Pouvoirs publics, élus locaux

En relisant l'étude de diagnostic d'ensemble dans chacune de ses versions successives, j'aurai toujours trouvé des amendements de rédaction à présenter.

Voici ma dernière liste à ce jour :


Pauvre Lucile qui trouvera ça dans son ordi à son retour de congés !

Dans l'immédiat je vais pouvoir confier à Jacques BROCHARD mon exemplaire de l'étude en format A3. Ce sera beaucoup plus facile pour lui de l'étudier en vue de la "séance de gala" du 22 septembre prochain. C'est en effet lui, que j'en remercie, qui a bien voulu accepter de représenter La SVAADE ce jour-là, en l'absence de Xavier MEYER, empêché.
La qualité des informations d'ordre historique contenues dans l'étude d'Arnaud PAQUIN me paraît résulter, à tout le moins, des caractéristiques suivantes :

Cette étude peut être analysée, sur ces questions, comme une synthèse des recherches entreprises, au moins depuis que ce site existe, c'est-à-dire depuis quinze ans. De très nombreux comptes rendus de ces recherches et de leurs résultats ont été publiés en toute transparence sur ce site ouvert au public. De ce fait, tous les sachants ou prétendus tels, notamment ceux qui ont manifesté le consulter fréquemment, ont pu, sans délai, faire part de leurs critiques éventuelles ou bien apporter leurs contributions comme il convient.

De telles méthodes de travail et de diffusion d'informations pertinentes, rendues possibles par l'existence de ce site, sont, au moins dans le principe, de nature à conférer à ces recherches et à leurs résultats une dimension de rigueur intellectuelle dont tous les érudits locaux autoproclamés qui se sont penchés sur la question n'ont sans doute pas toujours su ou pu faire preuve autant que cela eût semblé sinon nécessaire, du moins souhaitable.

Je me réfère ici, par exemple, aux messages de ce site numérotés 1769, 1775, 1776, 1792, 1799, 1802, 1813, 1816, 1902, 2313, 13043, 16405 (liste à parfaire et à compléter, sachant que ce site porte à ce jour quelque chose comme 24 571 messages, dont 13 223 "publics" comme ceux-ci).

P.S. (du 21 août 2024 à 2 heures 45) :

Je rencontrerai demain après-midi Pierre TOUBERT à son domicile parisien. A mon habitude, je rendrai ensuite compte de cet entretien sur le site favori.
L'entretien avec Pierre TOUBERT avant-hier n'aura pas duré plus d'une vingtaine de minutes.

Fidèle à la procrastination qui me caractérise, j'avais fini par préparer, juste avant l'entretien, un court texte afin de suggérer des idées pour son avant-propos mais je ne pense pas qu'il en fera plus d'usage que Patrice CAHART n'en fit du sien, supposé l'aider pour la préface.

Pierre a tout de suite déclaré que Patrice ayant fort bien préfacé l'étude que l'on sait, cela réduisait la matière de sa propre intervention. Juste après, il m'a demandé quelle serait la diffusion de l'étude et j'ai alors compris que j'avais négligé à tort de réfléchir à une réponse utile à cette légitime question. J'ai bredouillé une réponse qui n'a pas dû l'emballer, notamment quand il m'a demandé si j'envisageais la publication d'un texte raccourci. Non, je n'ai rien prévu de tel, les lecteurs ne devraient avoir à leur disposition qu'un pavé d'essence administrative et de plus de 333 pages sur 80 centimètres de largeur, donc guère commode à déployer. Et peu de nature, de ce fait, à abonder une bibliographie...

Sur le fond, Pierre a évoqué une piste, celle de l'openfield anglais, sujet sur lequel il pourrait s'exprimer dans son avant-propos. Sujet inattendu pour moi, en tout cas extérieur, sinon à ma zone de confort, du moins à mes préoccupations de l'heure.

Quant au délai de remise de son texte, j'ai senti que mon souhait de la fin-août n'est pas forcément de nature à l'enthousiasmer.

Bref, on verra bien.

Le fait est que, ne sachant ce que Patrice produirait, j'avais introduit Pierre dans le dispositif. Comme une sorte de "corde de rappel" si je puis dire. Et j'avais "fait donner" Patrice en premier parce que je ne me sentais guère capable de coordonner deux tels pur-sang, le premier n'ayant en outre pas de liens familiaux avec moi...

