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Alain RUAULT du PLESSIS VAIDIERE
rédigé le Mardi 28 Février 2012
Généalogie et sagas familiales - Annonces - Ailleurs - Désultoirement vôtre !
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Cher Monsieur,

Si vous êtes toujours intéressé, je tiens à votre disposition un exemplaire de mon travail sur les Ruault de la Vaidière en Saint Mars (en noir et blanc car la couleur est trop chère) au prix de 60 €, frais d'envoi inclus, ou 55 € sans frais d'envoi. Je dois me rendre prochainement dans l'Orne.

Si vous connaissez autour de vous des personnes aussi intéressées, je peux leur fournir un exemplaire.

Dans l'attente de vos nouvelles.

Bien cordialement.

N.D.L.R. : D'accord pour un exemplaire. Dites-moi quand vous passez par ici. Cordialement. PPF

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 15 Mars 2012
Généalogie et sagas familiales - Annonces - A la Chaslerie - Désultoirement vôtre !
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On sait que les recherches généalogiques de Marie-Françoise LAURENSOU l'ont amenée à conclure qu'elle et moi étions cousins. Or son cousin Alain RUAULT du PLESSIS VAIDIERE, en me remettant l'"Essai historique et généalogique" de 406 pages qu'il vient d'écrire sur sa famille m'a, à son tour, appelé son cousin.

J'ai donc rapidement parcouru son ouvrage pour avoir un aperçu de l'extension de ma parentèle nouvellement révélée.

Eh bien, vous ne le croirez pas, je serais donc cousin des... LEDIN (!) ainsi que des... LEVÊQUE (!!!), les deux familles qui ont possédé la Chaslerie avant moi, et au moins depuis 1598 ! Je compte bien vous raconter comment, lorsque j'aurai pris le temps d'étudier les tenants et les aboutissants de cette connexion pour le moins inattendue, en tous les cas pour moi.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 21 Mars 2012
Journal du chantier - Menuiserie - Sculpture - Dans l'Orne - Ailleurs - Annonces
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Le 26 mars 2011, j'avais rendu compte, sous l'onglet "Sujets divers", de ma visite chez Pascal POIRIER, à La Ferté-Macé. J'y suis repassé hier. Je souhaitais en effet m'assurer qu'il se tient toujours prêt à enseigner à Igor et Valentin comment tailler les pierres afin que nous couronnions le puits de la ferme du volume qui lui manque ; il n'y a pas de problème, m'a répondu Pascal.

La reproduction d'une statue du Christ sur laquelle il travaillait déjà, il y a un an, est pratiquement finie. Il doit livrer cette nouvelle statue aujourd'hui à sa cliente, la ville de Honfleur. Il ne lui reste plus qu'à raboter quelques pièces destinées à boucher les fissures du bois...

20 mars 2011, le Christ de Honfleur.

... notamment sur la tête :

20 mars 2011, la tête du Christ de Honfleur.

Nous avons longuement parlé, d'un côté, de la dureté de la condition d'artisan et, de l'autre, de la difficulté de trouver chez le même individu un niveau technique suffisant et un goût authentique pour son métier ainsi qu'une réelle capacité à conseiller le client. Pascal s'exprimait en tant que "meilleur ouvrier de France" et moi comme client un peu décontenancé par l'un de ses confrères, menuisier de son état.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 21 Mars 2012
Journal du chantier - Administration - Maçonnerie-carrelage - Dans l'Orne - Annonces
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J'ai le plaisir de vous présenter deux jeunes Roumains dont la situation est, depuis aujourd'hui, parfaitement en règle :

21 mars 2012, Igor et Valentin devant la préfecture de l'Orne.

Igor a en effet reçu sa nouvelle carte de séjour et de travail avec des données biométriques du dernier chic.

Valentin détient dorénavant un recepisse officiel de sa demande de titre, valant régularisation de sa situation jusqu'à la délivrance de la carte définitive.

Voici une bonne chose de faite dont je remercie, avec soulagement, les uns et les autres.

Pascal POIRIER
rédigé le Vendredi 6 Avril 2012
Journal du chantier - Sculpture - Dans l'Orne - Ailleurs - Annonces
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N.D.L.R. : Il s'agit là de la copie d'un Christ réalisée en douglas par Pascal POIRIER, "un des meilleurs ouvriers de France", pour la ville de Honfleur où cette statue, qui doit encore être peinte, doit remplacer l'original du 19è siècle en pitchpin abîmé par les intempéries. J'en avais encore parlé ici le 21 mars dernier.

