Pouvoirs publics, élus locaux

Macron et l'éolien :

- "Nous financerons le développement des énergies renouvelables : d’ici à 2022, nous avons pour objectif de doubler la capacité en éolien et en solaire photovoltaïque."
- "Nous en finirons avec les procédures qui s’empilent, en raccourcissant et en simplifiant les procédures de déploiement des énergies renouvelables."

https://en-marche.fr/emmanuel-macron/le-programme/environnement-et-transition-ecologique (déroulez la page environ jusqu'à la moitié pour trouver les deux points cités ci-dessus).

N.D.L.R. : Ce candidat a des aspects inquiétants. De quels lobbys n'est-il pas déjà la marionnette ?
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : dimanche 23 avril 2017 08:10
À : DESMOULINS-HEMERY Servanne
Cc : Maffre Benoit; arnaud.tiercelin@culture.gouv.fr; Thibaud Fourcade
Objet : Chaslerie - (1) Projet de lettre à M. de Balorre (2) devis révisés de M. Bresson, menuisier.

Chère Madame,

Je fais suite à nos échanges du 21 avril dernier.

(1) Voici mon projet de courriel à votre président que je souhaite lui envoyer dès demain. J'espère qu'il n'est ni trop long, ni trop compliqué.

(Début de citation)

Monsieur le président et cher ami,

En ce lendemain de 1er tour des présidentielles, l'actualité immédiate est riche d'autres sujets de préoccupation et de réflexion mais je me permets de vous saisir d'un problème pratique et de vous en recommander des solutions dans la perspective d'une très proche réunion du "comité de pilotage" en charge des aides du département pour la restauration du patrimoine, protégé ou non, public ou privé.

Je voudrais en effet vous présenter deux propositions, l'une d'assouplissement et à moindre coût pour le département, l'autre de restriction qu'il me paraitrait souhaitable d'introduire dans le dispositif afin de le rendre à la fois plus juste et plus efficace.

Comme vous le savez, une "Charte" énumère les 4 critères à remplir pour bénéficier d'un taux de subvention de 5 à 20 % pour les travaux extérieurs sur immobilier privé, selon que l'on remplit 1 à 4 de ces critères.

1 - Dans le sens de l'assouplissement :

Alors que les 3 premiers critères sont spécifiques au bâtiment en cause, le 4ème est conçu d'une manière qui pose problème. En effet, le fait que le bâtiment soit "situé sur une commune labellisée 'petite cité de caractère'" peut, s'il est fait une interprétation trop stricte de ce label, conduire à exclure les bâtiments qui ne se trouvent pas au centre-ville d'une telle commune. Cela est évidemment absurde, tant pour des raisons touristiques que culturelles, historiques comme patrimoniales. En effet, il est clair que les citadelles comme Domfront n'ont leur plein intérêt touristique, culturel, historique comme patrimonial que si l'on veille à ne pas exclure les manoirs de la même commune qui en constituent à l'évidence l'"hinterland".

Je vous propose donc de ne pas limiter l'application de ce 4ème critère à une interprétation trop stricte de la définition administrative des "petites cités de caractère".

Il va de soi que le nombre de manoirs faisant l'objet de travaux de restauration et situés dans l'"hinterland" d'une "petite cité de caractère" est limité. De la sorte, le risque d'inflation de l'enveloppe que le département de l'Orne veut bien consacrer à la cause du patrimoine serait limité. Il le serait d'autant plus qu'en tout état de cause, il existe un plafond (15 000 euros) au montant de chaque subvention.

En fait, l'enjeu de cet assouplissement est de permettre un affichage d'un taux plein de la subvention dans un tout petit peu plus de cas. Je précise que, dans le cas de la Chaslerie, un tel assouplissement serait le bienvenu pour les raisons que connaissent tant la D.R.A.C. (et le fisc) que vos services.

2 - Dans le sens du durcissement :

Le 2ème critère de la charte en question vise à favoriser l'ouverture au public des bâtiments privés bénéficiaires. Il est ainsi prévu que leur propriétaire doit "s'engager pour une période de 5 ans à l'ouverture au public".

Pourquoi ne pas renforcer ce critère en exigeant désormais, en plus de l'ouverture au public, la participation à "Pierres en Lumières", festival dont le département de l'Orne est à l'origine et qui connaît un succès croissant parmi les propriétaires de monuments privés ?

