Pouvoirs publics, élus locaux

(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : jeudi 29 février 2024 18:51
À : Soul Bernard <b.soul@villededomfront.fr>
Objet : RE: Domfront et son projet

Très bien. A jeudi !

Bonne soirée !

PPF

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De : Soul Bernard <b.soul@villededomfront.fr>
Envoyé : jeudi 29 février 2024 18:50
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Objet : RE: Domfront et son projet

Bonsoir Monsieur Fourcade,

Je peux vous proposer jeudi prochain à 10H30 en mairie.

Bonne soirée.

Bien cordialement.

Bernard Soul.

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De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : jeudi 29 février 2024 16:46
À : Soul Bernard <b.soul@villededomfront.fr>
Objet : RE: Domfront et son projet

Monsieur le maire,

De quelle semaine parliez-vous ?

J'espère que vous n'êtes pas souffrant.

Cordialement,

PPF

(Fin de citation)
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : jeudi 29 février 2024 10:47
À : FRANCOIS Emmanuelle <Emmanuelle.FRANCOIS@ouest-france.fr>
Objet : Article paru ce jour dans "Ouest-France" à propos du château de Domfront

Chère Madame,

Dans son édition de ce jour, votre journal rend compte des idées de M. Jean-Philippe CORMIER, professeur agrégé de géographie à la retraite, à propos, entre autres, de fouilles ou de travaux à mener sur le château de Domfront ou sur son enceinte, monuments historiques protégés.


Cet article n'est pas signé. Je suppose qu'il émane de votre tout nouveau correspondant local dont j'ignore le nom et les coordonnées, faute de quoi c'est à lui que j'aurais adressé ce courriel.

M. CORMIER y est qualifié à plusieurs reprises d'"historien" en charge de "recherche scientifique et historique", ce qui peut paraître quelque peu audacieux dans le cas d'un "érudit local autoproclamé" manquant à l'évidence, et pour autant que je puisse l'apprécier, de déontologie historique élémentaire ainsi que de compétences juridiques de base et qui, de surcroît, fut condamné de fait pour des fouilles illégales dans l'enceinte du château de Domfront, outre qu'il fut muté d'office par le Rectorat à la suite de voies de fait sur un lycéen placé sous sa garde.

J'imagine que votre tout nouveau correspondant local ignorait ces particularités du dossier, faute de quoi, au lieu d'offrir une si bienveillante tribune à un tel individu, il aurait, du moins le supposé-je, pris un minimum de recul par rapport à des affirmations comme "l'ARCD et son président jugent" ou "l'association s'oppose".

Bien cordialement,

PPF

(Fin de citation)
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : dimanche 3 mars 2024 18:17
À : V.
Objet : Re: Le courage, deux exemples

Il est en effet possible que tous ne soient pas capables de s'élever à ces altitudes. Faut-il pour autant le regretter ?

Envoyé de mon mobile
Envoyé à partir de Outlook pour Android

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De : V.
Envoyé : dimanche, mars 3, 2024 6:10:36 PM
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Objet : Le courage, deux exemples

Cher Pierre Paul, je pense que vous apprécierez cet échange épistolaire reçu aujourd’hui sur ma boite mail, envoyé par une amie….
... deux hommes lumineux de courage et d’élégance dans notre monde médiocre…

Navalny, Sharansky Lettres du goulag

Au printemps 2023, Alexeï Navalny entame une courte correspondance avec le dissident soviétique Natan Sharansky. Les deux hommes, mus par un refus obstiné de la peur, s’amusent et se désespèrent des similitudes entre les systèmes soviétique et poutinien