Bravo Pascal, c'est de la belle ouvrage !

Je rappelle que Pascal est l'auteur de la Sainte Anne en granit de la Chaslerie.

En classant de vieux papiers à la recherche de vieux devis, je retrouve ces dessins (par M. PAILLETTE) de trois portes de manoir dues à l'évidence au même tailleur de pierres, qui intervenait donc dans le Domfrontais autour de 1598.

De gauche à droite :
- la Chaslerie,
- la Bouëtte à Saint-Roch-sur-Egrenne,
- Loraille à Saint-Mars-d'Egrenne.

Portes manoriales du Domfrontais.

Il faudrait compléter par la porte de la Servière à Céaucé.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 12 Avril 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Tour Louis XIII - A la Chaslerie - Annonces
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Le nettoyage par le vide, en cours au rez-de-chaussée de la tour Louis XIII, permet de remettre à jour la meurtrière qui se trouve à l'angle Sud-Ouest de cette tour. L'orientation de cette meurtrière confirme que la maçonnerie des écuries est postérieure à cette tour.

12 avril 2012, où une meurtrière réapparaît...

Ce grand nettoyage de printemps n'est pas terminé mais on y verra plus clair une fois brûlés les liteaux que j'entreposais là depuis une éternité (à droite de la photo) ; en revanche, je vais conserver, pour je ne sais quel usage, les belles planches de chêne (à gauche de la photo) qu'avait déjà mises de côté François LEVÊQUE (lorsque j'ai acheté la Chaslerie, elle étaient abritées par un appentis de fortune, le long de la façade Ouest) :

12 avril 2012, ce que les Normands appellent du

Voici une partie des bûches prêtes au départ (10 des 20 stères enlevés à ce stade, et ce n'est pas fini) :

12 avril 2012, paré à appareiller !

Quand je pense qu'une visiteuse du site avait eu le toupet de qualifier un aussi beau bois d'"échauffé" (cf message du 12 mars 2012 sous l'onglet "Annonces") !

Je profite de mes premiers jours de vacances universitaires pour classer tous les papiers échangés à propos des travaux à la Chaslerie (courriers avec le S.D.A.P. d'Alençon et la D.R.A.C. de Caen, courriers avec les architectes et les entreprises) que j'accumulais dans un coin d'armoire depuis des années. Ce faisant, j'ai notamment le souci de permettre à mes fils de pouvoir enfin prendre mon relais un jour prochain. J'espère seulement que la difficulté, la complexité et la densité de ces échanges ne les en dissuaderont pas.

Or, quand je découvre la liste des monuments protégés de Basse-Normandie, j'imagine qu'il doit falloir des kilomètres de rayonnages pour stocker tous les documents réputés pertinents. Et je suis submergé d'empathie pour les fonctionnaires chargés de suivre, du mieux possible, une masse aussi considérable d'informations. Donc, aussi rébarbatifs que m'apparaissent, vus de ma fenêtre, les dossiers de la Chaslerie, je me demande comment arriver à en faire partager, ou du moins comprendre, les sévères contraintes de terrain à des contrôleurs éloignés en raison de la nature des choses. C'est un vrai problème, assurément, et je suis loin d'être assuré de parvenir à le résoudre aussi bien que je le souhaiterais ou que ce serait nécessaire.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 19 Avril 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Tour Louis XIII - Dans l'Orne - Annonces
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En allant dîner ce soir à Céaucé, je me suis arrêté chez un couple de jeunes Anglais qui, à ma connaissance, étaient susceptibles de vendre l'ancien dallage très rustique d'une porcherie. Il y en a pour 40 m2. Nous avons topé. J'espère pouvoir réutiliser ces pierres pour le sol de la future chaufferie, dans la tour Louis XIII. Cela devrait avoir plus d'allure qu'un revêtement moderne.

Hélène LEROY-PEETERS
rédigé le Mardi 24 Avril 2012
Journal du chantier - Tour Louis XIII - Anecdotes - Dans l'Orne - Désultoirement vôtre ! - Annonces
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Pas de cadavre en vue ? Mais vérifiez bien dans les conduits de cheminée... Surtout lorsqu'on a une verge de 13 mètres comme à la Tour Louis XIII !
Malheureusement je vous cite un fait divers qui s'est réellement passé dans notre bocage, à Saint-Aubert-sur-Orne (année 1990)...

Le petit ramoneur.

