Administration

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 16 Février 2018
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Logis
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Au courriel que j'avais adressé à la D.R.A.C. le 11 janvier dernier, j'ai reçu hier la réponse suivante :

(Début de citation)

De : (...)@culture.gouv.fr
Envoyé : jeudi 15 février 2018 15:54
À : Pierre-Paul Fourcade
Cc : (...); (...); (...); (...); (...)
Objet : Re: Manoir de la Chaslerie - Travaux urgents - Subventions - Problèmes posés par la succession de (...), architecte du patrimoine

Bonjour Monsieur Fourcade,

Je vous prie de bien vouloir trouver ci-après les réponses à vos questions.

Sur le point n°1, le reliquat disponible sur l'opération "restauration de la charpente et de la couverture des écuries et du colombier" est de 16 083 € (taux Etat 45%). Cette subvention est valable jusqu'au 15 avril 2019 d'après une déclaration de commencement de travaux signée le 15 avril 2015 (délai de 4 ans prescrit par l'article 12 du décret n°99-1060). Si les travaux ne sont pas effectués avant cette date, il conviendrait de faire une demande écrite et argumentée de prolongation de validité de la subvention (maximum 4 ans, article 12 du décret de 1999). J'attire également votre attention sur le reliquat disponible (3 732 €) de la subvention 2014 concernant la cage d'escalier. Nous n'avons pas de date de début de travaux de votre part. En l'absence de cette pièce, le commencement d'exécution est réputé constitué par le premier acte juridique passé pour la réalisation du projet (article 8 du décret de 1999). Il conviendrait donc de vérifier si cette subvention est toujours valable.

Sur le point n°2, il n'y a pas eu d'évolutions règlementaires. Les travaux de restauration sur MH classés sont donc toujours soumis à une maîtrise d'oeuvre qualifiée au sens du Code du patrimoine (ACMH ou architecte du patrimoine + 10 ans d'exercice régulier de la maîtrise d'oeuvre sur du bâti ancien). Après le retrait de Monsieur (...), il vous faudra donc lui trouver un remplaçant.

Sur le point n°3 et au regard des demandes en attente, nous n'avons aujourd'hui aucune marge de manœuvre pour ajouter une opération en investissement et ce d'autant plus que sa réalisation serait conditionnée par la nomination d'un architecte qualifié et qu'elle s'ajouterait à trois subventions en cours, dont la dernière semble bien mal engagée malgré les mois passés à la mettre au point. En attendant, je vous encourage à prendre l'attache de l'UDAP pour faire un constat des désordres occasionnés par les pluies abondantes et étudier les solutions éventuelles. Toutefois, à ma connaissance, son enveloppe limitée de crédits d'entretien est, elle aussi, largement absorbée par les demandes collectées en 2017.

Je reste à votre disposition pour toute autre information.

Bien cordialement

(...)

(Fin de citation)

Sur la base de ce document, j'ai adressé ce matin à l'UDAP de l'Orne le courriel suivant :

(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : vendredi 16 février 2018 08:35
À : (...); (...)
Cc : (...)
Objet : RE: Manoir de la Chaslerie - Travaux urgents - Subventions - Problèmes posés par la succession de (...), architecte du patrimoine

Chère Madame, cher Monsieur,

Sur les conseils de (...), je vous contacte afin de faire, dans un premier temps, constater le caractère d'urgence de travaux à entreprendre, suite aux derniers dégâts des eaux, dans l'"aile de la belle-mère" (écuries et colombier) du manoir de la Chaslerie. Ces travaux concerneraient un mur classé M.H. et des intérieurs inscrits à l'I.S.M.H.

Auriez-vous la possibilité de venir sur place ou estimeriez-vous que la transmission de photos suffirait ? Personnellement, je ne vous cache pas que la première hypothèse me paraîtrait préférable. Je me tiens en tout cas à votre disposition.

Bien cordialement,

PPF

(Fin de citation)

P.S. : En début de soirée, je viens de répondre à la D.R.A.C. :

(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : vendredi 16 février 2018 18:33
À : (...)
Cc : (...).fourcade@(...); (...)@culture.gouv.fr; (...)@culture.gouv.fr
Objet : RE: Manoir de la Chaslerie - Travaux urgents - Subventions - Problèmes posés par la succession de (...), architecte du patrimoine

Cher Monsieur,

Suite à votre courriel dont je vous remercie, je me permets d'apporter quelques éléments complémentaires :

A - Sur le point 1 :

- Mon fils (...) m'a confirmé hier qu'il comptait mener à bien la restauration des menuiseries extérieures des lucarnes de l'"aile de la belle-mère" pour laquelle une subvention de 16 083 € reste disponible. Je lui signale qu'il a jusqu'au 15 avril 2019 pour réaliser ces travaux sans perdre cette subvention. Il est probable qu'il attendra 2019 pour les réaliser, de manière à optimiser fiscalement sa dépense compte tenu de l'instauration du prélèvement à la source (les paiements de 2018 étant "deux fois moins déductibles").

