Pouvoirs publics, élus locaux

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 23 Décembre 2023
Vie des associations - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux
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(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : samedi 23 décembre 2023 23:41
À : Cecile Cormier
Objet : RE: mise en demeure

Madame,

Vous reconnaissez enfin que je ne cesse de demander des documents qui auraient dû m'être transmis avant que vous n'adressiez "au nom du bureau" les convocations à la prétendue assemblée générale dissolutive. J'en suis heureux.

Je vous présente mes meilleurs vœux que vous compreniez un jour quelque chose à la légalité en matière associative. Je tâcherai de vous y aider, même si une telle mission m'est d'ores et déjà apparue très difficile et, peut-être, dépasser mes forces.

PPF

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De : Cecile Cormier
Envoyé : samedi 23 décembre 2023 20:37
À : penadomf@msn.com <penadomf@msn.com>
Objet : mise en demeure

Monsieur l'ex-vice-président de l'association Domfront Patrimoine,

Les comptes-rendus du C A du 30 novembre et de l'Assemblée générale dissolutive du 14 décembre vous seront envoyés en même temps qu'à tous les adhérents après la réception du récépissé de l'acte de dissolution de l'association susdite.
Au même titre que tous les autres membres, vous êtes prié d'attendre jusque-là.

N.B. : Si vous aviez été présent lors de l'Assemblée générale dissolutive, vous auriez eu connaissance immédiatement des documents que vous ne cessez de demander. En outre, votre absence était non-excusée.

C. CORMIER

(Fin de citation)
Je m'attelle à la lecture de la dernière version de l'"étude de diagnostic d'ensemble".

A cette occasion, je vais commencer par vérifier si mes remarques précédentes ont été prises en compte puis noter celles qu'il me paraîtrait utile d'ajouter éventuellement.

Gros travail peu confortable pour moi qui ne dispose guère que d'un tout petit bureau pour étaler les documents nécessaires :

24 décembre 2023.


L'état de ma chambrette monacalo-monastique n'est guère plus reluisant :

24 décembre 2023.


La première question que je me pose est de savoir si mes nouvelles remarques devront être présentées en poursuivant la numérotation au-delà de 281 ou si je ne pourrais pas me contenter de "bis" au sein de la numérotation précédente.

En tout état de cause, ma première nouvelle remarque concerne le nom de "Domfront en Poiraie". Vérification faite, il n'y a pas de traits d'union, contrairement à "La Haute-Chapelle". Ma remarque "3" précédente était donc erronée. Ceci étant, je ne saurais rectifier la même faute dans le bandeau du site favori...
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Dimanche 24 Décembre 2023
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Pouvoirs publics, élus locaux - "Projet MORIN"
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(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : dimanche 24 décembre 2023 08:48
À : Bernard Soul <bernard.soul@orange.fr>
Cc : MEUNIER Catherine <Catherine.MEUNIER@normandie.fr> ; Chantal Jourdan <chantal.jourdan@assemblee-nationale.fr>; Jérôme nury Wanadoo <jerome.nury@wanadoo.fr>; AUBIN Vincent <vincent.aubin@normandie.fr>; CAILLET Florence <caillet-baraniak.florence@orne.fr>
Objet : "Projet MORIN" - Demande d'accès au dossier.

Monsieur le maire,

Par courriel ci-après du 10 novembre dernier, je vous ai demandé, à titre individuel, communication des pièces du "projet MORIN" (quelle que soit sa dénomination actuelle). Ce courriel portait également sur d'autres questions.

Vous ne m'avez nullement répondu.

Or il ne peut vous échapper qu'en application des dispositions du code des relations entre le public et l'administration (chapitre 1er : Communication des documents administratifs (art. L311 à R311-15)) :
- cette communication est de droit,
- votre silence continu à son sujet pendant la période d'un mois qui a suivi ma demande vaut refus tacite de communication
- de sorte que je suis désormais en position de saisir de votre refus la commission d'accès aux documents administratifs dès lors que je m'y prendrais avant le 10 février prochain (si je compte bien).

Désireux de ne pas en arriver là et toujours partisan d'échanges fructueux entre interlocuteurs compétents et de bonne foi, je vous rappelle que j'ai confirmé par courriel du 21 décembre dernier ma demande d'un entretien avec vous. Cet entretien pourrait fournir l'occasion de lever tout malentendu entre nous si, par extraordinaire, il en demeurait.