Ceci étant, je crois que je n'ai plus grand chose à ajouter à cette étude ni à ses textes introductifs. Pondre un avertissement me semblerait excessif. Mais j'y réfléchis.

Donc, dans l'immédiat, je me suis enfin mis en roue libre à ce sujet qui m'aura beaucoup occupé depuis près de deux ans. Et je peux dire que ça fait du bien !
Enterrer Alain Delon à son domicile: les conséquences pour la propriété de Douchy en cas de vente

L’acteur devrait être enterré chez lui, près de ses chiens, dans sa propriété du Loiret, où il s'est éteint dimanche. La préfecture «avait donné un accord de principe» avant son décès.

N.D.L.R. : Pour moi, inutile de "négocier un droit de passage", je ne compte pas en sortir et n'imagine guère ma descendance me visiter davantage mort que vivant. Et prière de ne pas me déménager. En pratique, il y aura une formalité à accomplir : faire vérifier l'absence de fuite dans les eaux souterraines, simple occasion supplémentaire de payer un intermédiaire obligé.
lefigaro.fr
rédigé le Mardi 20 Aout 2024
Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
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Comment l’État pourrait laisser les Français flécher eux-mêmes l’argent de leurs impôts

Gabriel Attal ouvre la porte à une mesure qui permettrait au contribuable de choisir à quelle politique publique il souhaite contribuer.

Dans le «pacte d’action» envoyé aux présidents de groupes des partis représentés à l’Assemblée (hors Rassemblement), le nouveau chef de file des députés Ensemble Gabriel Attal propose deux mesures pour une «démocratie revitalisée et une plus grande souveraineté populaire». L’une d’entre elles, est une proposition fiscale qui ouvre la porte à la «possibilité de flécher une partie de son impôt sur le revenu ou une contribution additionnelle sur une mission du budget de l'État librement choisie.» Un souci du «consentement à l’impôt» qui s’inscrit dans la ligne politique de Gabriel Attal.

N.D.L.R. : Je me déclare estomaqué par cette nouvelle lubie qui, dans son principe et sa généralité supposée, me paraît constituer une négation de la notion-même de budget de l'Etat, donc tout à fait irresponsable et démagogique.
Au courriel ce jour :

(Début de citation)

De : salsa@saisines-cada.fr <salsa@saisines-cada.fr>
Envoyé : mercredi 21 août 2024 15:58
À : penadomf@msn.com <penadomf@msn.com>
Objet : 20242927


Madame, Monsieur,

Je vous prie de trouver en pièce jointe, au format PDF, le courrier qui vous est destiné.

Merci de ne pas répondre à ce courriel.

Pour toute correspondance adressez votre message à : cada@cada.pm.gouv.fr

Cordialement,
Le secrétariat général de la Commission d’accès aux documents administratifs

(Fin de citation)

Étaient jointes à ce courriel les deux pièces suivantes :


On va pouvoir étudier tout cela.
lefigaro.fr
rédigé le Samedi 24 Aout 2024
Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Anecdotes
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Mélenchon ouvre la porte à un gouvernement NFP sans LFI pour mettre dos au mur le bloc central

Le leader insoumis a demandé au camp présidentiel et à la droite s'ils censureraient un gouvernement Castets sans LFI.

«Si vous nous répondez non, on dira que les ministres insoumis, en fait, c'est un prétexte, c'est du programme dont vous ne voulez pas», a-t-il ajouté.

N.D.L.R. : Que tout cela est compliqué !

Puisque MICRON a décidé sur le tard de recevoir lundi les présidents du Sénat et de l'Assemblée Nationale, je me demande s'il ne nous prépare pas une démission concomitante à un referendum autorisant une dissolution immédiate.

Sinon, je ne vois pas comment nous sortir du pataquès en cours. Espérons qu'un codicille ne l'autorise pas à se représenter immédiatement...

N.D.L.R. 2 (à 15 heures) : Il paraît que mon idée serait trop délicate à mettre en œuvre en l'état des rapports de forces. On me dit également que mon double camarade Jean-Eric SCHOETTL aurait émis l'hypothèse d'une dissolution immédiate supposée non sanctionnable...
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 26 Aout 2024
Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Anecdotes - Références culturelles
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Vu à la télé ce matin :

26 août 2024.

26 août 2024.

26 août 2024.


Je trouve ces rampes parfaitement incongrues à cet endroit. De même que ces massifs de fleurs. Goût de chiottes. Ça ne m'étonne pas de l'occupant, qui, tout à sa disruption pathologique, a déjà massacré nombre de décors de ce monument historique.

