Pouvoirs publics, élus locaux

Un ami me dit qu'il serait bon de muscler notre compréhension de l'engouement absurde que suscitent les éoliennes chez certains technos et ceux qui vivent de l'air du temps. Il propose de constituer une base de fiches explicitant, en termes clairs, les données du débat (par exemple, quelle est la réalité du réchauffement climatique ? en quoi consistent les accords de Kyoto ?). Il envisage aussi de lancer une sorte de lettre d'informations destinée aux parlementaires et autres faiseurs d'opinion pour recadrer les débats.

Qui se sentirait prêt à contribuer à cet effort ?
Il parait évident que les Préfets anticipent les annulations des SRE depuis l'affaire de la convention AArhus connue le 31 août. Ils jouent donc la carte d'une consultation qui pourrait paraître acceptable pour cette convention.

Pour les ZDE j'étais déjà devenue très pessimiste en considérant que si le rachat était obligatoire en ZDE il n'était pas interdit ailleurs, en fonction de la clause d'exception d'offres de la part d'EDF, offres qui pourraient être négociées n'importe où en accord avec la commission de l'énergie.

N.D.L.R. : Drôle de monde où l'administration officialise des textes qu'elle sait archi-nuls, pour en lancer immédiatement la révision en ouvrant une prétendue consultation dont on ignore tout des modalités...

L'Etat-spectacle continue de plus belle ! J'écris ceci pour ceux qui en douteraient encore. Plus que jamais, nous resterons donc en alerte et prêts à nous mobiliser ! Et, surtout, nous devons demander au préfet de région d'expliciter les règles de la nouvelle consultation et y participer avec une constante attention !
J'ai reçu ce soir un appel téléphonique d'un ami, éminent juriste, qui me signale qu'il va rédiger, en liaison avec certaines associations que j'apprécie particulièrement, un recours contre le S.R.E. bas-normand. Connaissant les qualités intellectuelles et professionnelles du personnage, je me dis que l'affaire est donc dans les meilleures mains.

Mon correspondant m'indique toutefois que son nom n'apparaîtra pas parmi les signataires du recours car il craint des rétorsions de la part de l'administration. Il est peut-être sage de penser ainsi. Quant à moi, je conserve une idée suffisamment haute du service de l'Etat pour assumer le pari que de telles mœurs ne sauraient avoir cours.

J'annonce donc que je signerai ce recours, avec d'autres que j'encourage, nombreux, à en faire autant. Bien entendu, si jamais je sentais que cela se traduit par un frein dans les projets qui me sont chers, comme par exemple la restauration du mur d'escarpe, je ne manquerais pas d'en rendre compte ici.

En fait, je signerai ce recours d'autant plus volontiers que son succès me paraît clairement anticipé par l'administration. Donc j'estime qu'il nous faut, les uns et les autres, nous placer d'ores et déjà dans la perspective des débats ultérieurs qui seront au moins aussi délicats.

P.S. du 19 octobre 2012 vers 5 heures : La nuit portant conseil, je me dis qu'il vaudrait peut-être mieux que je me tienne à l'écart de ce recours, afin de mieux me faire l'écho ici des points de vue des uns et des autres, notamment dans la perspective de la nouvelle concertation annoncée par le préfet de région. Au demeurant, l'"association pour la restauration et l'animation du manoir de la Chaslerie" est au moins aussi bien placée que moi pour ester en justice, elle a déjà montré son intérêt pour le dossier et sa détermination, et je pense qu'elle souhaitera poursuivre dans ce sens. Une nouvelle assemblée générale devrait sans doute être convoquée à ce sujet.
Bonsoir,

Je crois rêver, voyez ceci, vite il faut faire quelque chose.

Bonne soirée !