- S'agissant de la restauration des enduits des murs de la cage d'escalier du logis pour laquelle l'arrêté de subvention date, si je ne me trompe, du 1er juillet 2014, je comprends qu'il me reste environ 4 mois pour faire réaliser ces travaux en pouvant prétendre au reliquat de subvention de 3 732 €. Pouvez-vous, s'il vous plaît, me confirmer cette interprétation ?


B - Sur le point 2 :

- Je suis toujours dans le brouillard quant au comportement de (...) pendant la nécessaire transition. Or il s'agit, après l'expérience de 2017, d'une information décisive selon moi.

- J'envisage néanmoins d'ores et déjà trois pistes pour la succession de cet architecte du patrimoine mais serais bien entendu très ouvert à vos suggestions :
. (...), qui connaît bien la Chaslerie ; j'ai cherché à (...) joindre aujourd'hui ;
. (...) que me recommande M. COOS de l'entreprise BODIN (...).
. (...), qui est en charge de travaux sur (...) dont je comprends qu'ils devraient être réalisés en 2018. Il n'y a eu aucune approche de cet architecte du patrimoine de ma part cette année, ni directement, ni indirectement.

J'avais contacté (...) l'an dernier mais, après une phase où j'avais cru déceler de l'enthousiasme de leur part, ils avaient finalement décliné après s'être entretenus avec leur collègue, préférant ainsi le laisser poursuivre lui-même.

- Au cas où aucun de ces trois ne voudrait s'inscrire dans la succession de (...), je vous prierais de désigner un architecte.

- A titre accessoire, je précise que, s'agissant des enduits de la cage d'escalier, (...) avait validé une suggestion de l'entreprise BODIN, titulaire du marché, de sorte qu'il serait loisible de faire immédiatement réaliser sur le mur d'échiffre (qui ne pose pas de problème de menuiserie) des enduits dudit modèle sans que leur coût dépasse le reliquat subventionnable (en effet, en 2014, les coûts avaient dérapé avec les dalles de l'entrée pour lesquelles nous avions eu l'opportunité d'acheter un lot ancien optimal ; par voie de conséquence, nous avions entamé, en plein accord les uns avec les autres, l'enveloppe des enduits).


C - Sur le point 3 :

- J'espère vous prouver par mon attitude que, si vous estimez la restauration de la 1ère tranche des menuiseries extérieures du logis est "bien mal engagée" malgré des mois d'efforts où la D.R.A.C. a, comme moi je pense, pris sa part, les choses vont reprendre, dès qu'un architecte qui vous convienne aura accepté le relais. Comme vous, j'espère vivement que ce pourra être au plus tôt. Il est grand temps en effet qu'on sorte de ce dossier qui pourra - gros avantage - être répétitif pour tous les intervenants une fois que le dessin à échelle 1:1 qui a été préparé à la demande de (...) aura été validé par son successeur. Il y a d'autant moins de freins de mon côté que, comme vous le savez, j'ai déjà réglé, à titre d'acomptes, plus des deux tiers de la dépense subventionnée dès 2017.

Bien cordialement,

PPF

(Fin de citation)
Le chauffagiste venu découvrir la Chaslerie le 14 février dernier m'a téléphoné hier après-midi pour me dire qu'il préparait son devis en liaison avec son correspondant chez "LEMASSON", le fabriquant d'installations de matériel pour chauffage par géothermie.

Il souhaite étendre son devis à l'aile de la belle-mère mais précise que cela nécessiterait une seconde chaudière.

De mon côté, je lui ai recommandé de forer ses puits sur la terrasse plutôt que sur le "Pournouët". Mon idée est que la surface disponible y est sans doute suffisante, que cela rapprocherait les puits de la chaufferie du logis et du bâtiment Nord (c'est-à-dire de la tour Sud-Ouest) et que cela éviterait des terrassements sous le mur de terrasse qui, comme on le sait, a été fondé sur du béton.

Les emmerdements volent en escadrille, comme j'ai encore pu le vérifier hier soir. Trois de plus en moins d'une heure, il vaut mieux être costaud quand, à 66 ans, on doit continuer à supporter seul la charge de certains dossiers.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 17 Février 2018
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Logis
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Enfin un rayon de soleil dans un monde de brutes ?

Ce matin, à 7 h 40, alors que je travaillais déjà à essayer de résoudre mes emmerdes, j'ai entendu un léger grattement sur la porte de mon bureau provisoire. C'était lui, notre Igor favori que je n'attendais pas avant lundi :

17 février 2018.

