Pouvoirs publics, élus locaux

Le chantier ce matin :

8 juillet 2025.

8 juillet 2025.

8 juillet 2025.



J'observe qu'aux fenêtres sur cour de la chambre, Sébastien a bien complété le linteau de bois, comme demandé par l'architecte ; il me dit et je vois qu'il a utilisé du vieux bois :

8 juillet 2025.


En revanche, j'observe un défaut à l'encadrement de bois des fenêtres du rez-de-chaussée puisqu'il disparaît derrière le granit du linteau :

8 juillet 2025.


Sébastien me dit qu'il va y remédier ; je ne suis pas sûr de comprendre comment il va s'y prendre.

Je note également que les systèmes de fermeture retenus sont très difficiles à ouvrir. Si cela ne peut être amélioré, nous devrons, à mon avis, garder un maillet de caoutchouc à portée de la main, ce qui n'est pas idéal.
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mardi 8 juillet 2025 15:34
À : (...)@culture.gouv.fr>
Cc : (...)@culture.gouv.fr>; (...)@culture.gouv.fr>; Membres du bureau de La SVAADE ; C.F.
Objet : RE: Proposition temps d'échange conseillère secteur musique de répertoire

Madame,

Merci pour ce message.

D'accord pour ce temps d'échange.

Ci-joint, un document donnant quelques informations sur ce que nous faisons au titre de La SVAADE.
Je précise que, dans notre actualité, figure le projet d'ouvrir nos spectacles à des publics tiers comme, dans un premier temps, les jeunes scolaires.

J'ai mis en copie, pour info, les membres du bureau de cette association et mon épouse.

Cordialement,

PPF

______________________________________________________________________________________________

De : (...)@culture.gouv.fr>
Envoyé : mardi 8 juillet 2025 15:07
À : penadomf@msn.com <penadomf@msn.com>
Cc : (...)@culture.gouv.fr>; (...)@culture.gouv.fr>
Objet : Proposition temps d'échange conseillère secteur musique de répertoire

Monsieur Fourcade,

Bonjour,

Madame (...), conseillère du secteur musique de répertoire et de création, ne pourra être présente au rendez-vous organisé par la DRAC de Normandie Patrimoine.

En effet, elle est en déplacement professionnel à Aix-en-Provence. Cependant, si vous le souhaitez, elle peut se rendre disponible pour un temps d'échange par téléphone la semaine prochaine.

En nous excusant de ce contretemps,

Cordialement,

(...)
Assistante musique de répertoire et de création, et de l’enseignement spécialisé

(Fin de citation)
Ce jour, à 13 heures 30 :

8 juillet 2025.

8 juillet 2025.

8 juillet 2025.

8 juillet 2025.


Et à 16 heures :

8 juillet 2025.

8 juillet 2025.

8 juillet 2025.


Je trouve que ce rouge sang-de-boeuf, à l'intérieur de la salle-à-manger et au rez-de-chaussée de la tour attenante, sera du plus bel effet, une fois les murs enduits de chaux comme prévu.

Et que les volets, qui sont en train de faire leur réapparition dans la moitié nord du logis, seront des plus utiles pour protéger des ultra-violets tous les tissus d'ameublement, dont ceux des chaises, très exposés jusqu'alors.

P.S. (à 17 heures 15, après le départ de Sébastien) :

8 juillet 2025.


Chicos ! Very chicos !
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mardi 8 juillet 2025 18:56
À : <lbourdin.apaquinarchitecte@gmail.com>; <arnaudpaquin.architecte@gmail.com>
Cc : C. F. ; T. F. ; W. F. ; Guillaume BEESAU ; Jacques BROCHARD
Objet : RE: PC logis

Lucile,

Voici mes remarques de ce soir, que j'espère ultimes et pour tenir compte des derniers échanges avec M. PAQUIN :

