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Comme on le sait, la préfète de la Manche a signé, le 12 mars dernier, les permis de construire, à côté des 4 éoliennes qui existent déjà à Ger, 6 nouvelles machines industrielles, de 152 mètres de hauteur et 3,5 MW de puissance chacune, sur le territoire des communes voisines de notre manoir favori que sont Ger et Saint-Georges-de-Rouelley.

Comme le montre le plan suivant, émanant du promoteur, il est acquis que ces éoliennes se verront de très loin et de très nombreux endroits de notre bocage :


Tant à titre personnel que pour le compte de l'"Association pour le développement durable du Domfrontais et de ses environs", j'ai signé en temps utile un recours gracieux demandant à la préfète de la Manche de retirer les deux arrêtés en cause. L'"Association pour la restauration et l'animation du manoir de la Chaslerie" en a fait autant, de même qu'un certain nombre de personnes physiques et d'associations légitimement inquiètes de ce projet éolien.

La préfète de la Manche n'ayant pas répondu à ce recours gracieux, les signataires de ce dernier disposaient de deux mois à partir de ce rejet tacite pour lancer un recours contentieux. Autrement dit, aujourd'hui était la date-limite pour signer le recours contentieux.

Comme je l'ai expliqué sur son site en donnant les motifs de sa décision, l'"Association pour le développement durable du Domfrontais et de ses environs" a décidé de s'abstenir.

Il en ira de même pour l'"Association pour la restauration et l'animation du manoir de la Chaslerie" et pour moi. Non que nous nous désintéressions du dossier. Au contraire, il nous paraît important de combattre un projet funeste à beaucoup d'égards et dont les avantages supposés pour les propriétaires des terrains ou la communauté de communes d'implantation sont, à l'évidence, minimes par comparaison aux risques financiers qu'eux-mêmes encourent (et qu'ils ignorent ou feignent d'ignorer), sans même évoquer la dégradation de paysages immémoriaux dans notre région où le tourisme est une des rares activités économiques qui marchent encore.

Le motif de notre abstention est purement juridique. En effet, en l'état de la jurisprudence, ni notre association favorite ni moi-même n'aurions un "intérêt à agir" aux yeux du juge. Par voie de conséquence, le 1er article du jugement nous débouterait, l'association comme moi.

Il nous est apparu inutile de risquer cette réponse inévitable puisque, en tout état de cause, nous savons que des requérants de première qualité et à l'"intérêt à agir" incontestable devraient signer aujourd'hui-même le mémoire introductif préparé par Me Francis MONAMY, avocat au barreau de Paris. Me MONAMY a réussi ces dernières semaines, avec notre concours actif, à faire annuler le "Schéma régional éolien" de Basse-Normandie. Nous avons toute confiance en lui, face à un promoteur éolien retors et avide de profits subventionnés en réalité par tous les abonnés d'EdF, pour faire triompher le bon sens, c'est-à-dire annuler les permis de construire en question.
Matinée passée à la mairie de La Haute-Chapelle où j'ai commencé à prendre connaissance du dossier soumis à enquête publique, à propos de l'autorisation d'exploiter 6 éoliennes non loin de notre manoir favori :

30 septembre 2015.

A cette occasion, j'ai lu l'avis émis par le conseil municipal de La Haute-Chapelle : favorable "vu les pièces du dossier", sans autre commentaire.

A l'heure du déjeuner, à "L'échauguette", pizzeria de Domfront, j'ai parcouru les documents qu'à ma demande et en me faisant payer (je tiens la facture à la disposition des tordus que cette information capitale semble intéresser), la préfecture de la Manche a bien voulu me communiquer.

Dans l'après-midi, je me suis rendu à la mairie de Saint-Georges-de-Rouelley où le commissaire-enquêteur, un contrôleur des hypothèques à la retraite, tenait permanence.

A l'évidence, le maire de Saint-Georges-de-Rouelley, à l'origine de ce projet funeste, fait intervenir ses affidés qui notent tous, par dizaines, "avis favorable" sur le cahier de l'enquête publique. Trois d'entre eux, au front bas, inscrivent cette observation sur le cahier au moment où je suis présent.