Il m'a, d'entrée de jeu, expliqué qu'il n'était pas sûr de pouvoir revenir la semaine prochaine mais qu'il le ferait sans faute huit jours plus tard, selon le temps de congé que son employeur lui accorderait.

Il s'est tout de suite attelé au marteau-piqueur et, le temps que je lève le nez de mes maudits dossiers, voici ce que j'ai vu :

17 février 2018.

Donc on devrait bientôt savoir si on a retrouvé ce fameux évier.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 17 Février 2018
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Logis
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Il se confirme qu'il n'y a pas de trace d'évier à l'intérieur de la tour Nord-Est :

17 février 2018.

En revanche, Igor m'informe qu'il trouve des cendres sur la terre, sous le béton. Traces d'une cheminée ?

17 février 2018.

On va chercher à en savoir plus :

17 février 2018.

(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : samedi 17 février 2018 11:43
À : (...)
Cc : carolefourcade(...); thibaud.fourcade(...)
Objet : Binz

Wally,

Pour faire suite à notre conversation d'hier soir, voici des photos du binz à enlever du rez-de-chaussée de l'"aile de la belle-mère".

Tant qu'à faire, il serait préférable que tu te charges aussi de la part de ton frère. Celui-ci m'avait dit qu'il reviendrait embarquer celle-ci fin janvier, puis avait décalé son intervention à fin février et il vient de m'apprendre que son épouse ayant décidé de partir en week-end en Belgique, il ne passerais plus avant mars (au plus tôt...).

C'est parce que j'en ai ma claque de tous ses sempiternels faux-fuyants que j'ai demandé à Jean LEMARIE de faire disparaître tout ça le 1er mars. Il faut que je fasse intervenir d'urgence le maçon pour, à tout le moins, relever le sol intérieur de 10 cm.

Bien entendu, tout n'aura pas à être embarqué par toi ou Jean :
- ton frigo et les trucs qui pourront effectivement servir ici pourront rejoindre, moyennant le maniement d'un diable, le garde-meubles désormais improvisé dans le salon du logis, les autres espaces étant indisponibles ou saturés ;
- une part du binz pourra être stockée provisoirement dans le volume du dernier étage du colombier. Je dis provisoirement car ni là, ni dans la pièce qui me sert de bureau à Paris, je rappelle qu'il n'y a lieu, en l'état de l'organisation familiale, que séjournent plus longtemps des meubles ou objets qui n'appartiennent ni à ta mère, ni à moi, et ceci quels qu'ils soient.

K du B-P

P.S. : Je n'arrive pas à charger ici ces photos, mon "Outlook" n'arrête pas de mal fonctionner.

(Fin de citation)

J'ai utilisé ma messagerie "Orange" pour faire passer ces photos. Mais cette fois, c'est la boîte aux lettres de mon cadet qui refuse de les réceptionner. Les voici donc ici :

17 février 2018.

17 février 2018.

17 février 2018.

17 février 2018.

17 février 2018.

17 février 2018.

P.S. : A noter que, depuis le dernier dégât des eaux, du salpêtre est apparu et s'est développé sur tout le sol de cette pièce.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 17 Février 2018
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Logis
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Les derniers coups de pelle d'Igor confirment sans aucun doute que la tour Nord-Est a été construite sur une base circulaire de rayon égal à celui du plus grand cercle inscrit dans le quadrilatère de ses parois intérieures :

17 février 2018.

On aperçoit également, comme au sol de l'autre tour, des trous dont on ne comprend pas à quoi ils peuvent correspondre (je veux dire par là que, si Igor a trouvé un trésor pendant que je déjeunais à ma cantine favorite, il s'est bien gardé de m'en informer) :

17 février 2018.

Enfin, il nous paraît clair que les cendres répandues sur tout le sol ne témoignent pas de la présence ancienne d'une cheminée dans cette pièce mais, beaucoup plus prosaïquement, du fait que le ménage a été mal fait après l'incendie de 1884. Donc pas la peine d'aller chercher midi à quatorze heures :

17 février 2018.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 17 Février 2018
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Logis
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Comme on le voit, le mur Ouest de la tour Nord-Est ne se hâte pas de sécher :

17 février 2018.

17 février 2018.

A noter que la zone de plus forte humidité, à droite de la photo, correspond à celle d'une fissure qui paraissait inquiétante du temps où ce mur était étouffé par une carapace de ciment. Comme cette fissure n'apparaît plus sur ce mur enfin dénudé, on peut, me semble-t-il, conclure qu'elle résultait d'une accumulation locale d'eau qu'un peu plus de temps à l'air permettra d'évaporer enfin. Ce point sera néanmoins à vérifier périodiquement durant les prochaines semaines où nous continuerons, cette fois dans la salle-à-manger du logis, à faire sauter ces maudits enduits de ciment des murs et dalle de béton du sol.
A la réflexion, la présence de ces fondations rondes des tours, beaucoup plus larges que ce qui semblerait nécessaire pour des murs carrés, me fait me remémorer certains travaux d'érudits locaux sur les débuts de la guerre de Cent-Ans dans les parages. Les Anglais avaient alors ravagé le secteur et ratiboisé tout ce qui leur résistait, dont un probable précédent manoir à la Chaslerie.