Comme tant de choses dans ce pays qu'il a mené au bord du gouffre !

Quant à la question posée sur le bandeau de la première photo, il me paraît clair que le Jupiter-de-mes-deux-sans-foi-ni-loi ne manquera pas tôt ou tard de nous infliger, avec tout l'autisme qui le caractérise, sa lecture des branlées qu'il a subies, notamment depuis son irresponsable caprice de dissolution.
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mardi 27 août 2024 14:44
À : Eric MAZIER - Responsable OT DOMFRONT <e.mazier@ot-domfront.com>
Cc : Membres du bureau de La SVAADE
Objet : La SVAADE et l'office de tourisme de Domfront

Eric,

Comme vous le savez, la trésorerie de La SVAADE est tendue, de sorte que cette association doit veiller à ce que le produit de la vente des billets des spectacles qu'elle organise soit inscrit dans ses livres dans des délais raisonnables. Tel était le cas jusqu'à l'an dernier pour ce qui concerne les sommes transitant par l'office de tourisme de Domfront.

Bien que ce ne soit pas mon rôle, je me suis cru autorisé à vous rappeler plusieurs fois cette nécessité et, au moins deux fois ces derniers temps, vous m'avez assuré que vous alliez faire le nécessaire très rapidement. Mais, sauf erreur de ma part, rien n'a pourtant bougé là où cela demeure attendu.

Alors que La SVAADE a déjà organisé cinq animations de qualité en 2024, avec un succès indubitable et reconnu (d'autant plus remarquable au demeurant qu'elle n'a reçu, elle, que bien peu d'aides publiques), pourriez-vous rappeler aux membres du bureau de La SVAADE que j'ai mis en copie de quand daterait le dernier virement de l'office de tourisme, voire, s'il vous plaît, éclairer la cause des délais en question ?

Par ailleurs, comme je vous l'ai également signalé, l'office de tourisme peut oublier d'informer La SVAADE des réservations qui passent par son intermédiaire. La charge de travail de l'office de tourisme pendant l'été compte tenu du succès attendu, du moins dans le principe, de la dynamisation touristique lancée il y a plus de six ans et de la surcharge de travail qui doit en résulter, peut expliquer un certain niveau de dysfonctionnement en la matière. Mais cela entraîne des quiproquos inconfortables avec des tiers de bonne foi. Et il est inutile que j'ajoute que cela peut se révéler fâcheux pour la bonne organisation des animations ainsi que pour leur comptabilité, du moins pour autant que je puisse en juger.

Or, puisque la Chaslerie fut bâtie sur le territoire communal, je suis sûr que, à ce sujet également, vous saurez nous rassurer en nous confirmant que ce monument historique, incontestablement emblématique du bocage domfrontais dont l'office est en charge de la promotion, n'est pas négligé ou considéré comme inintéressant, ou je ne sais quelle autre lubie, par tel ou tel service ou agent réputé en charge du tourisme ou de l'animation culturelle domfrontais dont vous seriez amené à connaître.

Cordialement,

PPF

(Fin de citation)
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mercredi 28 août 2024 08:28
À : Lucile Bourdin <lbourdin.apaquinarchitecte@gmail.com>
Cc : arnaudpaquin architecte <arnaudpaquin.architecte@gmail.com> ; Xavier MEYER
Objet : La Chaslerie - Etude de diagnostic d'ensemble

Chère Lucile,

Puis-je vous saisir dès votre retour de congés en vous soumettant encore ceci ?

J'y joins la préface de Patrice CAHART, à paginer en tout début de document et en chiffres romains. J'attends encore un avant-propos qui précéderait la préface.

Cordialement,

PPF

(Fin de citation)
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 30 Aout 2024
Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Références culturelles
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« La réalité, si on allait au bout de la logique, c’est que le président de la République ne devrait pas pouvoir rester s’il avait un vrai désaveu en termes de majorité !
En tout cas c’est l’idée que je m’en fais et la seule qui peut accompagner le fait d’assumer les fonctions qui vont avec » !


(Macron, année 2019)

Comme les temps changent, mon bon Monsieur !
Donc pensons printemps et ça ira mieux !
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 6 Septembre 2024
Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux
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Mon ami Michel BARNIER a été désigné hier pour diriger le gouvernement.

Il a certes d'énormes qualités de finesse et de conciliation et ses réalisations sont incontestables.