Je prolonge ce courriel-ci pour renouveler, en tout état de cause, les vœux d'excellente année 2024 que je formule à votre intention et à celle de vos conseillers municipaux.

Bien cordialement,

PPF

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De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : vendredi 10 novembre 2023 22:48
À : Bernard Soul <bernard.soul@orange.fr>
Cc : MEUNIER Catherine <Catherine.MEUNIER@normandie.fr> <catherine.meunier@normandie.fr>; Chantal Jourdan <chantal.jourdan@assemblee-nationale.fr>; Jérôme nury Wanadoo <jerome.nury@wanadoo.fr>; Membres du bureau de "La SVAADE" ; AUBIN Vincent <vincent.aubin@normandie.fr> ; CAILLET Florence <caillet-baraniak.florence@orne.fr>
Objet : (1) "Projet MORIN" - Demande d'accès au dossier (2) Demande de contacts

Monsieur le maire,

Comme vous le savez, j'ai l'honneur d'œuvrer très activement depuis bientôt trente-trois ans au "développement du tourisme médiéval domfrontais". Je le fais notamment à travers un monument historique basé sur le territoire communal et constamment ouvert au public depuis l'été 1991. Vous êtes témoin du fait que ces efforts, désormais très activement relayés par l'association "La SVAADE" que j'ai contribué à fonder, rencontrent l'intérêt de plus en plus large du public et participent au rayonnement culturel et touristique du territoire grâce à un programme soutenu de concerts de qualité proposés au public à des prix statutairement maintenus bas, bientôt pour la cinquième année consécutive. A ce propos, la subvention de 1 500 € attribuée chaque année depuis deux ans par votre municipalité permet de couvrir une partie du déficit d'exploitation de cette activité d'animations culturelles et je crois pouvoir me faire le relais du bureau de "La SVAADE" pour vous dire avec gratitude que nous vous en sommes tous très reconnaissants, de même que du prêt de chaises et du soutien de l'office de tourisme en matière de billetterie. Mais, en vérité, "La SVAADE" peine beaucoup à trouver d'autres sources de financement, notamment au niveau du département de l'Orne et de la Région Normandie. A ce sujet, tout contact utile que vous pourriez nous communiquer (de même que les élus et agents de collectivités territoriales que j'ai mis en copie) nous serait des plus précieux.

Par ailleurs, en ma qualité d'électeur communal, je vous prie de bien vouloir me communiquer les pièces du "projet MORIN" (quelle que soit sa dénomination actuelle), en particulier les traces écrites - au-delà des revues de presse - des échanges entre la Région Normandie et la commune de Domfront-en-Poiraie ainsi que les pièces attestant de l'activité de la commune pour mettre en œuvre cet ambitieux et remarquable projet. Bien entendu, ce sujet intéressant également au premier chef "La SVAADE", j'ai également mis en copie, par souci de transparence, les membres de son bureau.

D'avance je vous remercie pour vos réponses à ces deux demandes. J'imagine que "La SVAADE" vous fera part, de son côté et le moment venu, de ses propres vues et réflexions à ces sujets.

Bien cordialement,

PPF

(Fin de citation
Cet auteur gagnera-t-il en notoriété en plus des 20 000 € qui, paraît-il, lui seraient promis ?

En tout cas, voici le "fer de lance du projet touristique" de Domfront en Poiraie - rien de moins - autrement dit du "projet MORIN", que nous annonce "Ouest-France" ce matin :


Cet auteur a de beaux yeux et se montre bien aimable de citer le manoir favori, comme il convient. Mais de quel genre d’œillères l'avait-on équipé pour qu'il n'y mette jamais les pieds alors même que je n'avais pas manqué de l'y inviter dès l'annonce de sa nomination ?

Ne serait-il pas grand temps que la population domfrontaise se préoccupe de l'usage qui est fait, depuis cinq ans, de l'argent public consacré au "projet MORIN" ? A part les très coûteux honoraires d'intervenants hors-sol et la restauration de la passerelle du château, on n'a toujours rien vu de probant. Et les dernières annonces sur le projet de "halle gourmande" dans l'ancien tribunal ne manquent pas d'inquiéter, ne serait-ce que parce que tout semble continuer à être monté "en catimini", au point que de mauvais esprits - s'il en existe - pourraient presque en arriver à se demander pourquoi.

