Aile "de la belle-mère"

La restauration des monuments historiques est un combat. Voici le texte du courriel que je viens d'adresser à Roland BOUSSIN :

(début de citation)

Cher Monsieur,

Merci pour les devis et situations que vous m'avez fait parvenir, suite à notre entretien du 25 mai dernier.

D'abord, je vous remercie d'avoir réduit le coût du parapluie.

Cependant, par rapport à mes demandes, il manque encore des informations ou documents que je vous prie de bien vouloir me fournir :
- la facture du dernier lot d'ardoises et tuiles, permettant d'approvisionner le chantier y compris pour le colombier ;
- le détail du devis (pose et fourniture séparément) pour tous les postes où vous les indiquez globalement depuis les devis de 2010 ;
- le devis que vous aviez préparé à l'époque pour Mme SCHMUCKLE-MOLLARD (je pense que c'était plutôt pour M. RONSSERAY) ;
- le devis relatif au colombier dont j'aurais besoin très rapidement pour prendre rang, si possible, pour une subvention de la D.R.A.C.

Enfin, je vous prie de reconsidérer ce que vous m'avez dit à propos des lots de matériaux : à partir du moment où ils ont été réglés ou vont l'être, il convient qu'ils soient stockés à la Chaslerie et non chez vous. Vous m'avez en effet informé du fait que le prix que vous facturez inclut votre coût de stockage chez vous et de retransport par vous chez moi. Cela ne me paraît pas optimal. Donc, à l'avenir, je ne vois pas pourquoi il faudrait continuer à procéder de la sorte : de gros camions accèdent à la Chaslerie en passant par le bourg, comme c'est arrivé encore récemment.

Dès que je serai en possession des informations et documents demandés, je vous répondrai immédiatement avec le souci de ne pas retarder le chantier des écuries. Pour le colombier, la D.R.A.C. est encore, à ce stade du dossier, un point de passage obligé, avec des délais qui ne dépendent hélas pas de moi.

Cordialement,

PPF

(fin de citation)

Je précise que mon souci de payer tôt les matériaux tient au fait que les fournisseurs d'ardoises d'Angers ou de tuiles périgourdines "ad-hoc" sont en train de faire exploser leurs prix, d'après ce que me rapporte Roland BOUSSIN qui est en contact avec eux.

Au courrier ce matin, une lettre de la D.R.A.C. :

Cette lettre témoigne du fait que la venue récente de M. TIERCELIN à la Chaslerie a permis de lever les malentendus précédents. Une nouvelle fois, je le remercie de s'être ainsi déplacé. Je remercie également le conservateur régional des monuments historiques d'avoir facilité ce déplacement et pris en compte ses enseignements d'une manière conciliante.

Quelques réactions marginales cependant :
- sur les petits jours en façade ouest, nous nous efforcerons de copier le modèle indiqué ; toutefois, il est possible qu'un encadrement, non en granit comme sur le bâtiment Nord, mais en pierres locales soit plus discret encore ; j'ajoute qu'il serait plus facile à réaliser ;
- sur les chatières et passe-barres, M. BOUSSIN maintient sa position pour des raisons techniques et esthétiques qui me paraissent convaincantes ; la maison AUBERT-LABANSAT devrait également fournir son point de vue, je l'espère du moins ;
- sur la haute fenêtre du mur ouest coiffée par la sablière, mon fils a eu une première réaction de réticence quand je lui ai fait part de l'idée de la réduire pour intégrer un linteau ; comme c'est un garçon intelligent, je pense qu'il se rangera à nos arguments.

Dans l'immédiat, le marché relatif à la restauration de la charpente et de la couverture des écuries n'est toujours pas signé mais cela pourrait être imminent.

Au courrier ce matin, enfin, une carte postale de Mr T. et de sa chérie :

Ces jeunes gens intrépides ont donc inventé les vacances pour se reposer des vacances...

Et pendant ce temps-là, à la Chaslerie, on bosse pour eux :

7 juin 2013, sur la façade Ouest de l'aile de la belle-mère.