YANN LEGENDRE
MOSCOU - correspondant
Avant de mourir à 47 ans dans le secret d’une prison de l’Arctique, le 16 février, Alexeï Navalny fut un lecteur passionné. Il n’a cessé de parler de ses lectures à ses correspondants en liberté. Il s’autorisait même, sur ce seul sujet, des plaintes : à l’isolement disciplinaire, où il passa une bonne partie de sa détention, le règlement ne l’autorisait à emmener qu’un seul livre, quand il en dévorait le reste du temps une dizaine à la fois.
A l’un de ces correspondants, il a aussi confié son intérêt nouveau pour les essais politiques et les Mémoires, sa curiosité intacte pour les affaires du monde. Jusqu’au bout, Alexeï Navalny a cru en son combat politique, persuadé que la prison ne constituait qu’une étape dans son parcours et sa formation.
C’est précisément la lecture du livre de Natan Sharansky Fear No Evil (Random House, 1988 [traduit en français la même année et publié chez Grasset sous le titre Tu ne craindras point le mal]) qui a poussé Alexeï Navalny à engager une courte correspondance avec l’ancien dissident soviétique installé en Israël. « Je crois que c’est une chose permise entre un auteur et son lecteur », écrit l’opposant dans un courrier daté du 3 avril 2023.
Jeu de miroirs
S’ils sont soumis à la censure, ces échanges sont fluides, grâce au système de correspondance numérisée mis en place dans certains lieux de détention russes – héritage des timides réformes libérales du début des années 2010, baptisé Zonatelecom, la « zone » évoquant en russe le monde de la prison.
Tu ne craindras point le mal, le titre du livre de Sharansky, dit assez la proximité entre les deux hommes, quand Navalny a fait de cette proclamation une ligne de conduite autant qu’un programme politique. Sharansky l’a écrit entre 1986 et 1988, date de sa première publication en anglais, après avoir passé neuf années dans les geôles soviétiques.
L’homme est alors encore connu sous le nom d’Anatoli Chtcharanski. Il est un proche du physicien et dissident Andreï Sakharov, Prix Nobel de la paix en 1975. Il est surtout la figure centrale du mouvement des refuzniks, ces juifs soviétiques dont la vie en URSS était rendue impossible le temps que leur demande d’émigration en Israël soit étudiée, ou après le refus de celle-ci.
Lui-même émigrera en 1986 en Israël, où il hébraïsera son nom. Il occupera plusieurs postes ministériels avant de prendre, entre 2009 et 2018, la tête de l’Agence juive, organe gouvernemental chargé de l’immigration juive. Le rappel de cette kippa bricolée dans la prison de Tchistopol, au Tatarstan, que l’homme de 76 ans continue de porter, montre qu’une partie de son cœur est restée en Europe, ou au moins dans les prisons soviétiques – son « alma mater », écrit-il, dans un clin d’œil qui ravit Alexeï Navalny.
Les deux hommes s’amusent autant qu’ils se désespèrent de ce jeu de miroirs entre les époques, des innombrables similitudes entre les systèmes soviétique et poutinien – des plus lourdes aux plus mesquines. Ils se réchauffent de leur admiration mutuelle, de se découvrir tant en commun, à commencer par le refus obstiné de la peur. Instinctivement, même à des décennies et des milliers de kilomètres de distance, l’opposant à Vladimir Poutine de 1,88 m et le vieux dissident soviétique de 1,59 m se tiennent épaule contre épaule.
Navalny s’attend même à se voir transférer à la prison centrale de Vladimir, où Sharansky fut un temps détenu. La prédiction ne se réalisera pas. C’est finalement dans le Grand Nord que l’opposant sera envoyé « faire travailler son âme » et voir mourir son corps. L’échange a été bref – une simple conversation de promenade, un morceau de littérature carcérale laissé aux futures générations de prisonniers.
Les lettres qui suivent ont d’abord été publiées sur le site The Free Press.
TRADUIT DE L’ANGLAIS PAR VALENTINE MORIZOT ET DU RUSSE PAR NIKITA MOURAVIEFFCt

Alexeï Navalny Le virus de la liberté est loin d’être éradiqué
« Cher Natan,
C’est Alexeï Navalny, qui vous salue depuis l’oblast de Vladimir – même si je doute que vous en gardiez de chaleureux souvenirs.
Je me trouve actuellement dans la colonie pénitentiaire numéro 6, à Melekhovo, mais la prison de Vladimir m’écrit qu’une cellule est en train d’être préparée pour moi. Je vais donc probablement être transféré dans le même établissement que celui où vous avez été. Peut-être y aura-t-il une plaque disant “Natan Sharansky a été détenu ici”. Je vous prie de pardonner cette intrusion et cette lettre d’un inconnu, mais je crois que c’est une chose permise entre un auteur et son lecteur.
Je vous écris en effet en tant que lecteur. Je viens de lire votre livre, Tu ne craindras point le mal [Grasset, 1988], alors que j’étais au PKT [cellule disciplinaire]. A présent, je vous écris du ShIZO [cellule d’isolement punitif, l’équivalent du “mitard”] – j’y aurai passé cent vingt-huit jours au total ! Et j’ai ri à la lecture de ce passage : “On m’a puni en m’envoyant quinze jours au ShIZO, puis, comme j’avais enfreint les règles de la prison, on m’a envoyé pour six mois au PKT.” Ce qui m’a amusé, c’est que ni l’essence du système ni ses méthodes n’ont changé.
Je tiens à vous remercier pour cet ouvrage qui m’a beaucoup aidé et m’aide encore. Oui, je suis actuellement au ShIZO, mais j’ai lu que vous aviez passé 400 jours en “cellule disciplinaire”, avec des rations alimentaires réduites, et j’ai compris que certaines personnes payaient un prix bien plus élevé encore pour leurs convictions.
Je regarde la photo de la carte postale que vous envoyait Avital [la femme de Sharansky], dont tous les mots sont barrés [par la censure]. Je suis allé ensuite au tribunal où on essaie de me convaincre que brûler les lettres qui me sont adressées est légal, car elles contiennent un “message codé”.
J’ai conscience de ne pas être le premier, mais j’espère vivement être le dernier, ou du moins un des derniers, à devoir endurer tout cela.
Votre livre donne de l’espoir parce que la similitude entre les deux systèmes – celui de l’Union soviétique et celui de la Russie de Poutine –, leur ressemblance idéologique, leur hypocrisie comme fondement du régime, et leur continuité garantissent une chute aussi inévitable que celle à laquelle nous avons assisté.
L’essentiel est de tirer les bonnes leçons pour éviter que cet Etat de mensonge et d’hypocrisie ne recommence. Dans la préface de l’édition de 1991, vous écrivez que les dissidents politiques emprisonnés conservent “le virus de la liberté” et qu’il est important d’empêcher le KGB d’inventer un vaccin contre ce virus. Hélas, ils ont inventé ce vaccin. Pourtant, dans la situation actuelle, ce ne sont pas eux qui sont à blâmer, mais nous, nous qui pensions naïvement qu’il n’y aurait pas de retour en arrière possible. Et que, pour de bonnes causes, on pouvait truquer un brin les élections ici, influencer un peu les tribunaux là, étouffer un tantinet la presse, ailleurs.
Toutes ces petites choses, et la croyance qu’il est possible de moderniser l’autoritarisme, sont les ingrédients de ce vaccin.
Malgré tout, le “virus de la liberté” est loin d’être éradiqué. Ce ne sont plus des dizaines ou des centaines, comme autrefois, mais des dizaines et des centaines de milliers d’individus qui n’ont plus peur de se lever pour la liberté et contre la guerre, malgré les menaces auxquelles ils s’exposent. Des centaines d’entre eux se trouvent en prison, mais je suis persuadé qu’ils ne se laisseront pas briser et ne renonceront pas.
Beaucoup d’entre eux puisent de la force et de l’inspiration dans votre histoire et votre héritage.
Je suis certainement l’un d’eux.
Je vous remercie.
J’ai recopié, pour moi-même, ces mots de votre livre : “L’Shana Haba’ah B’Yerushalayim.”[L’an prochain à Jérusalem]
Bien à vous,
Alexeï,
3 avril 2023. »