- Page 1, au 1er tiret : remplacer les mots "la chaufferie centrale (etc)" par "ce qui nécessitera d'arrêter un parti quant au choix du combustible et d'en tirer toutes conséquences en termes d'implantations du matériel et de circulation de l'eau chaude" ;
- Page 9 gauche : retirer le dernier paragraphe de cette page et le reporter en nouveau 2ème paragraphe de la page 10 droite (après le plan) ;
- Page 10 gauche, "La maçonnerie", 2ème phrase : écrire "pourra être aménagé" à la place de "sera aménagé" ; à "La cheminée", dernier paragraphe, ajouter en fin de phrase "sur toute la hauteur du conduit" ;
- Page 10 droite, "Le projet", dans la deuxième phrases (sur les sanitaires), mettre "pourront être" à la place de "seront" ;
- Page 11 gauche : d'accord pour revoir ça demain ;
- Page 12 gauche et page 25 : prévoir d'habiller et de rendre fonctionnelle la cheminée de cette grande chambre ;
- Page 15 : dans le salon, je ne comprends pas à quoi correspond le sol : il y a là de l'OSB, comme dans la salle-à-manger ;
- Page 19 : prévoir des radiateurs dans l'entrée (sous les deux fenêtres, cour et jardin) ;
- Page 21 : la restauration des corbeaux et poutraison doit couvrir également le plafond de la tour sud-ouest ;
- Page 25 : dans la chambre nord, la porte vers le bâtiment nord est probablement à changer ; il est possible que, pour les deux salles-de-bains, l'ouverture doive se faire vers la chambre si l'on ne veut pas se blesser en frottant leurs poignées de porte ; radiateur également sous la fenêtre sud-ouest de la chambre sud ;
- Page 29 : inverser le sens d'ouverture de la porte du comble sud (que l'ouverture se fasse vers le palier, donc sans empiéter sur le passage étroit) ;
- Page 33 : indiquer que la cheminée de la chambre sud (à l'étage) est à restaurer ;
- Page 35 droite : sans doute faut-il indiquer que les menuiseries de portes sont, à tout le moins quand elles existent, à restaurer ; pour ce qui est de l'ouverture "pour faire un placard" à côté de la cheminée, ajouter "éventuel" après "débouchage".

J'espère que notre réunion de demain matin ne modifiera pas ces plans. Si vous le voulez bien, nous pourrons mettre le dossier dans les tuyaux à partir de mon ordinateur (sous ma signature donc) et de vos bureaux d'Avranches.

Cordialement,

PPF

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De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mardi 8 juillet 2025 17:18
À : Lucile Bourdin-Norgeot <lbourdin.apaquinarchitecte@gmail.com>
Objet : RE: PC logis

Merci beaucoup !

Je cours le faire imprimer.

Cordialement,

PPF

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De : Lucile Bourdin-Norgeot <lbourdin.apaquinarchitecte@gmail.com>
Envoyé : mardi 8 juillet 2025 17:12
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Objet : PC logis

Bonjour M. Fourcade,

Veuillez trouver ci-joint le PC modifié suite à la dernière réunion.
Un exemplaire A3 vous attend pour le rendez-vous de demain matin.

Vous souhaitant bonne réception

Cordialement

Lucile Bourdin-Norgeot

Collaboratrice d'architecte

Atelier PAQUIN architecte D.P.L.G.
architecte du Patrimoine DSA Chaillot.
2, rue du Collège 50300 AVRANCHES

(Fin de citation)
Pas de rabotage pour la niche des dons aux associations
1 min • Julie Ruiz

Le gouvernement ne touchera pas à la réduction d’impôts sur les dons aux associations « d’utilité publique » dans le prochain budget, a promis François Bayrou ce mardi en marge d’un déplacement à Chartres, alors que des associations s’inquiètent d’une éventuelle baisse de ces réductions fiscales. « Les associations de lutte contre la pauvreté, qui sont toutes des associations reconnues d’utilité publique, et les associations reconnues d’utilité publique ne seront en aucun cas touchées par des mesures de reconfiguration », a assuré le premier ministre, qui doit présenter mardi prochain son plan de redressement des finances publiques. « Je leur en ai donné l’assurance », a-t-il ajouté.