En face, seules quatre personnes se sont exprimées négativement, chacune en donnant ses raisons.

Je prie les membres du fan-club qui voudraient aider à éviter la barbarie de 6 aérogénérateurs industriels de 150 mètres de hauteur défigurant les hauteurs de l'axe Domfront-Mortain, de me faire parvenir un document portant à tout le moins leur nom, prénom, adresse et la mention "Enquête publique sur l'autorisation d'exploiter 6 nouvelles éoliennes sur le territoire des communes de Ger et Saint-Georges-de-Rouelley - Avis défavorable", avec la date et leur signature.

Prière de me transmettre ces documents d'urgence, de préférence par courrier, en portant sur l'enveloppe mon adresse : "Pierre-Paul FOURCADE - La Chaslerie - 61700 - La Haute-Chapelle".

Il est grand temps de réagir et de battre le rappel, faute de quoi nous risquons d'être balayés !
Pierre MONGES nous fait part de l'avancement de ses travaux de restauration sur son château du Cluzeau et je l'en remercie.

Il va sans dire que, si d'autres amoureux de vieilles pierres veulent bien nous tenir informés de leurs propres efforts et de leurs difficultés éventuelles, ce blog leur est ouvert !

Nous serons toujours très heureux d'échanger et de nous soutenir le moral mutuellement.

J'ai toujours autant d'admiration pour l'énergie que vous déployez. Autre chose, j'ai racheté un drone, un peu plus performant que le précédent. Si d'aventure, dans votre entourage, d'autres clichés étaient souhaités, il va sans dire que je serais à la disposition des personnes intéressées. Bien à vous.

N.D.L.R. : Merci, Eric. Sachez que je demeure très intéressé. Grâce à vous, notre vidéothèque contient déjà deux films réalisés avec vos précédents engins. Un troisième film serait le bienvenu, après la restauration de la couverture du colombier. Et j'aimerais bien que votre nouveau drone puisse, à cette occasion, traverser le logis, comme vous l'aviez fait avec le précédent pour la chapelle en 2014.

Quant aux tiers qui souhaiteraient disposer de photos aériennes ou d'un film sur leur propriété, je leur recommande avec plaisir vos services. Qu'ils n'hésitent pas à me contacter pour que je leur communique vos coordonnées.
Un château du 13ème siècle recouvert de graffitis

Qui a dit que les châteaux doivent être de sombres bâtiments en pierre avec des extérieurs gris et brun ? Demandez au comte de Glasgow, qui a transformé son château en château le plus coloré de toute l’Écosse.

Le château de Kelburn, près de Fairlie, à 20 kilomètres à l’ouest de Glasgow, est la maison de la famille des Boyles depuis sa construction au 13e siècle, ce qui rend le château le plus ancien d’Écosse à avoir été continuellement habité par la même famille. En 1703, le Parlement d’Écosse a créé le titre de « comte de Glasgow » pour le propriétaire de l’époque David Boyle, qui était l’un des commissaires qui ont négocié le traité de l’Union unissant l’Angleterre et l’Écosse en Grande-Bretagne. Depuis lors, le château de Kelburn a vu naître une longue lignée de comtes que la famille a produit.

En 2007, le 10e et actuel comte de Glasgow, Patrick Robin Archibald Boyle, a dit qu’il avait besoin d’enlever une couche de ciment qui avait été ajoutée à la construction dans les années 1950, afin d’éviter d’autres dommages à la maçonnerie. À la suggestion de ses enfants, Patrick Boyle, a accepté que le ciment soit peint avant qu’il ne soit retiré. Il a donc invité un groupe de quatre artistes de rue brésiliens pour orner la tourelle et les murs du château avec leur style unique de l’art du graffiti.

Le travail des artistes brésiliens a reçu une attention considérable des médias, en attirant de nombreux touristes de partout dans le monde. Historic Scotland, l’agence responsable de la préservation des monuments historiques du pays, avait accepté le projet sur la compréhension que le graffiti était temporaire. L’œuvre a été conçue pour être retirée après trois ans, mais en voyant la réaction du public, le comte décida d’appeler Historic Scotland pour rendre l’œuvre d’art permanente. L’agence a autorisé l’œuvre à exister quelques années de plus.