Natan Sharansky Vous n’êtes pas un simple dissident – vous êtes un dissident « avec du style »
« Mon cher et très respecté Alexeï,
J’ai été bouleversé en recevant votre lettre. La seule pensée qu’elle vient directement du ShIZO [cellule d’isolement punitif], où vous avez déjà passé cent vingt-huit jours, me bouleverse – comme un vieil homme serait bouleversé en recevant une lettre de son “alma mater”, l’université où il a passé les années de sa jeunesse.
Je vais vous faire une réponse non seulement d’auteur à son lecteur, mais aussi d’admirateur.
Voici, d’abord, ma réponse d’auteur : lors de la rédaction de mon livre Fear No Evil[Random House, 1988, traduit en français la même année et publié chez Grasset sous le titre Tu ne craindras point le mal] juste après ma libération en février 1986, presque tous mes amis et compagnons d’armes étaient soit au goulag, soit en lutte. J’ai conçu ce livre non seulement comme une autobiographie, mais aussi comme une sorte de guide ou de manuel pour tenir face au KGB. Mais, au moment où il a été publié en russe, l’URSS était déjà en train de s’effondrer. Aussi, au fil des ans, ce livre a été de plus en plus considéré comme un roman historique sur un âge obscur. Mais aujourd’hui, “le rêve de l’idiot s’est réalisé !”.
Ce fut d’abord Vladimir Kara-Mourza [opposant condamné le 17 avril 2023 à vingt-cinq ans de colonie pénitentiaire]. Et à présent, c’est vous qui m’écrivez pour me dire que ce livre “fonctionne” dans une prison russe d’aujourd’hui. A quelque chose mon malheur est bon.
A présent, voici ma réponse d’admirateur : Alexeï, vous n’êtes pas un simple dissident – vous êtes un dissident “avec du style”. L’horreur que m’a inspirée votre empoisonnement s’est muée en stupéfaction et même en admiration lorsque vous avez mené votre propre enquête.
Au lendemain de votre retour en Russie, un correspondant européen posait cette question, qui m’a profondément mis en colère : “Pourquoi y est-il retourné ? Tout le monde savait qu’il allait se faire arrêter à l’aéroport – ne comprend-il donc pas une chose si évidente ?” J’ai eu cette réponse assez brutale : “C’est vous qui ne comprenez rien. Si vous croyez que son but est de survivre, alors vous avez raison. Mais ce qui le préoccupe véritablement, c’est le sort de son peuple, et en retournant en Russie, il lui dit : « Je n’ai pas peur, et vous non plus, vous ne devez pas avoir peur. »”
Je vous souhaite – aussi dure que la détention puisse être physiquement – de conserver votre liberté intérieure.
En prison, j’ai découvert que, outre la loi de la gravitation universelle des particules, il existe aussi une loi universelle de la gravitation des âmes. En restant un homme libre en prison, Alexeï, vous touchez l’âme de millions de personnes dans le monde.
Alexeï, c’est vraiment triste que le passé puisse revenir aussi rapidement et aussi facilement. Après la chute de l’URSS, Vladimir Boukovski a appelé à juger le communisme devant un tribunal. Mais rares étaient ceux à soutenir cette idée. Après tout, le monde libre avait vaincu “sans qu’une seule balle ne soit tirée”. Alors pourquoi remuer le passé ?
J’espère qu’à présent, après que tous ces coups de feu ont été tirés, il est évident que ce procès était à l’époque nécessaire, et qu’il le sera demain.
D’ailleurs, je vous écris la veille de Pessah [la Pâque juive] – qui commémore la libération des juifs de l’esclavage d’Egypte, il y a 3 500 ans. Ce fut le commencement de notre liberté et de notre histoire en tant que peuple. Ce soir-là, les juifs du monde entier se réunissent autour d’une table et lisent ces mots : “Aujourd’hui, nous sommes des esclaves ; demain, nous serons libres. Aujourd’hui, nous sommes ici ; l’an prochain, à Jérusalem.”
Ce jour-là, je serai assis devant le repas de Pessah portant une kippa qui a été fabriquée il y a quarante ans avec ma portianka [bande de tissu remplaçant des chaussettes] par mon compagnon de cellule – un détenu ukrainien de la prison de Tchistopol. Voilà comme tout dans ce monde est lié ! Je vous souhaite, à vous Alexeï ainsi qu’à toute la Russie, un Exode le plus rapide possible.
Je vous embrasse,
Natan Sharansky
Jérusalem, 3 avril 2023 »