Le printemps fait sortir les anglais qui viennent prendre leurs quartiers dans leur résidence secondaire sur le continent. La Normandie est à quelques heures de chez eux. Au temps de la splendeur de la livre sterling et de la prospérité, il était de bon ton dans la bonne société de posséder un pied à terre, si possible original et en tout cas placé sous le sceau de l"'authenticité.
A Saint Aubert sur Orne , charmante bourgade d"une centaine d'"âmes, il est une maison qui correspond au goût typiquement anglais. Les gens d'"ici l"appellent « la maison à la tourelle ». Les propriétaires en confient le gardiennage à une voisine qui est également chargée du ménage.
Ce samedi, ils arrivent pour passer quelques jours, mais la maison n"'a pas été chauffée depuis un moment. Il fait un peu frais. Une flambée dans la cheminée s'"impose. L'"homme, un ancien officier de l'"armée des Indes, ouvre la trappe qui ferme le foyer. A cet instant précis tombe une chaussure. Surprenant n"'est-il pas vrai ? Impossible d"'apercevoir quoi que ce soit, le conduit est coudé. Cette technique de construction favorise l"'évacuation de la fumée et empêche la chute brutale de la grêle. Intrigué malgré tout, le colonel fait part de sa découverte à la voisine, laquelle conseille d"'allumer le feu afin de vérifier si le tirage se fait normalement. Un peu de fumée se répand dans la pièce, mais rien de vraiment anormal. Malgré tout, le doute s'"est installé. D"'où venait cette chaussure de sport, car il s"'agissait bien d"une chaussure de tennis d"'une pointure normale pour le pied d"'un adulte. Quelques facétieux en goguette auraient-ils improvisé un lancer de godasses.. Il fallait donc tenter de résoudre cette énigme. Qui d"'autre que les gendarmes pour apporter leur concours à la recherche de la véritéÂ… ? Les hommes en uniforme étaient confrontés aux mêmes interrogations que les propriétaires. Il fallait en référer au Procureur de la République. Le transport de justice eut lieu et le magistrat ne pouvait conclure, mais comme la cheminée fonctionnait bien, il n'"y avait pas lieu de s"'alarmer. Le calme de la campagne n"'était donc pas troublé, pas plus que l'"ordre public et c"'est dans cette atmosphère apaisée que les anglais ont terminé leurs vacances printanières.
Le second chapitre nous entraîne au début de l"'automne avec une nouvelle migration britannique. Quelques jours auparavant, la voisine est prévenue de leur arrivée, comme à l"'accoutumée, elle effectue une mise en état des lieux. A sa grande surprise, le sol est recouvert d"une quantité incroyable de mouches mortes et il règne dans le salon une odeur indéfinissable. Après un bon courant d"'air, et un balayage soigneux, les choses en restent là jusqu"'à l'"arrivée des occupants en fin de matinée. Cette fois encore, la température ambiante mérite un peu de chauffage et donc un petit feu dans la cheminée.
Rien de plus simple, il suffit d"ouvrir la trappe. Un ancien colonel de l'"Armée des Indes doit pouvoir faire face à toutes situations, mais en la circonstance, on se demande s'"il n"a pas perdu un tant soit peu une once de son flegme. Une chaussure chaussant un pied, un tibia et un péroné sont tombés dans l'"âtre. A bien y regarder, quelques lambeaux de tissu accompagnent cette chute intempestive.
En moins de six mois, la paire de tennis est reconstituée, là n"'est pas l"essentiel ainsi que le fait justement remarquer la dame anglaise. Le maire, les gendarmes, la justice et les pompiers se rendent sur place. Ce sont les pompiers qui sont chargés de l"'exploration et qui récupèrent les restes d"un corps coincé dans la cheminée. L"'identification criminelle va pouvoir commencer dans le laboratoire spécialisé de la gendarmerie de Lyon.
Subsiste une interrogation majeure qui est-ce ? Depuis quand ce corps est-il là, pour quelle raison ? Comment cela a-t-il pu se produire, alors que personne n"a vu d"'échelle ? Les supputations vont bon train dans la commune, chacun a un peu son avis sur la questionÂ…. D"'après les premières constatations, il s'"agit d"un homme jeune. Le scénario le plus probable est qu"'il aurait tenté de cambrioler la maison en passant par la cheminée, il aurait glissé et serait resté coincé. Selon un médecin, il serait mort de soif, les reins se seraient bloqués entrainant une perte de connaissance. « Il a probablement souffert le martyre. »
Les autorités sont confrontées à un autre problème. Il est fait obligation à la commune de prendre en charge l'"inhumation. Ce n"'est pas une mince affaire. Le budget voté par le conseil municipal n'"a pas prévu ce genre de dépense, finalement le préfet autorise l"'inscription au chapitre des fêtes et cérémonies.
Dans le petit cimetière, en face de l'"église, le vieux curé qui dessert la paroisse donne sa bénédiction « Inconnu, qui que tu sois, quoi que tu aies fait, quelle que soit ta religion, repose en paix. »
Quelques heures plus tard, à la nuit tombante, une voiture s"'arrête le long du cimetière. Plusieurs personnes en descendent discrètement. Le lendemain matin, on découvre un bouquet de fleurs sur la terre fraichement remuée. Depuis, plus rien. En apparence, personne n"'est venu se souvenir sur cette tombe.
Il faudra plusieurs mois avant que ne puisse être révélée avec certitude l"'identité de cet homme jeune né dans une ville voisine. Il était connu des services de police pour des faits mineurs. L'"ADN avait parlé. Sa famille ne s'"était pas manifestée, elle avait l'"habitude de ses absences prolongées.
Devant un thé, la dame anglaise tient salon, elle affirme que sa maison a désormais une histoire. La valeur marchande augmente puisqu'"il s"'agit de la maison du petit ramoneur.

