Administration

Igor a commencé à restaurer les maçonneries entre sablières. Alors qu'il se proposait de scier les lattes du parquet des combles qui le gênaient pour accéder à son espace de travail, je lui ai suggéré de se borner à en retirer certaines, de manière à permettre leur repose si mon aîné désire conserver ce parquet :

8 juin 2015.

8 juin 2015.

8 juin 2015.

8 juin 2015.

Un coulis de chaux a ensuite été déversé de manière à s'infiltrer dans les anfractuosités des murs...

8 juin 2015.

... ce qui a permis de confirmer que ce travail n'était pas du luxe puisque du coulis est ressorti dans la chambre située sous les compbles :

8 juin 2015.

Enfin, Igor a disposé un mortier de chaux jusqu'au bas desdites sablières, du moins côté Sud à ce stade :

8 juin 2015.

Je persiste à trouver que l'architecte a fait un mauvais choix en donnant aux greffes réalisées sous son contrôle un profil en zizgag...

9 juin 2014.

... alors que, sur le même bâtiment, les Anciens avaient toujours prévu des coupes droites, comme encore ici sur la sablière Est,...

9 juin 2014.

... et alors que j'ai montré qu'il en était allé de même, à une seule exception près (la cave), sur tous, absolument tous, les autres bâtiments de la Chaslerie.

Mais M. MAFFRE a refusé d'en démordre, affirmant que les coupes qu'il préconise sont un gage de solidité des greffes et que, de toutes façons, la patine qui sera appliquée ne permettra plus de voir la différence. Dans le rôle d'observateur attentif qui est le mien en l'espèce, je déplore cette novation alors qu'il reste à prouver qu'il existe le moindre risque de cisaillement du schéma traditionnel. Donc puisque, semble-t-il, mon avis compte pour du beurre, les compagnons de Roland BOUSSIN ont appliqué les instructions qui leur ont été confirmées hier sans que M. BOUSSIN, qui avait pourtant réalisé la plupart des coupes droites antérieures, n'émette la moindre objection. Cette dernière observation ne m'a pas étonné de la part d'un individu dont je crois, depuis le temps, assez bien connaître le caractère.

A noter que ces compagnons, Thierry et Alex en l'occurrence, ne sont plus que deux sur notre chantier favori alors que la S.A.R.L. BOUSSIN-LIEGEAS n'a toujours pas été capable, malgré les demandes réitérées de mon fils et de l'architecte, de fournir le moindre calendrier de la suite de ses interventions. Ce constat permet d'imaginer que cette entreprise ne tiendra pas ses derniers engagements de terminer le chantier pour la fin juillet 2015 plus qu'elle ne l'avait fait, comme l'on sait, pour un début avant la fin de 2014.

J'observe également que les compagnons de cette entreprise ne disposant pas des outils traditionnels pour former les moulures des sablières, sont obligés de bidouiller ces dernières avec des engins modernes,...

9 juin 2014.

... y compris une tronçonneuse, au moins pour commencer le travail.

9 juin 2014.

Et les finitions, au moins avant patine, paraissent à ce stade devoir s'en ressentir.

9 juin 2014.

9 juin 2014.

Dans un ordre d'idées voisin, je signale que, hier, lors de la réunion de chantier, M. MAFFRE a refusé de me suivre lorsque j'ai redemandé que les traces de scie moderne soient effacées des flancs des entraits des poinçons (comme ils l'ont bien été sur le nouveau poinçon Est, ce qui confirme, bien entendu, que cette intervention n'aurait rien d'impossible). Il va jusqu'à dire qu'il faut que l'œil fasse la différence entre les parties anciennes et les parties neuves : foutaises d'après moi !

Bref, il y a comme qui dirait de meilleurs jours pour les payeurs.
Ou, du moins, pour leur représentant.

Thierry a fini, à la patine près, la greffe sur l'extrémité Sud de la moitié Nord de la sablière Ouest :

11 juin 2014.

11 juin 2014.

Le résultat me paraît très bon.

Il commence l'une des deux greffes de la partie visible extérieurement de la sablière Nord, au bout Ouest. Il s'agit à ce stade de faire disparaître le nœud disgracieux et source de désordres :

9 juin 2014.