N.D.L.R. : Pas de panique, please ! Je ne connais pas le dossier, il faut d'abord se renseigner. Ceci dit, on peut s'attendre à ce que les marchands de vent concoctent d'autres reportages de propagande de ce type, mettant en avant d'incontestables avantages financiers immédiats et minorant, bien évidemment, comme dans ce reportage-ci, tous les inconvénients de ces engins, y compris la baisse non moins immédiate de la valeur marchande des habitations du secteur, au détriment de tous les voisins.

Le défaut de ces reportages est qu'ils prennent les gens pour des imbéciles : ça pourrait bien se retourner contre leurs inspirateurs...
Envoi pour information et réaction !!

(début de citation)

Chers amis,

Nos associations qui défendent les paysages et le cadre de vie, ne sont pas, par principe, opposées aux énergies nouvelles.Ceci dit, de récentes initiatives parlementaires risquent d’aboutir à une France totalement défigurée.

Pour respecter l’engagement de la France vis-à-vis de l’Union Européenne de parvenir en 2020 à 25 % d’énergie renouvelable, le gouvernement précédent s’était lancé, sous la pression de divers lobbies regroupés sous le vocable « industriels de l’éolien », dans une fuite en avant éperdue vers l’implantation d’aérogénérateurs de plus en plus hauts et de plus en plus dommageables à nos sites et paysages, ceci sans tenir compte des possibilités offertes par le solaire, la biomasse, l’hydro-électricité.
Quelques règles avaient toutefois été établies pour éviter les erreurs les plus regrettables. Si l’accord définitif sur un projet est donné par le Préfet de département après dépôt d’un permis de construire, le promoteur, pour bénéficier du tarif particulièrement attractif de l’EDF, doit présenter son projet dans le périmètre d’une zone de développement de l’éolien, préalablement établie par les services préfectoraux après concertation notamment avec les élus. De plus chaque projet doit comprendre cinq pylônes pour éviter un mitage excessif. Toutefois la détermination de cette zone qui, trop souvent, ne tenait pas assez compte de l’impact de ces gigantesques pylônes dans des endroits sensibles, donna lieu à des contentieux multiples. Pour remédier à cette situation il fut décidé que les Préfets de région seraient chargés d’intégrer des schémas régionaux de l’éolien dans leurs schémas régionaux du climat, de l’air et de l’énergie. Ces SRE devaient définir quelques zones qui pourraient apparaître comme particulièrement propices à l’installation d’éoliennes.

Le moins que l’on puisse dire c’est que, dans de nombreuses régions, cet exercice a été bâclé aboutissant dans les cas les plus caricaturaux à prévoir que plus de 90% du territoire était favorable à l’éolien. C’est dire que la situation actuelle se caractérisait par un dispositif relativement cohérent et protecteur, même si son application, trop souvent détournée, n’aboutissait pas toujours à des décisions satisfaisantes, loin s’en faut. Fallait-il pour autant, sans la moindre réflexion préalable, sous la pression des lobbys financiers et des « écolos » unis dans le même combat, vouloir tailler dans ces procédures ? Quelques députés dans la séance de nuit du 4 au 5 Octobre ont eu l’audace de répondre par l’affirmative. Prenant prétexte d’un texte « visant à préparer la transition vers un système énergétique sobre » monsieur Denis Baupin, député écologiste, avec l’accord du Gouvernement, a demandé et obtenu la suppression des ZDE et, dans les Dom-Tom, la possibilité d’en implanter dans les territoires littoraux c'est-à-dire partout et de réduire de cinq à trois le nombre de pylônes exigés pour présenter un projet. Les conditions procédurales de dépôt de ces amendements provoquèrent une telle colère des parlementaires que non seulement les membres de l’UMP et de l’UDI, mais encore le représentant communiste monsieur André Chassaigne, quittèrent l’hémicycle.
La commission sénatoriale compétente s’est vue intimer l’ordre d’avoir à délibérer dès le 9 octobre en auditionnant madame Dephine Batho, ministre de l’écologie. Les sénateurs firent sans doute savoir que l’on ne traite pas ainsi la Chambre Haute et l’on décida de reporter l’examen du texte en séance publique à partir du 30 octobre. Ce délai doit être mis à profit pour faire savoir ce que nous pensons du texte.
Le conseil constitutionnel comme nous l’avons rappelé ici même, reconnaît, à peine d’anticonstitutionnalité, que le public doit recevoir une information préalable sur les décisions relatives à son environnement et son cadre de vie par la voie numérique et que l’on doit lui permettre d’exprimer un avis sur le dit projet. Ceci n’a pas été fait. Nous réclamons donc que l’on applique les principes, dont les écologistes sont à l’origine, inscrits dans le préambule de la constitution.

