Sans doute encouragée par le qualificatif d'"Intéressant" dont le "Guide Vert Michelin" a gratifié le manoir favori, Carole a investi dans l'achat d'un exemplaire de la dernière édition du "Routard - Normandie".

Et là, sur le même sujet, silence radio. Il n'en va pas de même pour le "Château de la Bière" voisin.

On a les référents culturels qu'on peut.

Grâce à David NEW, le "référent numérique" de Domfront, nous espérons savoir faire fonctionner "Zoom" de manière à ce que le prochaine A.G. de "La SVAADE" puisse aussi se tenir "en distanciel" :

Les élèves (Carole et moi) s'appliquent mais ne sont pas très doués pour ces techniques modernes.

Ma prochaine corvée administrative consistera à obtenir le remboursement de la T.V.A. que j'ai réglée depuis que je suis enregistré auprès de qui de droit sous le statut de "sylviculteur", c'est-dire depuis le 25 mai dernier.

Il y en a, à ce jour, pour 11 123,96 € selon mes calculs, dont 8 333,33 € du fait de l'empierrement de l'"allée principale".

Je ne sais pas comment procéder, quelle paperasse remplir, où se trouvent les fonctionnaires en charge (je crois que c'est désormais à Argentan, depuis que le bureau de Domfront a fermé), s'il est possible d'échanger avec eux par courriel ou bien si l'on doit prendre rendez-vous pour aller les voir à une heure de route d'ici.

Commode !

Madame, Monsieur,

Grâce à votre banque à distance, vous pouvez prendre connaissance des nouveaux documents
que nous déposons régulièrement dans le menu « documents et contrats » de votre Espace
personnel bancaire. Entre autres, vos extraits de compte sont accessibles à tout moment au
format PDF.

La réglementation sur la dématérialisation des extraits de compte nous oblige à nous assurer
que vous utilisez régulièrement votre Espace personnel bancaire et qu’ainsi, vous avez bien
accès à vos documents. Dans l’éventualité où vous ne vous connecteriez pas à votre Espace
personnel bancaire, nous serions tenus de vous les faire parvenir par courrier.

Il semblerait que vous ne vous soyez pas connecté au cours des dernières semaines. Cela
pourrait donc générer la reprise de l’envoi de documents et d’extraits de compte par voie
postale.

Pour éviter un retour à l’envoi postal de vos documents, il suffit de vous reconnecter une fois
à votre Espace personnel bancaire au nom de SCI 1 DE WALTER FOURCADE
dans les jours qui suivent ce message.

Moins d’impression, moins de papier : prenez l’habitude de consulter vos comptes sur
internet, au moins une fois par an.

Cordialement,

Votre conseiller CIC

N.D.L.R. : Mais non, je n'en veux pas de votre bazar dématérialisé, je veux du papier pour pouvoir archiver "à la papa" !

Je paye chaque année plus de 5 000 € de prime d'assurance au titre du manoir favori.

Les dégâts dus à la tempête de la nuit dernière m'ont amené ce soir à interroger mon courtier d'assurances. Le contrat étant, bien entendu, illisible, je lui ai demandé quelle est la franchise dans un tel cas.

Réponse : "1 500 € et à condition que le vent ait soufflé à plus de 100 km/h".

Renseignement pris, il paraît que c'est le rôle de l'assureur d'interroger la météo pour savoir ce qu'il en aura été.
Cette réponse ne saurait me suffire.
Or, quand, surfant sur la toile, j'essaye de me renseigner à ce sujet, je vois :
- que la station météo la plus proche où l'on mesure la vitesse du vent serait à Flers
- et que, ces jours-ci, les rafales de vent n'y auraient pas dépassé 53,1 km/h.

Avec des clauses de contrat ainsi rédigées (il faudra bien sûr que M. DESBISSONS me montre où se trouve cette clause), j'aurais comme l'impression qu'on se fout de ma gueule.

P.S. (du 13 mars 2023 à 16 heures 45) : M. DESBISSONS repart à l'instant. Ses propos sont rassurants :
- la clause que j'appelle "scélérate" figure au C.C.A.G. qu'il ne m'avait pas encore transmis mais qu'il va me communiquer ;
- la station météo la plus proche se trouve en effet à Flers mais les bourrasques y ont dépassé 90 km/h le jour J, de sorte que l'assureur ne devrait pas élever d'objection sur ce point ;
- un expert passera chiffrer le coût de réparation ;
- je dois fournir toutes les factures reçues pour les travaux touchés ainsi que la facture de la plus récente révision générale des couvertures et, bien sûr, un devis de mon couvreur attitré, Franck LIEGEAS (et de l'architecte du patrimoine, j'imagine).