Il révisera l'angle ultérieurement :

11 juin 2014.

Régis a complété le bout qui manquait à l'Ouest de la sablière intérieure haute Nord :

11 juin 2014.

11 juin 2014.

11 juin 2014.

Le résultat me paraît satisfaisant bien que l'ajustement présente quelques défauts :

11 juin 2014.

Quant à Alex, après avoir interrompu la réalisation de la greffe à l'extrémité Ouest de la sablière Sud, il a travaillé sur la moitié Sud de la sablière Ouest qu'il a prévu de greffer à son bout Nord :

11 juin 2014.

Mais il a utilisé un mauvais gabarit pour tailler cette greffe-ci. En effet, il n'avait pas vu que les sablières n'avaient pas toutes le même profil :

11 juin 2014.

Il devra donc recommencer ce dernier travail.

En fin de journée hier, Régis et Alex travaillaient sur le futur nouvel arêtier Sud-Ouest des terrassons :

11 juin 2014.

De manière à pouvoir l'adosser au haut du poinçon Ouest, ils ont taillé sa future extrémité haute "en gueule de brochet" :

11 juin 2014.

11 juin 2014.

La bête est désormais arrivée au port :

11 juin 2014.

Discutant hier avec mon aîné, j'ai compris qu'il envisageait de faire disparaître le plafond en sapin de sa chambre au 2ème étage du colombier. J'en déduis que le plancher des combles vit peut-être ses derniers jours, ce qui, en soi, me semble une bonne nouvelle.

Igor aura donc peut-être pris trop de soin du parquet actuel. Le fait est qu'il a achevé son travail entre les sablières des façades Est et Sud. Pour ce qui concerne les deux autres, il attend que les greffes des sablières extérieures soient terminées.

Dans l'immédiat, Igor continue à entretenir les abords. Il enlève actuellement les mauvaises herbes dans le chemin vers la cave. Il y a du boulot !

Relisant ce matin, avant d'appeler Roland BOUSSIN, les trois comptes rendus rédigés par M. MAFFRE à la suite des réunions de chantier des 11 mai, 25 mai et 8 juin derniers, je note que la S.A.R.L. BOUSSIN-LIEGEAS n'a toujours pas fourni :
- le calendrier prévisionnel demandé avant le 11 mai et constamment redemandé depuis ;
- le "PV de réception des échafaudages et du parapluie", alors même que M. MAFFRE avait précisé que ce document pouvait être rédigé en interne si l'artisan en avait la compétence ;
- les différentes études qui lui ont été réclamées par l'architecte dès le 11 mai, à propos (1) des "arêtiers tuiles", (2) de l'habillage des têtes de poinçon, (3) de la besace à installer derrière la cheminée, (4) des jouées des lucarnes, (5) de son "bilan prévisionnel".

Dès le 25 mai, M. MAFFRE a complété et précisé ses demandes d'études sans que la S.A.R.L. BOUSSIN-LIEGEAS ne bouge davantage le petit doigt, qu'il s'agisse :
- de la coupe de principe sur le chapeau des lucarnes,
- du détail de la moulure,
- de la coupe de principe sur égout de la sous-toiture.
De la sorte, l'architecte est empêché de procéder aux études qui lui reviennent.

Le compte rendu n°3 comporte ainsi un certain nombre de rappels, signalés en gras par l'architecte, sans que l'artisan n'ait jugé utile d'obéir, y compris sur des questions de sécurité de chantier.

Compte tenu par ailleurs des insuffisances manifestes des dernières réalisations sur place de la S.A.R.L. BOUSSIN-LIEGEAS, je pense qu'il ne me reste plus qu'à suspendre les travaux de cette entreprise.

Je considère de mon côté que la S.A.R.L. BOUSSIN-LIEGEAS pourra reprendre les travaux lorsqu'elle aura été capable (1) de répondre de manière satisfaisante aux demandes réitérées de l'architecte et (2) de charger du chantier des compagnons suffisamment compétents (comme l'est, par exemple et à mon avis, Thierry) pour ne pas fournir un travail de qualité inacceptable.

