A&M expands Sovereign Advisory Services Practice into France, appointing Thibaud Fourcade as Managing Director

N.D.L.R. : Article et photos découverts avec retard et un peu par hasard, il faut bien le reconnaître.

"Holistique", j'aurai au moins appris un mot.

Je me garderai cependant de l'utiliser car il me paraît clair que je ne comprends rien à ce que peut être sa signification.

A propos de cet intéressant sujet, je crois donc que je devrai me borner à méditer la pensée du philosophe : "L'ignorant affirme, le savant doute, le sage réfléchit."

Amen !

Message "WhatsApp" de ma sœur pour souhaiter un joyeux anniversaire à son vieux "brat" ("frère" en russe, langue qu'elle étudia dans le temps à mon instigation). Elle m'a indiqué que tous chez elles ont vivement apprécié les marrons glacés offerts par La SVAADE pour les remercier, elle et son mari, d'être intervenus auprès de celui que j'ai toujours appelé "l'académique".

La même punition a été réservée au susdit qui en est très friand. Quant à ceux destinés à Patrice CAHART, ils devraient lui être remis, en même temps que son exemplaire de l'"ouvrage THUAUDET", lors de son prochain passage dans la thébaïde parisienne de Carole.

Qui est Éric Lombard, ce ministre qui se voit en « Spider-Man » de Bercy ?

N.D.L.R. : ???

Je dirais même plus : ??????

Ou, si l'on préfère, en latin s'il vous plaît : "Quo non descendemus ?"
(c'est-à-dire, en traduction libre : Où ne descendrons-nous pas avec le fou furieux que l'on sait ?)

Voir ici une fine allusion au prédécesseur FOUQUET à qui l'on ne peut pas dire que sa devise, "Quo non ascendet", ait finalement porté chance.

Ce matin, au manoir favori, la température extérieure (je crois devoir le préciser) était de -3° C :

Ce soir, on annonce du verglas sur tout le territoire du département de l'Orne.

En fin d'après-midi, une femme m'a contacté, via "leboncoin.fr", pour m'acheter deux stères de bois qu'elle souhaitait venir chercher immédiatement, bien qu'elle se trouve à 1 heure 30 de route.
J'ai essayé de l'en dissuader en lui expliquant qu'il ferait nuit à son arrivée et que les routes seraient dangereuses.
Il n'y a rien eu à faire, elle m'a écrit : "Pas de soucis, j'emmène une lampe et je peut pas attendre depuis se matin je cherche re contacter tout le monde il me faut du chauffage pour ce soir je m'en excuse mais je suis vraiment obliger de venir maintenant" (sic).

Dans ma thébaïde, je suis parfois enclin à oublier qu'il y a des gens malheureux.
Tout cela n'est pas raisonnable.

P.S. (à 18 heures 40) : Un nouveau message de cette "Manon" m'apprend que "Bon bas j'en suis désoler mais je ne peut pas venir j'ai un soucis est ce que on peut reporter cela à la semaine prochaine cordialement j'en m'en excuse encore".

Ça me paraît plus sage en effet.

Premier maire de Paris, le savant Jean Sylvain Bailly est arrêté durant la Terreur et condamné à mort. Lorsqu'il monte sur l’échafaud, le bourreau lui demande :
- Tu trembles, Bailly ?
- Oui, mais c’est de froid.

N.D.L.R. : Comme moi.

N.D.L.R. : Si je commente :
- une vie très centrée sur la partie méridionale de la Basse-Normandie,
- très peu de sport (neuf minutes et cinq cent quarante-cinq mètres - à peine la longueur de la grande allée - de marche à tout casser par jour en moyenne, toutes activités confondues, ce qui laisse rêveur), beaucoup de voiture (trois heures au volant et 80 km par jour en moyenne, ce qui montre qu'il s'agit de déplacements de proximité),
- dans l'année et pour des raisons souvent médicales, six ou sept allers-retours à Paris par le train et puis c'est tout,
- enfin, des indications sur la fréquentation des restaurants par le type en question, vu qu'il ne cuisine jamais rien, par flemme et, peut-on dire, par choix civilisationnel de type machiste assumé ; il faut quand même que ce zèbre se nourrisse lorsque son épouse est absente (ce qui, comme l'illustre le dernier et éclairant graphique, arrive très souvent, particulièrement à la saison froide) ; de plus, comme cet individu a l'habitude de se nourrir de façon expéditive (à un "rythme de cantine", pourrait-on préciser, rythme tout juste freiné par le "sudoku" quotidien et autres jeux de "Ouest-France" auxquels il s'adonne en mangeant), on peut déduire du nombre d'heures passées au restaurant le nombre de fois où il dû y aller.