Igor et Jonathan ont en effet commencé à reboucher certaines ouvertures de la façade Ouest des écuries. Je leur ai cependant demandé de couper le sifflet de Normandie FM dont la zimboumboum débilitante me strie les tympans alors que je me suis réfugié dans la chambre de Mr T. où j'essaye de finir la lecture du "Winston".

Je viens d'adresser à M. TIERCELIN, à la D.R.A.C., le courriel suivant :

(début de citation)

Cher Monsieur,

Je vous prie de trouver ci-joint deux devis établis par Roland BOUSSIN pour les travaux suivants :
- devis n° 66 du 5 juin 2013, pour un montant de (...) € T.T.C., relatif au remplacement de la poutre pourrie au plafond de mon ex-chambre au 1er étage du logis, y compris des travaux annexes ; ce devis s'entend hors, notamment, de tous frais de maçonnerie ;
- devis n° 67 du 5 juin 2013, pour un montant de (...) € T.T.C., pour la restauration de la charpente et de la couverture du colombier de la Chaslerie ; même remarque pour la maçonnerie (alors qu'une intervention à ce titre était prévue par l'étude préalable de M. RONSSERAY, A.C.M.H.).

Je précise que :
- les travaux dans le logis sont urgents, ma chambre étant actuellement inhabitable comme vous l'avez vu, et les travaux en question étant un préalable indispensable à tous autres travaux dans cette pièce ; la poutre en question supporte l'un des deux poinçons principaux de la charpente du logis dont la couverture a été restaurée il y a moins de 10 ans ; c'est donc un morceau essentiel de cette charpente, d'où l'urgence également à ce titre ; la pourriture de cette poutre est apparue lorsque nous avons fait tomber le plâtre du plafond, on ne pouvait la détecter auparavant ;
- la restauration de la charpente et de la couverture du colombier a fait l'objet d'une partie de l'étude préalable que vous savez ; compte tenu du lancement imminent de la restauration de la charpente et de la couverture des écuries, ainsi que des travaux d'habitabilité prévus en 2013 et 2014, il serait hautement souhaitable que la charpente et la couverture du colombier soient en ordre dès que possible (étant signalé que certaines grosses poutres y ont joué et sont disjointes dans la charpente, ce qui n'est pas rassurant).

Je sollicite des subventions de l'Etat pour ces deux tranches de travaux. Ce faisant et pour ce qui concerne le colombier, j'agis ici pour le compte de mon fils (Mr T.), gérant de la "S.C.I. 5 de l'aile de la belle-mère" en cours de création.

Je vous prie de bien vouloir m'indiquer la marche à suivre.

Bien cordialement,

Pierre-Paul FOURCADE

(fin de citation)

Inch Allah !

P.S. (du 9 octobre 2021) : Plus de huit ans après ce message, la question des "poutres pourries" n'a toujours pas reçu l'ombre du début d'un commencement de traitement.

Ce n'est pourtant pas faute d'avoir tenté d'y intéresser tous les titulaires d'un monopole d'Etat qui ont eu à en connaître.
Je profite de l'opportunité offerte par le rebouchage de deux fenêtres sur la façade Ouest des écuries pour laisser subsister de petites ouvertures, de la taille de trous d'ope (ou sensiblement), comme il s'en voit de nombreux sur la tour Louis XIII, et d'un format comparable à ce qui existe sur la cave ou sur le fournil de la ferme.

10 juin 2013, rebouchage d'une fenêtre sur la façade Ouest du bâtiment Nord.

Cela apportera un peu de lumière du jour supplémentaire, en plus des "casts" prévus, dans le long couloir du 1er étages des écuries, tel que dessiné par Lucyna.

10 juin 2013, la petite ouverture résiduelle.

Ce faisant, j'ai le souci de positionner ces petites ouvertures aussi loin que possible de la sablière, étant rappelé qu'à l'intérieur du bâtiment, il est prévu de surélever le plancher du 1er étage, ce qui limite les possibilités.