Si cela vous pose problème de durcir ce critère, pourquoi ne pas réserver ce durcissement aux seuls monuments protégés situés sur le territoire d'une "petite cité de caractère" au sens assoupli ci-dessus ? Il me semble que ce serait là un compromis favorable à toutes les parties concernées, sans oublier les artisans électriciens, le plus souvent locaux pour des raisons de commodité, à qui seraient confiés lesdits travaux d'éclairage.

Je précise que la Chaslerie fait partie des monuments privés qui, bien que susceptibles de participer à ce festival, ne l'ont encore jamais fait (en raison du coût des projecteurs). Le coup de pouce suggéré au département que vous présidez serait, sans nul doute, de nature à la faire basculer, là aussi, du bon côté.

Je vous prie de bien vouloir signaler à vos services le sens dans lequel vous souhaitez que le "comité de pilotage" interprète ladite "Charte".

Je vous prie d'agréer, Monsieur le président, l'assurance de ma haute considération et de mes sentiments amicaux.

(Fin de citation)


(2) M. BRESSON m'a transmis hier ses devis révisés que je joins à cet envoi (il manque encore son récapitulatif mais je le lui ai demandé ; en attendant, j'en ai tapé un, que je joins également à cet envoi).

Comme je vous ai remis avant-hier mon exemplaire de l'étude préalable de 2016 de M. MAFFRE, je ne sais pas si ces derniers devis diffèrent de ceux que M. BRESSON avait établis l'an dernier. Je lui ai en effet mis la pression pour qu'il se montre moins gourmand, ce qui est, si l'on peut dire, son péché mignon.

Bien cordialement,

PPF

(Fin de citation)

P.S. du 25 avril 2017 : Mon courriel au président du CD 61 est parti hier matin, sans changement.

J'ai par ailleurs explicité, à l'intention de mes interlocuteurs (Mme DESMOULINS-HEMERY mais aussi, en l'état du dossier, M. MAFFRE et M. TIERCELIN), en quoi pourrait, selon moi, consister la 1ère tranche de travaux :

- si ma demande d'assouplissement de la doctrine du CD 61 est acceptée, la restauration (menuiserie et, en tant que de besoin, maçonnerie) de la porte principale du logis, des fenêtres de la cage d'escalier, de celles de la tour Sud-Ouest, ainsi que la fenêtre Sud de la "salle dévastée" (au 1er étage du logis) ;

- sinon, les mêmes plus la restauration des trois autres fenêtres de la "salle dévastée".

Il va sans dire que je préférerais nettement la première hypothèse.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 27 Avril 2017
Vie des associations - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - APIJOMM - api
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On sait que j'éprouve les plus grandes difficultés pour obtenir des services extérieurs ornais du ministère du travail et de leur mouvance un traitement du dossier de l'APIJOMM conforme à l'Etat de droit. Des décisions faisant grief y sont prises sans être notifiées comme elles le devraient ni, surtout, que les justifications n'en soient communiquées. L'APIJOMM est ainsi mise dans l'impossibilité de présenter sa défense. Plus généralement, elle se trouve entravée de ce fait dans sa mission d'insertion de jeunes sur le marché du travail.

Il est possible que ces difficultés de l'APIJOMM tiennent pour partie à ma personnalité. J'en fais ici l'hypothèse.

J'ai donc demandé ce matin à Hugues HOURDIN, actuellement vice-président de l'APIJOMM, s'il accepterait de me succéder à sa présidence. Hugues m'a répondu positivement et je l'en remercie. Le passage de relais fera l'objet d'une prochaine assemblée générale.

Hugues HOURDIN, petit-fils d'un ancien maire de Mortain, commune où il est résident secondaire, est conseiller d'Etat en disponibilité et avocat. Sa carrière professionnelle brillante témoigne de sa compétence en matière de relations du travail et de la richesse de son expérience, notamment en liaison avec le ministère du travail.

Tous nos vœux de succès l'accompagnent !
Chers Amis,

L'absence ou la relative pauvreté, dans le programme des candidats à l'élection présidentielle, de projet en matière de patrimoine, alors que ce domaine de l'action publique requiert toute leur attention, nous a incité à formuler des propositions concrètes.

Elles ont été diffusées en mars auprès des équipes de chacun des candidats et peuvent servir de référence pour l'avenir.

