Pouvoirs publics, élus locaux

Intéressants échanges de vues, cette après-midi, avec Jean-Paul LEROY-TULLIE qui s'apprête à lancer une association intitulée "Domfront Patrimoine".

Je compte me rendre à la réunion organisée le lundi 25 février, à 20 h 30, à la mairie de Domfront-en-Poiraie (salle Rougeyron).
A Domfront, une étape décisive en mars pour le Projet Morin.
Le maire de Domfront-en-Poiraie (Orne), Bernard Soul revient sur ce qui a été fait et évoque l'étape décisive de mars 2019 avant le retour du Président de la Région Normandie.

N.D.L.R. : On espère être dorénavant tenus informés en temps utile.
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mardi 19 février 2019 16:02
À : GERARD Sylvie
Objet : RE: statistiques annuelles

Bonjour !

Voici ma réponse :


Bien cordialement,

PPF

_______________________________________________________________

De : GERARD Sylvie <GERARD.Sylvie@ORNE.fr>
Envoyé : mardi 19 février 2019 10:01
À : 'penadomf@msn.com'
Objet : statistiques annuelles

Bonjour,

Dans le cadre de l’Observatoire Economique du Tourisme, Tourisme 61 réalisera comme chaque année le bilan de la saison 2018.

Nous vous saurions gré de bien vouloir nous faire connaître, à l’aide du questionnaire joint, la fréquentation que vous avez enregistrée au cours de cette année.

Vos chiffres nous seront très utiles pour établir notre bilan.

Vous en remerciant par avance,

Bien cordialement,

Sylvie GERARD

Assistance
Tourisme 61
Conseil départemental de l'Orne
Tél : 02 33 28 88 71
www.ornetourisme.com fb pinterest-logo-transparent-background-copy1

(Fin de citation)

Malgré mes demandes anciennes et les assurances données par l'adjoint au maire en charge du site internet de Domfront-en-Poiraie, celui-ci reste muet quant aux monuments privés de la commune.

Il faut croire que mon précédent bottage de derrière n'a pas suffi.

On recommencera donc.
Intéressante réunion, hier soir, à Domfront, autour d'Hervé MORIN, président de la région Normandie et de Bernard SOUL, maire de Domfront-en-Poiraie, pour apprendre l'état d'avancement de l'effort original tendant à renforcer l'attrait touristique de Domfront autour des thèmes médiévaux.

7 mars 2019.

Le public, très nombreux, a voulu manifester sa réceptivité à des initiatives fédératrices et constructives, une attitude de nature à impressionner favorablement les autorités régionales :

7 mars 2019.

7 mars 2019.


Bien sûr, beaucoup dépendra ensuite de la qualité de la mise en œuvre et il appartiendra à chacun d'y contribuer, sans exclusive ni œillères, avec le souci principal de l'intérêt commun.

A l'ARDAMC, on suit le dossier avec attention, ainsi que j'ai encore pu le vérifier hier en rencontrant chez lui, à Mortain, le président de notre association favorite. Nous sommes par exemple porteurs de la recommandation d'illuminer à la saison touristique les principaux monuments, publics comme privés (ces derniers sous réserve du volontariat aidé des propriétaires), de l'ensemble du territoire communal.
J'ai assisté ce soir à l'assemblée constitutive de "Domfront Patrimoine", association ayant pour objet la promotion et la défense du patrimoine bâti et des sites naturels sis sur le territoire de la commune de Domfront-en-Poiraie.

Une forte proportion des membres est d'origine anglo-saxonne. De l'ordre de 40 %, m'a-t-on dit.

J'en ai été élu administrateur. Jean-Paul LEROY-TULLIE en est le président.

On souhaite un plein succès à la nouvelle association.
Je viens de remplir ma "Déclaration CVO 2019 - Contribution interprofessionnelle obligatoire" à l'"Interprofession nationale France Bois Forêt". J'ai indiqué que mes ventes de bois en 2018 étaient inexistantes.

Encore des cocos qui ne perdent pas de temps pour traquer la matière imposable.

Si je n'avais pas rempli ce formulaire, on me prévenait qu'en application des articles L.632-1 à L.632-11 du Code rural, je pouvais faire l'objet de tout un tas d'enquiquinements.
En fin d'après-midi, j'ai reçu de Sébastien DUVAL un S.M.S. ainsi libellé : "Bonsoir nous serons à la Chaslerie vers 13 h désolé du retard à demain".