Ainsi, ces fondations circulaires pourraient bien être les vestiges de tours d'un manoir antérieur, d'aspect encore plus défensif que l'actuel, comme tout donne à penser que le sont les murs percés de meurtrières qui bordent la terrasse à l'Ouest ou les douves dont on cherchera encore longtemps la quatrième, sans parler de la chapelle.

Je dois dire que c'est de cette hypothèse que, pour ma part, j'ai toujours eu l'intuition ici en sentant vibrer toutes ces pierres autour de moi et en les écoutant quasi religieusement depuis 26 ans déjà.

Pour la vérifier, il faudrait, j'imagine, se livrer à je ne sais quelle analyse du mortier de ces soubassements. On ne le fera pas cette fois-ci mais, lorsque nous suturerons la plaie de ce sol, nous veillerons à préserver ces traces afin qu'un jour peut-être, l'un de nos lointains successeurs ici puisse ce livrer à ces analyses plus approfondies devant lesquelles nous devrions caler.

A moins qu'un membre du fan-club ne nous fasse part d'une idée lumineuse.
Bonjour

J'ai lu avec beaucoup d'intérêt la découverte de vestiges d'anciennes tours. Il y a plusieurs façons de les conserver et de les valoriser, tout dépend du niveau du sol fini.

Vous pouvez les laisser affleurer en les intégrant dans un sol de tomettes par exemple, ou alors si le niveau est un peu plus haut un sol en verre de ce type, un petit tapis pouvant venir dessus pour limiter la crainte de certains qui pourraient s'angoisser du léger vide.

Bon week-end,

Cordialement

N.D.L.R. : Merci beaucoup pour ces très intéressants conseils. Nous procédons ici par étapes et au vu des découvertes. Je ne suis pas encore capable de vous dire si nous donnerons suite à votre idée qui me semblerait hélas difficilement compatible avec le chauffage par le sol que nous retiendrons au minimum pour les pièces nobles du rez-de-chaussée.
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : lundi 19 février 2018 09:11
À : (...)@culture.fr
Cc : (...) Fourcade
Objet : RE: V/ref : réf : CRMH/2018/ddeverstsub2017 - Recours gracieux contre une partie de la décision ayant fait l'objet d'une lettre du 13 février 2018

Madame la directrice,

Mon fils (...) vient de me confirmer par écrit qu'il ferait "le passe-plat sur la subvention".

Dès lors mon recours gracieux devient sans objet.

J'ai donc l'honneur de vous informer que je le retire.

Je vous prie d'agréer, Madame la directrice, avec l'expression de mes respectueux hommages, celle de ma considération la plus distinguée.

Pierre-Paul FOURCADE
06 12 96 01 34

(Fin de citation)
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : lundi 19 février 2018 09:19
À : (...)@culture.gouv.fr
Cc : (...)@culture.gouv.fr; (...)@culture.gouv.fr; (...).fourcade@(...)
Objet : RE: Manoir de la Chaslerie - Travaux urgents - Subventions - Problèmes posés par la succession de (...), architecte du patrimoine

Chère Madame,

Merci pour cette réponse. Je vous recevrai comme toujours, vous comme vos collègues, avec plaisir. Je bloque donc le 28 dans l'après-midi.

S'agissant des photos, si j'ai pu vous donner l'impression que je trainais un peu la jambe, c'est parce que, d'expérience, je sais qu'il est toujours difficile d'envoyer des fichiers volumineux aux services de l'Etat. Je comprends que le vecteur que vous m'indiquez est approprié. Je vais donc vous préparer un reportage sur les 4 derniers dégâts des eaux, tous intervenus en janvier dernier. S'agissant du premier, comme je n'en avais pas encore compris la cause (je l'attribuais à une porte mal fermée), je n'avais pas pris de photos.

Bien cordialement,

PPF

________________________________________________________________

De : (...)@culture.gouv.fr
Envoyé : lundi 19 février 2018 09:00
À : Pierre-Paul Fourcade
Cc : (...); (...)@culture.gouv.fr
Objet : Re: Manoir de la Chaslerie - Travaux urgents - Subventions - Problèmes posés par la succession de (...), architecte du patrimoine

Bonjour Monsieur Fourcade,

Nous n'avons pas la possibilité de venir à la Chaslerie cette semaine, veuillez nous en excuser.

