Conversation avec "Cambérabéro" via "WhatsApp" :

Lui (à 12 heures 44) : Bonjour Pierre-Paul ! Je serais curieux de savoir combien de vos lecteurs ont essayé, comme moi, de joindre ce matin la clinique Saint Martin

Moi (à 13 heures 08) : Avez-vous eu plus de succès ?
Lui (à 13 heures 08) : Non (heureusement). Renvoi vers une boîte vocale qui ne prend pas de message
Moi (à 13 heures 09) : Oui, et au 2 on ne comprend rien à l'adresse qu'ils donnent.

Un point noir est apparu vendredi dernier dans le champ de vision de mon œil gauche. Il ne disparaît pas. J'ai obtenu une consultation "en urgence" du docteur SULTAN ce jeudi.

Mon jeudi sera donc très médicalisé.

C'était ma contribution du jour à la rubrique "Pendant les soldes, la déglingue continue".

Afin de me procurer les billets pour l'aller-retour à Paris, j'ai essayé de me connecter à un site de la S.N.C.F. Chaque fois, et elles furent nombreuses, ce fut en vain. Comme j'avais perdu mon mot de passe, le fameux "Mr NoReply" de mes deux m'en fournissait d'autres à la queue-leu-leu mais aucun ne marchait.

Je me suis donc rendu à la gare de Flers. Plus de 20 km et 23 minutes, puis autant pour le retour. J'y suis arrivé à 16 heures 30 pétantes mais impossible d'entrer, la guichetière refusant de réagir à mes demandes formulées de l'extérieur. Puis un train a marqué un arrêt et un voyageur a réussi à entrer dans la gare en passant par la porte donnant sur les quais. J'ai contourné l'immeuble et, lorsque je suis arrivé devant cette seconde porte, elle était à son tour hermétiquement close. Le train était toujours là et, afin que personne alentour ne risque de perdre le sel ni l'à-propos de mes paroles, j'ai crié "S.N.C.F., boîte de merde !"

Un homme en uniforme bleu marine à ornements rouges s'est alors approché de moi. Il s'est présenté comme un agent de la S.N.C.F. et m'a sobrement dit : "Je suis bien d'accord avec vous !". Je lui ai répondu compatir. Il m'a expliqué que la guichetière était une remplaçante et qu'"elle avait fait ses heures".

Aujourd'hui, j'irai à Bagnoles-de-l'Orne pour essayer d'acheter ces foutus billets.

(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mardi 5 décembre 2023 10:11
À : Jean Paul PAGEZE <jetjp-pageze@orange.fr>
Objet : Re: cousinade Jean-Paul

Laisserais-tu entendre que de bonnes habitudes se perdent ? En tout cas des habitudes qui pouvaient participer d'un certain art de vivre ?

Envoyé de mon mobile
Envoyé à partir de Outlook pour Android

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From: Jean Paul PAGEZE <jetjp-pageze@orange.fr>
Sent: Tuesday, December 5, 2023 9:53:26 AM
To: Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Subject: RE: cousinade Jean-Paul

Bonjour Pierre-Paul,

Je ne sais pas si à Saint-Sulpice les cuisses étaient légères ou bien les langues mauvaises, toujours est-il qu'en ce qui concerne ma grand-mère Lucie CADENAT j'avais entendu dire que le père de mon père Maurice PAGEZE aurait été plutôt un certain PELFORT (il y en a à Saint-Sulpice) que son mari légitime Victor Aubin PAGEZE ! Lequel Victor, de bon tempérament, s'est quand même marié trois fois...

Une époque formidable ?

Bonne journée

JPaul

(Fin de citation)

A une station de métro de la station "Passy" où je descends quand j'arrive de Montparnasse, la station "Bir-Hakem" était fermée hier soir. La rame l'a traversée dans le noir, spectacle impressionnant, notamment compte tenu des usagers de cette ligne vers 22 heures.

En consultant "Google" ce matin afin de vérifier l'orthographe de cette station, j'apprends qu'elle est fermée depuis plus de deux mois.

La rareté de mes incursions à Paris explique-t-elle que je ne m'en sois pas aperçu plus tôt ?