Sébastien n'étant pas encore, à ma connaissance, adepte du pluriel de majesté, j'en déduis qu'il aura un aide pour reprendre demain les travaux intérieurs du logis confiés à l'entreprise BODIN mais interrompus depuis plusieurs mois.

J'envisage prioritairement :
- d'achever l'exhaussement du linteau du passage entre mon ancienne chambre, au 1er étage du logis, et l'ex et future salle de bains attenante, au 1er étage de la tour Nord-Est ;
- de reconstituer à la résine, ainsi que Sébastien sait si bien le faire, les angles des embrasures de la fenêtre Est de l'ex et future salle-à-manger.

Au-delà de ces, somme toute, petites interventions, il est fort possible que je suspende de nouveau le travail de l'entreprise BODIN dans notre manoir favori. Car il serait urgent que je ne perde pas cette fois encore l'opportunité d'écluser quelques "déficits fonciers reportables" en jachère dans mes comptes.
Un visiteur de notre site favori a longuement consulté, hier, le message 44960. Je le relis. Il relate, de façon aussi claire qu'il m'avait semblé possible, la totalité des vœux que j'exprimais une dernière fois en novembre dernier. Le ton en était parfaitement cordial. (...)

Depuis lors, rien n'a bougé. Sauf de mon fait.(...)
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 11 Avril 2019
Vie des associations - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - APIJOMM - api
0
La M.S.A. auprès de qui j'ai déclaré le recrutement d'Igor par l'APIJOMM continue à me casser les pieds en me réclamant des paperasses diverses.

Voici les échanges de courriels auxquels cela vient de donner lieu :

(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : jeudi 11 avril 2019 14:08
À : Msa MOS - Gestion des Individus
Objet : RE: DEMANDE DE PIECES JUSTIFICATIVES

Il est fort regrettable que les administraaaâââtions sociales de notre pays se coordonnent aussi mal et obligent les employeurs à suppléer à leurs carences manifestes.

Néanmoins, j'ai la photo de la carte d'identité et de la carte de séjour de M. EREMIA mais je vais lui réclamer l'autre document et vous enverrai toutes ces photocopies quand je les aurai rassemblées.

PPF

____________________________________________________________________________

De : blfgi.blf@mayenne-orne-sarthe.msa.fr <blfgi.blf@mayenne-orne-sarthe.msa.fr> de la part de Msa MOS - Gestion des Individus <blfgi.blf@mayenne-orne-sarthe.msa.fr>
Envoyé : jeudi 11 avril 2019 14:01
À : Pierre-Paul Fourcade
Objet : Re: DEMANDE DE PIECES JUSTIFICATIVES

Bonjour Mr Fourcade,

Tout d'abord, veuillez nous excuser pour l'envoi multiple des mails que vous venez de recevoir.
Nous vous informons qu'il n'y a pas d'échanges entre l'URSSAF et la MSA.
Nous sommes donc dans l'obligation d'immatriculer Mr EREMIA avec des pièces d'état civil.
C'est pourquoi vous avez reçu cette demande. Si vous êtes en possession de ces documents, merci de nous les adresser.

Cordialement
MSA MAYENNE ORNE SARTHE

____________________________________________________________________________

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : jeudi 11 avril 2019 13:41
À : Msa44-85 Gestion des Individus
Objet : RE: DEMANDE PIECES JUSTIFICATIVES

J'ai déjà répondu deux fois à Mme Jocelyne SOULARD. Je vous prie donc de ne pas m'importuner davantage et de faire votre travail en liaison avec l'URSSAF qui connaît parfaitement le dossier.

Pour ma part, je ne suis pas en charge de la coordination des administraaaâââtions sociales et n'ai, en tout cas, pas de temps à y consacrer.

PPF

____________________________________________________________________________

De : blfgi.blf@msa44-85.msa.fr <blfgi.blf@msa44-85.msa.fr> de la part de Msa44-85 Gestion des Individus <blfgi.blf@msa44-85.msa.fr>
Envoyé : jeudi 11 avril 2019 13:37
À : penadomf@msn.com
Objet : DEMANDE PIECES JUSTIFICATIVES

Nous vous prions de trouver ci joint une demande de justificatifs faisant suite à l'embauche de un ou plusieurs salariés.

Nous vous remercions de nous retourner les documents demandés si possible par messagerie, en utilisant l'adresse mail mentionnée sur la correspondance.

Cordialement.

____________________________________________________________________________

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : jeudi 11 avril 2019 13:35
À : Jocelyne Soulard
Objet : RE: demande de justificatifs

Il est inutile de m'envoyer de nouvelles fois ce message auquel j'ai déjà répondu.