En arrivant, M. DESBISSONS m'a affirmé que j'avais mis en cause sa compétence professionnelle. Ce n'est pas du tout le cas et j'ai pu le rassurer sur ce point.
Je suis au contraire d'avis (je ne le lui ai pas dit mais je sais qu'il me lira ici) qu'il est très malin.

Après y avoir passé un nombre d'heures invraisemblable, je commence à voir le bout du tunnel de l'"exhumation" des messages de l'onglet "Vie des associations".

Il y avait 110 pages à traiter (soit, à la louche, 2 200 messages). J'en suis à la page 99.
Ça devrait être fini dans le courant de la nuit prochaine.
Je vais enfin pouvoir passer à autre chose.

P.S. (du 12 mars 2023 à 2 heures 30) : Je viens de terminer ce travail. Il est loin d'être parfait, notamment en raison d'"effets de bord" (ou quelque chose comme ça) :
- bien que les visites du manoir relèvent pour l'essentiel de "La SVAADE", depuis qu'elle l'a pris en location, j'ai maintenu un renvoi assez fréquent à "Les Amis de la Chaslerie" ; il se justifie par le fait que le "bâtiment Nord" n'est pas loué ;
- cela flotte, au sein de l'onglet "La SVAADE", entre les différents sous-onglets ;
- j'ai, à ce stade, maintenu le sous-onglet "Autres nouvelles associations" alors qu'il n'a désormais plus lieu d'être ; il faudra que j'y pourvoie à l'occasion.

Du fait de ce travail, "L'intégrale" (publique) du site favori compte désormais 530 pages, soit près de 10 600 messages (publics). A l'occasion de cette dernière corvée, j'ai donc dû "exhumer" (rendre de nouveau publics) un millier de messages.
L'une de mes "tours de contrôle" m'indique par ailleurs que le site compte à ce jour 1 130 pages, soit près de 22 600 messages (publics comme "Privé")...
C'est dire que le stock de messages relégués aux pages "Privé" est plus nombreux que celui des pages publiques. Mais on s'approche de la parité (sans que je sache si cette notion a, au moins ici, le moindre sens).

England suffer historic humiliation after France’s Twickenham tour de force

Talk about a guillotine falling with brutal finality. England have endured some chastening days over the years but nothing on the scale of this record thumping by France :

England 10-53 France
Seven tries for visitors in England’s biggest ever home defeat

N.D.L.R. : Il y a quand même une bonne nouvelle dans l'actualité.

Quelle pâtée, mes amis !

Je ne vide que quand elle est trop épaisse la pile de paperasses qui s'accumulent sur mon bureau, notamment quand l'expéditeur en est l'un ou l'autre des organismes sociaux qui fleurissent dans ce pays et y font souvent preuve d'une logorrhée ébouriffante.

Ce matin, je tombe sur cette intéressante curiosité administrative qui m'avait ainsi échappé jusqu'à ce jour :

Heureux de constater que d'aucuns s'interrogent d'ores et déjà sur les moyens de faciliter mon "maintien à domicile".

Le dernier numéro de la revue des "Maisons paysannes de France", reçu ce matin, contient un intéressant "dossier" sur les escaliers intérieurs.

Hélas, aucun artisan n'y est cité.

Je cherche à me rapprocher des représentants ornais de cette association dont je suis un vieux membre fidèle pour essayer d'obtenir quelques coordonnées qui me seraient utiles...

J'ai assisté ce soir à Belfonds (près de Sées) à une réunion de présentation, par un promoteur allemand, d'un avant-projet d'implantation d'éoliennes sur le territoire de cette commune et celui de Montmerrei.

Cette réunion se tenait dans la salle communale de Belfonds, en présence du conseil municipal de cette commune qui sera amené dans quelques jours à donner son avis sur cet avant-projet.

Je me trouvais parmi le public admis à assister à cette présentation et qui a pu, lors d'une interruption de séance, poser ses questions. Il y avait là une centaine de personnes opposées à l'avant-projet et, pour beaucoup, munies de pancartes explicites.
FR 3 filmait la scène.

Je représentais là non pas l'A.D.D.O.O.E., car on se trouvait dans le centre de l'Orne et non à son Ouest, mais la "Demeure Historique" et je n'ai pas trouvé nécessaire d'intervenir dans les débats puisque l'essentiel avait été dit, et avec talent, par divers riverains ainsi que par mon collègue des V.M.F.