Voici qui permettra de mieux comprendre comment nous réduisons une première ouverture de la façade Ouest des écuries.

D'abord, l'exemple des 7 trous d'ope de la façade Ouest de la tour Louis XIII (à gauche de la photo) dont nous nous inspirons :

10 juin 2013, la façade Ouest de la Chaslerie.

Ensuite, l'endroit où nous en sommes rendus des travaux sur la première fenêtre que nous rebouchons :

10 juin 2013, la fenêtre en cours de rebouchage.

Comme on le constate, la petite ouverture que nous laissons subsister est aussi peu invasive que possible ; le mur est bien en train de retrouver son aspect massif d'origine, de maison forte, comme nous le souhaitions. Pour en savoir plus...
La photo suivante vous aidera peut-être à comprendre ce que je suis en train de fabriquer avec cette ouverture réduite :

10 juin 2013, l'ouverture réduite vue de l'intérieur.

En fait, le plancher du 1er étage des écuries devant être relevé, il arrivera au niveau de l'appui intérieur de cette ouverture. Pour le linteau intérieur, j'avais d'abord pensé à une épaisse planche de chêne, posée obliquement, comme nous avions fait, par exemple, dans le fournil de la ferme.

Mais, imaginant sur place cette ouverture au ras du futur (?) plancher, je me dis qu'il vaudrait mieux rapprocher de la verticale l'oblique en question. Donc on va mettre en place des pierres, et non plus du bois, pour former la partie haute de cette ouverture.

P.S. : J'ai mis un point d'interrogation car j'en arrive à douter que l'aménagement intérieur des écuries soit réalisé avant longtemps. Mais ceci est une autre histoire...

Le chantier se déplace vers la seconde fenêtre à reboucher sur la façade Ouest des écuries :

11 juin 2013, l'état du chantier de la façade Ouest.

Comme on le voit, il ne reste plus qu'à jointoyer les pierres au niveau de l'ancienne première ouverture. La taille de l'ouverture résiduelle y est comparable à celle des trous d'ope de la tour Louis XIII ; il est ainsi confirmé qu'on ne pouvait pas positionner cette ouverture plus près de la sablière ; plus bas, elle aurait donné dans le vide sanitaire, donc n'aurait servi à rien.

Je suis donc très satisfait de ce travail, tel que vu extérieurement.

Voici la première ouverture réduite, vue de l'intérieur :

11 juin 2013, la première ouverture réduite de la façade Ouest, vue de l'intérieur.

Pour le linteau, Jonathan devait trouver des pierres :
- de la bonne couleur,
- dont une face soit rectangulaire, de la bonne épaisseur et perpendiculaire aux faces voisines ;
- si possible de la bonne profondeur, de manière à mettre en place le dégradé de pierres que j'avais demandé ;
- si possible, de la bonne largeur pour ne pas avoir à juxtaposer des pierres horizontalement.

Cela faisait beaucoup. Il n'a pu respecter que les deux premières contraintes. La qualité du linteau, vu de l'intérieur, s'en ressent.

Nous en serons quittes pour enduire ce linteau de chaux, de manière à en rattraper les défauts.

Quand j'ai exposé à Mr T. que, lors du bouchage de fenêtres de la façade Ouest, j'ajouterais aux plans de Lucyna ce que j'appelle des "ouvertures résiduelles", il m'a fait part de ses vives réserves quant à cette initiative.

Il me semble cependant que l'idée de créer un effet stéréo de lumières naturelles dans le futur 1er étage des écuries est une très bonne idée. Donc je persiste dans mes errements.

Voici ce que cela devrait donner, vu extérieurement :

11 juin 2013, les travaux supplémentaires que j'envisage à ce stade sur la façade Ouest.

L'ouverture 1 est celle que nous venons de créer.

La 2 sera la même à la place de la deuxième fenêtre actuelle du premier étage des écuries.