Les thèmes de l'enseignement, du patrimoine de l'Etat, du devenir des grandes demeures et de leur mobilier, des églises, des rapports à l'écologie et à l'aménagement du territoire y sont notamment abordés, avec un espoir : celui de remettre le patrimoine au cœur de la vie de chacun.

N'hésitez pas à diffuser largement notre projet, notamment auprès de vos parlementaires.

Avec mes remerciements.

Patrimonialement vôtre,

Alexandre GADY
Président de Sites & Monuments

Sites & Monuments - SPPEF
Association nationale reconnue d'utilité publique
39, avenue de La Motte-Picquet – 75007 Paris
01 47 05 37 71

https://twitter.com/SPPEF
www.facebook.com/sitesetmonuments
www.dailymotion.com/SPPEF
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 5 Mai 2017
Vie des associations - A.D.D.O.O.E. - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - APIJOMM - api
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Si je devais citer une seule mesure du programme d'Emmanuel MACRON qui m'incite à voter pour lui au second tour, ce serait la réforme du code du travail.

Ce code, absurdement surdilaté et mis en œuvre par des agents publics sur la neutralité et la compétence desquels j'en suis arrivé à m'interroger, est à lui seul, à l'évidence pour qui veut bien ouvrir les yeux, la cause d'une bonne partie du chômage, notamment des jeunes.

C'est en tout cas la conclusion que je tire de l'expérience que l'on sait.

La mise en œuvre de cette réforme indispensable ne sera pas une partie de plaisir. C'est pourquoi il faudrait que le prochain président de la République soit clairement investi de cette mission.

P.S. du 6 mai 2017 : Donc même moi, je n'aurais pas résisté au bourrage de crânes ambiant ?

Triste époque !

Non, ressaisissons-nous, ce n'est quand même pas possible de voter pour un tel individu !

Entre, d'un côté, une candidate vulgaire et dangereuse et, de l'autre, un individu duplice et porté par des médias inféodés aux lobbys, j'hésite encore entre le vote blanc et l'abstention. Il paraît en effet évident que la première n'a aucune chance de passer, donc on peut exprimer notre écœurement devant une campagne à ce point dévoyée.
Voici le texte du courriel que je viens d'envoyer au maire de Domfront-en-Poiraie, via le site de la ville :

(début de citation)

Message pour M. Bernard SOUL, maire de Domfront-en-Poiraie

Monsieur le maire,

Ne connaissant pas votre adresse de courriel, je vous communique ci-après la copie de mes échanges du jour avec Laurent MAZURIER, animateur national des "petites cités de caractère" :

(début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mardi 9 mai 2017 14:20
À : PCC France
Objet : RE: Label des "petites cités de caractère"

Cher Monsieur,

Je vous remercie pour cette réponse très claire qui permettra, je l'espère, de remédier à certaines insuffisances du travail des instances de Domfront-en-Poiraie en charge du tourisme.

Il semble en effet que, dans la préparation du dossier de labellisation de Domfront-en-Poiraie au titre des "petites cités de caractère", l'adjointe en charge du dossier ait omis de rappeler l'existence, autour de la citadelle, d'un certain nombre de manoirs, dont plusieurs protégés au titre des monuments historiques et ouverts à la visite du public.

Ce ratage dans la préparation du dossier, que l'intéressée ne reconnaît nullement puisqu'elle continue à affirmer "mordicus" et à répandre autour d'elle l'idée que votre label est strictement réservé aux centres-villes, est fâcheux pour la bonne présentation aux touristes de l'histoire de Domfront et de son patrimoine, du moins lorsque l'on souhaite que ce travail soit fait avec l'intelligence, la culture et la bonne foi souhaitables pour ce rôle.

Il semble d'ailleurs que, dans le prolongement de cette vision obtuse du dossier, l'office de tourisme local ne fasse guère d'efforts pour promouvoir la notoriété des monuments historiques en cause. A titre d'exemple, on a même remarqué des erreurs flagrantes de localisation de deux au moins de ces monuments sur les plaquettes diffusées à grands frais par cet office, erreurs qu'il n'a, hélas, pas davantage été possible de faire corriger.