PPF

____________________________________________________________________________

De : soulard.jocelyne@msa44-85.msa.fr <soulard.jocelyne@msa44-85.msa.fr> de la part de Jocelyne Soulard <soulard.jocelyne@msa44-85.msa.fr>
Envoyé : jeudi 11 avril 2019 13:34
À : penadomf@msn.com
Objet : demande de justificatifs

Nous vous prions de trouver ci joint une demande de justificatifs faisant suite à l'embauche de un ou plusieurs salariés.

Nous vous remercions de nous retourner les documents demandés si possible par messagerie, en utilisant l'adresse mail mentionnée sur la correspondance.

Cordialement.

____________________________________________________________________________

De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : jeudi 11 avril 2019 13:34
À : Jocelyne Soulard
Objet : RE: DEMANDE DE PIECES JUSTIFICATIVES

M. EREMIA a déjà été mon salarié, du 4/7/11 au 5/8/16, directement et non par l'intermédiaire d'une association. Il était déclaré à l'URSSAF auprès de qui toutes formalités utiles avaient été accomplies et dont je vous prie donc de vous rapprocher pour éviter la multiplication de procédures inutiles.

Cordialement,

PPF

____________________________________________________________________________

De : soulard.jocelyne@msa44-85.msa.fr <soulard.jocelyne@msa44-85.msa.fr> de la part de Jocelyne Soulard <soulard.jocelyne@msa44-85.msa.fr>
Envoyé : jeudi 11 avril 2019 13:29
À : penadomf@msn.com
Objet : DEMANDE DE PIECES JUSTIFICATIVES

Nous vous prions de trouver ci joint une demande de justificatifs faisant suite à l'embauche de un ou plusieurs salariés.

Nous vous remercions de nous retourner les documents demandés si possible par messagerie, en utilisant l'adresse mail mentionnée sur la correspondance.

Cordialement.

La Direction.

(Fin de citation)
Notre-Dame: la liste des 1170 signataires de l’appel au président.

N.D.L.R. : On connaît mes fortes réserves, fruit de près de 30 ans d'expérience de terrain, à propos de certains intervenants de la restauration du patrimoine, à qui je reproche les dérives que facilite leur (...).

J'adresse néanmoins un coup de chapeau particulier à ceux des signataires de l'appel suivant qui sont actuellement en fonction ! Ce sont des braves, qui croient en leur métier ! (On aimerait en voir davantage...)

Voici le texte en question :

(Début de citation)