La prochaine réunion de chantier, prévue pour le 22 juin prochain, permettra de vérifier si les négligences persistantes présentes de la S.A.R.L. BOUSSIN-LIEGEAS sont surmontées et si tout peut enfin rentrer dans l'ordre.

Seulement deux compagnons de la S.A.R.L. BOUSSIN-LIEGEAS, Thierry et Régis, sont au travail aujourd'hui à la Chaslerie.

Comme à l'accoutumé, ils n'ont pas commencé à travailler avant 9 heures 45 et, comme à l'accoutumé, ils seront partis avant 17 heures.

A mon avis, l'un des problèmes de Roland BOUSSIN est qu'il a été habitué à travailler avec des architectes insuffisamment exigeants, voire incompétents comme j'en ai rencontrés plusieurs pendant mes 23 premières années de restauration de notre manoir favori.

Je suis d'avis que cet artisan, qui possède par ailleurs des qualités certaines qui expliquent sa longévité dans le marché et la stabilité de ses équipes, est trop âgé pour s'amender, d'autant qu'il est très têtu et demeure obstinément incapable d'écouter ses interlocuteurs. Les choses ne paraissent pas pouvoir s'améliorer spontanément. A le laisser poursuivre sur son erre, on exposerait d'autres de ses clients ou prospects à de sérieuses déconvenues. Il vaudrait donc infiniment mieux pour tout le monde que cet artisan ne tarde pas à passer la main à un successeur avec qui l'on puisse dialoguer normalement.

A première vue, son gendre et associé, Franck LIEGEAS, est arrivé en âge de lui succéder utilement.

Inspection détaillée du chantier ce matin :

28 juin 2015.

28 juin 2015.

28 juin 2015.

28 juin 2015.

28 juin 2015.

28 juin 2015.

28 juin 2015.

28 juin 2015.

Sur la base de ce qu'il a vu, de mes commentaires et des comptes rendus de chantier de M. MAFFRE, y compris les nombreux rappels qu'ils comportent, mon aîné appellera cet architecte du patrimoine pour convenir d'une position face à l'artisan.

Discussion, hier après-midi, avec Franck LIEGEAS à propos des lucarnes du colombier. Franck s'interrogeait sur le fait qu'elles seront basses par rapport au plancher et se demandait s'il ne serait pas possible d'abaisser ce dernier pour leur redonner de la hauteur. Vérification faite, la réponse est négative, les solives du plancher ne pouvant être elles-mêmes abaissées ni réduites en hauteur :

29 juin 2015.

Dommage, puisque j'avais l'autorisation de mon aîné de faire sauter ce plancher.

Hier soir, ce dernier m'a téléphoné pour me souhaiter une bonne fête. J'en ai profité pour lui reparler de mon idée de faire carrément sauter le plafond de sa chambre, au 2ème étage du colombier, de manière à ce qu'il y voie la charpente ; il pourrait alors supprimer les lucarnes et leur substituer de petites ouvertures pour les volatiles ; cela aurait en outre le grand avantage de donner à sa chambre une grande manorialitude, en lui permettant de supprimer un escalier moche et de renvoyer sa salle d'eau au 1er étage des écuries.

Rien à faire, hélas. Mon aîné n'en démord pas. Il veut son bureau là-haut, donc les lucarnes actuelles, même basses. Au moins, j'aurai tout essayé pour le convaincre !

Au cours de la semaine écoulée et malgré la canicule, Igor a pu couler le tablier de béton du 2ème petit pont :

1er juillet 2015.

1er juillet 2015.

4 juillet 2015.

4 juillet 2015.

4 juillet 2015.

Il a dû terminer de couler de la chaux en haut des murs du colombier, ce qui a occasionné de nombreux va-et-vient entre la bétonnière, près du petit pont, et le manoir...

30 juin 2015.

... et nécessité avant toute intervention le nettoyage de l'entre-sablières, ici côté Nord :

3 juillet 2015.

Enfin, pour permettre la poursuite de l'intervention du plombier dans le fournil de la ferme, il a dû s'armer d'un marteau-piqueur pour dégager la voie de futures canalisations :

3 juillet 2015.