Alexeï Navalny Un jour, en Russie, il n’y aura plus ce qui a été
« Cher Natan,
Je vous envoie juste une petite note pour vous remercier infiniment de votre réponse.
J’ai été touché au point de devoir cacher mes larmes à mon compagnon de cellule. Et c’est la deuxième fois que vous me jouez ce tour ! A la dernière page de Fear No Evil [Random House, 1988, traduit en français la même année et publié chez Grasset sous le titre Tu ne craindras point le mal], lorsque vous écrivez “Pardonne ce léger retard”, il est bien évidemment impossible de retenir ses larmes.
Dans votre “alma mater”, tout est comme avant. Les traditions se perpétuent. Vendredi soir, j’ai été libéré du ShIZO [cellule d’isolement punitif] ; aujourd’hui lundi, j’en prends pour quinze jours de plus. Tout se déroule suivant l’Ecclésiaste : “Ce qui a été, c’est ce qui sera” [Ecclésiaste 1, 9].
Pourtant, je continue de croire que nous changerons les choses et, qu’un jour, en Russie, il y aura ce qui n’a pas été et qu’il n’y aura plus ce qui a été.
Et en fin de compte, où passer la semaine sainte si ce n’est au ShIZO ?
Encore un immense merci.
Je vous embrasse, f
A.
11 avril 2023 »

Natan Sharansky Vous êtes aujourd’hui plus libre que beaucoup, mais je sais que vous payez cher cette liberté
« Cher Alexeï,
Voici un petit mot en réponse à votre mot. Il est important que les liens entre les hommes et les mondes ne soient pas coupés. Je ne peux dire entre le monde libre et le monde non libre, car vous êtes aujourd’hui plus libre que beaucoup (si ce n’est que la majorité des gens) dans ces deux parties du monde. Mais je sais que vous payez cher cette liberté – de votre santé, de l’inquiétude de votre famille et, en fin de compte, de votre vie.
Je possédais certains avantages par rapport à vous. Moi qui mesure 1,59 mètre, j’avais les mêmes rations de nourriture que les vôtres. En cellule disciplinaire, les manches de ma veste tombaient suffisamment bas pour me tenir chaud, alors qu’elles ne vous arrivent probablement qu’aux coudes.
Mais, au moins, vous recevez ces lettres, et, plus que tout, vous partagez ce que vous vivez en temps réel.
Un jour, un poète russe [Nikolaï Zabolotski (1903-1958)] écrivit : « Ne laisse pas ton âme être paresseuse, évite de battre l’eau avec un bâton, l’âme doit travailler, jour et nuit, jour et nuit. » En Russie, cela paraît difficile, mais vous, vous le faites sans effort.
A en juger par le temps que vous avez déjà passé au ShIZO [cellule d’isolement punitif], vous allez bientôt battre tous mes records. Mais j’espère que vous n’y parviendrez pas.
Je vous embrasse,
Natan
17 avril 2023,
Jérusalem »

(Fin de citation)
Réunis en Congrès, députés et sénateurs votent à une majorité écrasante l’inscription de l’IVG dans la Constitution



N.D.L.R. : Je passerai pour un vieux con mais on ne m'empêchera pas de penser et de dire que, dans la France de 2024, il y a d'autres priorités pour le Législateur que ce matraquage en règle qui m'apparaît au mieux comme une diversion.


Non, vraiment, ce monde n'est plus le mien.
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mardi 5 mars 2024 14:42
À : PVMD <pvmd61700@gmail.com>
Objet : RE: Demande d'adhésion de l'association "Domfront-Patrimoine au Carré"

Bonjour !

Y a-t-il une raison que vous puissiez exprimer à l'exclusion des associations ? Je veux dire une raison de fond.

Je serais intéressé de la connaître.

Cordialement,

PPF

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De : PVMD <pvmd61700@gmail.com>
Envoyé : mardi 5 mars 2024 14:40
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Objet : Re: Demande d'adhésion de l'association "Domfront-Patrimoine au Carré"

Bonjour,

Comme nous vous l'avions indiqué, vous êtes sur notre liste de contact et vous serez informé de notre évolution par mail.
Vous comprendrez aisément que nous ne pouvons accepter d'adhésion sans validation de nos statuts et sans compte bancaire.
Nous pouvons depuis ce jour recevoir votre demande, cependant notre association n'accepte que les adhésions de personnes physiques.

Cordialement,

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Le lun. 4 mars 2024 à 15:28, Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com> a écrit :

Bonjour !

Où en êtes-vous de votre réponse à cette demande d'adhésion qui date de plus de dix semaines ?

Cordialement,

PPF

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De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : vendredi 15 décembre 2023 11:26
À : PVMD61700@GMAIL.COM <PVMD61700@GMAIL.COM>
Objet : Demande d'adhésion de l'association "Domfront-Patrimoine au Carré"

Mesdames et Messieurs,

Je vous prie de trouver ci-joint la demande d'adhésion à votre association de l'association "Domfront-Patrimoine au Carré" dont vous je vous transmets également les statuts.

J'espère de nous pourrons coopérer utilement et suis à votre disposition pour vous fournir tout renseignement complémentaire que vous pourriez souhaiter.

De mon côté j'aurais besoin des statuts de votre association.

Cordialement,

Pierre-Paul FOURCADE
Président de "Domfront-Patrimoine au Carré"

(Fin de citation)
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mardi 5 mars 2024 18:22
À : Xavier MEYER
Cc : arnaudpaquin architecte <arnaudpaquin.architecte@gmail.com>
Objet : Chaslerie - Etude de diagnostic d'ensemble

Cher Xavier,

Pour la prochaine réunion de chantier, Arnaud PAQUIN propose soit le lundi 18 mars dans l'après-midi, soit le mardi 19 au matin.

Que préférez-vous ?
Tout me va.

Arnaud PAQUIN pense pouvoir nous transmettre une nouvelle mouture avant ce rendez-vous.

