Pouvoirs publics, élus locaux

Hausse de la fiscalité, sous-indexation des pensions... Mettre à contribution les retraités, un «tabou qui est en train de sauter»

Pour le moment, le gouvernement Bayrou n’a pas voulu franchir le pas. Mais des voix s’élèvent pour davantage solliciter cette population.

Taxer «les retraités qui peuvent se le permettre.» La petite phrase lancée par la ministre du Travail, Astrid Panosyan-Bouvet, a rapidement déclenché une secousse médiatique. Au point d’obliger son cabinet à nuancer dans la foulée la portée de la déclaration. Il s’agit «d’une position personnelle» que la locataire de la rue Grenelle «met sur la table», tempère son entourage. Les retraités peuvent dormir tranquille, la menace n’est pas pour tout de suite en somme.

N.D.L.R. : Taxer, toujours taxer davantage, ces bons apôtres ne savent faire que cela (et aussi fuir leurs responsabilités) ! Depuis trop longtemps, la gestion publique telle que pratiquée en France est une catastrophe.

Taxer, c'est quand même moins pire qu'envoyer les p'tits vieux à l'abattoir. Même si l'on y pense aussi.
"Virginia's 5th Congressional District 2022 redistricting", je prie "Cambérabéro" de m'indiquer s'il n'y aurait pas là-bas un ordinateur-espion qui scanne notre site favori :


Ce n'est pas la première fois, ces derniers jours, que je vois ce nom apparaître sur ma "tour de contrôle n°2".

P.S. ( à 12 heures 30) : Bayingolin Mongol Autonomous Prefecture (Chine). Et une autre localité au Brésil.

On ne dira jamais assez l'importance de la contribution du manoir favori et de La SVAADE au rayonnement culturel et touristique de Domfront en Poiraie :


Qu'en dites-vous, Bernard DAVY ? Combien de temps encore persisterez-vous à prétendre avoir trouvé un meilleur usage de la manne du "projet MORIN" ?

Ne serait-il pas souhaitable que vous ouvriez enfin les yeux ?
La réunion hier avec le représentant de la D.R.A.C. s'est déroulée en deux phases :
- de 10 heures 30 à 12 heures, essentiellement autour de la table de la cuisine du bâtiment nord pour échanger à propos de l'"étude de diagnostic d'ensemble" d'Arnaud PAQUIN ; participaient à cette réunion deux membres du bureau de La SVAADE, Guillaume BEESAU et Jacques BROCHARD, ainsi que, bien entendu, Arnaud PAQUIN, notre hôte du jour, Carole et moi ;
- de 14 heures à 16 heures 15, en visitant le logis et les principaux abords (chapelle, terrasse, douves, fournil du manoir, cave et partie sud de la ferme) mais pas, faute de temps, l'aile ouest ; là, nous n'étions plus que trois.

C'était la première fois que cet "officier traitant" venait à la Chaslerie mais il avait fait une lecture très attentive de l'"étude" d'Arnaud PAQUIN. Sur l'ensemble de la journée, les échanges ont été constructifs et empreints de beaucoup de bonne volonté et je dirais même d'humanité et de respect de part et d'autre.

D'emblée, le représentant de la D.R.A.C. a fait part d'une impression très favorable à propos de l'étude en question. Il s'est par exemple dit convaincu par les propos relatifs à la cour et à ses changements de formes au fil des siècles. Il s'est toutefois interrogé sur l'hypothèse d'un arasement du logis sur une hauteur d'une soixantaine de centimètres à la suite de l'incendie de 1884 ; lui penserait plutôt que la couverture initiale avait bien un faîtage à l'endroit indiqué mais une pente plus forte et se terminait par un coyautage ; Arnaud PAQUIN et moi avons rappelé nos arguments sur lesquels je pourrai revenir dans un prochain message. Une autre question portait sur l'hypothèse que la ferme avait été une longère ; à ce sujet, la visite sur place a suffi à le démontrer.

Bien que, en fin de visite, le représentant de la D.R.A.C. m'ait félicité sur les travaux entrepris à la Chaslerie (à ses yeux, j'aurais "sauvé le monument et mis tout successeur en position de continuer la restauration sur des bases assainies"), il n'a pas manqué de faire état d'un agacement naturel de sa structure administrative devant un administré qui s’affranchit parfois (souvent ?) des bonnes pratiques du "reporting". J'ai expliqué pourquoi mais ai été "encouragé" (si je puis dire), par exemple, à déposer une demande de permis de construire pour les travaux dans la cave.

Compte tenu de la qualité et de la sérénité des échanges, je ne verrais pour ma part que des avantages à prier de nouveau l'architecte, l'excellent Arnaud PAQUIN, de préparer une telle demande de permis.

J'ai retenu une autre idée, celle d'assainir le pied de certains murs (comme la façade ouest de la chapelle, la façade est du logis, ou les façades de la cave) non par des drainages mais par l'aménagement d'une pente douce partant des murs et se terminant par une sorte de rigole très ouverte, dans le terrain, de manière à faciliter l'évacuation rapide des eaux pluviales.

L'après-midi, il y a également eu une discussion sur l'ordre des tranches de travaux à programmer. J'ai fait part de mon désir de poursuivre la restauration des menuiseries extérieures du logis par celle des menuiseries extérieures restant à traiter sur l'aile ouest, quitte à intercaler, dans ce programme, des travaux intérieurs sur la cave selon l'avancement de l'instruction administrative des dossiers (et selon les subventions obtenues) et la disponibilité d'artisans fiables. Le représentant de la D.R.A.C. serait plutôt d'avis que l'on se concentre d'abord sur le logis, afin que La SVAADE dispose dès que possible de facilités d'hébergement appropriées et permettant un développement de ses revenus.