A cette occasion, je me suis fait la réflexion que ce type de happening n'est pas ce dans l'organisation de quoi je me sentirais le plus à l'aise, loin s'en faut. Par formation et, surtout, par tempérament, je préfère l'étude des dossiers, même les plus rébarbatifs comme en ces domaines, ou bien le recrutement et l'animation d'une équipe de contradicteurs dans le cadre d'un procès en bonne et due forme.

Tout cela pour dire que je me propose de rassembler sous un nouvel onglet, que j'appellerai "A.D.D.O.O.E. / Sud Manche", tous les mémoires relatifs au projet en cours de contestation sur le territoire des communes de Ger et de Saint-Georges-de-Rouelley et dont ce site contient les textes. Ce nouvel onglet pourra, à toutes fins utiles, montrer aux candidats-opposants à un projet éolien à quel point les débats devant le juge administratif sont techniques et complexes, le droit étant, dans ces matières, devenu ce qu'il est.

Dans les Brèves du "Nouvel Esprit public", la recommandation de Béatrice Giblin :
Vers Compostelle - Regard contemporain sur les chemins de Saint-Jacques

Une approche pluridisciplinaire de cette réactivation des itinéraires de Compostelle, des spécialistes du patrimoine, de l’Histoire de l’art, des géographes, des historiens, des sociologues, des anthropologues.
A ma grande surprise j’ai découvert qu’en 1970 l’office de la cathédrale de Saint-Jacques de Compostelle n’avait délivré que 68 certificats de pèlerins ayant fait au moins cent kilomètres. En 2021, on est à plus de 300.000. Les Français en constituent évidemment une part importante, mais c’est le monde entier, et pas seulement catholique, qui vient faire ce chemin.

On prend également conscience de la façon dont ces chemins mobilisent les populations locales, pour remettre en état et s’approprier le patrimoine, comme avec le village d’Estaing par exemple. En ces temps un peu tristes, cette lecture devrait faire beaucoup de bien.

N.D.L.R. : Lecture recommandée à tous ceux qui souhaitent que le "projet MORIN" de "développement du tourisme médiéval domfrontais" aboutisse à des réalisations de qualité !

Qui est Charles de COURSON et quel peut être le rôle du doyen de l'Assemblée nationale ?

La journaliste Apolline de MALHERBE assure chez #Quotidien que la seule motion de censure qui pourrait rassembler, c'est celle de ce député.

N.D.L.R. : Pour moi, Charles-Amédée du BUISSON de COURSON sera toujours l'un de mes anciens élèves à l'E.N.A., à qui j'enseignais "les problèmes budgétaires et fiscaux" (autrement dit les "finances publiques"). Je le trouvais particulièrement brillant à l'oral mais, de façon curieuse à mes yeux, franchement médiocre à l'écrit, ce qui ne l'avait pas empêché de "sortir dans un grand corps", la Cour des Comptes dans le cas d'espèce.

Je l'ai revu ensuite à la cantine du ministère des finances lors de son passage à la direction du budget. Il était l'ami de mon adjoint (et futur parrain de mon cadet), très bavard et très affirmatif dans ses propos, presque péremptoire. Puis il s'est engagé en politique et je l'ai perdu de vue.

C'est aussi, ce que j'ai appris plus tard, le cousin d'un de mes vieux collègues et amis, Paul BEBIN.

N.D.L.R. 2 (du 18 mars 2023 à 2 heures 30) : Mon ancien élève a reçu de bonnes leçons de finances publiques, sa démonstration me paraît imparable.

Voici à quoi nous mènent le "en même temps" et le "tout par la com = tout pour les cons" que je dénonce depuis le début de cette aventure.

Arrivée sur Paris, ce matin, dans notre quartier :

On dit merci qui ?

En fin de matinée, Didier est passé me voir à l'improviste et en coup de vent pour exiger une augmentation.

Je n'ai même pas compris s'il souhaite que celle-ci soit de 25 ou de 67 % mais il avait l'air déterminé à obtenir satisfaction. Je n'ai pas davantage saisi les arguments qu'il a invoqués, si ce n'est qu'il m'a affirmé être payé ailleurs 67 % de plus que chez moi.

Grand bien lui fasse mais je ne suis pas le Père Noël ni n'imprime les billets de banque.

J'ai donc réagi négativement et il a conclu l'entretien en m'annonçant mettre fin à notre collaboration.