Je communique la copie de cet échange à M. Bernard SOUL, maire de Domfront-en-Poiraie, en le priant de bien vouloir veiller à une meilleure qualité du travail de ses collaborateurs en charge de la promotion des atouts locaux ainsi que, dans la mesure du possible, de l'office local du tourisme.

Cordialement,

Pierre-Paul FOURCADE



De : PCC France <petitescitesdecaracterefrance@gmail.com>
Envoyé : mardi 9 mai 2017 10:00
À : Pierre-Paul Fourcade
Objet : Re: Label des "petites cités de caractère"

Bonjour,

Pardon de ma réponse tardive, nous avons un congrès national cette semaine qui m'a un peu mobilisé

Le label Petites Cités de Caractère est aujourd'hui attribué à des communes sur la base d'un périmètre protégé qui est en général le cœur de la cité. Cela correspond à des dispositifs relevant du code du patrimoine et du code de l'urbanisme (zppaup, avap, site patrimonial remarquable)

Il arrive parfois que ce périmètre de protection soit étendu à des hameaux ou des monuments éloignés du cœur de ville, mais cela est rare.
Cela correspond aux critères de notre charte qui cherche à valoriser des ensembles architecturaux et urbains davantage que des édifices

Cela n'empêche pas les communes dans leurs actions de valorisation et d'interprétation de prendre en compte d'autres édifices bien évidemment.

Cordialement
Laurent Mazurier



Le mar. 9 mai 2017 à 09:30, Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com> a écrit :

Bonjour !

Auriez-vous l'obligeance de me répondre ?

D'avance merci.

Salutations distinguées,

PPF


De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : lundi 24 avril 2017 08:09
À : petitescitesdecaracterefrance@gmail.com
Objet : Label des "petites cités de caractère"

Bonjour !

Est-il vrai que votre label est réservé aux centres-villes ?

Je vous pose la question car on m'explique qu'à Domfront-en-Poiraie, le périmètre labellisé se limite à la citadelle.

Cela paraîtrait absurde dans la mesure où il ne serait pas tenu compte des manoirs et autres MH situés sur le territoire de la même commune et que tout, sur les plans historique, patrimonial, touristique etc relie à la citadelle.

Merci pour votre réponse.

Salutations distinguées,

PPF
Propriétaire du manoir de la Chaslerie
www.chaslerie.fr

(fin de citation)

Bien cordialement. A très bientôt,

PPF

(fin de citation)
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mercredi 10 mai 2017 03:57
À : e.tranchido@crbn.fr
Objet : Politique de la région en faveur du patrimoine

Bonjour !

J'ai appris que notre Région entend "Définir et mettre en œuvre une nouvelle politique en faveur de la préservation, de la restauration et de la valorisation du patrimoine".

Pourriez-vous me donner quelques informations sur les moyens mis en œuvre et la possibilité de les mobiliser, sachant que je restaure dans l'Orne un monument historique classé, ouvert au public tout au long de l'année ?

D'avance merci.

Cordialement,

Pierre-Paul FOURCADE
Manoir de la Chaslerie, La Haute Chapelle, 61700 - Domfront-en-Poiraie
02 33 37 08 10
www.chaslerie.fr

(Fin de citation)

J'ai posé la même question à Catherine MEUNIER, vice-présidente de la Région Normandie et maire-adjointe de Domfront-en-Poiraie.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 12 Mai 2017
Vie des associations - A.D.D.O.O.E. - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - APIJOMM - api
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Réunion hier après-midi, à ma demande, à la mission locale de Flers. C'était la première fois que je rencontrais son directeur, M. LERESTIF et ma correspondante habituelle, Mme LEROYER.

La réunion s'est déroulée dans un excellent climat et a été très utile puisqu'elle a permis de faire le point sur les problèmes rencontrés par l'A.D.D.O.O.E. et d'évoquer les progrès que marque l'APIJOMM par rapport à cette dernière.

En ce qui concerne l'A.D.D.O.O.E., il semble qu'un rapport de l'inspection du travail ait entraîné le blocage du dossier. J'ai fait part de mon grand étonnement de découvrir l'existence de ce rapport et, surtout, de son contenu, tel qu'il m'a été résumé, puisqu'il semble être ni plus ni moins qu'un tissu d'âneries dont on peut se demander où elles ont pu être glanées. A l'évidence, si ce document m'avait été communiqué comme cela aurait semblé normal, on aurait évité bien des malentendus et, de la part de la DIRECCTE, des décisions aberrantes.