Monsieur le Président,
Au soir du 15 avril, les regards du monde entier se sont tournés vers Notre-Dame de Paris embrasée, rappelant combien ce monument n’est pas seulement celui des catholiques, des Parisiens, des Français ou même des Européens, mais un de ces édifices que le génie de ses bâtisseurs successifs a légués à l’humanité.
La France s’est dotée très tôt, en partie sous l’influence du vibrant roman de Victor Hugo qui sonna comme un plaidoyer pour la cathédrale parisienne, d’une législation visant à la protection des monuments historiques, mais aussi à prévoir un cadre d’action lorsqu’ils ont été mutilés par les ravages du temps ou des hommes. Dès 1862, l’État a choisi de placer la cathédrale parisienne, alors en cours de restauration, sous la protection de cette législation. Plus d’un siècle plus tard, c’est encore sous l’impulsion de la France, entre autres, que l’Unesco choisit de mettre en place une liste du patrimoine mondial de l’humanité, assortie de critères de protection précis. En 1991, la France a obtenu l’inscription sur cette liste des rives de la Seine à Paris, s’appuyant sur la présence, en leur cœur, de Notre-Dame et sur l’existence d’une perspective qui s’était constituée entre le Moyen Âge et le début du XXe siècle, protégée en tant que telle.
Une telle protection ne saurait exister sans une déontologie qui s’impose à tous ceux qui œuvrent à l’entretien, à la conservation et à la restauration de ces monuments. Là encore, la France fait figure de pionnière, notamment grâce aux réflexions de Jean-Baptiste Lassus et d’Eugène Viollet-le-Duc, élaborées autour de leur pratique dans l’île de la Cité, à la Sainte-Chapelle et à Notre-Dame. Cette déontologie, évidemment, a évolué. Elle a abouti à la charte de Venise en 1964, complétée par le document de Nara en 1994, qui fixe un cadre internationalement reconnu aux interventions sur les monuments, tant pour les opérations de conservation que de restauration ou de reconstruction partielle.
Dans toute cette histoire, la France a longtemps joué un rôle moteur, s’appuyant sur des institutions d’excellence formant les spécialistes de la protection, reconnues internationalement et attirant des étudiants du monde entier (École de Chaillot, Institut national du patrimoine, formations universitaires, compagnonnage, aujourd’hui inscrit à la demande de la France sur la liste du patrimoine immatériel de l’humanité). Ce n’est pas un hasard si le siège du Conseil international des monuments et des sites se trouve à Paris. Cette excellence de la France dans le domaine patrimonial, on en a encore vu la preuve dans l’intervention exemplaire des pompiers, dont l’action a permis d’éviter un désastre bien pire, et dans les actions qui ont permis de consolider dans l’urgence la cathédrale et d’en évacuer l’essentiel des œuvres déplaçables au cours de la semaine. Nous avons tous conscience d’avoir échappé à un désastre majeur, celui de l’effondrement de la cathédrale et de la disparition avec elle des 850 ans d’histoire qu’elle conserve.
Malheureusement, cette excellence a aussi été quelque peu oubliée par les gouvernements précédents, et avec elle l’investissement national dans la sauvegarde du patrimoine : comme le montre le rapport du Sénat sur le projet de loi de finances pour 2019, les crédits de paiements affectés à l’entretien des monuments historiques, hors grands projets, ont diminué, en euros courants, de 2010 à 2012, avant de se stabiliser, toujours en euros courants, depuis 2013. Depuis longtemps, pourtant, les alertes se multiplient sur l’insuffisance criante de ces budgets, obligeant à privilégier des travaux d’urgence, tels ceux qui se déroulaient à Notre-Dame, plutôt qu’une approche véritablement planifiée.
Aujourd’hui, le drame est là, et il nous dépasse tous. Notre-Dame de Paris n’est pas qu’une cathédrale, pas seulement l’un des monuments majeurs de l’architecture européenne. C’est l’un des monuments autour desquels, pendant près de deux siècles, se sont constituées la protection et la déontologie françaises et mondiales des monuments historiques. L’émotion qui l’a entouré a montré combien ce drame était mondial, il nous reste à en percevoir toute la portée historique. C’est pour cela que nous, universitaires, chercheurs et professionnels du patrimoine, de France et du monde entier, nous permettons de nous adresser à vous, Monsieur le Président, pour vous demander, comme l’a si bien dit Jean Nouvel, de « laisser le temps du diagnostic aux historiens et aux experts avant de (vous) prononcer sur l ’avenir du monument ». Nous savons que le calendrier politique demande d’agir vite, nous savons combien une Notre-Dame mutilée pèse sur l’image de la France. Néanmoins, ce qui va se passer à Notre-Dame dans les années à venir nous engage, tous, bien au-delà de ce calendrier. L’enjeu de ces travaux dépassera les mandats politiques comme les générations, et c’est à leur aune que nous serons jugés.
Aussi ne venons-nous pas vers vous pour préconiser telle ou telle solution. C’est trop tôt. Que pourra-t-on faire ou ne pas faire, quels choix seront possibles ? Nous ne pouvons apporter de réponse à ce jour. Cela dépend de contraintes techniques qui sont fonction de l’état du bâtiment. Mais ces choix doivent aussi se faire dans le respect de ce qu’est Notre-Dame, plus qu’une cathédrale parmi d’autres, plus qu’un monument historique parmi d’autres, en ayant une approche scrupuleuse, réfléchie, de la déontologie. L’histoire de Notre-Dame de Paris fait que l’ampleur de l’incendie dépasse ses seules conséquences matérielles. Vous avez déclaré, Monsieur le Président, vouloir restaurer Notre-Dame. C’est notre souhait à tous, mais pour ce faire, n’effaçons pas la complexité de la pensée qui doit entourer ce chantier derrière un affichage d’efficacité.
Prenons le temps du diagnostic.
L’exécutif ne peut se passer d’écouter les experts, la France en forme parmi les meilleurs du monde. Nombre de ceux-ci se trouvent dans votre administration, au ministère de la Culture. Sachons reconnaître leur expertise, prenons le temps de trouver le bon chemin et alors, oui, fixons un délai ambitieux pour une restauration exemplaire non seulement pour le présent, mais aussi pour les générations à venir. L’excellence des savoir-faire des artisans et entreprises de France, leur expérience, celles de ses architectes, l’expertise de ses conservateurs, de ses historiens sont mondialement reconnues. La place à part de la cathédrale a attiré, à travers le monde, l’attention des universitaires et de nombreux programmes de recherche dont les résultats sont à notre disposition. Ces ressources françaises et internationales mettent les meilleures chances du côté de la France pour rétablir Notre-Dame de Paris dans sa dignité de symbole. Sachons les écouter. Faisons-leur confiance, faites-leur confiance, sans retard mais sans précipitation. Le monde nous regarde. Il ne s’agit pas d’un geste d’architecture mais de millions de gestes, humbles et experts, gouvernés par la science et le savoir, dans le cadre d’une politique patrimoniale renouvelée, ambitieuse et volontariste, soucieuse de chaque monument, qui redonneront à la cathédrale d’Hugo, de Viollet- le-Duc, la nôtre, la vôtre, sa place et sa fonction dans l’histoire et dans l’avenir.