N.D.L.R. : Je vois qu'avec vous, aucun terme technique ne tombe dans l'oreille d'une sourde (apprenez toutefois que la longueur de l'attribut en question est de 15 mètres et non de 13, vous me le copierez 100 fois)... Dans la version que je connaissais, le petit ramoneur avait un frère qui l'accompagnait ce jour-là et qui, prenant peur et désireux d'aller chercher du secours, aurait perdu le contrôle de son véhicule et se serait lui-même tué sur la route.

L'Avenue de la Chaslerie avant remise en état.

Lucyna vient également de me transmettre son avant-projet sur la remise en état de l'avenue de la Chaslerie :

Le rapport de présentation.

L'état actuel.

L'état projeté.

Mes principales demandes de rectification sont les suivantes :
- la longueur à restaurer est de 534 m et non de 489,5 ;
- sur la coupe AA, les fossés sont, dans les deux cas, à l'extérieur des talus et non à l'intérieur ;
- je préfèrerais conserver le macadam actuel, en le recouvrant de terre et d'herbe, ceci afin de permettre à deux véhicules de se croiser sans que l'un, au moins, ne s'enlise.

Lucyna me dit qu'il faudrait un permis de construire pour ce travail ; je trouverais cela excessif ; d'ailleurs, le S.D.A.P. ne m'a jamais parlé, en la matière, que d'autorisation. Lucyna doit donc vérifier cette question auprès du S.D.A.P.

Bien que cela ne me concerne pas directement, je pense qu'il serait bon que le S.D.A.P. étende la protection de l'avenue aux premières centaines de mètres suivantes ; sinon, c'est le très beau muret de pierres sèches photographié par Lucyna qui risquerait de disparaître, étant entendu que le fermier du propriétaire voisin est une brute inculte qui ratiboise tous les talus du secteur. Il serait très fâcheux que ce vestige vénérable soit également victime de la folie destructrice du même énergumène barbare, uniquement préoccupé de son plus grand profit personnel ! Or le risque est avéré, comme cet abruti l'a déjà montré moultes fois à Saint-Bômer puis, hélas et depuis qu'il y sévit, à La Haute Chapelle.

Pendant qu'Igor et Jonathan charriaient des pierres à proximité du mur Ouest de la douve Nord, je vous ai préparé un petit reportage sur les différents types de pierres que l'on trouve à la Chaslerie.

Sur les bâtiments les plus anciens, il s'agit de grès ferrugineux de formes assez diverses, comme ici sur la tour Sud-Ouest :

11 mai 2012, les pierres les plus fréquentes dans les murs de la Chaslerie.

La tour Louis XIII a, quant à elle, été montée en grès schisteux :

11 mai 2012, les grès schisteux au rez-de-chaussée de la tour Louis XIII.

Sur les deux premiers mètres de hauteur du mur Ouest dés écuries, on remarque toutefois une pierre appelée "pierre blanche" ou "pierre froide" ou encore "pierre de Domfront".

11 mai 2012, la façade Ouest des écuries.

