C'est curieux. Je n'avais plus depuis longtemps la moindre touche pour vendre mes bûches.

Et là, on dirait que ça redémarre en trombe.

Alors que, franchement, il n'arrête guère de pleuvoir et que la nuit tombe tôt.

Les gens sont parfois étonnants.

Dans un environnement en plein chaos, on s'amuse comme on le peut :

(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : mardi 21 novembre 2023 04:24
À : (...)
Objet : Patrimoine domfrontais et patrimoine toulousain - Références culturelles relatives

Cher (...),

Via "Google" puis "Wikipédia", il est possible d'accéder aux informations suivantes que je me permets d'éclairer par quelques exemples concrets, le tout de mon cru, auxquels j'ai supposé préférable, par souci diplomatique assumé, de donner le plus souvent un tour interrogatif.

Sous l'entrée "con", on peut avoir confirmation que ce qualificatif est, pour les gens du Sud-Ouest de la France, une "ponctuation rhétorique accentuant la cadence syntaxique dans la phrase".
Exemple : "Bonjour, con, comment vas-tu, con ?"

Sous l'entrée "oh con !", on lit de même "expression de surprise".
Exemple : "Oh con, tu charries ou quoi ?"

Quant à "putain", il s'agirait tout au plus d'une "particule énonciative soulignant le caractère affirmatif de la phrase".
Exemple : "Putain, mais quel con, c'est pas possible une connerie pareille, c'est du lourd, de l'inédit, du jamais vu !". Là, on sent bien que le qualificatif a valeur de constat.

Il semble que l'individu qui se déclare "originaire du Sud-Ouest" et qui aurait employé ce qualificatif de "con" par trois fois rapprochées se soit conformé à un usage bien connu et établi parmi les méridionaux, gens de goût aux traditions culturelles ancestrales fécondes s'il en est.

On peut même supposer, puisqu'il est fils d'artilleur, que l'individu en cause dispose d'un vocabulaire qui puisse inclure, lorsqu'il veut se montrer désagréable - à supposer qu'il en ait jamais l'intention - des qualificatifs dépourvus de toute dimension rhétorique, stylistique, poétique ou autre, contrairement au cas d'espèce.

J'espère, cher (...), qu'ainsi instruit, vous vous sentirez parfaitement libre de proclamer, ne serait-ce que pour témoigner de votre gratitude pour ce début d'initiation aux joies des "Jeux floraux" : "Oh, putain con !".

Amicalement,

PPF

(Fin de citation)

(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : jeudi 23 novembre 2023 00:37
À : Meyer Xavier
Cc : Philippe Durand <philippe.durand@avocats.pwc.com>
Objet : RE: Imposition de la SVAADE à la taxe d'habitation .

Cher Xavier,

On peut facilement se noyer dans ces bazars.

Soyons donc simples :

- en raison de mon très faible revenu fiscal de référence, je serais exonéré ;
- compte tenu de ses caractéristiques propres, "La SVAADE" n'est pas soumise ;
- donc circulez, il n'y a rien à voir, C.Q.F.D.

Amicalement,

PPF

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De : Meyer Xavier
Envoyé : mercredi 22 novembre 2023 23:24
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Objet : Re: Imposition de la SVAADE à la taxe d'habitation .

Cher Pierre-Paul
Merci pour le bail.
Comme déjà indiqué je me rangerai à l’avis du trésorier quant au payement.
J’ai un certain doute pour la cuisine et l’arrière-cuisine. En revanche si les deux fournils doivent être assujettis, c’est à votre nom.
Amicalement.
X. MEYER.

(Fin de citation)

Dans l'un de ses tout derniers courriels, mis en ligne par moi sur le site favori, Xavier MEYER a qualifié de "fadaises" certaines élucubrations domfrontaises.

Comme l'affaire me paraissait enfin en voie d'être réglée à la suite de l'envoi, par mes soins entre autres, d'une certaine convocation, j'ai répondu à Xavier, comme on l'a vu, en termes témoignant de cette hauteur de vues que les esprits bien formés apprécient toujours chez moi.

Mais hier soir, l'interlocuteur décrédibilisé en question en a remis une couche, tout aussi débile que les précédentes. Ce serait à croire qu'il y aura toujours des tordus prêts à faire perdre un temps précieux avec les inepties qu'ils osent débiter à un rythme exceptionnel.

Gardons néanmoins le moral car, si cette affaire évolue bien comme je pense que ce sera le cas, nous devrions être bientôt en position de percer quelques mystères préoccupants de la gestion en catimini bien connue du "projet MORIN".

Il ne serait que temps !

A propos des "fadaises", un rebondissement, inattendu pour moi, s'est produit cette nuit.

Les membres du conseil d'administration d'une association dont je suis le vice-président vont avoir très vite à se positionner. Je les en ai avertis cette nuit par courriel que je vais doubler ce matin de L.R.A.R. de mise en demeure.