Amicalement,

PPF

(Fin de citation)
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Le 21 février 2024, l’État a annulé par décret* 10 milliards d’euros d’autorisations d’engagement (AE) et 10,176 milliards d’euros en crédits de paiement (CP) sur ce qui avait été voté dans la loi de finances pour 2024.

Comme décrit dans l’annexe du décret, cela se traduit pour la mission culture, et le programme 175 Patrimoines, par une annulation de 99 540 106 millions en AE (même montant en CP).

Pour rappel le programme 175 est constitué de 6 actions (Consulter l’actualité « Budget de la culture 2024 » du 3 octobre 2024) et il est impossible à ce stade de prévoir dans quelle mesure cette annulation va impacter lourdement ou non l’action 01 consacrée aux monuments historiques et patrimoine monumental (la mieux dotée du programme 175) et donc les subventions affectées à la restauration et l’entretien des monuments historiques privés. La Demeure Historique reste en alerte sur le sujet.

* L’article 14 de la loi organique n°2001-692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances autorise le gouvernement à annuler jusqu’à 1,5 % des crédits ouverts en LOLF
J'ai été reçu ce matin à ma demande et pendant 40 minutes par Bernard SOUL, maire de Domfront en Poiraie. Comme j'étais arrivé un peu en avance, il m'avait fait attendre dans la pièce des conseillers municipaux où il m'a rejoint, flanqué de l'inévitable Bernard DAVY, donnant ainsi, une fois de plus, l'impression d'avoir toujours besoin d'être chaperonné de la sorte quand il s'agit du "projet MORIN".

J'ai expliqué avoir constaté son refus de répondre à la demande de communication de documents administratifs que j'avais formulée à titre individuel à l'automne. Les turbulences liées à la fin de "Domfront-Patrimoine" n'ayant pas permis de relayer cette demande ainsi que cela aurait été normal, j'ai pris l'initiative de créer "Domfront-Patrimoine au Carré" pour essayer de dégager la municipalité de Domfront en Poiraie de l'ornière où elle s'était enfoncée. J'ai rappelé que cette création doit se comprendre comme une "main tendue" mais ajouté que j'ai le regret de constater que la demande formelle du 17 janvier dernier n'a donné lieu, dans le délai légal, à aucune communication de documents administratifs de nature à rendre possible un dialogue utile, ce qui apparaît à tout le moins fâcheux.

Le maire a répondu que la demande portait sur trop de documents, qu'il n'a pas de collaborateur disponible pour rechercher les pièces du dossier et qu'en tout état de cause, les services en charge du contrôle de la légalité n'y ont rien vu à reprendre, de sorte que je devrais me contenter des procès-verbaux des séances du conseil municipal. Il m'a reproché de ne pas respecter les élus, ce sur quoi a cru utile d'insister M. DAVY, oublieux à l'évidence de ses appréciations grossières et malveillantes à mon sujet, actées par ses propres écrits.

J'ai évoqué la très mauvaise qualité de rédaction des procès-verbaux des séances de conseil municipal de Domfront en Poiraie. Je l'ai explicitée à titre d'exemple à propos des "ponts du château". J'ai déclaré que le manque de rigueur intellectuelle et de méthode du rédacteur manifestement incontrôlé rend impossible de s'y retrouver, ce qui est particulièrement fâcheux dans la mesure où cela empêche la bonne information des Domfrontais à propos d'un dossier aussi capital que le "projet MORIN" et alors que le maire n'y ajoute que de rares déclarations dans la presse locale, souvent lacunaires quand elles ne sont pas carrément incompréhensibles.

J'ai dit que, si mes interlocuteurs s'en tenaient à leur thèse du caractère suffisant d'une information des Domfrontais au moyen de procès-verbaux aussi bâclés, la réunion devenait sans objet, ce qui paraissait d'autant plus curieux que Mme Martine SAVARY, secrétaire des élus, m'avait écrit, le 4 janvier dernier et sans que le maire ni M. DAVY, pourtant en copie, ne se soient inscrits en faux, que "Après renseignements auprès de la CADA (Commission d'Accès aux Documents Administratifs), le droit d'accès s'applique à tous les documents, quels qu'en soient la forme et le support que produisent les autorités administratives, mais aussi aux documents qu'elles reçoivent des personnes privées".

La lecture de ce texte a semblé ébranler mes interlocuteurs que je n'ai pas voulu accabler en exploitant inconsidérément mon avantage, ce qui m'a conduit à proposer qu'ils mettent à ma disposition, sans trop attendre, les six pièces que j'avais réclamées le 17 janvier dernier à propos d'une certaine délibération du 18 décembre 2018. J'ai ajouté que, lorsque j'aurais pu étudier ces premières pièces, j'aurais peut-être d'autres questions à poser à leur sujet, après quoi nous pourrions en tout état de cause passer à la séance suivante du conseil municipal où il fut de nouveau question du "projet MORIN".

MM. SOUL et DAVY m'ont alors déclaré que la première pièce ainsi réclamée par "Domfront-Patrimoine au Carré" étant "Le dossier de l'appel d'offres ayant permis de sélectionner le cabinet "In Extenso TCH"", je devais savoir que rien, en la matière, n'avait été fait sans suivre "les nombreux conseils très précis des services de la Région" (sic). J'ai répondu que "Domfront-Patrimoine au Carré" a pour objet, non de juger, mais de se mettre en position de dialoguer utilement avec les élus après que l'étude préalable des réalités du terrain à laquelle aurait dû procéder le cabinet "In Extenso" avant d'avancer n'importe quelles recommandations a été manifestement bâclée, par exemple par omission inacceptable d'y associer des acteurs de terrain parmi les plus engagés sur le sujet.