En 2012, l’agence a fait une inspection du château et a découvert que le ciment était gravement préjudiciable pour les murs du château d’origine, et a exhorté le comte d’enlever les graffitis. Le graffiti était censé durer jusqu’à l’été 2015, mais il n’y a plus de nouvelles des médias ou des propriétaires du château. L’état actuel du graffiti est inconnu.

Crédits photo : Tim Kirman, Anne, Eltpics.

N.D.L.R. :

Le Publicateur Libre
rédigé le Mercredi 30 Mars 2016
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Annonces - Dans l'Orne
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La Ferté-Macé
Balade thermique en nocturne le 30 mars

Une caméra thermique comme témoin.

En partenariat avec la Cdc La Ferté/St-Michel et l’Espace Info Energie de l’Orne (Inhari), le Parc Normandie-Maine propose une soirée dédiée aux économies d’énergie.

Grâce à une caméra thermique infra-rouge, les organisateurs proposeront de visualiser au cours d’une balade dans les rues du centre (45 mn environ), les déperditions de chaleur de différents bâtiments (bâti ancien, commerces, mairie, pavillons, etc).

Un temps d’échange sera proposé en amont de la balade afin de partager les différentes astuces permettant de réaliser des économies d’énergie et d’évoquer l’importance de l’isolation dans une habitation. La soirée se terminera par un petit atelier ludique suivi d’un « pot de la transition ». Des travaux pratiques qui s’annoncent instructifs ! Cette initiative s’inscrit dans le cadre de la démarche de transition énergétique engagée par la Cdc La Ferté/St-Michel avec l’accompagnement technique du Parc naturel régional Normandie-Maine et le soutien financier de l’ADEME, la Région Normandie et la Région Pays de la Loire.

Prévoir des vêtements chauds (et de quoi se protéger de la pluie le cas échéant) pour la balade. Prévoir également des lampes de poche.

Rendez-vous mercredi 30 mars, 20 h, à la Maison Bobot. Contact : 02.33.81.75.79, manuel.leger@parc-normandie-maine.fr.

N.D.L.R. : J'irai.

N.D.L.R. : J'envisage d'organiser, un samedi après-midi de l'été prochain, à la Chaslerie, une rencontre avec Alain de TONNAC pour qu'il puisse nous exposer ses idées et, surtout, répondre à nos questions.

Que tous ceux qui seraient intéressés par une telle réunion veuillent bien me le faire savoir, en précisant à quelles dates ils seraient disponibles.

21 avril 2016.

Les poiriers de la Chaslerie devraient être en fleurs au moment où le rédacteur de la prochaine édition du "Guide vert Michelin - Normandie, Cotentin" passera préparer son texte. Notre manoir favori devrait en effet faire une entrée remarquée dans ce "must" des guides touristiques.
Admirez le talent de ces maîtres charpentiers japonais qui bâtissent des édifices en bois sans utiliser de clous !

Encore aujourd’hui, des charpentiers japonais perpétuent un art ancestral en construisant des bâtiments en bois sans utiliser le moindre clou. Grâce à leur précision sans égale, ils assemblent les poutres et les planches à la perfection, bâtissant des maisons tout aussi durables que les autres. DGS vous fait découvrir ces artisans au talent époustouflant.

Les artisans respectueux des traditions montrés ici font partie du groupe Kobayashi Kenkou. Ils sont passés maîtres dans l’art de sculpter et d’imbriquer à la perfection des différents morceaux de bois qui composent le bâtiment à construire. Il existe plusieurs familles de charpentiers au Japon, possédant chacune leurs propres techniques.

N.D.L.R. : Oui, tout-à-fait époustouflant !

Ministère de la culture et de la communication
rédigé le Vendredi 27 Mai 2016
Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - Animation, fêtes, visites - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Annonces - A la Chaslerie - Ailleurs
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N.D.L.R. : Ayons une pensée émue pour le jeune énarque de base qui a reçu la commande d'un tel laïus. Le malheureux a dû y passer des heures et le texte a dû être caviardé par toute sa hiérarchie, y compris la peau de vache sur-diplômée que j'ai aperçue à la tribune de la dernière A.G. de la "Demeure Historique".