S'agissant de l'APIJOMM, j'ai expliqué que, tirant parti de l'expérience malheureuse de l'A.D.D.O.O.E. qui aura ainsi essuyé les plâtres, tout y était fait pour fournir à des jeunes un excellent cadre pour se former utilement. M. LERESTIF m'a suggéré que le futur président de l'APIJOMM, prenne contact avec la directrice de l'UD61 de la DIRECCTE. Je vais donc prier Hugues HOURDIN, qui a bien voulu accepter le principe de me relayer, de se munir de sa canne et de son chapeau pour rendre visite à Mme GUILLEMOT-RIOU à Alençon afin d'éclairer son appréciation du dossier. Je l'accompagnerai sans doute.

Dans l'immédiat, je vais rédiger le compte rendu de cet entretien et l'adresser à toutes les personnes qui ont bien voulu se pencher sur le berceau de l'APIJOMM, dont Jean Claude LENOIR, Christophe de BALORRE et Jean-Marc BISSON, de manière à les rassurer puisque, comme moi, ils ne manquaient pas d'être perplexes à propos du traitement du dossier depuis un bon trimestre.
La page "Facebook" de 'Ville de Domfront-en-Poiraie' annonce que, lors de la prochaine séance de conseil municipal, seront désignés les représentants de la ville auprès de l'association des "Petites cités de caractère".

En commentaire à ce message, j'avais formulé le vœu que la ville veille à ce que ses représentants aient un minimum de compétence.

Apparemment, c'est trop demander. Mon commentaire a en effet été censuré par le cerbère de service.

Tout donne donc à penser que la municipalité entend continuer à laisser les mains libres à des individus qui oublient que la promotion du patrimoine local ne saurait exclure les manoirs environnants.

Que l'on compte sur moi pour le rappeler, ici et ailleurs, autant de fois et aussi longtemps qu'il le faudra !

P.S. (2 heures plus tard) : en messagerie privée de "Facebook", l'on m'apprend que mon commentaire a été retiré par erreur et l'on m'invite à le redéposer.

A mon avis, ce message de notre site favori est bien parvenu aux élus concernés, donc je m'en tiens là pour le moment.
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Aeolian parks are useless, explains the Duke of Edinburgh.
(By Jonathan Wynne-Jones)

The Duke of Edinburgh made a fierce attack on the wind farms, describing them as "absolutely useless."

The Duke's views are politically charged, as they put him at odds with the Government’s policy
In an onslaught of distress over the onshore wind industry, the Duke said the farms were "a shame".
He also criticized the industry's dependence on electricity customers' subsidies, claimed wind farms would never "work" and accused those who support them of believing in a "fairy tale."
The comments of the Duke will be seized by the booming lobby that says wind farms are ruining the countryside and forcing energy bills.
Criticism of their effect on the environment has risen, with The Sunday Telegraph revealing today that turbines are extinguished in strong winds following complaints about their noise.
The Duke's views are politically charged, as they put him in contradiction with government policy to dramatically increase the amount of electricity produced by the wind turbines.
The country has 3,431 turbines - 2,941 of them on land - and another 4,500 are expected to be built on wind power plans to play a larger role in the supply of British energy.