Je vous propose de nous adresser les photographies dans un premier temps (http://zephyrin.ext.culture.fr), que nous pourrons compléter par une visite mercredi 28 février après-midi si nécessaire.

bien cordialement,

(...)
ABF cheffe de l'UDAP 61 - DRAC de Normandie
15bis, rue de Fresnay - BP 238
610007 Alençon Cedex
tel : 02 33 26 03 92
sdap.orne@culture.gouv.fr
http://www.culturecommunication.gouv.fr/Regions/Drac-Normandie
Pour l'envoi de fichiers lourds, merci d'utiliser le site de dépôt agréé par le ministère : http://zephyrin.ext.culture.fr

(Fin de citation)
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : lundi 19 février 2018 17:54
À : (...)@culture.gouv.fr; (...)@sfr.fr
Cc : (...); (...)@culture.gouv.fr; (...)@yahoo.fr; (...).fourcade@(...)
Objet : RE: Nécessité de l'intervention d'un architecte du patrimoine

Chère (...), cher (...),

"Ces choses-là sont rudes"...

Amicalement,

PPF

_____________________________________________________________

De : (...)@culture.gouv.fr
Envoyé : lundi 19 février 2018 16:13
À : Pierre-Paul Fourcade
Cc : (...)
Objet : Re: Nécessité de l'intervention d'un architecte du patrimoine

Monsieur Fourcade,

Les travaux de restauration sur les MH classés sont soumis aux dispositions de l'article R621-28 du code du patrimoine, c'est-à-dire un ACMH ou un architecte du patrimoine (ou diplôme équivalent) + 10 ans d'exercice de la maîtrise d'oeuvre sur du bâti ancien. Je pense que Madame (...) a fait une confusion entre les MH classés et les MH inscrits.

Pour répondre à votre autre message, la demande de prolongation d'une subvention est faite sur papier libre et doit seulement être motivée.

Bien cordialement

(...)

_____________________________________________________________

Pierre-Paul Fourcade a écrit :
>
> Chère (...),
>
> Pour la 2ème fois en un an, l'architecte du patrimoine que nous avions mandaté pour suivre la 1ère tranche de travaux de restauration des menuiseries extérieures du logis de la Chaslerie (classées MH) vient de nous claquer dans les pattes. Je veux dire par là qu'il refuse d'honorer sa signature des mandats correspondants que moi, puis (...), lui avions confiés (le second, 6(...) % plus cher environ que le premier, soit dit en passant...).
>
> Il avait néanmoins préparé l'étude préalable sur la restauration de ces menuiseries extérieures (y compris au-delà de la première tranche) et déposé auprès de la DRAC et obtenu d'elle les autorisations pour la 1ère tranche, y compris, en novembre dernier, une subvention au taux de 35 %, à quoi s'ajoute une subvention de 20 % que j'ai par ailleurs obtenue du CD61.
>
> Il était initialement prévu que mon aîné financerait le reliquat de 45 % mais il y a renoncé en dépit de son taux marginal d'imposition de nabab (qui n'aurait laissé que 0,8 % à sa charge), me forçant ainsi à le relayer, ce dont vous pouvez vous douter que je me serais bien passé.
>
> Quoi qu'il en soit, j'ai pris la précaution, comme recommandé par la DH, de verser des acomptes, représentant 70 % du marché, avant le 31/12/17 aux trois entreprises en cause (menuisier, maçon forgeron), de manière à ne pas me retrouver également piégé par l'"année blanche" prévue pour la mise en place de la "retenue à la source".
>
> Sachant que toutes les autorisations de travaux, décisions de subventions, marchés des entreprises sont prêts, obtenus et signés, la question se pose de savoir si, pour la réalisation effective des travaux (qui sont particulièrement répétitifs s'agissant, pour l'essentiel, de fenêtres de modèles très proches), je peux me passer de l'intervention d'un architecte du patrimoine.
>
> Mme (...), architecte du patrimoine, m'a signalé et affirmé que oui.
>
> Auriez-vous des lumières particulières sur la question ?
>
> Amitiés,
>
> PPF

(Fin de citation)
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 21 Février 2018
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Logis
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(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mercredi 21 février 2018 04:50
À : Bodin Entreprise
Cc : (...).fourcade@yahoo.fr; (...)@culture.gouv.fr
Objet : Manoir de la Chaslerie - Reliquat de subvention du "programme 2014" - Enduit du mur d'échiffre de l'escalier du logis

Cher Cédrick,

Comme vous le savez, nous avons tardé à enduire la cage d'escalier du logis de la Chaslerie. C'était pourtant prévu au titre du "programme 2014" mis en place à l'époque dans l'urgence et dans la perspective du mariage de mon aîné, fin juillet 2014. Nous avions différé cette intervention d'un commun accord car nous avions compris que nous ne pourrions enduire de façon satisfaisante les murs percés d'ouvertures extérieures tant que les menuiseries extérieures n'auraient pas été restaurées.