4 juillet 2015.

Par ailleurs, l'entreprise PICAULT a livré les tomettes pour le fournil de la ferme :

4 juillet 2015.

4 juillet 2015.

Elles devraient être posées la semaine prochaine.

Durant la semaine dernière, Thierry et Régis étaient présents tous les jours, rejoints par Franck pendant trois jours.

Thierry a poursuivi son travail sur les sablières extérieures basses...

23 juin 2015.

23 juin 2015.

... dont il a patiné les greffes. A l'exception de la greffe nécessitée par l'état de l'angle Nord-Ouest...

15 juin 2015.

... greffe sur la qualité de laquelle je me suis déjà exprimé...

23 juin 2015.

... ce travail me convient.

Franck et Régis, parfois aidés par Thierry, ont fini de disposer les chevrons sur les terrassons :

30 juin 2015.

30 juin 2015.

30 juin 2015.

Du côté Nord, cela a nécessité la pose de renforts sur la sablière extérieure haute:

2 juillet 2015.

2 juillet 2015.

Pour que la charpente des terrassons soit terminée, il restera principalement à tailler et installer des fourrures à fixer au-dessus des arêtiers:

2 juillet 2015.

3 juillet 2015.

Au niveau des brisis, deux des trois vieilles lucarnes ont été repositionnées sommairement afin de recueillir les directives de M. MAFFRE lundi prochain, lors de sa 5ème visite de chantier :

2 juillet 2015.

En fin de semaine, Thierry a commencé à fixer des planches au-dessus de la sablière extérieure basse afin que, en raison de l'isolation thermique à venir, les coyautages ne disparaissent pas :

2 juillet 2015.

Cette solution avait été retenue par M. MAFFRE, plutôt que la proposition de Roland BOUSSIN consistant à superposer des voliges de sapin traité dont la tranche aurait été visible du sol une fois la restauration terminée :

15 juin 2015.

En ce qui concerne la couverture d'ardoises, Thierry a préparé deux exemples de coyautage des brisis afin que M. MAFFRE puisse choisir (pour ma part, je préfère l'exemple du fond car, avec son sous-larmier raccourci, il permet de marquer davantage le coyautage) :

3 juillet 2015.

Durant l'essentiel de la semaine, le temps était à la canicule et, sous le parapluie qu'ils ont dû renforcer pour passer le week-end, les compagnons auraient pu se croire dans un hammam.

3 juillet 2015.

Du côté du colombier, la journée a été marquée, pour l'essentiel, par la 5ème réunion de chantier de M. MAFFRE :

6 juillet 2015.

La S.A.R.L. BOUSSIN-LIEGEAS était représentée par Franck LIEGEAS qui a dialogué très utilement avec l'architecte :

6 juillet 2015.

Je retiens pour ma part que, dans l'angle Nord-Ouest de la sablière extérieure basse, la greffe sera recommencée selon la bissectrice :

6 juillet 2015.

Le coyautage des brisis sera réalisé avec, entre autres, un sous-larmier court :

6 juillet 2015.

Enfin, si la D.R.A.C. l'autorise (mais je ne vois pas pourquoi elle s'y opposerait), les lucarnes seront à capucine, avec une couverture d'ardoises qui devra épouser l'arrondi des linteaux ; il n'est donc pas question de reproduire l'affreux bricolage en zinc sur des frontons droits dont nous avaient gratifiés les prédécesseurs :

6 juillet 2015.

6 juillet 2015.

Retenons également qu'Igor a fini de restaurer l'entre-sablières en haut du mur Nord du colombier.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 9 Juillet 2015
Journal du chantier - Administration - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse
0
Je m'aperçois qu'Igor n'arrive pas à garder le contrôle de la végétation aux abords de la Chaslerie.

Il est beaucoup trop lent et trop soigneux pour ce travail. Dès que je lui demande de désherber un bout d'allée, il y passe une semaine sans arriver à terminer. Idem pour l'entretien des plates-bandes de Carole.

Résultat : l'herbe pousse partout et transforme assez vite les abords en maquis. Lorsque, cette nuit, rentrant de Paris, j'ai descendu l'allée en provenance de la D22, les phares de ma "Duster" ont fait ressortir que nous filons un très mauvais coton.