Bref, des habitudes extrêmement casanières.
Il faut croire que cela tient au caractère du personnage.

Et tout donne à penser que ça ne devrait pas s'arranger avec l'âge...

P.S. (du 7 janvier 2025 à 5 heures 30) : Ce rapport donne une idée du flicage dont chacun d'entre nous peut faire l'objet dès lors qu'il porte un téléphone portable.

Personnellement cela ne me gêne nullement. Mais je puis comprendre qu'il en aille tout autrement pour beaucoup de monde.

A dire vrai, je ne sais pas ce qui me vaut cette surveillance constante. Peut-être le fait que "Google" prélève chaque mois, avec une régularité de métronome, une somme de 1,99 € T.T.C. sur mon compte bancaire ?

En première analyse, il ne devrait pas y avoir là de quoi me mettre trop rapidement sur la paille.

A noter que j'ai essayé de me désinscrire de ce bazar mais c'est tout sauf "customer - friendly", donc j'y ai assez vite renoncé.

On a compris que je roule beaucoup sur des routes de campagne. En cette saison, ma voiture disparaît donc sous une couche de boue. Que dis-je une couche ? Sous de nombreuses couches de boue.

Connaissant mon adresse manuelle, Carole m'a demandé d'aller la laver à un dispositif automatique. Je n'ai pas su déclencher le mécanisme convenablement, de sorte que je me suis retrouvé couvert de savon avant d'avoir pu rentrer dans mon véhicule. J'y suis néanmoins parvenu non sans mal et ai pu m'asseoir à l'arrière juste avant que le portique ne me happe.

J'étais, à mon habitude, accompagné de mon copain Speedy Gonzales, lui-même ignorant de ces techniques modernes.

Voici donc une idée du spectacle :

Cette après-midi, alors que je descendais trop vite et en chaussettes l'escalier du bâtiment nord, j'ai glissé.

P.S. (du 8 janvier 2025 à 6 heures) : Je peux ajouter que je me suis bien amoché au niveau du rein gauche.

P.S. 2 (du 9 janvier 2025 à 0 heure 30) : La douleur se calme.

Elon Musk répond ironiquement à Emmanuel Macron qui l’accuse d’interférences dans les élections en Europe

Alors que le président français dénonçait les ingérences d’Elon Musk dans les élections allemandes, le patron de X lui a renvoyé les accusations.

Après Keir Starmer, Olaf Scholz et maintenant Emmanuel Macron... Tous les dirigeants européens seront-ils bientôt en guerre ouverte avec Elon Musk ? Le président français l’a éreinté lors de la trentième conférence des ambassadeurs ce lundi, et le milliardaire américain, très réactif, n’a pas manqué de se défendre sur son réseau social X.

N.D.L.R. : Les réseaux sociaux ont vite chamboulé l'art de de communication (rythme et ton). Il me semble que le monde est ainsi devenu plus cruel. Difficile pour les gouvernants de garder un cap clair lorsque le dernier à gueuler le plus fort a raison.

En ce domaine, la prise le contrôle de "X" par Elon MUSK fut un coup de génie.

Le militant Cédric Herrou, qui avait traité le maire de Breil-sur-Roya de «sombre type», une nouvelle fois face à la justice

Le maire Sébastien Olharan avait déposé plainte contre l’activiste pro-migrants après une série de messages sur X à son encontre.
Le maire LR de Breil, élu en 2020, a reconnu s’exposer, dans le cadre de ses fonctions, à des «critiques» et «reproches». Mais pas à ce degré : «Je veux faire en sorte que ces insultes cessent pour rétablir mon honneur et celui de la commune», a-t-il exposé au tribunal.

En défense du militant, son conseil, Me Sabrina Goldman, a rappelé que X, désormais propriété du milliardaire Elon Musk, était «le réseau social de l’invective». L’avocate a martelé le principe de liberté d’expression d’un simple citoyen. «Dire que ce n’est pas plaisant, que c’est péjoratif, ça ne suffit pas à qualifier une injure en matière de droit», a-t-elle précisé, en citant des jurisprudences de propos outranciers envers des responsables politiques qui n’ont pas été sanctionnés par la justice.

La décision a été mise en délibéré.

