Anecdotes

Un coup de fil, hier, au bureau de Marc CAPPELAERE m'a appris que notre P.S.G. est passé devant la commission "ad-hoc" le 18 juin dernier. Comme une lettre à la poste, apparemment (expression qu'il faudrait modifier tant la poste marche mal par ici : pas de "Monde" deux jours de suite cette semaine, tous ces records étant hélas faits pour être battus).

D'après ce qui m'a été dit, il faut compter un mois pour que l'avis officiel me parvienne.

A l'occasion de cet appel, j'ai demandé les coordonnées d'un professionnel de la filière-bois qui pourrait enseigner à Francis la taille de formation et l'élagage. Il me semble qu'une session d'une demie journée devrait suffire.
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : lundi 24 juin 2019 09:24
À : Hervé Duval
Objet : RE: Fan-club de la Chaslerie

Il faudra revenir pour que je vous montre les travaux intérieurs...

A très bientôt, j'espère.

PPF

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De : Hervé Duval
Envoyé : lundi 24 juin 2019 09:18
À : Pierre-Paul Fourcade
Objet : Re: Fan-club de la Chaslerie

Bonjour Monsieur Fourcade,

Je n'ai pas de Sébastien dans ma famille qui porte mon nom.
Je suis simplement né à Domfront d'une famille qui à migré à Caen dès la fin de la reconstruction à laquelle mon père a participé.
C'est à l'occasion d'une exposition sur entre autre cette période à la mairie de Domfront que je me suis rendu à la Chaslerie samedi dernier.
Comme j'y étais invité dans votre chronique que je lis réguliérement j'ai fait le tour de votre domaine sans y rencontrer quiconque...

L'écrin est superbe.
Mieux encore que sur vos nombreuses photos.
Plus intime.

Cordialement,

Hervé Duval

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Le lun. 24 juin 2019 à 08:55, Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com> a écrit :

Igor a lu notre échange et ça lui a fait plaisir.

De mon côté, je me demande si vous êtes de la famille de Sébastien.

Cordialement,

PPF

(Fin de citation)
L'annonce de "leboncoin.fr" m'a été signalée hier matin par Frédéric LE BON, de l'entreprise BODIN. Elle avait été mise en ligne la veille au soir mais Frédéric a placé des "alertes" sur divers sites internet et l'avait immédiatement repérée en pensant à moi.

Hier matin, je me trouvais à Paris, et fort occupé comme je le raconterai dans un prochain message.

J'ai immédiatement contacté le vendeur et nous sommes convenus que je passerais le voir dès hier soir, à son domicile à Frênes, c'est-à-dire près de Tinchebray.

Lorsque je suis arrivé à une dizaine de mètres de sa maison, il est sorti sur le devant de son portail et m'a dit : "Je vous reconnais, vous êtes le propriétaire de la Chaslerie, on admire vos travaux, l’œuvre d'une vie". (La suite de la discussion m'a appris que mon vendeur ne connaît pas notre site favori - ce qui est un grand tort - mais qu'il vient régulièrement à notre manoir favori lors des "Journées du Patrimoine" - ce qui est pas mal, quand même -).

Après une pareille entrée en matière, vous ne serez pas surpris que j'aie topé en dépit d'un prix élevé et bien que j'aie vu, dès que je l'ai découvert, que ce lot serait très insuffisant pour l'usage auquel je pensais, à savoir le futur dallage de la salle-à-manger de notre logis favori. J'ai également compris tout de suite que les dalles de ce lot sont du XIXème siècle, donc peu patinées par des siècles d'usage (comme c'était le cas des dalles utilisées en 2014 pour l'entrée du logis, dalles qui avaient déjà été découvertes - celles-ci à La Motte-Fouquet - par l'excellent Frédéric). Mais leur couleur me convient, et elles comportent les mêmes types de "crapauds" (inclusions noires) que celles du lot de 2014.

Ces dalles proviennent, paraît-il, pour l'essentiel, du sol d'une ancienne écurie du secteur. Mon vendeur en a utilisé une bonne trentaine de m2 pour une terrasse, bien jointoyée au ciment, sur le côté de sa maison. Il a consommé un autre lot, celui-ci non jointoyé, pour servir de bordure à son potager mais désire garder ces dernières à cet endroit. Dommage pour ce qui nous concerne mais je lui ai demandé de me signaler d'autres lots analogues dont il aurait connaissance.