Chris Huhne, secretary of energy, last month called the opponents of the curmudgeons and fault-finders plans and described the turbines as "elegant" and "beautiful".
The duke's attack on the turbines, considered the first public point of view on his point of view, began a conversation with the CEO of a major wind company.
When Esbjorn Wilmar of Infinergy, who builds and operates turbines, presented himself to the Duke at a reception in London, he ended up at the end of a frank attack on his industry.
"He said they were absolutely useless, totally dependent on subsidies and absolute shame," Wilmar said. "I was surprised by his very frank views."
Wilmar said his attempts to argue that land-based wind farms were one of the most profitable forms of renewable energy received from a strong reaction from the Duke.
"He said," You do not believe in fairy tales, do you? "Said Mr Wilmar." He said they would never work because they need a rescue capability. "
One of the main arguments of the anti-wind lobby is that, because turbines do not produce wind-free electricity, there is still a need for other means of generating energy.
Their proponents argue that it is possible to build "pump storage" systems, which would use the excess energy of wind power to pump water into reservoirs to generate more electricity during periods High demand and low supply.
Last year, electricity customers paid an average of £ 90 per year to subsidize wind farms and other forms of renewable energy as part of a government system to meet carbon.
Mr. Wilmar said that one of the main reasons why the Duke believed that the terrestrial wind farms were "a very bad idea" was their dependence on these subsidies.
The generous financial incentives offered to green energy developers have led landowners to seek to build wind farms in their estates, including the Duke of Gloucester, the queen's cousin.
Prince Philip, however, said he would never consider allowing his land to be used for turbines, which can reach up to 410 feet in height, and he deplored their impact on the countryside.
Mr. Wilmar said: "I suggested to him to put them on his estate, and he said:" You are moving away from my property young man. "
"He said he thought they were not nice at all for the scenery."
The Duke's comments echo the complaints of his son, the Prince of Wales, who refused to build the land of the duchy of Cornwall.
However, a turbine will be erected opposite Mey Castle in Caithness, where it remains for a week every August if a farmer succeeds in obtaining a planning permission from the Highland Council.
Although they oppose land-based wind farms, the royal family can earn millions of pounds from those who are placed abroad.
Last year, Crown Estate, the land and real estate portfolio of 7 trillion pounds, approved an increase in the number of sites around the coast of England. The Crown Estate has nearly 7,700 miles of British seabed.

Experts predict that the growth of offshore wind farms would be worth £ 250million per year. Britain has 436 offshore turbines, but within a decade that figure will reach almost 7,000. Starting in 2013, payments from the Royal Family Civil List will be replaced and instead they will receive 15 Of Crown Estate's profits, although the Queen, Duke, Prince of Wales and other family members have no say How the estate makes its money.Mr. Wilmar was at the reception last week in Chelsea, west of London, marking the 70th anniversary of the Council of Christians and Jews where the Queen and the Duke were guests of honor. The Dutch business company describes itself as Determined to preserve the planet. Infinergy, which is a subsidiary of the Dutch company KDE Energy, intends to build on a number of sites across the country, from northern Scotland to Totnes in Devon.Mr. Wilmar says land turbines are less dependent on subsidies and more profitable than those built in the sea. "If you go offshore, it costs you twice as much as being landed because you have to launch bases in the sea. Sea, "he said. "It's very costly for very obvious reasons." Two-thirds of the country's windmills belong to foreign companies, which are expected to raise $ 500 million a year in grants. A spokesman for the Duke said Buckingham Palace would not decide on a private conversation.

N.D.L.R. : Il est très bien, ce Duc !
La lecture du numéro du "Monde" daté de ce jour m'apprend que trois au moins des directeurs de cabinet des nouveaux ministres ne me sont pas inconnus.

Je les cite dans l'ordre protocolaire de leurs patrons. Il s'agit de Michèle PAPPALARDO (au ministère de la transition écologique et solidaire), Gilles de MARGERIE (au ministère des solidarités et de la santé) et Marc SCHWARTZ (au ministère de la culture).

Deux d'entre eux avaient cherché à me seconder lors d'une vie antérieure tandis que j'ai été, pendant 25 mois, le collaborateur du père du troisième.

Je vais leur adresser de ce pas (soyons "en marche" pour une fois) un mot de félicitations et d'encouragement !

Quant au directeur de cabinet du Premier Ministre, Benoît RIBADEAU-DUMAS, je ne crois pas avoir déjà rencontré ce double camarade mais l'un de ses parents était mon collègue au Trésor et prédécesseur à l'agence financière de l'ambassade de France à Londres (juste avant Elisabeth GUIGOU).

Ce monde est si petit...
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 30 Mai 2017
Journal du chantier - Administration - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
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(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : mardi 30 mai 2017 10:51
À : LE TELLIER Christelle
Cc : FRANCILLON DEWALD Marine; TRANCHIDO Emmanuelle; AUBIN Vincent; dHarcourt Isabelle
Objet : RE: Politique de la région en faveur du patrimoine

Chère Madame,

Merci pour ces infos.

Je suis, en liaison avec la "Demeure Historique" dont je préviens notre déléguée régionale, Isabelle d'HARCOURT, à votre disposition pour rechercher quels dispositifs existent déjà dans d'autres régions.