N.D.L.R. : Intéressant débat, on lira avec intérêt l'évolution éventuelle de la jurisprudence.

Peut-être sera-t-il fait ou maintenu une différence selon le niveau de l'élu contesté ? Ne serait-il pas judicieux en effet d'admettre, par exemple, que même s'il ne se montre pas plus ouvert au dialogue et accumule les preuves d'une nocivité plus que probable, voire d'une dilapidation des deniers publics, un élu communal ne saurait avoir le cuir aussi épais qu'un fou furieux opérant au niveau national ?

Sinon, qui se présenterait encore aux municipales, c'est-à-dire serait candidat à des activités bénévoles (ou presque), chronophages (sans aucun doute), corsetées dans un maillage de normes beaucoup trop serré de façon évidente, exposé à des médias dont les pratiques paraissent parfois pour le moins évolutives et, cerise sur le gâteau, à des administrés aptes à s'exprimer en commentant des faits ?

"Cerise sur le gâteau", voici au demeurant un pseudo qui pourrait me plaire si je n'avais pas pour principe de toujours signer de mon nom (ou de mes initiales) ce que j'écris.

Il y a quelques jours, rentrant le soir du cinéma de Bagnoles, j'ai tapé dans un chevreuil mais il y a eu plus de peur que de mal.

Ce soir, c'est un gros sanglier que j'ai failli percuter. Ce gros pépère traversait la D22 près des pilastres, en direction du manoir. Speedy Gonzales et moi revenions de Flers où j'ai assisté à la projection de "Sarah BERNHARDT, la Divine", film sans grand intérêt si ce n'est qu'à la fin, on aperçoit trois fois, furtivement, la maison de la grand-mère de Carole, "Les Vikings" à Andrésy, dont j'ai déjà parlé :

Ma photo, prise de ma place dans la salle (je me tenais en embuscade), n'est vraiment pas terrible. On voit mieux cette maison dans la bande-annonce. Pas de vue en revanche du plaisant bras de la Seine au bord duquel ce pavillon nordique d'une exposition universelle avait été remonté.

Mes voisins GAHERY viennent de m'apprendre qu'au matin de la Saint-Sylvestre, ils ont retrouvé deux de leurs moutons raides car égorgés et un troisième salement amoché. Ils ont pris des photos ; l'on y voit le présumé innocent qui ressemble à un loup. Ils m'indiquent que des analyses génétiques sont en cours pour caractériser l'A.D.N. retrouvé.

Nous vivons entourés de bêtes sauvages (ou qui en ont le comportement).

Comme je le fais de temps à autre pour tel ou tel sous-ensemble du site favori, je viens de passer en revue les articles parus sous l'onglet "Projet MORIN". A cette heure, il y en a près de 220.

Même si j'ai atténué la tonalité de quelques formulations, l'impression d'ensemble demeure que, depuis le lancement de cette initiative, excellente dans le principe, elle a été très mal gérée sur le terrain. Je veux dire que rien n'a hélas changé du constat : menée "en catimini" et par des personnalités locales dont la qualité de l'inspiration demeure problématique, cette initiative n'a toujours pas prouvé qu'elle est autre chose qu'un jouet un peu tombé du ciel et confié de fait à un adjoint inapte à la traiter convenablement.

Un jour, il serait bon que tout cela soit examiné par une entité dont c'est la mission de chiffrer, à toutes fins utiles, les dilapidations de deniers publics.

Sacré loïde !

Carole m'a signalé sa disparition vers 21 heures.

Dans la nuit, j'ai fait le tour des pièces que j'avais montrées dans la journée à l'officier traitant de la D.R.A.C. et où cet énergumène nous avait suivis, tout frétillant.

Et j'ai fini par le retrouver : dans le noir, dans le froid et l'humidité, le couillon m'attendait dans la pièce au-dessus du salon du logis. Il est tellement petit que je l'y avais enfermé sans m'en rendre compte.

Demain matin, quand il fera jour, je m'assurerai qu'il n'y aura pas fait trop de cochoncetés.

P.S. (du 22 janvier 2025 à 10 heures) : Si, bien sûr, ce qui justifie son surnom...

Vente aujourd'hui des deux dernières stères de bûches de chêne de la récolte d'il y a deux ans.

J'avais donc mis et trop longtemps maintenu le prix trop bas, vu la qualité. Il est depuis peu de 65 €/stère de bûches de 1 mètre de longueur à emporter et il y a encore de la demande.