Ces dalles ont un autre inconvénient à mes yeux puisque leur largeur est uniforme et relativement faible (32 ou 33 cm), alors que le lot de 2014 était panaché (33, 38 et 43 cm). Autrement dit, si elles devaient être utilisées pour la salle-à-manger de notre logis favori, on aimerait bien qu'il y en ait d'autres de plus grande largeur, de manière à ce qu'il n'y ait pas de hiatus entre les sols de l'entrée et de la salle-à-manger qui se trouve être contiguë.

Bref, dès que j'ai topé pour ce lot, j'ai téléphoné à Frédéric LE BON pour l'en informer et le remercier. Je lui ai dit que j'attendais la réponse du bureau d'études pour savoir à quelle épaisseur scier ces dalles, de manière à permettre le chauffage par le sol. J'ai ajouté que, comme cela, on aurait du matériau pour compléter la surface. Frédéric m'a répondu qu'il n'y aurait pas de problème pour scier ces dalles mais que jamais on ne parviendrait à reproduire leur patine comme je l'imaginais.

Bien. Mon idée d'utiliser ces dalles pour la salle-à-manger avait un sérieux plomb dans l'aile.

Mais Frédéric m'a indiqué avoir été "alerté" (comme indiqué ci-dessus) par une autre annonce. Il me l'a décrite et j'ai marqué mon intérêt. Je n'en dis pas plus ici car le dossier est en cours. Ce pourrait être une excellente nouvelle.

Quant aux dalles achetées hier, je vais en parler à Igor tout à l'heure. Peut-être pourrait-on les affecter à la "terrasse n°1" ? Ce serait une façon, en les exposant aux intempéries, de leur faire acquérir un supplément de patine. Et il suffirait, me semble-t-il, de les poser sur un support comme de la chaux - et non du Baticim - pour pouvoir les déchausser facilement quand on en aurait un meilleur usage. A voir. Mais quid des pentes et des évacuations d'eaux pluviales à l'endroit en question ?
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 10 Juillet 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Logis - Désultoirement vôtre ! - O'Gustin - Anecdotes
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22 h 30, l'heure de mon retour au manoir favori, après une journée entière sur les routes de Normandie.

J'ai trouvé Guguss affalé dans sa bannette, hors d'état d'arquer après sa folle journée avec sa chérie Mara :

10 juillet 2019.

10 juillet 2019.

10 juillet 2019.


Dans l'après-midi, alors que je téléphonais à Igor pour lui demander son avis sur Johnny, il m'a appris que ce dernier préférait arrêter là sa contribution. Il devait m'appeler pour me l'annoncer mais ne l'a pas fait. A l'âge de 40 ans, ce garçon s'est réfugié chez sa Maman qui l'accompagne au boulot et l'en ramène dans sa voiture "customisée" (en "style Goldorak", vous imaginez le genre) car il n'a pas son permis, s'est montré incapable de conduire le tracteur et nullement désireux d'apprendre. La question de l'insertion de tels individus sur le marché du travail me paraît entière (pour dire les choses de façon aussi aimable que j'en suis capable).

Pour le reste, malgré ce boulet, le chantier a bien avancé sur ses 4 lignes de pavés où il ne reste plus que quelques finitions à apporter au "trottoir" Nord du bâtiment Nord :

10 juillet 2019.

10 juillet 2019.

Score du jour : une centaine de pavés, si je ne me trompe pas dans mon décompte nocturne.

Pour s'en tenir (à Guguss près, et encore ça se discute) aux sujets relatifs à notre chantier favori :
- le géomètre m'a appris son passage demain ; ce n'est pas celui avec qui je conversais mais un employé, procédé que je trouve un tantinet cavalier ;
- après Yves LESCROART qui a tenté plusieurs fois de la joindre, j'ai laissé un message sur le répondeur de l'architecte du patrimoine recommandée par Arnaud PAQUIN ; apparemment, elle a dû migrer vers l'hémisphère Sud car tout, depuis sa visite d'il y a plus d'un mois, donne à penser qu'elle hiberne ;
- j'ai rencontré, quelque part dans le Grand Nord, le vendeur de tommettes vernissées :

10 juillet 2019.

10 juillet 2019.