Pour autant, je pense que sa mission est impossible. Car, si sa nomination correspond à un moment d'équilibre, l'équilibre dont il s'agit est ce que les physiciens appellent un "équilibre instable". Autrement dit, n'importe quelle chiquenaude suffirait à le détruire, au contraire d'un "équilibre stable".

Tout l'art de Michel BARNIER consistera à faire durer cet équilibre instable aussi longtemps que possible. Mais il suffira à un groupe suffisant d'ambitieux (quels qu'ils soient mais ce monde n'en manque pas, même des plus grotesques) d'avoir intérêt à un changement de gouvernement pour qu'il chute. Écrivant ceci, je me rends compte de la complexité de la situation que je ne saurais synthétiser plus clairement.

Quoi qu'il en soit, ce soir, sur TF 1, Michel BARNIER a dit une énorme ânerie. Il a en effet affirmé qu'il "n'augmentera pas la dette". Si les mots ont encore un sens dans ce pays où prospère hélas la "politique par la com' = politique pour les cons" (bien connue de nos services), cela signifie que ses budgets seront à l'équilibre sur la période où il sera aux manettes. C'est évidemment parfaitement impossible.

Cette bourde s'explique-t-elle par la fatigue ? Il me semble que ce serait un peu tôt au bout de 24 heures.

Néanmoins j'admire profondément qu'à l'âge qui est le sien, soit un an de plus que le mien, il ait encore l'ambition, et surtout la force physique, de laisser sa trace personnelle dans l'histoire de France.
Juin 2022... C'était pas mal vu, quand même !

Je connais Michel BARNIER depuis 1975. Donc depuis 49 ans, ce qui n'est pas rien. Je garde un souvenir très précis de notre première rencontre. J'étais alors stagiaire E.N.A. à la préfecture des Yvelines. Une cohabitation toujours pénible avec mon camarade de promotion Alain MADEC et le peu d'affinité que j'éprouvais également pour le directeur de cabinet du préfet Jean BRENAS, à savoir le sous-préfet Philippe MARLAND, m'avaient conduit à chercher l'hospitalité chez le sous-préfet de Mantes-la-Jolie, le regretté Jean-Pierre RONTEIX que je trouvais beaucoup plus intéressant, sympathique et accueillant que son jeune et intriguant collègue galonné. Le secrétaire d'Etat aux Sports, Pierre MAZEAUD (d'une famille amie de longue date de ma belle-famille, boulevard Lannes oblige, mais ceci ne joue aucun rôle dans cette anecdote), devait venir inaugurer le gymnase de Houdan et j'imagine que j'avais rédigé le discours de BRENAS (ou de RONTEIX, mais je pense que c'était BRENAS) qui, pour me remercier, avait dû me demander de l'accompagner. Le fait est que, pendant la cérémonie, barbante comme on l'imagine, je me tenais debout au fond du gymnase, attendant que ça passe. A côté de moi, un grand gaillard me donnait l'impression de s'ennuyer autant que moi. Faisant fi des discours officiels, j'avais engagé la conversation avec lui. C'était Michel BARNIER, alors chargé de mission auprès de son secrétaire d'Etat et déjà, depuis deux ans, "plus jeune conseiller général de France", ce qui ne pouvait que m'impressionner. Bref, nous avions immédiatement sympathisé.

La dernière fois où j'ai revu Michel, il était ministre de l'agriculture et je cherchais encore et toujours, du fond du placard où j'avais été remisé une dizaine d'années plus tôt, à retrouver une mission dans le cadre de mon administraaaâââtion. Ce jour-là, Michel s'est borné à me demander qui était mon chef. Comme le directeur du Trésor de l'époque, tout à des manœuvres d'appareil aussi incompréhensibles que viles, du moins à mes yeux, dans lesquelles ce genre d'individu excelle, s'était défaussé de moi en me faisant affecter au cimetière des éléphants que constitue le secrétariat général du ministère des finances, je n'avais plus de chef à proprement parler. C'était un fait. Donc la question m'avait laissé sans réponse. Michel m'avait ainsi fait comprendre, avec une clairvoyance fulgurante, qu'il ne pourrait rien pour moi. Le placard se refermait.

Voici donc comment j'ai peut-être battu un record de France de longueur de séjour dans un placard. Plus de vingt ans pour ce qui me concerne ("quand on aime, on a toujours vingt ans"). On a les records qu'on peut, mon bon Monsieur !