Aile "de la belle-mère"

Courriel adressé à la mairie de La Haute-Chapelle :

(début de citation)

Bonjour,

Pourriez-vous me donner les adresses de courriel (1) de la communauté de communes du Domfrontais et (2) de la DDE de Flers ? Dans les deux cas, en me rappelant les noms de mes interlocutrices si possible.

Je trouve que la communauté de communes met beaucoup de temps pour apposer son tampon alors même que son intervention n'apporte strictement rien au fond du dossier (le maire de LHC ayant déjà eu l'occasion de viser les mêmes travaux d'assainissement qui avaient été calibrés sur le nombre de chambres adéquat). Cette lenteur injustifiable constitue bien évidemment une forme supplémentaire du (...) bien connu.

Cordialement,

PPF

(fin de citation)

P.S. : La mairie de La Haute-Chapelle s'est bien gardée de me répondre mais j'ai envoyé au "SPANC" de Domfront, dont j'ai retrouvé l'adresse, le courriel suivant :

(début de citation)

Madame,

Pourriez-vous me tenir informé du délai qui vous semble encore nécessaire pour ce coup de tampon prétendument indispensable ?

De mon côté, je ne vois nulle utilité à tout ce formalisme puisque le maire de La Haute-Chapelle, qui en avait la compétence, avait parfaitement visé, dès 2008, l'installation requise par mes prochains travaux, installation qui était déjà réalisée à l'époque .

Salutations distinguées,

PPF

(fin de citation)

P.S. 2 : Mme LEROY, du SPANC, vient de me téléphoner pour m'informer que le document tamponné et signé en question est parti cet après-midi. Je l'en remercie et espère qu'il n'y aura plus de contretemps avant le feu vert définitif.
Un passage-éclair à la Chaslerie peu avant la pause pour le déjeuner m'a montré que mon petit monde bossait :

11 avril 2004, au 1er étage des écuries.

Voici la largeur qu'auront les embrasures des lucarnes, et aussi le niveau de leur base tenant compte du vide sanitaire qui existera entre le plafond du rez-de-chaussée et le plancher du futur premier étage (celui de deux chambres et d'une mezzanine) :

11 avril 2013, la 2ème lucarne en partant du Nord.

Une fois de plus, les travaux en cours illustrent le très mauvais état de la Chaslerie avant mes travaux de restauration :

11 avril 2013, et je vous passe l'odeur...

Je me dis que les pierres retirées des parements intérieurs pour créer ces embrasures pourront resservir pour boucher deux horribles ouvertures de la façade Ouest, et plus particulièrement pour remonter les parements extérieurs correspondants. On peut en effet penser que ces pierres ont la même provenance et la même ancienneté que celles des parties hautes de la maçonnerie de la façade Ouest. Ainsi, avec un peu de chance, on devrait ne pas distinguer les cicatrices des reprises...

11 avril 2013, l'une des deux ouvertures à reboucher sur la façade Ouest.

Au 1er étage des écuries, les embrasures des fenêtres me semblent, cette fois-ci, de bonnes dimensions :

16 avril 2013, le 1er étage des écuries.

Pour la suite des travaux, Jonathan m'explique que, le long de la façade Ouest, le terrain est encore trop humide pour implanter les échafaudages qui seraient nécessaires pour reboucher les deux ouvertures prévues :

16 avril 2013, cette photo montre qu'il sera difficile d'éviter que le rebouchage des deux ouvertures au 1er étage ne se voie...

Au passage, en regardant de l'intérieur l'une des deux fenêtres à reboucher, constatons l'absurdité totale des travaux réalisés par mes prédécesseurs avec l'accord officiel des services des affaires culturelles de l'époque :

16 avril 2013, une ouverture au ras du plancher + un radiateur installé au-dessus de l'ouverture = du grand n'importe quoi !

Donc, pour les prochains jours, nous allons donner la priorité à la poursuite de l'abattage de différentes cloisons intérieures au 1er étage des écuries...

16 avril 2013, dans l'ancienne chambre au 1er étage des écuries.