La 3 sera conservée mais réduite en hauteur ; l'appui en sera relevé car, dans les plans actuels de Lucyna, il contrarie la 2ème volée du futur escalier comme le montre le dessin suivant :

11 juin 2013, coupe longitudinale après travaux, vue vers l'Ouest.

Mais, sur la 3, le linteau sera également abaissé ; actuellement, c'est en effet la sablière qui sert de linteau, ce qui est très laid ; il est temps de corriger cette erreur.

J'imagine également de créer une ouverture 0 dans la future salle de bains du bout du couloir du 1er étage de l'écurie :

11 juin 2013, voir les modifications suggérées dans la salle de bains de la chambre 2.

La réalisation de celle-ci est cependant plus compliquée. Elle suppose sans doute que cette salle de bains soit agrandie au détriment du couloir, ce qui ne devrait pas poser de problème. Mais, compte tenu du positionnement de cette nouvelle ouverture 0 au ras du plancher du 1er étage (ou pas loin, en trichant un peu, ce qui est envisageable), elle ne serait pas optimale pour la baignoire ; tant qu'à faire, il vaudrait mieux qu'elle soit proche de la tête du baigneur, ce qui supposerait d'utiliser à cet endroit le vide sanitaire pour encastrer la baignoire dans le plancher. On peut y réfléchir.

Igor et Jonathan ont commencé à démonter la deuxième fenêtre du 1er étage des écurires :

11 juin 2013.

A cette occasion, Igor vient de faire une drôle de découverte dans l'épaisseur du mur :

11 juin 2013.

Un nid à propos duquel on se demande comment il a pu être construit à cet endroit :

11 juin 2013, le nid dans le mur des écuries.

Mais toujours pas de trésor...

J'ai reçu, dès ce matin, la réponse du conservateur régional des monuments historiques à mon récent courriel à M. TIERCELIN :

Lettre de la D.R.A.C. du 11 juin 2013.

Je trouve le ton de ce courrier particulièrement courtois et le fond de la réponse aussi positif que possible dans le contexte de restrictions budgétaires que nous connaissons tous.

En fin de courrier, il est fait état de subventions attribuées et non entièrement consommées à ce jour. En fait, il y en a deux :
- celle relative à la cage d'escalier du logis, qui a été réglée d'avance ; là, je continue à collationner les devis d'entreprises ayant pignon sur rue ; pas plus tard que ce matin, j'ai discuté avec l'une de ces entreprises pour lui demander de tronçonner son devis, de manière à me permettre d'expérimenter son intervention afin de pouvoir y mettre fin à tout moment sans drame si les premiers résultats ne me convenaient pas ;
- celle relative à la charpente et à la couverture des écuries ; j'ai parlé ce matin à Roland BOUSSIN qui, pour des raisons que je n'admets pas, ne m'a toujours pas adressé la facture du second lot de tuiles et ardoises dont je l'ai chargé de nous approvisionner, matériaux que, depuis plusieurs mois, il conserve contre mon gré par devers lui ; par ailleurs, une autre entreprise spécialisée est en train de préparer un devis concurrent, de manière à éclairer ma décision de confier les travaux à l'un ou l'autre.

En donnant à Igor et Jonathan mes instructions pour les prochains jours, je viens d'avoir une révélation...

14 juin 2013, l'installation du chantier de l'"ouverture 0".

C'est à propos de la différence de couleurs entre le bas et le haut du mur de la façade Ouest des écuries.

Jusqu'à présent, je pensais que la partie basse était plus ancienne et que la partie haute avait été construite avec un lot de pierres plus conforme à ce qui se voit ailleurs à la Chaslerie. Cette théorie ne me plaisait pas trop. En particulier, elle n'expliquait pourquoi les pierres blanches montaient, à gauche de l'horrible porte, plus haut qu'à droite. En outre, j'avais vaguement l'idée que les pierres blanches venaient de Domfront alors que les rousses sont plus locales ; dès lors, il paraissait curieux qu'un ancien approvisionnement du chantier ait fait appel là, et nulle part ailleurs, à des pierres d'une nature différente, venant de plus loin à une époque où les transports étaient plus difficiles.