De ce point de vue, la fondation de "Domfront-Patrimoine au Carré" le 8 décembre dernier est tombée à pic pour aider tous ceux qui, à quelque titre que ce soit, se préoccupent de ce dossier à s'informer et, d'abord, tout simplement, à obtenir enfin communication de ses pièces !
Dans sa séance du 14 décembre dernier, le conseil municipal de Domfront en Poiraie avait adopté la délibération suivante :


Je me suis rendu ce matin en mairie où, m'exprimant à trois titres, j'ai fait part de quelques observations :


Ce n'est pas du grand PPF mais on voudra bien s'en contenter pour cette fois.
Cher Ami , Bravo pour l'article dans Ouest France je vois que vous y êtes mentionné avec mon fils Arnaud ! J'ai lu son roman en avant première et y ai retrouvé avec plaisir le manoir de La Chaslerie où s'y situent des scènes marquantes qui donnent envie d'aller le visiter.

N.D.L.R. : Monsieur le député, vous me faites beaucoup d'honneur de vous souvenir de moi. Je me rappelle en effet vous avoir croisé dans l'entourage de Michel BARNIER à l'époque où j'aidais notre ami commun à se préparer à une émission périodique à la télé où il côtoyait Gérard LONGUET (pour le P.R. de l'époque), Pierre ZARKA (pour le P.C.F.) et Gérard BAPT (pour le P.S.). Ce devait être avant 81, ce qui ne nous rajeunit guère.

Aurez-vous l'occasion de venir dans notre partie du bocage ? Si oui, je vous expliquerais avec plaisir les aspects médiévaux du manoir favori, un sujet de nature à enthousiasmer le président MORIN. Il doit, d'après le "Ouest-France" du jour, venir à la mi-avril à Domfront. Ce serait "super" de pouvoir vous recevoir ensemble à la Chaslerie !

Puisque la période est aux vœux, en voici un que je forme avec plaisir, comme celui du succès de l'ouvrage de votre fils que je lirai donc avec un intérêt redoublé !
Je lui en avais d'ailleurs parlé, me souvenant, évidemment des importants travaux de restauration que vous y avez conduits. Il m'a dit avoir beaucoup regretté de n'avoir pu vous rendre visite comme il l'espérait, débordé qu'il était par le travail. Au plaisir de vous revoir, peut-être à Domfront lors de la sortie de son livre.
Front Populaire
rédigé le Mercredi 27 Décembre 2023
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Pouvoirs publics, élus locaux - Anecdotes
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L'incendie de Notre-Dame de Paris, une affaire d'État
Nicolas Granié
24/12/2023

CRITIQUE. L’enquête sur l’incendie de Notre-Dame de Paris du 15 avril 2019 est toujours en cours. Saura-t-on un jour la vérité sur ses causes ? Ce qui intéresse surtout le fondateur et directeur de la rédaction de La Tribune de l’Art Didier Rykner, dans son livre Notre-Dame : une affaire d’État (ed. Les Belles Lettres), c’est l’occultation forcenée des responsabilités des uns et des autres, à commencer par celle de l’État, propriétaire et responsable de l’entretien et de la sécurité de l’édifice.


La détresse se lisait sur le visage de ces milliers de badauds assistant au drame aux alentours de l'édifice. Le 15 avril 2019, un violent incendie consumait en partie la cathédrale Notre-Dame de Paris. Avec l’aide de centaines de pompiers, le pire était évité, à savoir l’effondrement de l’édifice. Un miracle ? D’une certaine façon, oui, l’autel et la croix étant intacts, et la plupart des œuvres ont pu être sorties à temps. Dans un livre aux aspects de bilan, Didier Rykner, ardent défenseur du patrimoine et fondateur de La Tribune de l’Art, ne cache pas son exaspération de voir les responsabilités des uns et des autres être occultées.