... ainsi qu'au récurage intérieur des murs extérieurs :

16 avril 2013, des murs à gratter, ici au droit de la 1ère travée de l'escalier actuel.

Bonjour!

Nous avons supprimé le enduit, et la moitié du plafond, et jhonathan a également aidé à réparer le tracteur.

23 avril 2013, au 1er étage des écuries, dans la partie aménagée n'importe comment par les prédécesseurs.

23 avril 2013, au 1er étage des écuries, vue vers les combles.

23 avril 2013, au 1er étage des écuries, vue directe sur un escalier témoignant d'un goût très sûr, du moins d'après un comique troupier.

N.D.L.R. : Merci Igor, on commence à y voir un peu plus clair !
Comme on le constate sur la troisième photo, nous veillons à maintenir opérationnel le bizarre passage vers la chambre du 2ème étage du colombier (celle de Mr T.), la seule que l'on puisse utiliser à ce stade-ci du chantier...

Pour les travaux intérieurs de l'aile "de la belle-mère", je viens de suggérer à Mr T. une nouvelle idée à laquelle j'ai pensé en découvrant l'attrait du 1er étage des écuries, enfin débarrassé des horreurs et cloisonnements stupides accumulés là, en dépit du bon sens, par nos prédécesseurs.

Il s'agirait d'aménager les pièces de réception au 1er étage des écuries, de manière à pouvoir y bénéficier de l'ampleur des volumes et de la vue sur la charpente et ses croix de Saint-André. Par voie de conséquence, on transformerait le rez-de-chaussée des écuries en chambres, ce qui fournirait l'occasion de repenser calmement les ouvertures de ce niveau à propos desquelles la D.R.A.C. a émis certaines réserves.

Si l'on arrive à trouver le meilleur emplacement de la cuisine, il me semble que ce basculement du projet aurait du sens. Observons au passage qu'il simplifierait grandement le problème des cheminées (il y en a deux superposées, dans le projet actuel) puisque, dans mon hypothèse, une seule, à l'étage, suffirait. Cela paraît valoir la peine d'y réfléchir tant qu'il en est temps.

J'ai donc proposé à Mr T. de venir se faire une opinion sur place...

Un hindou grimé en singe participe à une procession à l'extérieur du temple d'Hanuman, à New Delhi, le 25 avril, à l'occasion d'Hanuman Jayanti, fête célébrant la naissance du dieu-singe Hanuman. Ce dernier, divinité de la force, est vénéré en raison de son indéfectible dévouement au Seigneur Rama. (AFP PHOTO/ MANAN VATSYAYANA)

... en compagnie, bien sûr, de la demoiselle à l'écharpe blanche (qui a accepté ce matin d'être ma dernière "amie Facebook", ce dont je la remercie).

Au courrier, ce matin, une bonne nouvelle : le permis de construire relatif à l'aile "de la belle-mère" est accordé...

... mais aussi une moins bonne : une nouvelle réglementation fait son apparition dont j'ignorais l'existence, à savoir la "réglementation thermique 2005".

Je n'ai pas de doute sur le fait que les travaux envisagés permettront de satisfaire à ces nouvelles contraintes. Néanmoins :
- qui dit 2005 laisse entendre que, dans ce domaine non plus, les progrès ne sont pas finis. Déjà Google me signale qu'il existe une "réglementation thermique 2012" et même une "2013", et encore une "2015". Donc on n'a pas fini d'être (...) !
- qui pourra m'expliquer pourquoi les monuments historiques, notamment ceux qui, après 22 ans de travaux, ne sont toujours pas chauffés (!), devraient respecter les dernières lubies para-écolos de nos technocrates modernes ? J'avais cru lire quelque part que l'heure était désormais au "choc de simplification administrative". Aurais-je rêvé ?
La journée d'Igor et Jonathan a été consacrée à faire le vide au rez-de-chaussée des écuries :

13 mai 2013, au rez-de-chaussée des écuries.