Il va falloir que je regarde comment mettre en place un "emploi aidé" pour que nous reprenions pied. En effet, je n'ai plus les moyens de supporter le coût d'un second salarié en régime normal, c'est-à-dire aux alentours de 15 € de l'heure, charges incluses. Avec un emploi aidé, je pourrais au mieux abaisser ce coût à 3,50 € de l'heure d'après ce qu'on m'a dit.

Il y a bien sûr des contraintes administratives à respecter et des contreparties à mettre en place mais je suppose que ça vaut la peine d'essayer d'y comprendre quelque chose.
Vendredi soir, Igor a souhaité me parler de sa situation, de ses espoirs de carrière, de sa vie avec Gina, et je l'ai longuement écouté, me bornant à lui redire gentiment que, de mon côté, les curseurs étaient hélas bloqués.

Et puis, la nuit portant conseil, j'ai eu l'idée d'une évolution possible que nous pourrions étudier en bonne intelligence puisque, entre nous, la confiance a toujours été là, jamais atteinte, de sorte que l'on peut réfléchir en toute transparence, en adultes de bonne volonté. Nous allons ainsi rechercher dans quelle mesure et comment Igor pourrait renoncer à son statut de salarié pour devenir un auto-entrepreneur.

De même, parce que je me rends compte que nous n'arrivons plus à contrôler la végétation aux abords de la Chaslerie, je vais me renseigner sur la possibilité de trouver à Pôle Emploi un jeune de qualité, en faveur de qui nous pourrions essayer de bâtir un "emploi d'avenir". Cela supposerait de mettre en place un "groupement d'employeurs", ce qui me semble aisé (et pourrait intéresser des voisins qui auraient également besoin d'assistance pour entretenir leurs propres jardins), et, surtout, de trouver le bon candidat.

Depuis que Franck LIEGEAS a pris la tête du chantier de restauration de la charpente du colombier, il n'y a plus d'incident.

Thierry a recommencé la greffe à l'angle Nord-Ouest des sablières basses. Sans être extraordinaire, le résultat est acceptable :

16 juillet 2015.

Pour le reste, la pose des sur-sablières en "L", destinée à améliorer le coyautage, se révèle délicate car les sablières sont elles-mêmes diversement gondolées :

16 juillet 2015, la sablière Sud.

10 juillet 2015, la sur-sablière Est.

10 juillet 2015, la sur-sablière Sud (remarquez la coupe en

16 juillet 2015, l'angle Sud-Ouest.

Christopher est de retour sur le chantier...

10 juillet 2015.

... où le travail en cours le plus spectaculaire consiste en la pose des lucarnes :

15 juillet 2015.

15 juillet 2015.

A l'occasion de la visite de chantier de lundi prochain, M. MAFFRE aura à préciser à Franck quelle pente il entend donner à la charpente du dessus des lucarnes.

6ème réunion de chantier hier matin à propos de la charpente et de la couverture du colombier.

27 juillet 2015.

Dès hier après-midi, le compte rendu nous en était parvenu :

Je retiens pour ma part que les principales questions examinées ont porté sur la forme finale des lucarnes...

27 juillet 2015.

27 juillet 2015.

27 juillet 2015.

... sur des questions d'étanchéité le long de la cheminée...

27 juillet 2015.

... et sur la finition des tuiles au niveau des terrassons à propos de laquelle la suggestion de Roland BOUSSIN...

27 juillet 2015.

... n'a pas été retenue.

A l'issue de la visite, la jeune classe concernée s'est attachée à obtenir de M. MAFFRE un calendrier pour la suite de ses réflexions sur l'aménagement intérieur de l'aile de la belle-mère. J'en ai fait autant, sans plus de succès à ce stade, à propos de l'étude préalable sur les portes et fenêtres ainsi qu'à propos de ma demande relative à l'aménagement intérieur de la moitié Nord du logis. Enfin, j'ai dit un mot de mon souhait que M. MAFFRE prenne en charge le rétablissement de l'aspect de longère sur la ferme de la Chaslerie.