Enfin, c'est pas trop grave car, comme dit l'autre, "ça va mieux !"

Au-dessus du magnifique château de Carrouges dans l'Orne...

... C'est juste derrière le château à la Maison du Parc que se tient ma nouvelle exposition de photographies aériennes "Vol au-dessus du Parc naturel régional Normandie-Maine"...

Ouvert tous les jours jusqu'au 30 septembre de 10h à 13h et de 14h à 18h (18h30 en juillet et août) et c'est gratuit bien sûr :-)

Le livre quant à lui est toujours disponible et si vous voulez en savoir plus sur cet ouvrage c'est ici

N.D.L.R. : Je me suis rendu hier soir au cocktail de vernissage de cette exposition. Les photos présentées sont magnifiques, les commentaires qui les accompagnent, toujours très instructifs. J'ai par exemple appris beaucoup de choses sur la Lande Pourrie voisine, qui expliquent la présence d'un loup sur l'ancien écu de Lonlay. Très bons discours de Mme OLIVEIRA, présidente du parc naturel régional Normandie-Maine, et de Jérôme...

3 juin 2016.

... devant un auditoire distingué :

3 juin 2016.

Occasion pour moi de discuter avec divers amis, dont Mme Yvette RIVARD, de Rânes, membre fondatrice (il y a 25 ans déjà) de notre association favorite, Didier de BONVOULOIR, au manoir ancestral emblématique de la vitalité du secteur...

La tour de Bonvouloir.

... ou Bernard SOUL, non moins dynamique maire de Domfront-en-Poiraie.

En rejoignant ma "Duster", je suis tombé en arrêt devant ce mur de clôture du château de Carrouges. Il me semble d'une qualité d'exécution remarquable et d'une suprême élégance :

3 juin 2016.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 8 Juillet 2016
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Annonces - A la Chaslerie
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Joffrey LIOT m'annonce ce matin qu'il vient d'être accepté comme apprenti, à compter du 1er août prochain, chez un grand fleuriste parisien, à deux pas de la tour Eiffel.

Depuis quelques mois, il veillait, à la demande de Carole, sur ma garde-robes et la propreté de ma litière. Et venait de commencer à prendre en charge ses plates-bandes.

8 juillet 2016.

Joffrey est l'un des petits-fils de notre plus proche voisine, Mme Andrée PHILIPPE, qui habite de l'autre côté du Beaudouët et qui, il y a 25 ans, avait proposé ses services comme femme de ménage. Au fil du temps, elle est devenue une amie de Carole et je ne manque pas, de temps à autre, d'aller la saluer ; chaque fois, elle m'offre un café-calva très apprécié.

Avec ce nouvel exemple, je suis très heureux que notre manoir favori se confirme dans son rôle d'incubateur de jeunes talents locaux.

Qu'on se le dise : ici, il y a toujours de la place pour les bonnes volontés !

A la réflexion, je me dis qu'Igor mérite que la petite fête que nous organiserons pour son départ se déroule en pleine Journée du Patrimoine, c'est-à-dire le dimanche 18 septembre prochain, vers 16 h 30.

Ainsi, toutes les personnes, la plupart inconnues, qui viendront voir ou revoir la Chaslerie à cette occasion pourront faire la connaissance de celui qui aura été l'un des meilleurs artisans de sa restauration.

(J'espère que, cette année, mes fils trouveront là un motif suffisant pour être des nôtres.)
J'ai assisté hier, dans l'écrin raffiné du château de Villers-en-Ouche,...

... à un intéressant exposé d'Hugues de CHABANNES, vice-président de la "Demeure Historique", sur l'emploi dans les monuments historiques dans le cadre de ce qu'il est convenu d'appeler les "groupements d'employeurs", mode d'organisation qui existe depuis longtemps dans le monde agricole.