Je leur ai en effet demandé de commencer à démonter la souche actuelle de cheminée afin de dégager la charpente en vue de sa prochaine restauration.

Je n'ai toutefois pas encore signé le marché des travaux de charpente et de couverture car je souhaite mettre Roland BOUSSIN en concurrence. En effet, ses devis sont toujours très élevés comme je m'en suis encore rendu compte à propos des travaux de changement de poutres nécessaires au grenier du logis.

Le problème est qu'il y a de moins en moins d'artisans capables de mener à bien les travaux de restauration des monuments historiques. Et l'on sait, par exemple, que des maçons parmi les plus qualifiés en la matière n'hésitent pas à s'entendre pour fausser les marchés au détriment des payeurs c'est-à-dire, au premier chef, des clients comme moi.

(...)
Cette fois-ci, c'est parti pour le démontage de la cheminée des anciennes écuries :

15 mai 2013, le début du démontage de la cheminée des écuries.

Selon Jonathan, il n'y a pas la moindre trace de suie dans le conduit.

J'ai fait disposer dans la cour le sommet d'une ancienne souche de cheminée que m'a donné mon ami Jean LEMARIE il y a déjà un certain temps et que je gardais en réserve. Je pense qu'il ferait parfaitement l'affaire pour la souche à remonter.

15 mai 2013, 4 granits donnés par Jean Lemarié.

Jonathan me dit que ces granits ont 10 cm de large et 10 cm de long de moins que le haut de la souche qu'il vient de démonter. Voici donc qui devrait permettre de donner satisfaction, sur ce point du moins, à la conservation régionale des monuments historiques.

Un maçon passé me voir ce matin pour affiner son devis relatif au grand escalier du logis me confirme qu'il y aurait là de quoi couronner les boisseaux tubés de deux conduits de cheminée. Or c'est bien ce dont nous avons besoin, si du moins Mr T. accepte, comme je le lui recommanderai, d'implanter des inserts performants dans les deux cheminées prévues sur les plans de Lucyna.

Voici le courriel que je me propose d'adresser d'ici demain à M. Arnaud TIERCELIN, ingénieur du patrimoine, en poste à la direction régionale des affaires culturelles de Basse-Normandie :

(début de citation)

Cher Monsieur,

Par L.R.A.R. du 4 avril dernier, M. le conservateur régional des monuments historiques de Basse-Normandie m'a transmis, au titre du manoir de la Chaslerie :
- une « Autorisation DRAC sur dossier n° AC 061 201 13 00003 »,
- une analyse de projet portant la référence FH.

Sur le bordereau revêtu de sa signature, M. HENRIOT n'a pas manqué de m'informer que « cette décision peut faire l'objet d'un recours devant le tribunal administratif compétent dans un délai de deux mois à compter de sa réception ».

Or l'analyse de projet qui, selon l' « Autorisation AC » en question, comporte des conditions à celle-ci (en réalité, une réserve et cinq conditions) appelle de ma part une série d'observations que je souhaiterais soumettre, au moins verbalement, à la D.R.A.C. de Basse-Normandie avant de donner éventuellement à ce dossier la suite qui apparaîtrait nécessaire.

Puisque vous êtes désigné par ladite « Autorisation AC » pour assurer le « contrôle scientifique et technique » de ce dossier, je me permets de solliciter un rendez-vous avec vous afin d'essayer de dissiper ce que je considère, en l'état du dossier, comme une série de simples malentendus.