Nous vous suggérons par conséquent d’écrire à votre sénateur (modèle de lettre ci-après) pour lui dire que vous comptez sur lui (ou elle) pour que cette initiative soit enterrée et que l’on ne risque pas, comme l’a dit un parlementaire, de faire de la France un vaste champ de ventilateurs.

Alain de La Bretesche
Président délégué de
Patrimoine-Environnement

Christian Pattyn
Président de la LUR

(fin de citation)

Voici un modèle de lettre :

"Madame la sénatrice
Monsieur le sénateur
J’ai pris connaissance avec indignation des conditions dans lesquelles l’Assemblée nationale a délibéré sur des amendements concernant les règles d’implantation des éoliennes, supprimant en particulier les zones de développement éolien pour permettre une tarification augmentée du prix d’achat de l’électricité produite par les éoliennes dans la totalité des espaces considérés comme favorables par les schémas régionaux éoliens, c’est-à-dire dans les deux tiers au moins de la plupart des régions et réduisant de cinq à trois le nombre exigé de pylônes par projet ce qui entraînera un mitage de notre territoire..
Je compte sur vous pour empêcher que l’on porte ainsi une atteinte irréversible à nos paysages et à notre cadre de vie
Croyez madame, monsieur le sénateur……..

N.D.L.R. : Merci de nous rappeler ainsi d'écrire à nos sénateurs ! Je pense qu'on peut muscler ce courrier et le ferai ce soir en liaison avec notre présidente favorite...
Voici le texte du courrier que Marie-Annick de SAINT MELOIR m'a chargé d'adresser ce soir, au nom de notre association favorite, à Mme Nathalie GOULET et à M. Jean Claude LENOIR, les deux sénateurs de l'Orne :

(début de citation ; il s'agit du texte à M. LENOIR)

Monsieur le sénateur,
 
L' « association pour la restauration, la défense et l'animation du manoir de la Chaslerie » a été créée il y a plus de vingt ans pour « veiller et aider à la conservation et à la sauvegarde du manoir, de ses dépendances et de leurs abords ». Ce manoir, implanté à La Haute Chapelle, est protégé au titre de la législation sur les monuments historiques. Il recevra cette année une moyenne de plus de 100 visites par jour, soit physiquement, soit virtuellement par l'intermédiaire d'un site internet en plein essor et, dans son genre, unique en France pour un monument historique privé (www.chaslerie.fr).

Les membres de l'association ont pris connaissance avec indignation des conditions dans lesquelles l’Assemblée nationale a délibéré sur des amendements concernant les règles d’implantation des éoliennes, supprimant en particulier les zones de développement éolien pour permettre une tarification augmentée du prix d’achat de l’électricité produite par les éoliennes dans la totalité des espaces considérés comme favorables par les schémas régionaux éoliens. Cette situation est d'autant plus inquiétante en Basse-Normandie que le schéma régional éolien répute favorable à l'éolien la quasi-totalité du territoire et ceci alors que la prétendue consultation à laquelle s'est livrée l'administration a été notoirement bâclée.

Compte tenu de la réglementation applicable, il risque donc de s'ériger, un peu partout dans notre région, des engins aussi hauts que des immeubles d'habitation de 25 étages, et ceci sans que les riverains n'en soient avisés avant que l'irréparable n'ait été commis. Cette situation est intolérable en raison de tous les inconvénients connus des éoliennes dont le moindre n'est pas d'entraîner une dépréciation immédiate des habitations voisines.