Cordialement,

PPF


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De : LE TELLIER Christelle
Envoyé : mardi 30 mai 2017 10:41
À : 'penadomf@msn.com'
Cc : FRANCILLON DEWALD Marine; TRANCHIDO Emmanuelle; AUBIN Vincent
Objet : RE: Politique de la région en faveur du patrimoine

Bonjour Monsieur Fourcade,

Le Président de la Région Normandie Hervé Morin a, en effet, présenté le 3 mai dernier à Elbeuf les grandes lignes de la nouvelle politique régionale en matière de culture et de patrimoine.

Le service patrimoine et attractivité créé en septembre dernier a été chargé de mettre en application les orientations politiques données en matière de patrimoine et a commencé l’écriture de nouveaux dispositifs :
- 2 dispositifs vont être votés à l’assemblée plénière d’automne 2017 :
o Un dispositif de soutien aux expositions en lien avec le patrimoine,
o Un dispositif de valorisation du patrimoine public normand au travers de la création artistique
Dès le vote de ces 2 dispositifs, le service patrimoine peut vous transmettre les notices à titre d’information si vous le souhaitez, sachez toutefois, que le bien que vous restaurez ne sera pas éligible à ces dispositifs (pour les expos, sont éligibles les sites labellisés musées de France, pour le second, le site doit être la propriété d’une collectivité publique)

En revanche, notre service poursuit son travail de proposition de dispositifs de soutien au patrimoine, deux dispositifs sont prévus pour le 1er trimestre 2018 :
- L’un concerne l’investissement, en complément des aides apportées par la Direction Régionale des Affaires Culturelles en région, la Région va proposer une aide à l’investissement pour couvrir des travaux de restauration de patrimoine bâti classé, les critères restent à écrire, la cible n’est pas encore précisément définie,
- Le second concerne la mise en place d’un fonds pour le financement d’étude diagnostic sanitaire de patrimoine bâti, là encore, tout n’est pas encore défini.

Je joins à ce mail la plaquette distribuée lors de l’intervention de Monsieur le Président le 3 mai dernier, et reste à votre disposition pour tout complément,

Cordialement,

Christelle LE TELLIER
Chargée de mission
Service Développement du patrimoine et attractivité
Direction de la Culture et du patrimoine
Région Normandie– site de Caen
christelle.letellier@normandie.fr Tél : 02.31.06.96.12

_____________________________________________

De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : mercredi 10 mai 2017 03:57
À : e.tranchido@crbn.fr
Objet : Politique de la région en faveur du patrimoine

Bonjour !

J'ai appris que notre Région entend "Définir et mettre en œuvre une nouvelle politique en faveur de la préservation, de la restauration et de la valorisation du patrimoine".

Pourriez-vous me donner quelques informations sur les moyens mis en œuvre et la possibilité de les mobiliser, sachant que je restaure dans l'Orne un monument historique classé ouvert au public tout au long de l'année ?

D'avance merci.

Cordialement,

Pierre-Paul FOURCADE
Manoir de la Chaslerie, La Haute Chapelle, 61700 - Domfront-en-Poiraie
02 33 37 08 10
www.chaslerie.fr

(Fin de citation)

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 7 Juillet 2017
Vie des associations - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - APIJOMM - api
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Coup de fil ce matin de la M.S.A. (une certaine Mme CAVALIER, très bienveillante) pour m'annoncer qu'en vertu d'un "dispositif FILLON", j'ai droit à un remboursement significatif des charges sociales que j'avais réglées pour Benjamin.

J'ai profité de cet appel pour demander comment remplir la déclaration de salaires que la M.S.A. attend de moi au titre du 2ème trimestre 2017. Le moins qu'on puisse dire est que tout cela n'est pas simple. Mon interlocutrice s'étonnait que je n'aie pas chargé un comptable de cette tâche.

Et puis quoi encore ? Si même un énarque ne comprend rien à leurs foutus imprimés, où va-t-on, à part dans le mur ? Je vous le demande.

P.S. du 9 juillet 2017 : Ayant égaré le papier où j'avais noté les indications données par Mme CAVALIER pour remplir la déclaration de salaires en question et constatant que le site internet de la M.S.A. témoigne d'une confusion d'esprit tout à fait exceptionnelle de la part de son auteur, je serai obligé de rappeler demain mon interlocutrice.