Je désirerais en effet :
- vous préciser les diverses erreurs de fait que comporte l'analyse de projet en question, étant entendu que (1) les deux kilogrammes de documents mis à grands frais dans les circuits administratifs, à quoi s'ajoute une « étude préalable » en plusieurs exemplaires elle aussi, comportaient, me semble-t-il, nombre d'informations utiles qui paraissent avoir échappé et (2) il aurait été loisible, avant de m'adresser une L.R.A.R. comportant un tel délai impératif, de venir sur place pour s'assurer de la pertinence de diverses appréciations ou même de m'interroger par téléphone, courriel, courrier simple ou tout autre moyen au choix de la conservation régionale à qui je me serais fait un grand plaisir de répondre tout aussi simplement ;
- vous prier de me communiquer les éléments de doctrine, ou tous autres documents pertinents, très importants en l'occurrence, qui ont permis à l'administration des affaires culturelles d'approuver, sur le même monument historique, le percement de 20 ouvertures (si je compte bien), pour la plupart très mal réalisées sans aucun doute, lorsque, il n'y a pas si longtemps, le propriétaire de la Chaslerie était conseiller général de l'Orne, et qui, aujourd'hui, s'opposeraient au percement d'une seule ouverture dans les règles de l'art ; à cet égard, je rappelle que cette unique ouverture nouvelle serait elle-même volontairement compensée, dans le projet récemment soumis à la D.R.A.C., par (1) l'occultation de deux fenêtres très laides ainsi que (2) la réduction en fenêtre d'une porte non moins incongrue et, de surcroît, ratée par nos prédécesseurs respectifs ;
- vous prier d'expliciter en tant que de besoin diverses appréciations sur les petits bois et vitrages de diverses ouvertures, sujet sur lequel, comme nombre d'amateurs de vieilles pierres dont plusieurs éminents, je vous tiens évidemment pour un expert.

Avant de conclure ce courriel, il me semble utile de souligner que le projet qui vous a été soumis a été très mûrement réfléchi. Comme la D.R.A.C. le sait, il est destiné à favoriser la transmission d'un monument historique trop longtemps malmené à un jeune homme qui a le courage de se lancer dans une telle aventure, en prenant ainsi le relais des efforts consentis depuis 22 ans pour sauver ce monument, tâche encore inachevée à ce jour. Dans ce contexte, je pense qu'il serait fâcheux, dans l'intérêt-même du monument, de dissuader ce jeune homme courageux en confirmant des contraintes qui s'avèreraient pour le moins contestables. Au contraire, et puisque l'opération forme un tout et que l'état du colombier adjacent appelle des interventions lourdes d'urgence, il pourrait paraître très souhaitable et particulièrement judicieux de programmer dans les meilleurs délais le subventionnement de la restauration de la charpente et de la couverture du colombier, selon les termes et dans le prolongement de l' « étude préalable » que vous connaissez.

Dans l'attente du plaisir de vous rencontrer, je vous prie d'agréer, cher Monsieur, l'assurance de mes sentiments cordiaux.

Pierre-Paul FOURCADE

(fin de citation)

P.S. du 17 mai 2013 à 3 h 30 : courriel envoyé.

P.S. du 18 mai 2013 : M. TIERCELIN m'a téléphoné dès hier pour proposer de passer à la Chaslerie jeudi prochain, ce que j'ai immédiatement accepté.

Carole me presse de rendre habitable une partie de la Chaslerie. C'est compréhensible et je partage ce souhait. Mais elle ne se rend pas compte des contraintes qui sont les miennes ni des doutes que j'éprouve parfois (à vrai dire, de plus en plus souvent) devant l'ampleur et la complexité de la tâche, en tout cas à mon échelle.

Quant à Mr T., il m'a tenu hier, au sujet d'un intermédiaire sinon obligé, du moins protégé, que je lui avais recommandé, des propos plus durs que je ne l'aurais imaginé de sa part.

A ce stade du chantier, nous éprouvons tous, semble-t-il, le besoin de reprendre notre souffle.

P.S. : En tout cas, Carole m'a fourni le drap et les taies d'oreiller qui manquaient à mon squat de la chambre de Mr T. Donc nous progressons.

Squat allemand, photo trouvée en ligne. A la Chaslerie, nous n'en sommes quand même pas là, que diable !

J'ai trouvé Igor ce matin en train de retirer les gravats tombés au rez-de-chaussée des écuries :

22 mai 2013, Igor en fée du logis.

Le fait est que le conduit de cheminée a été démonté dans ce bâtiment jusqu'au niveau du plancher du 1er étage :

22 juin 2013, au 1er étage des écuries, vue vers le Sud.