10 juillet 2019.

Quoi que m'en ait dit l'ami intermédiaire, je pense qu'elles ont plutôt deux siècles que quatre, vu le bâtiment dans deux chambres de l'étage duquel elles avaient été disposées sur un lit de sable (dixit le vendeur, homme de goût et de culture qui les a démontées pour leur substituer un "plancher flottant" qu'il m'a fièrement montré) ; et elles sont bien usées. Surtout, au niveau stratosphérique de prix où le vendeur a choisi (depuis hier) de planer, nous ne sommes pas près de faire affaire. Le jour où j'aurai trouvé le revêtement dont j'ai besoin pour la salle-à-manger du logis, il sera trop tard pour lui ; laissons-lui donc le temps d'en prendre conscience et d'atterrir gentiment ;
- je me suis également rendu chez le scieur de granits ; j'ai en main son devis pour la pierre de seuil entre la cour et l'arrière-cour ; là aussi, le prix demandé est très élevé et la question du transport de cette masse de 300 kg serait encore à traiter. J'ai rapporté un échantillon d'un granit qu'il propose ; nous regarderons demain, au soleil, ce que cela donne par comparaison avec les granits les plus proches :

10 juillet 2019.

Si le test est trop défavorable, je me réserve, comme déjà dit, de réutiliser les anciennes pierres de l'âtre de la cheminée de la salle-à-manger. Le problème est qu'il faudrait les boucharder. A la main, en l'état de notre équipement. Donc ça freine une telle décision.
Et moi qui pensais que la furia du nettoyage passait avec l'âge...

Hier, cela a recommencé avec ma "Twingo", jugée trop sale. Puis il a été question de changer de nouveau mes housses de couette et d'oreiller. Dans les deux cas, j'ai résisté.

A propos des tommettes vernissées que j'avais eu l'imprudence d'exposer en guise de repose-plat dans la cuisine (provisoire), ma chère et tendre a émis hier soir un avis clairement négatif au sujet de leur achat : elle pense qu'elles seront trop difficiles à entretenir, argument définitif à ses yeux.
J'ai tâché de faire valoir que, notre mode de vie étant ce qu'il est, on n'utiliserait que rarement la salle-à-manger restaurée. Ce fut vain.
(Une fois de plus, je vais être amené à passer outre son avis. Si du moins le vendeur atterrit, ce qui est une autre histoire.)

S'agissant de la cage d'escalier du logis, elle exprime le vœu d'en récurer les marches. Le fait est que ce ne serait pas du luxe. J'explique néanmoins qu'en l'état du chantier, ce serait une perte de temps et qu'il faudra, en tout état de cause, utiliser le kärcher juste avant que les murs soient enduits, ce qui n'est pas demain la veille, du moins tant que les menuiseries de fenêtres n'ont pas été restaurées.

Elle me demande alors de l'aider à nettoyer le salon ce week-end, afin qu'il soit utilisable lors du prochain séjour des enfants. Je rappelle que j'ai souligné, de longue date, l'impossibilité de maintenir le salon propre en cette phase du chantier. J'ai même demandé que les meubles en soient déménagés pour leur éviter la poussière mais que cela m'a toujours été refusé, ce qui est évidemment idiot.
Rien à faire cette année encore, elle n'en démord pas.
Je crois que je ne couperai pas à la perspective de travaux ménagers tout à l'heure, dès que le jour sera levé :

Inutile que j'explique que les terrassements de la cour, la semaine prochaine, rendront vains tous ces efforts.

Au moins, lundi, elle sera rentrée à Paris et je pourrai souffler un peu. C'est quand même pénible de devoir se battre pied à pied sur de tels sujets.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 16 Juillet 2019
Désultoirement vôtre ! - O'Gustin - Anecdotes
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On fait des découvertes quand on range la cour...

16 juillet 2019.

... comme ces souvenirs (respectifs) de Carole et d'O'Gustin.

(Pour Carole, on a compris, j'espère, qu'il s'agit du pot de fleurs abandonnées avant replantation. Une habitude chez elle...)
A 20 h 39 précisément, en provenance de Maisons-Laffitte, bien sûr, avec étape à Alençon, bien entendu, voici l'arrivée tant attendue de Carole :

18 juillet 2019.

La photo mérite d'être zoomée :

18 juillet 2019.