Ainsi, les constructeurs successifs de la Chaslerie ont eu recours à, au moins, trois carrières différentes. On peut penser que celle de grès ferrugineux était la plus proche. En tout cas, c'est surtout de pierres de cette dernière qualité que j'ai besoin pour remonter les murs de douve.

Si vous connaissez, dans le secteur, des bâtiments en ruine montés avec le même grès ferrugineux, je vous prie de me le signaler. J'irai voir s'il y a moyen de compléter ainsi notre approvisionnement.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 11 Juin 2012
Journal du chantier - Plomberie-chauffage - Electricité - Menuiserie - Logis - Ailleurs - Annonces
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Au sol de la nouvelle salle d'exposition de la ferme de Mondaye, j'ai remarqué un caillebotis qui dissimule tout en maintenant accessibles les différents tubes dont la vie moderne nous encombre. C'est un problème auquel se heurtent tous les restaurateurs de vieilles pierres. A la Chaslerie, le problème se pose dans l'immédiat pour la pièce dévastée du 1er étage du logis, là où Sébastien LEBOISNE peine, semble-t-il, à nous trouver 18 solives pour remplacer les anciennes vermoulues.

9 juin 2012, une solution astucieuse.

Je me demande cependant si cette rigole aménagée ne se transforme pas rapidement en nid à poussières et autres vermines...

Bonsoir,

Vous avez un bon forgeron, mais celui-ci m'a l'air pas mal. Il se trouve dans l'Orne, à 61150 Montgaroult.

Le connaissez vous?

Bonne soirée !

N.D.L.R. : Oui, je le connais. Il a été formé par Roland FORNARI et m'est recommandé par Marc CHALUFOUR. Je pensais à lui pour la rampe de l'escalier du bâtiment Nord... Voici d'ailleurs vers quel type de rampe je m'oriente :


N.D.L.R. 2 (du 1er mai 2023 à 21 heures) : Y penser pour la cave.
Jean-Paul BOISGONTIER
rédigé le Mardi 19 Juin 2012
Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - Animation, fêtes, visites - A la Chaslerie - Annonces
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Monsieur,

Depuis 1981 l'"Association des randonneurs pédestres du Domfrontais" organise des randonnées afin de faire connaître les sentiers de la région.

Cette année le rassemblement départemental des randonneurs pédestres de l'Orne se tiendra à Domfront le 9 septembre prochain, avec l'accueil des participants à la salle des fêtes de La Haute Chapelle.

Le circuit que nous avons prévu traverse votre propriété, aussi nous vous demandons de bien vouloir nous accorder l'autorisation d'emprunter ces sentiers.

Après la randonnée de l'après-midi, toutes les personnes présentes se retrouveront pour partager le verre de l'amitié.

Les membres de l'association et moi-même sommes heureux de vous inviter à vous joindre à nous à 16 heures, à la salle des fêtes.

Comptant sur votre présence, je vous prie d'agréer, Monsieur, mes respectueuses salutations.

N.D.L.R. : Avec plaisir, y compris pour le pot ! Si vous le souhaitez, je pourrais vous indiquer des sentiers méconnus à travers la Chaslerie. Bien cordialement !
Merci pour les photos, il faudra que je passe voir tout cela.

Le rendu extérieur de vos châssis est correct.

Franchement, il faut avoir la foi dans le bâti ancien face à la D.R.A.C. et à ses multiples imprimés ; je comprends un peu mieux certains propriétaires refusant de faire classer leur bâti.

Dommage que vous n'ayez point abordé les châssis anciens, une prochaine fois.

Bonne soirée !

N.D.L.R. : Vous savez bien que vous êtes le bienvenu quand vous voulez. Mais peut-être nous reverrons-nous d'abord dans quelques jours à Bayeux autour d'un cochon de lait ?

Sébastien COSNARD
rédigé le Vendredi 6 Juillet 2012
Journal du chantier - Menuiserie - Ferme et son fournil - Ailleurs - Annonces
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Bonjour,

Je vous remercie de m'avoir répondu et j'ai pris note de ce que vous auriez peut-être des solives disponibles.
En face de chez moi il y a un joli manoir, "la Perrine de Cry", très bien restauré au bord de la Sarthe, et la personne le possédant a écrit un livre sur l'histoire et la restauration de ce manoir, "la belle endormie". Peut-être en ferez-vous autant.!?
Cordialement.

La Perrine de Cry à Avoise (Sarthe).

N.D.L.R. : Cela a l'air très beau et très bien restauré, en effet. Merci pour l'info, on tâchera d'aller voir. Cordialement.