous la main tous les trucs réclamés :


Le M.S.A. m'inonde aussi, directement, toujours à propos de Francis, de courriers de relance et autres lettres recommandées dont je n'ouvre même plus les enveloppes, tant je suis las des gesticulations ineptes d'agents mal dirigés et qui pousseraient toute entité économique, même minuscule comme l'APIJOMM, à se doter d'un staff nombreux pour répondre à leurs demandes incessantes.
Là, la pile prospère à un bon rythme.

P.S. (à 16 heures) : Il me semble que c'est bien ce que je disais, la M.S.A. était déjà en possession de toutes les informations réclamées dans son formulaire à la con.

Ou alors ils voulaient juste que je confirme les dates indiquées sur deux certificats médicaux. Dans ce cas, il suffisait de le demander simplement.