D'après ce que j'ai cru comprendre et retenu, il s'agirait pour plusieurs voisins de recruter (pas nécessairement sous la forme de "contrats aidés" comme les "contrats d'avenir" qui ne sont pas accessibles à tous les employeurs), un jeune (pas nécessairement) dont ils assureraient la formation ou faciliteraient la réinsertion professionnelle et qui, en contrepartie, effectuerait chez eux des travaux ne nécessitant pas, pour chacun de ces employeurs potentiels, le recrutement d'un salarié à temps plein. Il peut s'agir des tâches les plus diverses (y compris d'entretien d'un site internet) dès lors qu'elles sont "non marchandes" (ce qui est typiquement le cas pour l'entretien des abords ou de la maçonnerie sur un monument historique ouvert à la visite du public : je suis donc dans le cœur de cible).

La voie des "emplois d'avenir" paraît particulièrement attractive puisqu'elle coûte à l'employeur susceptible de bénéficier de ce régime 5,70 €/h, frais de M.S.A., d'assurance et de gestion compris, et 3,70 €/h hors ces frais.

Les difficultés sont :
- de trouver un candidat assez fiable pour être recruté, soit en C.D.D. à un an, soit en C.D.D. à trois ans (le régime des "emplois d'avenir" est verrouillé sur ce point) ; le candidat-type est un jeune sans formation et inscrit à Pôle-Emploi ;
- de trouver dans son proche voisinage des candidats employeurs pour constituer un groupement permettant, si nécessaire, de mettre en commun cet employé (je comprends que ceux qui ne sont pas éligibles au régime des "emplois d'avenir" n'ont pas accès à la réduction de coûts correspondante - point à vérifier -) ;
- de trouver, le cas échéant, entre les membres du même groupement, un mode de répartition des frais de matériel nécessaire.

En ce qui concerne les employeurs, il suffirait, en l'état des textes, que je m'associe, dans un tel groupement dont je prendrais l'initiative, à mon aîné voire à notre association favorite ; cette difficulté est donc résolue pour moi sans que j'aie besoin de faire équipe avec d'autres personnes. Ceci ne m'interdit pas, toutefois, de m'associer à des voisins qui seraient candidats à mon groupement.

En ce qui concerne le matériel, il faudrait examiner à quel prix je pourrais faire bénéficier des tiers (membres du même groupement que moi) de mon propre matériel (bétonnière, mini-pelle, etc...). Les incidences de ce système, notamment en termes de T.V.A., devraient m'être précisés.

Il nous est vivement recommandé, pour monter ce système, de passer par un organisme qui a déjà une certaine expérience en la matière (au moins pour ce qui concerne le personnel) ; ce service est facturé les 2 €/h de marge en question.

P.S. : Je précise à toutes fins utiles que ma mini-pelle a une puissance de 2,5 tonnes.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 28 Juillet 2016
Vie des associations - A.D.D.O.O.E. - Annonces - A la Chaslerie - Dans l'Orne - APIJOMM - api
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L'expérience montre qu'il est souvent difficile, pour les propriétaires de monuments historiques ou de belles bâtisses du secteur, de trouver localement une capacité d'intervention simple en maçonnerie traditionnelle ou en entretien de jardins qui vise les objectifs suivants :
- compétence technique avérée ;
- disposition d'un matériel approprié ;
- mise en œuvre de techniques et de matériaux témoignant, autant que faire se peut, d'un souci de développement durable ;
- préoccupations sociales comme le souci d'accompagner la réinsertion de jeunes sur le marché du travail ;
- parfaite régularité au regard de toutes les réglementations applicables (notamment sociales ou de droit du travail, fiscales, de responsabilité civile).

Je suis informé du fait que les membres de l'"Association pour le développement durable de l'Ouest ornais et de ses environs" sont en train de réfléchir à ce que pourrait être une proposition qui réponde à toutes ces préoccupations. Cela nécessiterait bien entendu une adaptation des statuts de cette association qui est d'ores et déjà à l'étude.

On m'a chargé d'indiquer que tous ceux qui seraient intéressés par une telle proposition sont priés de bien vouloir se faire connaître, par exemple par un courriel adressé à : penadomf "at" msn.com