En effet, plusieurs associations ont fait part de leur vive inquiétude depuis la publication vendredi d’informations sur un rapport de Bercy ­remis au gouvernement qui préconiserait de raboter ces réductions fiscales. Une revue de dépenses de l’Inspection générale des finances (IGF) transmise à Matignon proposerait de revenir sur certains avantages fiscaux dont bénéficient les donateurs aux associations, avec à la clé 450 millions d’euros de recettes supplémentaires pour les comptes publics, avait rapporté Le Parisien. Selon le régime actuel, les donateurs peuvent bénéficier de réduction d’impôts de 66 % des dons faits à des organismes d’intérêt général, dans la limite de 20 % de leurs revenus imposables, de 75 % des dons faits aux associations d’aides aux personnes, dans la limite de 1 000 euros, et de 40 % à 60 % des dons dans le cadre du mécénat d’entreprise. J. R. P.

N.D.L.R. : Dont acte. À suivre toutefois avec soin.
Le Figaro
rédigé le Mardi 8 Juillet 2025
Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
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Budget 2026 : les sénateurs du « socle commun » proposent d’économiser « jusqu’à 50 milliards »

Prenant au mot François Bayrou, les élus de la Chambre haute lui ont présenté une « boîte à outils de mesures ».
6 min • Julie Ruiz

Il faut que les Français comprennent qu’on est au bout du bout et que nous devons toutes et tous faire des efforts », martèle Élisabeth Doineau, rapporteur général de la commission des affaires sociales au Sénat. Unis par la conscience de l’urgence budgétaire du pays, les élus du socle commun au sein de la Chambre haute ont travaillé pendant des mois à présenter des mesures concrètes d’économies pour le budget 2026, qui en a désespérément besoin.

François Bayrou doit présenter mardi prochain 40 milliards d’euros d’« effort budgétaire » pour 2026. Cela correspond au minimum nécessaire pour rester dans la trajectoire de redressement des comptes sur laquelle la France s’est engagée auprès de Bruxelles. Pour l’y aider, les représentants des sénateurs du « socle commun », ces groupes politiques qui soutiennent le gouvernement, étaient lundi à Matignon pour proposer des mesures d’économies sur l’ensemble de la dépense publique : la Sécurité sociale, l’État et les collectivités territoriales.

Sur la sphère sociale, le plan des sénateurs se décline en deux grands axes. Les élus plaident pour une « année blanche » qui toucherait « l’ensemble des acteurs », explique Philippe Mouiller, président de la commission des affaires sociales. L’idée serait de désindexer de l’inflation (qui s’annonce relativement faible, autour de 1 % cette année) « toutes les prestations et toutes les indemnités. En bref, on fige le système social à N-1 ». Cela permettrait, selon les estimations du Sénat, d’économiser 5 milliards d’euros en 2026 en gelant notamment toutes les retraites.

Le deuxième axe s’articule autour « d’économies d’efficience » sur la santé, qui pourraient rapporter jusqu’à 4,5 milliards. La lutte contre la fraude et le renforcement de la pertinence des soins pourraient générer jusqu’à 1,5 milliard. (...)

Une autre proposition porte sur un « transfert de charge » autour de la prévention aux complémentaires santé, ce qui soulagerait les comptes de l’assurance-maladie d’environ 1 milliard d’euros, selon le plan.