Les formulaires de la M.S.A. sont un exemple-type de ce que l'administraaaâââtion sait produire à tire-larigot pour pourrir la vie des administrés.

Encore une administraaaâââtion à vau-l'eau dans ce pays ! On en crève !

P.S. 2 (du 10 juillet 2017) : Grâce à une employée du service "Cotisations" de la M.S.A., ce tableau est rempli. Mais, pour arriver à me connecter au site de cet organisme, il faut appeler quelqu'un d'autre. Et merde !
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 25 Aout 2017
Vie des associations - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - APIJOMM - api
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Reçu un coup de fil d'Atout-Services (02 33 31 40 56 ; il s'agit de l'entité que je paye pour être en règle dans l'établissement des bulletins de salaire de l'APIJOMM, c'est-à-dire, à ce jour, du seul Benjamin ; un vrai casse-tête chinois compte tenu d'une réglementation foisonnante et imbitable, à moins d'y passer des heures et des heures). Ils me demandent quelle est la situation de Benjamin en matière de prévoyance, un régime obligatoire, me déclarent-ils, depuis le 1er janvier dernier. Il paraît qu'il faudrait que je téléphone à l'IRCEM (03 20 45 57 00) pour savoir quels sont le montant des cotisations que je devrais à cette entité à ce titre et la date d'affiliation pertinente pour ce régime. Accessoirement, il faudrait que je leur demande si la dette est rétroactive. En d'autres termes, encore des charges et de la paperasse !

Quand donc toutes ces administraaaâââtions comprendront-elles enfin qu'elles devraient laisser la paix aux employeurs, ? Pays irréformable, d'après le Jupiter en charge.

A dire vrai, j'ai le vague souvenir d'avoir reçu dernièrement de la doc de je ne sais qui (un autre truc qui s'appelle, je crois, "Humanis") sur cette histoire. Comme cette littérature était longue, jargonnante et sans intérêt évident, elle a dû atterrir rapidement au panier, au milieu de tout un tas de prospectus divers qui encombrent régulièrement ma boîte aux lettres.

Bref, je regarderai ça quand j'en aurai le temps.
M'est avis que ce n'est pas demain la veille.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 13 Septembre 2017
Vie des associations - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - APIJOMM - api
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Sur sa page Facebook, la ville de Domfront-en-Poiraie a mis hier en ligne le message suivant :

(Début de citation)

Dans les jours à venir, les personnes hébergées au centre d'accueil et d'orientation de Perrou seront dirigées vers des appartements sur La Ferté-Macé et Domfront-en-Poiraie.


Un groupe de bénévoles se constitue actuellement sur La Ferté. L'objet de la réunion de demain est de constituer un autre groupe pour le secteur de Domfront. ? Pratique : mercredi 13 septembre à la salle communale de Perrou à 18h.

Ordre du jour :
Le cadre d'intervention des bénévoles :
- présentation du cadre CAO / Coallia
- le statut des migrants.
Les bénévoles :
- passage de la gestion du collectif de Perrou à celle des appartements,
- organisation de groupes de bénévoles (référents par appartement, conversation/initiation au français, accompagnements "coup de main", activités...),
- constitution d'un groupe de bénévoles.

(Fin de citation)

Ce message se référait à un récent article paru dans le "Publicateur Libre".

Sur cette base, j'ai pris contact avec Gilles LEROY, de l'ARED (Accueil des réfugiés en Domfrontais) ; je dois le rencontrer vendredi prochain à ma cantine favorite.

Je me dis que l'APIJOMM pourrait peut-être donner un coup de main à l'ARED pour faciliter l'insertion de ces jeunes Erythréens (si je comprends bien) sur le marché local du travail.

On se souvient que mon premier essai de "contrat aidé" avait tourné court, le jeune Français à qui j'avais fait confiance s'étant révélé désireux de développer dans le cadre de notre manoir favori sa conception de la lutte des classes (surtout, il est apparu ici que ce garçon est malhonnête). Comme le Gouvernement vient, comme on le sait, de donner un coup d'arrêt aux "contrats aidés", je tiens peut-être là le début d'une piste pour relancer l'APIJOMM.

P.S. (du 15 septembre 2017) : Et zut, j'ai posé un lapin à M. LEROY ! Je croyais qu'on était jeudi, cet aller-retour à Paris m'a perturbé. Je vais essayer de reprendre contact.