Vous vous souvenez que, pour le sol du rez-de-chaussée de cette cage d'escalier, nous avions eu l'opportunité d'utiliser un beau lot de dalles anciennes que nous avait trouvées M. LEBON. Nous avions d'un commun accord mis en œuvre ces dalles mais cela s'était traduit par un "dérapage" dans notre consommation de l'enveloppe subventionnée.

Or la DRAC est contrainte de me demander de consommer le plus tôt possible le reliquat d'enveloppe subventionnée encore disponible sur ce "programme 2014", ce qui ne devrait me permettre, en l'état de mes finances, que d'engager les enduits du mur d'échiffre de l'escalier. Je veux dire par là que, pour les murs de cette cage d'escalier autres que le mur d'échiffre, il ne devrait plus rester d'enveloppe de subvention à consommer. Le bon côté de la chose est que cela nous permettra de réaliser les enduits résiduels correspondants sans avoir à être relancés davantage par la DRAC.

J'ai appris que ces travaux d'enduits, relatifs à un mur inscrit à l'ISMH comme l'est ce mur d'échiffre, ne nécessitent pas l'intervention d'un ACMH ou d'un architecte du patrimoine d'une ancienneté agréée par la DRAC comme pourrait l'être (...). C'est heureux car je n'ai pas pu retrouver encore d'architecte du patrimoine pour suivre mon chantier.

Vous vous souvenez que, pour les enduits de la cage d'escalier, vous aviez, à la demande de M. (...), réalisé trois échantillons possibles. Il avait retenu le modèle de celui que vous aviez réalisé dans l'embrasure du palier intermédiaire entre le rez-de-chaussée et le 1er étage. Cet échantillon est toujours en place, intact.

Donc il n'y a pas de débat sur ce en quoi devrait consister votre prochaine intervention, ni de préalable à sa réalisation.

Je vous prie donc de bien vouloir me communiquer :
- la date au plus tôt à laquelle vous pourriez procéder à ces travaux d'enduits sur le mur d'échiffre,
- la copie du devis que vous aviez fourni lorsque le "programme 2014" avait été mis au point par M. (...),
- son actualisation pour ce qui concerne les enduits si cela vous paraît nécessaire,
- la "date du premier engagement juridique concernant les travaux de ce "programme 2014" (signature d'un devis)", ce dernier point d'urgence afin de me permettre de solliciter, si nécessaire, une prorogation du délai de 4 ans qui encadre, sauf à les perdre, la consommation des subventions de l'Etat.

D'avance je vous en remercie.

Bien cordialement,

PPF

N.B. : J'ai dû mettre l'adresse mail professionnelle de mon aîné car il m'a indiqué ne plus recevoir mes messages autrement. Il a en effet perdu, m'a-t-il dit, les identifiants de sa boîte mail personnelle. De plus, son téléphone portable ne lui permet plus, a-t-il ajouté, de recevoir mes courriels sur cet appareil. Tout cela n'est vraiment pas de chance !

Je précise que je tiens mon aîné au courant de l'évolution du dossier au cas où, par extraordinaire, il désirerait favoriser la transmission vers lui du patrimoine que représente la Chaslerie, ainsi que je le lui ai proposé depuis longtemps, sans beaucoup de succès il faut bien le reconnaître.

(Fin de citation)

Il va sans dire que je compatis aux malheurs de mon aîné...

P.S. (du 22 février 2018) : Un étrange virus semble, ces temps-ci, faire des ravages à Paris car, dans un S.M.S. qu'elle m'a envoyé ce matin, Carole m'a expliqué qu'il arrivait à son matériel les mêmes problèmes qu'à ceux de mon aîné.

Etonnant, non ?
Je viens de vérifier si je n'avais pas écrit d'ânerie en prétendant que le mur d'échiffre de notre manoir favori est inscrit à l'ISMH. Pour cela, j'ai entré dans le moteur de recherche de Google : Chaslerie Mérimée, pensant ainsi arriver à la fiche pertinente de la base de données "Mérimée" entretenue par le ministère de la culture.

Or le premier document sur lequel on tombe est celui-ci.

Il y apparaît que la dernière mise à jour de la fiche de notre manoir favori sur cette base dénommée "Momentum" date du jour de Noël 2017.

Je voudrais en féliciter l'auteur que rien ne semble arrêter dans son très patient et méritoire labeur.

Je lui conseillerais cependant de cesser d'envoyer les visiteurs se perdre dans le jardin de Mme de ROMEMONT, au bourg de La Haute-Chapelle. J'ai essayé d'entrer les bonnes coordonnées géographiques, telles que fournies par "Wikipedia". Mais imposs !
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mercredi 21 février 2018 21:40
À : (...)
Cc : (...).fourcade@yahoo.fr; Fourcade, (...)
Objet : RE: Manoir de la Chaslerie - Travaux urgents - Subventions - Problèmes posés par la succession de M. (...), architecte du patrimoine


Cher Monsieur,

Je reviens sur le point n° 1 de votre courriel du 15 février dernier et, plus particulièrement, sur le reliquat de subvention disponible pour les enduits de la cage d'escalier du logis.