Sur le volet des dépenses de l’État, les sénateurs ont présenté plusieurs options au premier ministre. La première correspondrait aussi à une « année blanche » sur toutes les dépenses des ministères, hors Défense, transferts à l’Union européenne et charge de la dette. Les ministères auraient une enveloppe inchangée entre 2025 et 2026, économisant ainsi 10 milliards d’euros. Mais le rapporteur général du budget, Jean-François Husson, va plus loin : « On pourrait revenir à la budgétisation de 2019 à laquelle on ajouterait simplement l’inflation. » Ce choix provoquerait une baisse en valeur des crédits alloués aux ministères entre 2025 et 2026. Ce scénario produirait non pas 10, mais 22 milliards d’économies. « Entre 2019 et 2025, les dépenses de l’État ont progressé de 36 milliards au-delà de l’inflation, justifie le rapporteur général. La mission Travail, par exemple, a vu ses crédits augmenter de près d’un tiers depuis 2019. En déduisant l’inflation, cela fait plus de 4 milliards d’euros. (…) 2019, ce n’était quand même pas la préhistoire ! » Allant plus loin, les sénateurs ont chiffré une baisse supplémentaire de 1 % des crédits des missions budgétaires (hors celles comme la Défense et l’Intérieur, qui bénéficient d’une loi de programmation). Ce qui produirait une économie supplémentaire de 2,4 milliards d’euros sur un an.

Au-delà des coupes nettes dans les budgets des ministères, les élus proposent de mettre en œuvre les propositions d’un rapport sur les agences de l’État publié récemment par leur consœur Christine Lavarde, qui formule des idées de fusion, de suppression et de mutualisation de certaines agences de l’État. En tout, la sénatrice estime que cette rationalisation des opérateurs publics pourrait rapporter jusqu’à un demi-milliard d’euros.

Autre « marotte » du Sénat : les élus ­du « socle commun » voudraient voir appliquer le dispositif antifraude dit ­« CumCum » (arbitrage des dividendes), que le Sénat a voté à l’unanimité. « C’est un coût de 1,5 à 2 milliards d’euros pour ­les comptes publics. C’est de la délinquance en col blanc, ça suffit », plaide ­Jean-François Husson.

Plus polémique, le rapport propose le non-remplacement d’un départ à la retraite sur deux dans la fonction publique d’État, ce qui permettrait dès l’année prochaine de dégager environ 500 millions d’euros d’économies.

Les sénateurs voudraient également mieux lutter contre l’empilement de normes. L’application du rapport Ravignon sur la simplification - lequel avance des mesures pour lutter contre le « millefeuille administratif » - pourrait rapporter 7,5 milliards d’euros en prenant la fourchette haute de l’estimation du Sénat, ou 3,8 milliards d’euros si une partie seulement des mesures était reprise. De même, le Sénat considère qu’une « remise en cause des normes coûteuses pour les collectivités territoriales » générerait entre 1,7 et 3,3 milliards d’euros d’économies.

Justement, sur les collectivités, le plan du Sénat - qui est traditionnellement leur premier défenseur - « accepte une participation au redressement des comptes publics à hauteur de 2 milliards d’euros maximum », annonce le rapporteur général du budget en insistant sur le dernier mot. Pour y parvenir, les élus du « socle commun » proposent plusieurs modalités au gouvernement, comme un gel des bases de calcul de la taxe foncière (normalement indexées sur l’inflation) et/ou un gel de la dynamique de TVA allouée aux collectivités territoriales.

Mises bout à bout, ces mesures généreraient « jusqu’à 50 milliards d’économies », calcule Jean-François Husson. Les sénateurs de la droite et du centre sont conscients que « leur » plan ne sera pas appliqué tel quel par le gouvernement. « C’est une boîte à outils de mesures qui auraient l’approbation de la majorité des sénateurs que nous mettons à la disposition du premier ministre », résume ­Philippe Mouiller. À bon entendeur… J. R. P.

N.D.L.R. : À suivre. Ce n'est que le début...
En l'état des dernières réflexions en cours, notamment celles menées en liaison avec Arnaud PAQUIN, on s'orienterait, en matière de chauffage, vers une solution consistant :
- à nous focaliser dans un premier temps sur les besoins de l'ensemble constitué par le bâtiment nord et le logis ;
- à privilégier le chauffage par géothermie ; pour des raisons de coûts, l'architecte recommande la géothermie de surface ;
- à implanter le dispositif de captation de chaleur soit dans l'arrière-cour, soit sur le "Pournouët" ; ceci aurait l'avantage de ne pas nécessiter de traiter immédiatement le dossier du devenir de la cour, mal engagé depuis un classement problématique.