(Fin de citation)
0
J'ai passé une partie de la matinée au Conseil d'Etat...

23 mai 2019.

23 mai 2019.

23 mai 2019.

23 mai 2019.

23 mai 2019.

... pour assister à l'audience au cours de laquelle a été examiné notre pourvoi dans l'affaire des permis de construire les éoliennes que l'on sait :

23 mai 2019.

23 mai 2019.

A ce stade de la procédure, c'est-à-dire à la 4ème manche, nous devrions être déboutés.

Mais il reste encore deux manches à jouer avant la fin de la partie. Et nous n'avons pas encore fait valoir les principaux atouts de notre jeu.

Je rappelle que la procédure a été engagée il y a quatre ans. Nous devrions encore en avoir pour une bonne année avant de sortir de ce tunnel. Victorieux, je le crois.
Reçu, cette après-midi, un groupe d'une dizaine de cyclotouristes venus du Nord de la France. Ils ont tenu à me régler des droits d'entrée alors que je leur disais que ce n'est pas nécessaire. Ils l'ont même fait très surabondamment, comme pour m'encourager dans mes travaux, ce qui est très sympathique de leur part.

En fait, je déclare des droits d'entrée aux gabelous pour me trouver dans la bonne case de leur usine à gaz, celle qui permet de reporter sur six exercices les déficits fonciers occasionnés à mes finances par notre manoir favori. C'est absurde, évidemment, mais qui croit encore que l'irrépressible logorrhée réglementaire de nos gouvernants ait le moindre sens ? Quant à moi, ma religion à ce sujet est faite depuis longtemps.

Très longtemps.
Club des fortunes à 100 milliards de dollars : Bernard Arnault rejoint Gates et Bezos.

N.D.L.R. : 100 milliards de dollars. 10 puissance 11. Quel sens cela a-t-il ? Il faut que je calcule...

Placée à la Caisse d'Epargne, cette somme rapporterait 668 millions d'euros par an, soit près de 2 millions d'euros par jour, soit de quoi s'offrir 4 Rolls-Royce neuves chaque jour que le Bon Dieu fait, et du modèle "Phantom" s'il vous plaît.

Mais, j'y songe, une nouvelle Rolls toutes les 6 heures, est-ce vraiment assez ?


Au train où vont les choses, on peut en douter...
Un coup de fil, hier, au bureau de Marc CAPPELAERE m'a appris que notre P.S.G. est passé devant la commission "ad-hoc" le 18 juin dernier. Comme une lettre à la poste, apparemment (expression qu'il faudrait modifier tant la poste marche mal par ici : pas de "Monde" deux jours de suite cette semaine, tous ces records étant hélas faits pour être battus).

D'après ce qui m'a été dit, il faut compter un mois pour que l'avis officiel me parvienne.

A l'occasion de cet appel, j'ai demandé les coordonnées d'un professionnel de la filière-bois qui pourrait enseigner à Francis la taille de formation et l'élagage. Il me semble qu'une session d'une demie journée devrait suffire.
Au courrier de ce jour, un numéro passionnant de la revue des "Vieilles Maisons Françaises", consacré au Calvados.

Est-ce parce que nous avons la chance d'avoir un resplendissant conservateur régional du patrimoine...

Stéphane ROCHAS.

... que le descendant de Guillaume le Conquérant qui se trouve être, présentement, le"délégué VMF du Calvados" s'est trompé à ce point dans le titre de notre assistant à la maîtrise d'ouvrage favori ?

En tout cas, ce numéro comporte un excellent article de ce dernier sur "Le classicisme à la mode de Caen", de surcroît remarquablement illustré.