Sortant de la station "Passy", j'ai jeté un coup d'œil, en haut de l'escalator, sur l'immeuble du 5, rue de l'Alboni qui, en l'état de mes informations, appartint à la famille de mes prédécesseurs LEVÊQUE. Amusant : de très proches amis de mes beaux-parents, les BILLET, y ont longtemps habité. Carole et moi avions même été invités par leur fils Gérald à une soirée dans un grand salon circulaire de sa tour, avec, si je me souviens bien, vue imprenable et directe sur la tour Eiffel.

Un second point noir est apparu ce matin dans le champ de vision de mon œil gauche. Et il me semble que le premier a grossi.

N.D.L.R. : Comme l'exprime lui-même le volatile :

Au demeurant, qui pourrait encore garder un minimum de confiance envers un appareil judiciaire en complète dérive partisane depuis, au moins, qu'il n'a que très mollement sanctionné, par exemple, l'affaire du "mur des cons" ?

Comment je contribue à creuser le déficit de la sécurité sociale :

Consultation avec le professeur SANCHEZ programmée pour le 22 décembre prochain mais j'ai cru comprendre que tout est bon dans l'cochon !

Vu l'ophtalmo. Il paraît qu'il s'agit d'un décollement de l'humeur vitrée par rapport à la rétine.
La même chose pourrait m'arriver à l'autre œil et il n'y aurait rien à faire qu'à s'y habituer.

(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : vendredi 8 décembre 2023 14:58
À : C. F.
Objet : SIGNALE - Chaslerie - Bail à ferme - Droits de chasse

Je crois que le bail rural à long terme en faveur des LEMOINE (G.A.E.C. du Nord) est dans le carton orange que tu as embarqué.

Pourrais-tu me dire les droits du fermier en matière de chasse sur les terres louées, et les nôtres ?

(Fin de citation)

J'ai passé une partie de l'après-midi à montrer mes terres à trois candidats à un droit de chasse. Vérification faite, le bail à long terme me permet de céder les droits de chasse sur les 20 ha en question. Par ailleurs, 30 ha sont plantés en arbres de haut-jet. Une partie des 10 autres hectares de ma propriété (les allées, du moins pour la partie la plus éloignée du manoir proprement dit) est susceptible d'être également ouverte à la chasse.

Après cette visite en voiture en ma présence, ces trois candidats se sont promenés librement pendant deux heures, donc sans moi. A leur retour au manoir favori, ils m'ont déclaré avoir vu neuf chevreuils, une bécasse mais pas de sanglier.

J'envisage de louer mes terres pour la chasse en privilégiant les candidats qui :
- me feront bonne impression
- et me paieront d'avance la somme la plus convenable à mes yeux
- tout en respectant un calendrier compatible avec la présence éventuelle de mes petits-enfants sur les lieux.

Coup de fil très aimable d'une dame qui m'informe qu'elle devrait signaler notre manoir favori sur la prochaine édition du "Petit Futé".

Elle m'interroge longuement sur l'accès au manoir à partir de la voie publique.

J'essaye de lui expliquer comment s'y prendre pour arriver par l'allée principale. Je déclare à cette occasion que cela ne fait jamais plus d'une trentaine d'années que je réclame aux pouvoirs publics une signalisation routière appropriée, sans le moindre résultat à ce jour.

Il faut en effet leur laisser le temps de la réaction.

A ce propos, je vais essayer de joindre mon interlocuteur habituel dans les services de la Région pour lui demander où en est l'avancement de l'instruction de mes demandes de subventions pour l'"étude de diagnostic d'ensemble" et la "restauration des menuiseries extérieures du logis".

P.S. (à 14 heures) : Ce dernier vient de me répondre qu'une "première réunion d'examen des dossiers pour 2024" est programmée avec un vice-président de la région pour le 9 janvier prochain. Il ajoute que l'"avis technique" des services à propos de mes demandes est "favorable". Je l'ai remercié pour cette réponse.

5 heures. Je m'apprête à poursuivre la rédaction du message 58092 commencée hier.

Pour la simplicité de la consultation, mes ajouts seront portés à la suite du texte d'hier, comme s'ils étaient eux aussi d'hier.

A propos du sabordage en cours de l'association "Domfront-Patrimoine" dont il est, comme moi, membre du conseil d'administration, j'ai reçu hier soir, de Xavier MEYER, le texte suivant :

J'aime bien les épitaphes, façons de ramasser en quelques mots l'histoire ou l'inspiration d'une vie. J'en ai même usé (d'avance) en quelque lieu choisi.