Dans un tel schéma, la "quincaillerie lourde" aurait, dans la première partie de l'arrière-cuisine, la place suffisante pour être dissimulée dans un placard, ceci sans réduire l'emprise des circulations nécessaires vers l'arrière-cour et sans empêcher Carole d'aménager là une lingerie (avec machine à laver le linge et sèche-linge).

C'est sur cette base, qui devra encore être étudiée plus complètement, que j'ai demandé hier soir des amendements, importants sur le fond, au projet de permis de construire relatif à l'aménagement intérieur du logis.

Je vais également recaler en conséquence mes demandes de devis relatifs au chauffage par le sol, notamment dans la cuisine du bâtiment nord.

À ce stade de mes réflexions, tout cela m'apparaît raisonnable. Le principal défaut que j'y vois immédiatement est de reporter dans le temps la recherche de solutions pour le chauffage de la cave. Du moins de solutions impliquant une chaufferie centrale implantée sous la charreterie.
À mon retour au manoir favori, Sébastien avait quitté le chantier en ayant terminé son travail :

9 juillet 2025.

9 juillet 2025.

9 juillet 2025.

9 juillet 2025.


Sous réserve de ce qui sera dit à la prochaine réunion de chantier (ce vendredi à 14 heures), tout cela me paraît très satisfaisant.

A l'intention de l'architecte, j'ai photographié la cheminée de la tour nord-est dont il est question de copier le linteau pour l'autre tour :

9 juillet 2025.


Je me suis toujours étonné de ne pas voir sur ce linteau la même moulure que sur les pierres voisines. Mais Arnaud PAQUIN me fait remarquer que la maçonnerie autour de ce linteau ne témoigne pas de reprises et cet argument me paraît en effet imparable.

A noter que le "plancher-provisoire-qui-dure" de l'étage de la tour nord-est est tout ce qu'il y a de plus mûr : en travaillant à la pose de la fenêtre de cette pièce, Sébastien LEBOISNE a failli passer à travers.
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mercredi 9 juillet 2025 20:17
À : <lbourdin.apaquinarchitecte@gmail.com>; <arnaudpaquin.architecte@gmail.com>
Cc : C. F. ; T. F. ; W. F.
Objet : RE: PC logis mis à jour

Je n'ai plus vu qu'une chose à modifier :
- Page 35 droite, toutes les menuiseries de portes intérieures seraient à refaire (comme il est dit en pages 17 gauche et 25).

Je serais donc d'accord pour que, après cette petite correction, vous mettiez le dossier dans les circuits administratifs pour instruction.

Merci pour tout !

Cordialement,

PPF

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De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mercredi 9 juillet 2025 17:44
À : Lucile Bourdin-Norgeot <lbourdin.apaquinarchitecte@gmail.com>
Objet : Re: PC logis mis à jour

Merci beaucoup ! J'étudie cela des que je récupère mon ordinateur.
Cordialement,
PPF

Envoyé à partir de Outlook pour Android

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From: Lucile Bourdin-Norgeot <lbourdin.apaquinarchitecte@gmail.com>
Sent: Wednesday, July 9, 2025 5:35:00 PM
To: Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Subject: PC logis mis à jour

Monsieur Fourcade,

Veuillez trouver ci-joint le PC du logis mis à jour suite à la réunion de ce matin.

Vous en souhaitant bonne réception

Cordialement


Lucile Bourdin-Norgeot

Collaboratrice d'architecte

Atelier PAQUIN architecte D.P.L.G.
architecte du Patrimoine DSA Chaillot.
2, rue du Collège 50300 AVRANCHES
Tél. 02 50 26 01 32
atelierpaquin.architecte@gmail.com
lbourdin.apaquinarchitecte@gmail.com

(Fin de citation)
Loi Gremillet : de l’Assemblée au Sénat, la droite en ordre dispersé