L'association que j'ai l'honneur de présider compte sur vous pour éviter que l’on porte ainsi une atteinte irréversible à nos paysages et à notre cadre de vie. Elle sera très attentive à la suite que vous voudrez bien donner à ce courrier, notamment par votre vote.

Je vous prie d'agréer, Monsieur le sénateur, l'expression de ma considération la plus distinguée.

Marie-Annick de SAINT MELOIR

(fin de citation)

N.D.L.R. : Il me semble que c'est bien ! Je recommande à tous les visiteurs de notre site favori de s'inspirer de ce texte (notamment en faisant sauter le 1er paragraphe et en adaptant la suite du courrier à leur cas), qu'ils soient basés dans l'Orne, en Basse-Normandie ou ailleurs en France !

Je signale toutefois que notre courrier n'a pas fait mention explicitement d'un autre sujet préoccupant : l'idée de ramener de 5 à 3 le nombre minimal d'éoliennes d'un projet sans perdre le bénéfice du rachat à prix d'ami de l'électricité produite. Il va de soi que cette réforme doit nous mobiliser contre elle. Chacun pourra choisir de le faire valoir dans son courrier à ses sénateurs.

Afin que chacun puisse s'exprimer sans délai, voici les adresses de courriel de ces élus :

p.anot@senat.fr
l.aichi@senat.fr
j.alquier@senat.fr
Jp.amoudry@senat.fr
m.andre@senat.fr
p.andre@senat.fr
s.andreoni@senat.fr
K.ango-ela@senat.fr
m.antiste@senat.fr
je.antoinette@senat.fr
a.anziani@senat.fr
a.archimbaud@senat.fr
J.Arthuis@senat.fr
e.assassi@senat.fr
d.assouline@senat.fr
b.auban@senat.fr
d.bailly@senat.fr
g.bailly@senat.fr
senat.barbiergilbert@wanadoo.fr
p.bas@senat.fr
d.bataille@senat.fr
mariefrance.beaufils@wanadoo.fr
r.beaumont@senat.fr
c.bechu@senat.fr
m.becot@senat.fr
c.belot@senat.fr
e.benbassa@senat.fr
c.berit-débat@senat.fr
senateur.pbr@orange.fr
m.berson@senat.fr
a.bertrand@senat.fr
besson.jean@wanadoo.fr
j.billard@senat.fr
m.billout@senat.fr
j.bizet@senat.fr
mc.blandin@senat.fr
m.blondin@senat.fr
Jm.bockel@senat.fr
n.bonnefoy@senat.fr
p.bordier@senat.fr
y.botrel@senat.fr
n.bouchart@senat.fr
c.bouchoux@senat.fr
c.bourquin@senat.fr
b.bourzai@senat.fr
m.boutant@senat.fr
contact@jean-boyer.com
mt.bruguiere@senat.fr
fn.buffet@senat.fr
jp.caffet@senat.fr
f.calvet@senat.fr
p.camani@senat.fr
c.cambon@senat.fr
cl.campion@senat.fr
jp.cantegrit@senat.fr
V.capo-canellas@senat.fr
jn.cardoux@senat.fr
jean-claude.carle@wanadoo.fr
jl.carrere@wanadoo.fr
f.cartron@senat.fr
l.carvounas@senat.fr
c.cayeux@senat.fr
b.cazeau@senat.fr
p.charon@senat.fr
y.chastan@senat.fr
a.chatillon@senat.fr
jp.chauveau@senat.fr
jp.chevenement@senat.fr
j.chiron@senat.fr
K.claireaux@senat.fr
mp.cleach@senat.fr
l.cohen@senat.fr
c.cointat@senat.fr
y.collin@senat.fr
g.collomb@senat.fr
py.collombat@senat.fr
J.cornano@senat.fr
g.cornu@senat.fr
r.couderc@senat.fr
roland.courteau@senat.fr
jp.courtois@senat.fr
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p.dallier@senat.fr
r.dantec@senat.fr
p.darniche@senat.fr
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m.daunis@senat.fr
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y.krattinger@senat.fr
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j.labbe@senat.fr
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l.negre@senat.fr
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g.patient@senat.fr
f.patriat@senat.fr
p.paul@senat.fr
d.percheron@senat.fr
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marcel.reinaud@gmail.com
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p.schillinger@senat.fr
m.schurch@senat.fr
b.sido@senat.fr
e.sittler@senat.fr
a.soilihi@senat.fr
jp.sueur@senat.fr
Simon.Sutour@orange.fr
h.tandonnet@senat.fr
c.tasca@senat.fr
m.teston@senat.fr
r.teulade@senat.
jm.todeschini@senat.fr
a.trillard@senat.fr
c.troendle@senat.fr
robert.tropeano@orange.fr
f.trucy@senat.fr
r.tuheiava@senat.fr
Alex.turk@wanadoo.fr
r.vall@senat.fr
a.vallini@senat.fr
r.vandierendouck@senat.fr
jm.vaulerenberghe@senat.fr
y.vaugrenard@senat.fr
m.vergoz@senat.fr
r.vestri@senat.fr
jp.vial@senat.fr
m.vincent@senat.fr
d.watrin@senat.fr
r.yung@senat.fr
f.zocchetto@senat.fr