Il m'a semblé nécessaire de réagir en urgence face aux manœuvres d'un individu qui, sous réserve de l'appréciation souveraine des tribunaux portant sur le caractère de forfaiture de deux au moins de ses agissements les plus récents, persiste à refuser d'assumer ses responsabilités en démissionnant de ses mandats au sein de cette association ainsi que je l'y ai invité, depuis plusieurs jours, par courriels motivés.

Deux membres au moins du conseil d'administration de cette association diffusent très largement, semble-t-il, des informations mensongères. D'ores et déjà, la presse a été induite en erreur d'une façon qui m'apparaît avoir été volontaire et délibérée.

J'ai donné 24 heures à certains des destinataires du courriel que j'ai expédié à 5 heures 07 ce matin pour se rétracter, notamment en annulant la convocation à une AGE transmise par courriel d'hier soir à 21 heures 25.

Les membres du conseil d'administration de cette association sont informés qu'à défaut, la Justice serait saisie en référé.

Jacques MEYER est mort hier matin. Je vois que sa dernière connexion à "WhatsApp" date de 7 heures 05 hier.

Grâce à "WhatsApp", j'ai une idée du rythme de vie de mes contacts. C'est peu de choses mais ce n'est pas rien.

Du moins de ceux qui ne m'ont pas black-listé.

Ce matin, à 8 heures 30, Jean-Michel GALLET et moi étions les premiers à nous attabler dans la salle communale de La Haute Chapelle afin de déguster les tripes bien arrosées proposées par le club de football de Domfront :

Puis, après que nous avons agréablement devisé avec Michèle POTHE, maire déléguée de La Haute Chapelle, Jean-Michel m'a entraîné dans la visite de l'église de La Haute Chapelle dont vient d'être livrée une première tranche de travaux destinée à réparer les dégâts provoqués par la foudre puis par les pompiers il y a deux ans. Enfin Jean-Michel m'a fait déambuler dans les allées du cimetière voisin où il a pu me montrer les tombes sur lesquelles il a gravé des noms et des dates depuis l'époque où il était apprenti. Chaque fois, il pouvait raconter des anecdotes pittoresques sur les familles enterrées :

Jean-Michel m'a enfin appris que, finalement, son ami Francesco garde la petite chienne (Irma la douce) qu'il avait proposé de me donner mais qu'il trouve attachante. Je me doutais qu'une fois de plus ce type ne tiendrait pas parole. Et il faudrait que je croie maintenant qu'il va m'en trouver une autre...

Depuis trente-six heures, la température extérieure flirte avec les 0°C :

J'avais fortement réduit le chauffage dès que Carole a tourné les talons, c'est-à-dire le 15 novembre dernier.

Tant qu'elle n'est pas de retour, un chauffage électrique d'appoint installé dans ma chambrette monacalo-monastique et même pas poussé à fond me suffit largement. Il n'y a guère que dans le cabinet de toilettes où cette parcimonie puisse finir par commencer à poser problème. Mais je n'en suis pas encore arrivé là. Après tout, les couettes et les pulls, c'est pas pour les cochons !

L'"affaire des fadettes" a alimenté depuis quelque temps la chronique judiciaire et on devrait encore en entendre parler après-demain.

Moi, je m'occupe à ma façon de l'"affaire des fadaises" déjà évoquée sur le site favori (mazette, quel site !). Et là aussi, les choses devraient pouvoir bouger rapidement, "a priori" le 30 plutôt que le 29 d'ailleurs.

Voilà, c'en était fini pour le hêtre...

... juste au moment où Carole réapparaissait à l'horizon du manoir favori :

Dans l'immédiat, l'arrivée sur la Chaslerie par cet endroit dangereux se trouve déséquilibrée puisque, avant les pilastres, il n'y a plus que le hêtre de droite.

On va réfléchir à la meilleure façon d'améliorer tout cela.

(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mardi 28 novembre 2023 15:12
À : Lori Helloco <helloco.avocat@outlook.fr>
Objet : RE: jugement (...) c/ APIJOMM

Cher Maître,

Bravo ! L'adversaire, conseillé par la C.G.T., s'est montré très vicieux mais vous avez été excellent de bout en bout.

Et je n'ai aucune crainte en appel.

Bien cordialement,

PPF

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De : Lori Helloco <helloco.avocat@outlook.fr>
Envoyé : mardi 28 novembre 2023 15:02
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Objet : Fwd: jugement (...) c/ APIJOMM

Cher Monsieur
J'ai le très grand plaisir de vous faire parvenir la décision du conseil de prud'hommes d'Argentan.
Monsieur (...) dispose d'un mois pour en interjeter appel.
Bien sincèrement

Lori HELLOCO
Avocat associé
SCP BRODIN & HELLOCO
Inscrit au Barreau d'ARGENTAN

(Fin de citation)