Dans la nuit de mardi à mercredi, les sénateurs LR ont fait adopter une version du texte prévoyant un essor très important des énergies renouvelables, à rebours de la récente tribune au « Figaro » du ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau.
5 min • Wally Bordas


l est un peu plus de 2 heures du matin, au Palais du Luxembourg, dans la nuit de mardi à mercredi. Les sénateurs LR se congratulent de quelques applaudissements. Ils viennent de faire largement adopter, en seconde lecture, la proposition de loi de leur collègue Daniel Gremillet - par 221 voix contre 24 - en obtenant, notamment, l’abstention remarquée des socialistes. Le texte, qui a pour objectif de fixer la trajectoire énergétique de la France ces prochaines années, prévoit d’une part une relance massive du nucléaire, avec notamment la construction de quatorze nouveaux réacteurs ; et d’autre part l’essor des énergies renouvelables, avec une part d’énergie décarbonée d’au moins 58 % de la consommation d’énergie en France d’ici à 2030, contre environ 40 % actuellement.

Une vision « équilibrée », estiment les élus de la majorité sénatoriale, à rebours de leurs collègues députés LR qui, il y a deux semaines, optaient eux pour un détricotage XXL du texte. Jusqu’à faire adopter, avec le RN, des amendements pour instituer un moratoire sur le développement des énergies photovoltaïques et solaires, mais aussi pour remettre en place les tarifs régulés du gaz, supprimer les objectifs de développement des biocarburants, ou encore relancer la centrale nucléaire de Fessenheim. Autant de mesures dont le rejet final du texte à l’Assemblée a entraîné le rejet, du fait de l’opposition de la gauche et des macronistes… Mais aussi de l’abstention des mêmes députés LR, en désaccord avec quelques autres modifications ajoutées pendant les débats.

Nouvelle étape d’une séquence démarrée il y a plusieurs semaines, le vote des sénateurs s’est déroulé sur fond d’importante crise gouvernementale sur le sujet des énergies renouvelables. Laquelle a été déclenchée par une tribune au Figaro du ministre de l’Intérieur et patron des Républicains, Bruno Retailleau, où il a plaidé pour la fin des « subventions publiques » pour l’éolien et le photovoltaïque. Une sortie condamnée par son collègue de l’Industrie, Marc Ferracci (Renaissance), favorable quant à lui à « un mix énergétique équilibré combinant la puissance du nucléaire et le potentiel des énergies renouvelables ». Soit précisément ce que porte le texte voté au Sénat. « Les sénateurs se sont bien assis sur la tribune de Bruno Retailleau », raille un député LR. Un autre abonde, moqueur : « Ces derniers temps, le Sénat a quand même été assez souvent dans du consensus un peu mou. La loi sur le zéro artificialisation nette (ZAN), les zones à faibles émissions (ZFE)… Ils n’ont quand même pas toujours été très éclairés. »

Meccano parlementaire

Au sein de la majorité sénatoriale, on convoque le Meccano parlementaire pour se défendre d’être en opposition avec la doctrine des Républicains telle que l’a exprimée le patron du parti. « Le principe d’un moratoire sur le photovoltaïque et les éoliennes ou la réouverture de Fessenheim n’auraient pas pu être réintégrés au texte du Sénat puisque nous sommes en seconde lecture. Nous sommes donc contraints par la règle de l’entonnoir », défend, auprès du Figaro, Daniel Gremillet, citant la disposition constitutionnelle qui exige que les amendements soient « en relation directe » avec une disposition restant en discussion. « La règle de l’entonnoir, c’est une fausse excuse ! Ils avaient beaucoup de latitude puisqu’ils revenaient à leur texte initial. Ils ont préféré se rapprocher de la position des macronistes que de la nôtre », tance le député LR Jérôme Nury, qui avait justement fait adopter un amendement instaurant le moratoire sur les énergies renouvelables. Et qui promet de refaire la même chose, lors de la seconde lecture à l’Assemblée prévue en septembre. « Il sera déclaré irrecevable, comme l’a été celui de notre collègue LR Stéphane Sautarel, qui a tenté de le déposer au Sénat », anticipe le sénateur Patrick Chauvet (Union centriste).