Pour l'Orne, il faut donc écrire à n.goulet@senat.fr et à jc.lenoir@senat.fr
ARTE ose laisser s'exprimer les anti-éoliens... mais, prenant son courage à deux mains, il programme l'émission à une heure de grande écoute : 23h30, demain 23 octobre.

Emission Théma
"Vent et Solaire : deux énergies propres ?"
22h30 : L'énergie du Sahara
23h30 : L'éolien dans la tourmente

Tournages en Normandie, en Picardie et en Allemagne.
Une partie du reportage de Basse-Normandie se déroule à St Pierre d'Arthéglise dans la Manche et à Courvaudon / Bonnemaison dans le Calvados.
Je dispose de trois versions successives imprimées du S.R.E.:
- la première, datée de "XXX 2011" comporte sur sa couverture la mention "VERSION DE TRAVAIL" ;
- la deuxième est datée de juillet 2012 ; c'est celle qui a été soumise à la prétendue consultation ;
- la troisième, datée de septembre 2012, a été approuvée par le préfet de région.

Il va être instructif de comparer ces trois versions. Souhaitez-moi bon courage !
Cher ami,
Je viens de prendre connaissance de ton message.
Je te confirme que c'est un sujet dont je suis en train de m'occuper activement au Sénat, partageant ton point de vue sur les amendements à tous égards bien cavaliers qui ont été adoptés à la hussarde à l'Assemblée nationale.
Je te tiendrai informé.
Amitiés,

Jean Claude LENOIR
Sénateur de l'Orne
AFP : Sénat, le texte sur les tarifs énergie déclaré irrecevable en commission‏

SÉNAT-ÉNERGIE-GAZ-PARTIS-GOUVERNEMENT,LEAD
Sénat: le texte sur les tarifs énergie déclaré irrecevable en commission
23/10/2012 19:22:32 GMT+02:00