Je passe ici sur les autres aspects de la discussion que j'ajouterai toutefois à ce compte rendu s'ils me reviennent.

P.S. (du 8 mars 2024 à 6 heures) : Alors que je mettais en doute le caractère réaliste de faire passer la fréquentation touristique de Domfront de 20 ou 30 000 visiteurs par an aux 150 000 auxquels la municipalité rêve, mes interlocuteurs ont répondu qu'à Sainte-Suzanne, site voisin mais mieux conservé, ils ont bien réussi à faire passer le nombre annuel de leurs visiteurs de 100 000 à 300 000 en peu de temps. J'ai indiqué que ces estimations me semblent hautement fantaisistes. En effet, le jour où, avec "Domfront-Patrimoine" qui, à l'époque, travaillait encore, j'ai visité Sainte-Suzanne, il n'y avait pas grand monde sur place.

A un autre moment de l'entretien, mes interlocuteurs ont prétendu que "Domfront-Patrimoine au Carré" agiterait le secteur au détriment du "projet MORIN". Je n'ai pas estimé utile de répondre à un tel procès d'intention, préférant m'en tenir aux faits qui sont suffisamment éloquents en l'état du dossier et depuis plus de six ans que celui-ci demeure opaque en dépit des règles élémentaires de bonne gouvernance (ceci, c'est moi qui le rajoute à l'instant afin qu'il n'y ait pas de méprise sur l'état d'esprit volontairement constructif de "Domfront-Patrimoine au Carré", toujours désireuse que sa "main tendue" soit enfin saisie par ceux qu'elle souhaite aider à se dépatouiller utilement de l'ornière présente).
Je m'étais inscrit pour participer à l'assemblée générale annuelle des "Amis de Médavy" qui se tenait hier après-midi. Je considère en effet que, pour quelqu'un qui comme moi veille à l'ouverture de son monument au public, il y a toujours à apprendre de "collègues" qui réussissent particulièrement bien dans cet exercice.

Mais, problème, je connais mal le secteur de Médavy et y éprouve toujours des difficultés à trouver ma route. J'avais donc enclenché mon G.P.S. "Waze" en tapant "Médavy", ce qui m'a amené à un lieu-dit dénommé "Médavy" qui n'a rien à voir avec le château recherché. Et le G.P.S. s'est alors mis à m'indiquer des chemins bizarres qui étaient autant d'impasses, ce qui m'aurait fait arriver trop tard.

J'ai donc choisi de rebrousser chemin, ce qui m'a fait passer par Carrouges où j'ai eu l'idée de faire étape pour rencontrer les agents du "parc naturel régional Normandie-Maine". Accueil sympathique dans de beaux locaux, ils situent désormais l'A.D.D.O.O.E. et avaient d'ailleurs noté et apprécié sa contribution à l'amélioration de la reconnaissance et de la prise en compte des chartes des parcs naturels régionaux par les pouvoirs publics.
Fédération Environnement Durable
rédigé le Samedi 9 Mars 2024
Vie des associations - A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux
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Conseil d'État : Annulation historique des autorisations éoliennes, impact crucial sur l'avenir énergétique français

Le Conseil d'État a rendu le 8 mars une décision historique en rendant illégales les autorisations pour les éoliennes terrestres et les règles de renouvellement des parcs. Cette décision fait suite à une requête introduite par la Fédération Environnement Durable et quinze associations2.

Le Conseil d'État a annulé l'ensemble des dispositions concernant les trois versions successives du protocole de mesure de nuisances sonores censé protéger la santé des riverains. Cette décision concerne non seulement les autorisations et les projets en cours, mais pourrait également remettre en cause les parcs éoliens existants.

Conséquences:

Projets en instruction ou autorisés non encore construits: Ces projets doivent impérativement refaire une évaluation environnementale complète.
Parcs éoliens existants: Tous les parcs éoliens construits sur la base des arrêtés désormais illégaux ne devraient normalement plus être autorisés à fonctionner en l'état.

Motifs de l'annulation:

Absence d'évaluation environnementale: Le Conseil d'État a relevé que les arrêtés ministériels de mesure de bruit n'ont pas fait l'objet d'une évaluation environnementale, ce qui constitue une violation de la loi.
Manque de participation du public: Le Conseil d'État a également souligné que les décisions d'approbation du protocole acoustique n'ont pas été soumises à la participation du public, enfreignant ainsi les principes de participation et de transparence.

Reactions:

Associations environnementales: Les associations environnementales saluent la décision du Conseil d'État, la qualifiant de victoire majeure pour la protection de l'environnement, la santé des riverains et le respect des lois. Elles pointent du doigt le non-respect systématique de ces lois par les pouvoirs publics, dont l'objectif unique était d'imposer l'installation d'éoliennes de plus en plus rejetées par la population, notamment rurale.
État: L'État a été condamné à verser des indemnités aux associations requérantes.

Impact sur l'avenir énergétique français:
La décision du Conseil d'État aura un impact crucial sur l'avenir énergétique français. Le développement de l'énergie éolienne terrestre se trouve désormais freiné, en attendant la mise en place de nouvelles autorisations et règles conformes à la loi. Cette décision soulève également des questions quant à la viabilité des projets en cours et à l'avenir des parcs éoliens existants.

Contact presse
Fédération Environnement Durable
Jean-Louis Butré
contact@environnementdurable.net
tel : 06 80 99 38 08
ttps://environnementdurable.org
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 12 Mars 2024
Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Anecdotes
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Nous connaissions déjà la prose des gabelous de Domfront, puis d'Argentan, puis d'Alençon, ces deux derniers mal coordonnés d'ailleurs.