Pour autant, dans le cas d'espèce et pour ce qui me concerne, je serais plutôt enclin à me contenter de citer à ce stade un dicton tiré de la sagesse populaire, comme le sobre "Laissons les morts enterrer les morts !".

20 heures, je viens de terminer ma relecture de la partie historique du "diagnostic" d'Arnaud PAQUIN. Gros travail !

Domfront en Poiraie. Un projet de village médiéval d'artisans dans la commune

Métier d'art. Domfront a déjà son château et sa haute ville avec un quartier médiéval. Désormais, la création d'un village médiéval d'artisans est en projet.

N.D.L.R. : Je fais partie de ceux qui ne savent pas encore à quoi les promoteurs de ce projet d'un "Guédelon domfrontais" (appelons-le comme cela à ce stade) aboutiraient une fois au pied du mur, notamment en termes de "métiers d'art" (un domaine où, en tout état de cause, je n'ai jamais plus de trente-deux ans d'expérience continue). Il paraît cependant clair qu'en matière de couverture médiatique, ce puissent d'ores et déjà être des maîtres !

Le clip sonore joint à l'article de "Tendance Ouest" évoque en particulier la question du financement de ce projet de principe. On voit bien que le "projet MORIN" (quelle que soit la dénomination dont on l'affublerait désormais) suscite des appétits privés. Comme si, au bout de cinq années d'absence de résultats concrets et probants en matière d'initiatives publiques, alors que naît et pourrait se développer un "buzz" de critiques qui paraissent d'autant plus pertinentes qu'elles sont formulées en termes objectifs et respectueux des personnes, il était devenu temps de montrer de quoi chacun serait capable.

J'ai reçu hier, de la mutualité sociale agricole, le courrier suivant :

Ce courrier appelle de ma part les commentaires suivants :
1 - Je ne comprends pas en quoi la M.S.A. serait compétente pour m'interroger sur la situation, réelle ou supposée, de mes propriétés foncières.
2 - Les deux tableaux joints à sa lettre me paraissent particulièrement abscons et je n'ai pas de temps à perdre pour tenter de déchiffrer de tels hiéroglyphes.
3 - Je crois néanmoins comprendre qu'on m'annonce une baisse des ponctions que je subis en permanence alors que je constate en permanence l'effondrement de la façon dont l'Etat, au sens large, s'acquitte de ses missions régaliennes.
4 - Dans ces conditions, je classe le courrier en question sans autre suite de ma part que ce message-ci sur le site favori.

J'ai reçu hier le courrier suivant :

Ce courrier appelle de ma part les commentaires suivants :
1 - Il se présente comme la réponse à ma L.R.A.R. du 17 novembre 2023 qui faisait elle-même suite à mon courriel du 13 octobre dernier consécutif à ma réception de deux rapports du S.P.A.N.C.
2 - Je note le ton très courtois du signataire de cette réponse dont je le remercie ainsi que la rédactrice du courrier.
3 - Sans que je prenne le temps de lire l'abondante annexe de cette réponse, je me déclare satisfait d'avoir pris date dans les débats qui auraient lieu autour de cet intéressant sujet dans l'hypothèse où la Chaslerie serait vendue.
4 - Lorsqu'un inspecteur mandaté par le S.P.A.N.C. voudra revenir sur place, il ne pourra que constater la conformité des installations de la Chaslerie à tout l'invraisemblable et ridicule arsenal de normes applicables en l'espèce.
5 - Je classe donc soigneusement cette réponse dans mon dossier-papier relatif au S.P.A.N.C. et à ses méfaits et, pour le reste de cette affaire, m'endors sur mes deux oreilles de la façon la plus benoîte.

(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : jeudi 14 décembre 2023 23:00
À : Bernard Soul <bernard.soul@orange.fr>
Objet : Domfront-en-Poiraie - Livret des associations (2023-2024)

Monsieur le maire,

Consultant le livret en objet sur le site de la mairie, je constate qu'il contient de nombreuses erreurs pour ce qui concerne les associations domfrontaises que j'ai contribué à créer.

Pouvez-vous m'indiquer qui est en charge de vérifier, avant mise en ligne, que ce livret ne comporte pas d'âneries ?

D'avance merci !

Bien cordialement,

PPF

(Fin de citation)