PARIS, 23 oct 2012 (AFP) - La proposition de loi PS sur les tarifs progressifs de l'énergie a été déclarée "irrecevable" mardi par la commission sénatoriale chargée de son examen augurant d'une discussion mouvementée le 30 octobre en séance.
Une motion d'irrecevabilité présentée par le groupe communiste a été votée par 20 sénateurs dont l'UMP et les centristes qui ont battu les 19 sénateurs de la majorité gouvernementale PS, EELV, RDSE (à majorité PRG).
Lors de l'examen en séance au Sénat, le 30 octobre, après la discussion générale, cette motion d'irrecevabilité sera présentée au nom de la commission des Affaires économiques et, si un accord n'est pas obtenu d'ici là, elle a de grandes chances d'être adoptée et le texte ainsi rejeté par le Sénat.
La proposition de loi (PPL) du député PS, François Brottes, déjà adoptée par les députés et inscrite en procédure accélérée (une lecture par assemblée), prévoit notamment de créer un bonus-malus sur la facture d'énergie des consommateurs.
Les communistes sont farouchement opposés à ce qu'ils considèrent comme "une rupture d'égalité devant l'accès à l'énergie, sur la base de critères contestables".
Ils ont déjà voté contre cette PPL à l'Assemblée mais au Sénat la majorité étant plus étroite, il suffit que une composante de la gauche en désaccord soit suivie par la droite pour rejeter un texte.
La discussion de la PPL en séance au Sénat a déjà été repoussée du 17 au 30 octobre par le gouvernement à cause de ces désaccords.
"On a assisté à une alliance contre nature, comme ministre et femme de gauche je regrette que le groupe communiste mêle sa voix à celle de la droite pour faire obstacle à des idées nouvelles de justice sociale, d'efficacité écologiste", a regretté auprès de l'AFP la ministre de l'Ecologie, Delphine Batho à l'issue de la réunion où elle était présente.
"Ce texte à vocation à apporter une solution immédiate aux problèmes de précarité énergétique en étendant les tarifs sociaux à 8 millions de Français, en mettant en place une trêve hivernale pour les coupures d'énergie" a-t-elle ajouté.
Mireille Schurch, chef de file du CRC (Communistes) sur ce texte, a déposé en même temps que la proposition d'irrecevabilité une proposition de loi reprenant les points du texte approuvés par son groupe et ne demandant que le retrait du bonus-malus.
Même point de vue de l'UMP. Au nom du groupe Jean Claude Lenoir a jugé que "la seule priorité c'est la précarité énergétique" car "le reste peut attendre". Il a déploré "un texte confus" mettant en place "une véritable usine à gaz" et indiqué que son groupe n'avait pas encore décidé s'il voterait la motion d'irrecevabilité en séance.
Si la motion n'est pas votée le 30 octobre, les sénateurs travailleront sur le texte issu de l'Assemblée nationale et ils pourraient par une nouvelle alliance PCF/droite faire rejeter le bonus-malus et adopter la partie sociale du texte.
"C'est un couac de plus et un vrai gâchis sur le sujet de fond qui est la politique énergétique, c'est aussi la preuve que le gouvernement n'a plus de majorité dans cette assemblée", a souligné le centriste Vincent Capo-Canellas.
Le rapporteur Roland Courteau (PS) a fait part de son dépit, disant se sentir "humilié" après 4 semaines de travail. "Ceux là-mêmes qui critiquaient le texte de l'Assemblée nationale comme inapplicable vont par cette manoeuvre donner la possibilité à l'Assemblée d'imposer ce texte" a-t-il déploré.
szb/mad/sd

Dépêche transmise par la permanence parlementaire de
Jean Claude LENOIR, Sénateur de l'Orne
22, Place du Général de Gaulle
BP 85 - 61400 Mortagne au Perche
tel. 02 33 25 34 62
jeanclaude.lenoir@wanadoo.fr

N.D.L.R. : Cher Jean Claude,
Je me suis permis de retranscrire tes deux courriels, dont je te remercie, sur notre site favori.
L'Assemblée ayant (si mes souvenirs sont bons) le dernier mot, la bataille ne fait que commencer.
Amitiés,
PPF
Voici l'émission d'Arte de la nuit dernière, relative aux éoliennes que nous a signalée Hervé TEXIER.