Comme si cela ne suffisait pas, voici que ceux de Flers s'en mêlent.

Au courrier ce jour :


Réclamer plus de 2 000 € de taxe d'habitation pour une résidence secondaire de 65 m2 habitables, il fallait oser le faire.

Eh bien, ils l'ont osé !

Même pas en rêve !
Je leur promets une réponse gratinée à ma façon.

P.S. (du 13 mars 2024 à 8 heures 15) : Je viens de retrouver la réponse du 30 novembre dernier, signée par Xavier MEYER et Philippe DURAND, au fisc qui prétendait mettre exactement les mêmes sommes, 1491 et 514 € à la charge de "La SVAADE" au titre de la taxe d'habitation de 2023.

Apparemment, les gabelous, prenant acte de leur échec face à "La SVAADE", ont estimé malin de se retourner vers moi en écrivant n'importe quoi.

Je recherche à ce stade les preuves que je leur avais, de mémoire par lettre recommandée, demandé un rendez-vous pour remettre au carré leurs bases d'imposition, lettre à laquelle ils n'ont jamais répondu utilement. Suite à quoi, je devrais pouvoir les moucher d'une façon à leur arracher le nez.

Après la réforme démagogique (exonération de la taxe d'habitation pour les résidences principales) qui a aidé le Jupiter-de-mes-deux à se faire élire la première fois, on ne va quand même pas se laisser bourrer indéfiniment le mou par ce charlot et les fonctionnaires qu'avec ses gouvernements de branques il est manifestement incapable de diriger depuis trop longtemps !
Pour lancer le roman "Le Testament du Chevalier", écrit par Arnaud Delalande (chez Robert Laffont) et qui a pour cadre le Domfrontais médiéval, la Région, la ville de Domfront et l'Office de Tourisme se sont associés pour une journée festive libre et ouverte à tous avec des propositions inédites :
- Village d'artisans de 10h à 18h
- Reconstitution théâtrale vers 10h30 suivie de la parade costumée et musicale dans la ville
- Inauguration à 12h en présence de l'auteur
- Sur le temps du midi, food-trucks et sous la tente, des pièces de théâtre, des poèmes, des déclamations médiévales !
- Salon du livre de 13h30 à 18h30
- Théâtre de rue "Les Misérables" à 15h
- Des concerts impromptus par De Caelis dans l'après-midi
- Table ronde "en quête d'histoire, enquête d'histoire" à 17h30
- Bal littéraire à 20h30
- Projections sur le donjon à partir de 21h30

N.D.L.R. : Je serai absent à l'heure de l'inauguration car retenu pour un examen par IRM à Flers, je ne sais même plus pourquoi. Peut-être pour ma cabasse qui s'déglingue ?

N.D.L.R. 2 (du 13 mars 2024 à 18 heures) : Le message relayé par "Facebook" n'était pas des plus clairs. Il fallait en effet lire 13 avril et non 13 mars.

Bref je me suis déplacé un mois trop tôt...

On me dit toutefois que le bouquin devrait sortir le 28 mars prochain.

A titre secondaire, R.A.S. après l'IRM. "Tout est bon dans l'cochon !" (air connu).
«A-t-on le droit de critiquer le choix d’Aya Nakamura sans être taxé de raciste? »

N.D.L.R. : Je partage pleinement les points de vue exprimés dans cet article.

J'avoue avoir été un peu gêné lorsque Jean DUJARDIN avait pédalé dans je ne sais plus quel stade en tenue franchouillarde.

Qu'Amélie OUDEA-CASTERA, la nouvelle pintade (après Ségolène ROYAL) ait cru devoir défendre cette chanteuse en fredonnant "Djadja" donne une nouvelle idée de la courtisanerie dans laquelle se complaît le Jupiter-de-mes-deux.

Lisons en effet les paroles de "Djadja" :

Aya Nakamura, oh yeah

Hello papi, mais qué pasa? (Mais qué pasa?)
J'entends des bails atroces sur moi
À c'qu'il paraît, j'te cours après? (Oh yeah, yeah, yeah)
Mais ça va pas? mais t'es taré, oh ouais
Mais comment ça, le monde est tit-pe? (Eh)
Tu croyais quoi, qu'on s'verrait plus jamais?
J'pourrais t'afficher mais c'est pas mon délire
D'après les rumeurs, tu m'as eue dans ton lit

Oh, Djadja
Y a pas moyen, Djadja
J'suis pas ta catin, Djadja, genre, en catchana baby, tu dead ça
Oh, Djadja
Y a pas moyen, Djadja

J'suis pas ta catin, Djadja, genre, en catchana baby, tu dead ça
Tu penses à moi, j'pense à faire de l'argent
J'suis pas ta daronne, j'te ferai pas la morale
Tu parles sur moi, y a R
Crache encore, y a R
Tu voulais m'avoir, tu savais pas comment faire
Tu jouais un rôle, tu finiras aux enfers
"T'façon, Nakamura, je l'ai couchée"
Le jour où on se croise, faut pas tchouffer
Tu jouais le grand frère pour me salir
Tu cherches des problèmes sans faire exprès
Putain, mais tu déconnes
C'est pas comme ça qu'on fait les choses

Putain, mais tu déconnes
C'est pas comme ça qu'on fait les choses
Putain, mais tu déconnes
C'est pas comme ça qu'on fait les choses

Oh, Djadja
Y a pas moyen, Djadja
J'suis pas ta catin, Djadja, genre, en catchana baby, tu dead ça
Oh, Djadja
Y a pas moyen, Djadja
J'suis pas ta catin, Djadja, genre, en catchana baby, tu dead ça