Il y a là un très beau volume. Mais Mr T. préfère s'en tenir aux plans de Lucyna, c'est-à-dire chambres à l'étage et salles à vivre au rez-de-chaussée.

22 juin 2013, au 1er étage des écuries, vue vers le Nord.

Plus exactement, il m'a dit que si je voulais procéder aux changements de programme que je préconise, il n'y voyait pas d'inconvénient si je finançais les travaux. N'est-ce pas qu'il est rigolo, ce garçon ?

M. Arnaud TIERCELIN repart à l'instant. La réunion a duré 1 h 30 (à quoi s'ajoutent pour lui 2 h 30 de trajet puisque son bureau est à Caen). Je pense qu'elle a été très utile. Elle a permis de corriger certaines erreurs d'appréciation du dossier, dont plusieurs tenaient d'ailleurs à l'imprécision du travail de l'architecte. Après avoir discuté dans mon bureau, nous avons fait le tour des chantiers en cours (aile "de la belle-mère", cage d'escalier du logis et plafond de mon ex-chambre, mur Ouest de la douve Nord). M. TIERCELIN a pris de nombreuses photos.

Sur le fond, j'ai suggéré que nous pourrions renoncer à percer une troisième fenêtre à l'Est du futur salon de l'aile de la belle-mère si nous étions autorisés à éclairer les volumes des écuries actuelles par de petites ouvertures discrètes sur la façade Ouest. Je pense que mon interlocuteur - qui m'a très finement manifesté qu'il a de bonnes lectures - a bien saisi et su apprécier comme il convient le caractère positif et raisonnable de cette idée.

S'agissant de la restauration de la charpente et de la couverture du colombier, M. TIERCELIN m'a recommandé de ne pas attendre pour saisir la D.R.A.C. du devis actualisé.

Séance de travail avec Roland BOUSSIN. Les temps sont durs pour tout le monde. Nous avons examiné comment réduire ses devis grâce à une meilleure organisation du chantier, notamment en adaptant le parapluie nécessaire.

Pour la ventilation de la couverture des écuries, M. TIERCELIN avait suggéré de recourir à la pose d'"égouts ventilés" plutôt que d'un nombre trop important de passe-barres en plomb ou de chatières en tuiles périgourdines. Mais Roland BOUSSIN pense que, avec cette idée, on aboutirait à un résultat plus disgracieux.

Une note positive cependant : il n'est pas nécessaire de monter les nouvelles cheminées avant d'avoir achevé la pose des tuiles sur les terrassons. Il sera en effet facile de découvrir en temps utile et en tant que de besoin.

Un artisan, que l'on a toujours considéré comme honnête, a signalé posément le tort que pouvait causer un billet d'humeur rédigé, sous le coup d'une certaine déception, par un blogueur qui serait connu pour ne pas mâcher ses mots.

De même, un fonctionnaire compétent et de bonne foi a indiqué très finement que certains écrits d'un site internet jetteraient parfois de l'huile sur le feu dans des services chargés d'un contrôle délicat dans un contexte difficile.

Ces remarques, formulées simplement et dignement, ont été entendues et reçues posément. Elles ne constituent nullement une tentative de censure, de sorte qu'elles sont tenues pour parfaitement respectables et renforcent même la réelle sympathie que l'on peut éprouver pour leurs auteurs.

Alors, oui, reconnaissons-le, Denis DUVEAU, menuisier-escaliéteur, a très bien corrigé ce qu'il fallait quand il le fallait et a ainsi pu donner toute satisfaction à son client et Arnaud TIERCELIN, en consacrant une grande part d'une après-midi à un examen sur place de la réalité d'un chantier, a permis que l'instruction d'un dossier complexe soit poursuivie très professionnellement.

Le client exigeant et observateur critique de la chose administrative que vous avez reconnu les remercie l'un et l'autre pour leurs remarques constructives et leurs qualités humaines élevées et les assure très sincèrement de toute son estime la plus cordiale.