L'effroi se lisait sur son visage :

18 juillet 2019.

Pourtant, reconnaissez qu'ici, depuis 24 heures au moins, on endurait pire spectacle que celui-ci qu'elle a ainsi découvert :

18 juillet 2019.

18 juillet 2019.

18 juillet 2019.

Et dire que nous avions même eu la prescience et, admettez-le, s'il vous plaît, le tact d'assortir à ses escarpins, donc à sa robe, la passerelle donnant désormais accès au bâtiment Nord et à son luxe inégalé (du moins ici) :

18 juillet 2019.

On ne sera pas surpris si j'ajoute que le dîner qui a suivi a été vite expédié. Comme le sera ce séjour de Carole, si j'ai bien compris.
Il faut savoir qu'O'Gustin ne perd pas une occasion de faire des conneries, même quand le chantier est calme.

Ainsi, le voici en train de humer avec délectation les émanations d'une ancienne fosse dont il vient de découvrir l'ouverture...

19 juillet 2019.

... ou bien de déchiqueter différents plastiques, tubes de plomb ou fils électriques en attente d'évacuation vers la déchetterie :

19 juillet 2019.

Promenade du soir, en compagnie de Carole et du loïde, aux abords du manoir favori.

Jérôme a commencé à rendre à peu près présentable l'allée qui longe le bâtiment Ouest :

19 juillet 2019.

Derrière le manoir, on retrouve la trace de notre chasseur de taupes favori, Gérard :

19 juillet 2019.

Il aura à intervenir plus loin, entre deux petits bosquets, où il faudra également combler d'autres ornières...

19 juillet 2019.

... et retirer des saletés abandonnées là du fait de la flemme bien connue de mes deux derniers employés :

19 juillet 2019.

J'ai proposé à Carole de prendre en main l'entretien des cadrans celtiques, le grand...

19 juillet 2019.

... et le petit :

19 juillet 2019.

Elle a voulu que nous passions sous l'"allée courbe", un endroit qu'elle me dit beaucoup aimer...

19 juillet 2019.

... mais qui n'est pas courbe jusqu'au bout :

19 juillet 2019.

19 juillet 2019.

19 juillet 2019.

Près de la D22, il y a d'autres taupes oubliées :

19 juillet 2019.

Le loïde se perdait parfois dans les herbes :

19 juillet 2019.

19 juillet 2019.

Près de la terrasse, Carole a eu la satisfaction de voir que nous n'avions pas porté atteinte à d'autres de ses roses :

19 juillet 2019.

Quant à moi, j'ai remarqué, dans l'herbe, près de la tour Nord-Est,...

19 juillet 2019.

... une peau, abandonnée par un serpent pendant sa mue :

19 juillet 2019.

Qui saurait nous dire de quelle espèce il s'agit ?
Ghislain BARBREL est en train d'examiner avec Carole les différentes hypothèses d'aménagement de la cuisine :

31 juillet 2019.

Je considère que je n'ai pas à intervenir dans leur discussion sur les meilleurs emplacements pour les appareils électro-ménagers. Je me réserve pour les questions de décoration. D'autant que je ne suis pas en forme ce matin après une nuit blanche due à des soucis de chantier qui me minent depuis trop longtemps.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 13 Aout 2019
Désultoirement vôtre ! - Nature (hors géologie) - Anecdotes
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Trouvé trois champignons, dont deux gros, aux abords du manoir favori (le plus gros dans l'arrière-cour, au pied d'un chêne). Le dessous du chapeau bleuit quand on le touche. On ira montrer ça demain au pharmacien.
Roger GRIPPON, maire délégué de Domfront-en-Poiraie, vient de me remettre le document suivant :

Je lui ai dit que je ne conteste nullement le droit de mon voisin de ratiboiser comme il l'entend les haies de son fonds. J'avais bien compris qu'il s'agissait pour lui d'une mesure de bonne gestion. Simplement, je fais valoir que le résultat n'est pas beau, au moins dans l'immédiat. Et, comme j'ai proposé à ce voisin de lui racheter des terrains, je n'aurais pas trouvé anormal qu'il me consulte avant d'agir d'une façon aussi brutale.