Chez les sénateurs LR, on insiste sur les « différences d’objectifs » entre la tribune de Bruno Retailleau et le vote de cette loi. « Bruno Retailleau ne parle pas de programmation, il parle des conditions de financement. Mais il est clair que la publication de ce texte vient jeter le trouble, et je le regrette », admet Daniel Gremillet (LR). « La tribune de Bruno, qui était tout de même le troisième signataire de la PPL Gremillet lorsqu’elle a été déposée, nous a déstabilisés, car elle est venue court-circuiter nos travaux », abonde sa collègue Dominique Estrosi-Sassone, qui compte parmi les rapporteurs du texte. Tout en prenant soin de préciser que deux amendements avaient toutefois été déposés et adoptés pour montrer que le Sénat prenait en compte les « remarques » des députés LR et de Bruno Retailleau. Et l’élue de citer celui portant sur l’éolien terrestre, actant « que la priorité sera désormais donnée au renouvellement des implantations existantes au regard d’implantations nouvelles ». « Nous ne travaillons pas de la même manière que nos collègues députés. Nous étions dans l’optique de faire voter un texte équilibré et je pense que nous avons réussi », conclut-elle, laissant entendre qu’une partie de la droite, à l’Assemblée comme au parti, mènerait par ailleurs un combat plus politique. W B

N.D.L.R. : Difficile de comprendre à quoi jouent ces sénateurs LR.
Mr SPOON (en français Emmanuel LESCUYER) m'a annoncé son arrivée pour le 15 juillet prochain. Il viendra passer la deuxième couche de peinture sur les menuiseries extérieures de la moitié nord du logis.

Je lui ai demandé de programmer de repeindre en bleu charron les menuiseries extérieures du fournil du manoir qui en ont grand besoin (la dernière couche avait, de mémoire, été passée par mon cadet, il y a belle lurette).
Avec ce mauvais esprit qui me caractérise (mais qui fait peut-être tout le sel de ce blog, au moins aux yeux de certains membres du fan-club favori), je me demandais depuis quelques jours s'il ne faudrait pas passer par pertes et profits les deux derniers (d'une série de six) panneaux de signalisation promis.

Eh bien non ! Ils ont été implantés hier et sont, comme les autres, du plus bel effet :

9 juillet 2025.

9 juillet 2025.

9 juillet 2025.

9 juillet 2025.


Donc un grand merci renouvelé aux élus du conseil départemental de l'Orne et à ses agents, au premier rang desquels M. POISSON, qui, dans un bel élan unanime, ont concouru à cet heureux dénouement !
Un très grand merci à la Conservation régionale des monuments historiques de Normandie qui, dans les vingt-quatre heures suivant nos échanges d'hier, accorde une subvention de la part de l'Etat pour la "tranche B" de restauration des menuiseries extérieures du logis de la Chaslerie !

Pour pouvoir lancer cette opération dans la foulée de la "tranche A", il ne manque donc plus que la réponse attendue du CD 61.

Touchons du bois !
Sans doute impressionné par le chantier de la Chaslerie, un ami d'amis m'a proposé, il y a quelques jours, de me donner un lot de granits divers pour faciliter la poursuite du chantier.

Je suis allé voir ces pierres cette après-midi. Elles sont entreposées au-delà d'Alençon.

J'ai remercié le donateur pour sa générosité mais ses granits n'ont ni la couleur ni le grain que je recherche pour la Chaslerie ("qualité FOURCADE" oblige).

Pour le reste, nous avons échangé longuement. C'est surtout moi qui ai parlé. Carole me dit souvent que mon mode de vie solitaire m'amène à parler beaucoup trop lorsque je croise un auditeur sympathique.

C'est évidemment un gros défaut.

Sinon, j'ai le site favori comme auditoire du même métal et ne m'en prive guère.

Parmi les sujets abordés, je retiens les limites que l'on se fixe dans les œuvres autobiographiques.
Vaste question...