Oh, Djadja
Y a pas moyen, Djadja
J'suis pas ta catin, Djadja, genre, en catchana baby, tu dead ça
Oh, Djadja
Y a pas moyen, Djadja
J'suis pas ta catin, Djadja, genre, en catchana baby, tu dead ça

Oh, Djadja, j'suis pas ta catin, Djadja, non
Y a pas moyen, Djadja, ouais, en catchana baby, tu dead ça, yeah
Oh, Djadja, j'suis pas ta catin, Djadja, non
Y a pas moyen, Djadja, ouais, en catchana baby, tu dead ça, d'après toi

En catchana, baby tu dead ça, en catchana, baby
En catchana, baby tu dead ça, en catchana, baby

Oh, Djadja
Oh, Djadja
Oh, Djadja


Source : LyricFind
Paroliers : Alois Zandry / Aya Danioko / Guy Zire / Yohan Batantou
Paroles de Djadja © Universal Music Publishing Group, Warner Chappell Music France

A mes yeux, ni plus ni moins que du très bas de gamme.

Une question : comment pourrait-on descendre encore plus bas ?
A un mois du retour à Domfront en Poiraie du président MORIN, "Le Publicateur Libre" du jour consacre, sous le titre "Projet Normandie médiévale", sa une et un dossier de rien de moins que cinq pages au "projet MORIN" :


N.D.L.R. : Un peu plus tard dans la journée, je ferai part de mes premières réactions à la lecture de cet intéressant dossier.

N.D.L.R. 2 (à 17 heures 15) : Est-il utile que je commente ?

Je note que je ne connais guère ou ne situe que trois ou quatre des neuf personnes extérieures à la municipalité qui ont été interrogées. Les tonalités de l'ensemble de ces réponses me paraissent homogènes et trancher sur l'optimisme affiché par la municipalité.

En fait, le principal risque de ce dossier me paraît que l'enveloppe initialement prévue pour le "projet MORIN" fonde comme neige au soleil si les modalités de son instruction et de sa mise en œuvre ne varient pas.

Plus que jamais, il semble donc utile que "Domfront-Patrimoine au Carré" aide la municipalité de Domfront en Poiraie à se dépatouiller au mieux de ce dossier qui ne paraît pas convenablement engagé.

Encore faudrait-il, à tout le moins, que notre "main tendue" soit enfin saisie. Pour le moment, force est de reconnaître qu'on s'est heurtés à un mur.
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : jeudi 14 mars 2024 10:43
À : Autres membres du bureau de "Domfront-Patrimoine au Carré"
Cc : b.soul@villededomfront.fr <b.soul@villededomfront.fr>; Membres du bureau de "La SVAADE"
Objet : "Projet MORIN" - Dossier du jour dans "Le Publicateur Libre"

Pour info :https://www.chaslerie.fr/blog/message/58495

Avant même de prendre connaissance de tout ce dossier, après avoir croisé par hasard Mme LEPOULTIER (à ma connaissance troisième titulaire de son poste depuis six ans) qui s'y exprime, j'ai appelé ce matin Bernard SOUL, maire de Domfront en Poiraie, à qui elle m'avait dit de m'adresser plutôt qu'à elle, pour :
- lui déclarer qu'il est anormal que diverses associations qui s'occupent avec succès du patrimoine ou de son animation à Domfront en Poiraie ainsi que "Domfront-Patrimoine au Carré" n'aient toujours pas été associées aux réflexions entourant le "projet MORIN", pourtant ouvertes à d'autres associations, y compris l'une embryonnaire ; j'ai cru comprendre que le maire en convient et entend corriger le tir ;
- lui demander quand il pense donner suite à notre conversation en mairie d'il y a une semaine en nous communiquant ou mettant à notre disposition sans tarder les premières pièces du dossier du "projet MORIN" demandées le 17 janvier dernier ; le maire m'a répondu charger immédiatement de retrouver ces pièces pour me les montrer une collaboratrice qui reprend le travail aujourd'hui.

Amicalement,

PPF

(Fin de citation)
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : jeudi 14 mars 2024 11:23
À : Belina CHAMBRIER <belina.chambrier@atoutservices-mos.com>
Cc : Hugues HOURDIN, président de l'APIJOMM
Objet : APIJOMM (réf : ANE) - Recrutement d'un nouveau salarié - Suite du contrat de Francis FORTIN

Madame,

L'APIJOMM compte un nouveau salarié en C.D.I. depuis lundi dernier, M. (...), en période d'essai pendant un mois renouvelable. Vous trouverez ci-joint, à toutes fins utiles, son contrat de travail et sa "DPAE".

Par ailleurs, l'autre salarié, M. Francis FORTIN, devrait reprendre le travail lundi prochain, au terme de son arrêt de travail qui dure depuis le 26 décembre dernier.

L'APIJOMM ne sera pas en mesure de supporter les frais correspondant à l'emploi de ces deux salariés à raison, chacun, de trois jours par semaine.

Or Francis FORTIN, qui souhaiterait continuer à travailler, aura 65 ans le 30 mars prochain. L'APIJOMM est-elle tenue de l'employer après cette date ? Même s'il donne toute satisfaction dans son travail, y a-t-il moyen de réduire son nombre contractuel de jours de travail par semaine pour l'APIJOMM ? Comment procéder ?

Merci de bien vouloir m'éclairer sur ces questions délicates (ou me dire à qui m'adresser).

Cordialement,

Pierre-Paul FOURCADE
Trésorier de l'APIJOMM

(Fin de citation)