J'ai profité de la venue de Roger pour lui signaler qu'il serait bon que le chemin communal, en amont de la Chaslerie et à hauteur de la Guerche, soit réparé ; il ne l'a guère été depuis l'époque du remembrement (c'est-à-dire depuis une bonne vingtaine d'années) et les récentes pluies torrentielles l'ont fortement raviné là où la déclivité est la plus forte, de sorte qu'un cycle destructeur est désormais enclenché, à moins que la commune ne fasse le nécessaire.

J'ai montré à Roger les travaux dans la cour de notre manoir favori et, en particulier, les réservations pour des illuminations des murs à partir du sol. J'ai rappelé le souhait des "amis de la Chaslerie" que, dans le cadre du "plan MORIN" destiné à favoriser le "tourisme médiéval" à Domfront, l'installation de projecteurs et autres éclairages extérieurs soit prise en charge.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 2 Septembre 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Peinture - Logis - Désultoirement vôtre ! - Anecdotes
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Mon dernier "ami Facebook" en date est, à ma demande, Alejandro DECAUX. Il prend de magnifiques photos (comme, récemment, du manoir de la Fresnaye) et a travaillé chez MERIGUET-CARRERE que Jean-Jacques ROUCHERAY m'avait recommandé pour peindre les solives du plafond de la salle-à-manger du logis.

Je n'hésiterai pas à lui demander conseil le moment venu.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 5 Septembre 2019
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Nature (hors géologie) - Anecdotes
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Les autres années, je ne récoltais pas mes pommes, à quelques unités près, pour la table.

Cette fois-ci, je vais le faire car j'ai fini par découvrir les services de "Mouvipress" (je n'aurai pas été rapide à la détente).

Je ne sais quelle quantité de pommes pourra être pressée pour la transformer en succulent jus de pomme (bio de fait). Je ne sais même pas combien j'ai de pommiers.

Donc cette année, ce sera expérimental. Je sens que mes petits-enfants vont se régaler.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Dimanche 8 Septembre 2019
Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - Animation, fêtes, visites - Désultoirement vôtre ! - Anecdotes
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Ce matin, alors que j'achetais "Le journal du dimanche" au kiosque le plus proche de notre domicile parisien, mon regard est tombé par hasard sur un numéro du "Figaro" intitulé "Spécial patrimoine", en vente au prix de 6,90 € :

Avant de me fendre d'une telle somme, je l'ai feuilleté rapidement, en commençant, comme je le fais souvent, par les dernières pages du magazine. Il y avait là de très belles photos de monuments illustres et de propriétaires qui ne le sont pas moins. Et puis, arrivé ainsi à la page 9, je suis tombé sur ma trombine réjouie devant notre manoir favori !

J'ai parcouru tout aussi rapidement le texte de l'"Enquête" si sympathiquement illustrée et n'ai pas vu qu'il y fût davantage question de nous.

Et puis, rentré Avenue Jules Janin, au calme du salon du premier, j'ai regardé cela d'un peu plus près.
Que du beau linge dans ce hors-série !
Et si, il était bien question de moi en page 10, à la fin de cette "Enquête" qui ouvre ladite brochure.

J'ai ainsi lu qu'il n'y a que 25 m2 habitables dans notre manoir favori. Et aussi que ma carrière professionnelle avait été "brillante".

Bizarre : moi, j'aurais plutôt dit "écourtée" ou "torpillée", voire "sabordée" (on peut en débattre). Mais certainement pas "brillante".
Et ces 25 m2 habitables étaient exacts avant 2014. Mais nous en sommes actuellement rendus à 65, avec une tendance marquée, d'ailleurs, au piétinement sur place.

Le moteur de recherche de notre site favori m'a vite donné la clé du mystère. En y entrant le nom de l'auteur de l'"enquête", à savoir MONTALEMBERT, j'ai découvert qu'il avait simplement, et au moins pour ce qui me concerne, copié-collé son article précédent de 2016. Hum !

Je m'étonnais que ce personnage ne m'ait pas appelé depuis mai dernier...

Mais après tout, quelle importance ? Ma manie de voir des défauts ou des insuffisances partout me perdra. Comment voudriez-vous que je me fasse des copains avec ça ? Il faudrait que j'y prenne garde enfin !
Vu de ma fenêtre, l'essentiel n'est-il pas que je me trouve en si bonne compagnie ?

Ce sera en tout cas une bonne lecture, disons pour le bain...