J'ai demandé à Igor et Jonathan de faire tomber le parement intérieur des écuries, du côté Nord, c'est-à-dire près de la tour Louis XIII (à gauche des écuries sur la photo précédente). La raison en est que, en observant des photos prises à la saison des pluies (hum), j'ai remarqué que le mur paraissait beaucoup plus mouillé à cet endroit qu'ailleurs, comme s'il y avait des infiltrations à la jonction entre la tour Louis XIII et les écuries, et surtout du côté des écuries. On va donc faire tomber ce parement intérieur à cet endroit pour le remonter à la chaux et non à la terre, comme il l'avait été par nos lointains prédécesseurs. Ce sera nettement plus costaud, je pense, et résistant à la flotte.

Donc j'ai inspecté, comme je ne l'avais jamais fait, le parement intérieur correspondant et là, j'ai constaté qu'il avait été monté entièrement en pierres rousses et qu'on n'y voyait pas l'ombre d'une pierre blanche.

D'où ma nouvelle théorie : l'emploi des pierres blanches serait postérieur à celui des rousses ; les prédécesseurs auraient fait tomber le bas du parement extérieur, sans doute trop détérioré, pour le remplacer par des pierres blanches, plus solides. Ils auraient pu procéder de la sorte au moment du percement d'une première porte qui se serait trouvée à l'emplacement de l'actuelle.

Pourquoi cette idée de deux portes successives ? Parce que l'actuelle, particulièrement moche, tant en raison de ses proportions que de ses matériaux, comme du béton des années 1950 à son linteau, a été mal montée (ce qui signe la contribution de la "grande âme du Domfrontais", j'ai nommé l'illustrissime Tonton que l'on sait), de sorte qu'on voit de nombreuses marques de reprise ratée de maçonnerie à son pourtour.

Tout cela me paraît coller nickel chrome.

Pas con, le mec, hein ?

P.S. (du 9 octobre 2021) : Les hypothèses émises dans ce message me paraissent toujours des plus pertinentes.

A la dernière près, peut-être (le "Pas con, le mec")...
Malgré mes multiples demandes, je n'ai toujours pas reçu de Roland BOUSSIN la copie promise d'anciens devis que j'ai peut-être égarés ni la dernière facture des matériaux commandés sur la base des prix antérieurs à leur hausse, paraît-il forte et brutale. Il conserve chez lui ces ardoises et tuiles, comme d'autres qui pourtant lui ont déjà été réglées il y a plusieurs mois.

Je m'interroge sur ce comportement qui me surprend et qui semble s'être modifié depuis qu'il s'est associé à son gendre.

Mais, à ce stade du moins (c'est-à-dire 3 semaines après la dernière venue de Roland BOUSSIN à la Chaslerie), je préfère penser que je me fais là des idées...

Mr T. a marqué son opposition à ce que je poursuive les travaux de maçonnerie dans les écuries avant qu'il ne dispose des dessins et devis utiles pour ses décisions et ne donne ses instructions.

Dans l'attente des matériaux nécessaires pour enduire les murs d'une première chambrette en soupente du bâtiment Nord, je n'ai pas d'autre tâche à confier dans l'immédiat à Igor et Jonathan. Je leur demande donc d'attendre chez eux.

Mr T., qui s'y connaît en gestion, me conseille de monter une activité d'auto-entrepreneur pour proposer leurs services à des tiers. Je ne vois pas comment je pourrais démarcher des clients et contrôler le travail pendant l'année universitaire. Mais j'ai sans doute tort.

Bien entendu, cela démontre que Mr T. entend être traité par moi comme un client extérieur, avec devis et tout le toutim. Je retiens la leçon.

Quant aux devis de tiers, il paraît logique que ce soit à lui, dorénavant, de se les procurer. Je me sens donc déchargé d'une corvée qui aurait fini par altérer mon tempérament primesautier et c'est bien agréable.