Je me suis replongé dans mes dossiers.


A - Il ne fait pas de doute que l'arrêté pertinent, attributif de subvention pour les parties inscrites du "programme 2014", est celui du 1er juillet 2014. Il prévoyait une subvention au taux de 30 % et d'un total de 19 297 €.

Or 15 565 € ont été versés le 8 avril 2015 suite à ma première demande de paiement qui datait du 23 décembre 2014. A ce stade, il restait ainsi 3 732 € disponibles.

En revanche, je ne comprends pas pourquoi ma 2ème demande de paiement, par courrier du 16 avril 2016 à Mme (...) et portant sur 1 054 € de subvention, n'a, semble-t-il, pas été réglée depuis cette époque car je n'avais pas manqué de fournir les justificatifs (principalement une facture du 8 janvier 2016 de M. BRESSON, menuisier, d'un montant de 3 846,64 €, relative à la "porte d'accès au w.-c. avec bardage"). Il est vrai que le dossier était compliqué par le fait que, dans ses propres factures, M. (...) se refusait à distinguer entre le classé et l'inscrit (cf sa facture de 897,60 € du 18 septembre 2015, fournie à l'appui de ma demande du 16 avril 2016).

Donc les 3 732 € que vous me citez me paraissent bien rester disponibles à ce jour pour les enduits de la cage d'escalier, ce qui représenterait 30 % d'une dépense de 12 440 €. Sachant que j'ai retrouvé un devis préliminaire de BODIN daté du 13 décembre 2013 portant précisément sur ces enduits pour un montant total de 37 840,83 € TTC, il ne fait pas de doute que la réalisation des enduits du mur d'échiffre suffirait à permettre la consommation de l'enveloppe résiduelle de 3 732 €


B - Quoi qu'il en soit, s'agissant de la date à retenir pour le calcul du délai de 4 ans à la fin duquel la subvention est susceptible de passer à la trappe, je m'avoue un peu perdu, en l'absence, me dites-vous, de déclaration d'ouverture du chantier, pour savoir quoi vous dire :
- par courriel du 9 janvier 2014, je vous avais informé de mon désir de faire réaliser dès 2014 les enduits de la cage d'escalier ; je vous avais transmis pour ceux-ci un montant HT de 32 316 € ; j'avais précisé que je ne pouvais engager lesdits travaux sans subvention ;
- mon premier contact téléphonique avec M. (...), qui fut chargé desdits travaux, date de janvier 2014 ; il est venu pour la première fois à la Chaslerie le 16 janvier 2014 ;
- le 24 janvier 2014, j'ai eu un RV au STAP d'Alençon à la suite duquel j'ai produit un tableau récapitulant mes désirs de travaux pour 2014 ; il n'y était plus question des enduits ;
- le 24 mars 2014, vous m'avez adressé un courriel pour m'expliquer comment commencer les travaux sans attendre l'arrêté de subvention mais dès que l'autorisation des travaux est acquise ; vous répondiez ainsi à ma demande du même jour, motivée par la perspective du mariage de mon aîné ;
- le projet de "programme 2014" de M. (...), incluant les enduits pour 28 460 € HT, est daté, sans autre précsion, de mars 2014 ;
- ma demande d'autorisation des travaux date cependant du 31 mars 2014 ; y était joint le projet de "programme 2014" de M. (...) (or nous savons que je n'ai pas pour habitude d'attendre quand j'ai les pièces utiles en mains) ;
- le recepisse de cette demande est du 1er avril 2014 ;
- le 2 avril 2014, je vous ai recontacté sur les conseils de M. (...) pour vous prier de m'aider à commencer les travaux dès que possible ;
- le 26 avril 2014, j'ai été informé d'une modification du délai d'instruction de la demande de permis ; le délai était ainsi susceptible d'être porté à 6 mois ;
- j'ai reçu l'AT le 16 mai 2014 ;
- le 17 mai 2014, je vous ai recontacté pour obtenir le feu vert pour commencer les travaux ;
- le 20 mai 2014, une lettre de la DRAC m'a transmis le dossier de demande de subvention pour le programme 2014 des parties inscrites ;
- l'arrêté de permis de construire correspondant date du 23 mai 2014 ;
- la demande de subvention correspondante date du 26 mai 2014 ; l'enveloppe pour la cage d'escalier était de 28 460,13 € HT ; à noter qu'il était prévu 3 496,95 € HT pour la menuiserie qui a fait l'objet de la facture jointe à ma 2ème demande de paiement de subvention, celle du 16 avril 2016 (voir ci-dessus) ; une attestation signée de non-commencement des travaux était jointe à cette demande ;
- le 19 juin 2014, le dossier de demande de subvention a été réputé complet ;
- l'arrêté de subvention est du 1er juillet 2014 mais j'ai le souvenir - à vrai dire vague aujourd'hui - que, compte tenu de l'urgence due au mariage de mon aîné fin juillet 2014, nous avions réclamé et obtenu de pouvoir commencer les travaux avant la date de signature de cet arrêté ; je ne retrouve pas la trace du document accordant cette autorisation.