Tout au long du reportage, l'exemple de l'Allemagne est mis en avant ; on a pourtant connu des expériences venant de ce pays qui devraient pousser à la plus grande circonspection, n'est-ce pas ?
Comme on le sait, j'essaye, depuis un certain temps, de me faire communiquer par la D.R.A.C. de Basse-Normandie l'avis de la commission régionale du patrimoine et des sites (CRPS) relatif au schéma régional éolien, ainsi que, si possible, le compte rendu de la séance de ladite CRPS qui avait l'examen du SRE à son ordre du jour. J'ai reçu, hier, de mon correspondant à la D.R.A.C. le courriel de réponse suivant :

(début de citation)

Monsieur,

Vous demandez la communication du compte rendu et de l'avis de la CRPS concernant le schéma régional éolien (SRE) de Basse-Normandie.
Le SRE de Basse-Normandie a été approuvé par le préfet de région, par arrêté du 28 septembre 2012.
Toutefois, le SRE n'est qu'une partie annexe du projet de schéma régional du climat, de l'air et de l'énergie (SRCAE) de Basse-Normandie, qui n'a pas encore été définitivement approuvé.
Le procès-verbal de la CRPS du 6 septembre dernier, qui a examiné le projet de SRCAE, doit également être approuvé par la prochaine CRPS.
En raison de son caractère de document préparatoire, le procès-verbal de cette commission n'est pas communicable en l'état.

Cordialement.

(fin de citation)

Comme on s'en doute, je n'ai pas manqué de communiquer cette réponse à l'ami en charge de préparer un recours contre le SRE. Voici son appréciation :

(début de citation)

Cher Pierre-Paul,

C'est formaliste mais juridiquement correct.

Bien à toi.

(fin de citation)

Plus courageux que moi, cet ami a déjà commencé à comparer le SRE dans sa version approuvée par le préfet de région au document qui avait été soumis à la prétendue consultation.

Il me dit avoir remarqué les différences suivantes :
- les listes précédentes de communes qui figuraient en fin de document ont été fondues en une seule par département, sans plus faire de différence entre l'éolien réputé "petit" et le grand éolien ;
- un petit nombre de communes a disparu des listes ; il me cite des communes côtières, des communes sur le territoire desquelles sont implantées des cathédrales (y compris Coutances où, me dit-il, le mal est déjà fait dans une commune voisine), et Bagnoles-de-l'Orne ; dans l'Orne, 98 % des communes ont une partie de leur territoire qui, prétendument, "présente des caractéristiques favorables au développement de l'éolien" ;
- les oiseaux et les chauves-souris font les frais de la nouvelle version du SRE, les mentions relatives à la protection des bois et forêts ayant, si j'ai bien compris, disparu ;

Pour le reste, il n'a pas relevé à ce stade de différence entre les deux versions du SRE.
Bonjour,

Bienvenue dans notre Fédération.
Veuillez trouver ci-joint un reçu pour la cotisation 2012 de l'" Association pour la Restauration et l'Animation du Manoir de la Chaslerie " à Vent de Colère , ainsi qu’un reçu (...) pour Monsieur FOURCADE Jean Paul comme Membre Sympathisant.

P.BARBON
Trésorier de VDC

N.D.L.R. : Pierre-Paul, please !
La Z.D.E. de Briouze est annulée !!!

Ci-joint, le jugement du tribunal administratif de Caen lu hier et transmis par Fabien BOUGLE, l'un des demandeurs :

N.D.L.R. : Bravo, Fabien et Claire ! "sans qu'il soit besoin d'examiner les autres moyens"... « Ah ! qu’en termes galants, ces choses-là sont mises ! »

N.D.L.R. 2 (à 19 h 20) : Je viens d'avoir Fabien au téléphone. Il m'indique que mon commentaire précédent est bon. Les choses ne sont pas encore gagnées à Rânes mais ça va venir. Il me demande de transmettre ses amitiés à Hervé TEXIER dont je ferai la connaissance demain après-midi (étant entendu que je me produis sur les planches, non seulement ce soir mais également demain matin. Et je sécherai le spectacle de demain après-midi pour me rendre à la réunion de la FED).