C - S'agissant de la réalisation effective des travaux subventionnés en application de l'arrêté du 1er juillet 2014, tous renseignements utiles sont fournis, jour après jour, de façon très détaillée et illustrée, par le site internet de la Chaslerie (onglet "Journal du chantier") qui montre que rien n'avait été entrepris du programme subventionné sur les parties inscrites en question avant, sauf erreur de ma part, le 28 mai 2014 : on s'apprêtait alors à poser, sous le contrôle effectif de M. (...), les dalles sur le sol du rez-de-chaussée de la cage d'escalier.


En conclusion, en l'état de ces recherches :
- pour autant que, s'agissant de parties inscrites, l'intervention d'un architecte habilité ne soit pas indispensable à ce stade,
- que l'on retienne la date du 1er juillet 2014 ou même celle du 28 mai 2014 pour le départ du délai de quatre ans,
- et sous réserve de la confirmation que j'ai demandée hier à M. COOS à propos, notamment, de sa date d'intervention,
a) il me semble que nous devrions pouvoir tenir, et même largement, dans le délai initialement prévu
b) il ne me semble donc pas nécessaire que je dépose une demande de prorogation du délai.

Si toutefois vous deviez estimer que ma présentation, ou bien d'autres faits que je n'ai pas retrouvés de mon côté, appellent une autre conclusion, je vous prierais de bien vouloir me l'indiquer et j'obtempérerais sans délai, autant que faire se peut (mon principal souci étant toujours, à ce jour, la succession de M. (...) ; mon second souci est de (...) : cela semble moins évident que je ne le souhaiterais et même que je ne le pensais).

Bien cordialement,

PPF

(Fin de citation)
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : jeudi 22 février 2018 08:15
À : (...)@culture.gouv.fr
Cc : bodin.ste@gmail.com; (...).fourcade@yahoo.fr; Fourcade, (...)
Objet : TR: Manoir de la Chaslerie - Reliquat de subvention du "programme 2014" - Enduit du mur d'échiffre de l'escalier du logis

Cher Monsieur,

Veuillez trouver ci-joint le devis daté du 28 février 2014 que vient de me transmettre l'entreprise BODIN pour les travaux d'enduits de la cage d'escalier du logis de la Chaslerie. Ce document fait apparaître que le coût total des enduits pour toute la cage d'escalier serait de 23 180,03 €, soit nettement moins que les montants que j'avais cru lire sur les documents retrouvés hier.

En d'autres termes, la consommation du reliquat de subvention disponible nécessitant 12 440 € de travaux comme je l'ai expliqué hier, il serait loisible de réaliser dans les meilleurs délais, si toutefois l'intervention d'un architecte habilité n'est pas nécessitée par les textes, 54 % du programme d'enduits convenu. Autrement dit, ce devis étant établi à la surface, on devrait pouvoir enduire un peu plus que le mur d'échiffre.

En l'état des travaux d'électricité (pour l'éclairage), plomberie (pour des radiateurs) et menuiserie (toutes les menuiseries extérieures à changer dès qu'on aura retrouvé un architecte habilité), il me semble que tout paraît converger pour que je puisse signer l'ordre de service à l'entreprise BODIN pour ces 54 %. Pour le reste (46 %), mon intérêt fiscal est évidemment d'attendre de manière à ce que le paiement n'intervienne pas avant 2019.

Bien cordialement,

PPF

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De : Bodin Entreprise <bodin.ste@gmail.com>
Envoyé : jeudi 22 février 2018 07:08
À : Pierre-Paul Fourcade
Objet : Re: Manoir de la Chaslerie - Reliquat de subvention du "programme 2014" - Enduit du mur d'échiffre de l'escalier du logis

Bonjour,

Voici en pièce jointe le devis des travaux d'enduit 2014.

Bonne réception

Cédrick Coos

(Fin de citation)
Je viens de laisser un message sur le répondeur téléphonique de Roland FORNARI pour lui demander de revenir dès que possible afin de déplacer deux appliques murales qu'il avait forgées pour moi sur le modèle de la chapelle du logis de Moullins, ainsi que d'implanter les quatre autres.

Ces appliques murales devraient être installées à la bonne place avant la pose des enduits muraux.