Plus de quatre ans après ce terrible événement, les causes de l’incendie ne sont toujours pas connues. L’enquête suit son cours. « Un délai anormal », souligne l’auteur après en avoir discuté avec plusieurs spécialistes, reconnaissant que la piste criminelle est définitivement écartée. À l’heure actuelle, la seule quasi-certitude concerne le point d’origine de l’incendie, situé à la base de la flèche, du côté sud-est. Quant aux causes, les experts n’excluent toujours pas l’utilisation de scies électriques sur le chantier, des mégots de cigarette ou encore le dysfonctionnement des cloches. Saura-t-on un jour ce qui a provoqué cet incendie ? Peut-être pas.

De graves manquements préexistants à l'incendie

L’intérêt de ce livre est avant tout de souligner les graves manquements préexistants à l’incendie. Au moment où retentit la sirène d’alarme à l’intérieur de la cathédrale, aux alentours de 18h20, aucun pompier n’était présent sur place. Seul un agent SSIAP, du nom de sa formation (Service de sécurité incendie et d’assistance à personnes), s’occupait de la sécurité. Pis, il venait tout juste d’arriver à ce poste. Cet agent, en pause, s’est trompé dans la localisation de l’incendie, lequel ne s’est pas produit dans les combles de la sacristie comme il le supputait, mais dans ceux de la nef. Une série de dysfonctionnements liés à la volonté de réduire les coûts de surveillance sur le chantier en cours. Comment l’État a-t-il pu ainsi laisser l’un de ses joyaux se détériorer depuis des dizaines d’années ?

Le patrimoine national ne constitue plus une priorité pour nos élites. En 2016, la ministre de la Culture d’alors, Audrey Azoulay, avait mis sous le boisseau un rapport alarmant sur les risques d’incendie dans la cathédrale, tandis que dans le même temps, elle validait un budget de plus de 450 millions d’euros sur sept ans pour transformer le Grand Palais en « monument-Monde, vitrine de la société contemporaine et de ses grandes tendances ». Le sens des priorités de nos gouvernants...

Pour l’auteur, cela ne fait aucun doute : l’État, propriétaire et responsable de l’entretien et de la sécurité de l’édifice, ne reconnaît pas ses torts. Après l’incendie, malgré la nécessité du lancement d’une enquête administrative voulue par la Cour des comptes, le ministère de la Culture n'a pas donné suite. Quant aux entreprises participant à la restauration avant le drame, ce sont les mêmes après. Personne n’a été sanctionné.

Un chantier qui se déroule sans anicroches

Malgré les polémiques sur la charpente ou la pollution au plomb, le chantier se déroule jusqu’à présent sans anicroches. « La raison qui avait déserté ce chantier, sous le coup de l’émotion, est revenue : aucune dérogation n’a été prise par ordonnance, la flèche sera reconstruite à l’identique, et les combles retrouveront une charpente », se félicite Didier Rykner. Ce dernier rappelle que deux jours après l’incendie, le projet de loi d’exception lancé par le gouvernement rouvrait immédiatement les plaies en prévoyant une dérogation aux règles de protection des monuments historiques, et s’asseyait sur les engagements de la France auprès de l’Unesco. Le chef de l’État avait trouvé bon de lancer un concours international d’architecture pour la flèche de Notre-Dame. Une idée abandonnée quelques mois plus tard pour une reproduction à l’identique de la flèche selon les plans de Viollet-le-Duc approuvés en 1858.

Et la position de la capitale dans tout ça ? Anne Hidalgo, incapable d’entretenir les 85 églises dont la ville de Paris est propriétaire, s’est lancée dans un coup de com’ dont elle a le secret, en annonçant un don de 50 millions d’euros le lendemain de l’incendie. Une promesse non tenue, l’édile préférant affecter cette somme au réaménagement des abords de la cathédrale. Pour Didier Rykner, « Notre-Dame a servi de prétexte à l’une des multiples opérations d’enlaidissement de Paris ». Ce projet prévoit notamment de densifier la végétation autour de la cathédrale et de créer un centre d'accueil des visiteurs au sous-sol.

L'État n'a pas pris la mesure de la situation

Dès lors, tout a-t-il été fait pour que ce genre de drame ne se reproduise plus ? Au-delà des options du recoupement des combles (création de cloisons afin de limiter la propagation) et de l’installation de colonnes sèches fonctionnelles (gouttières inversées afin de faciliter le travail des pompiers et d’alimenter en eau les hauteurs du bâtiment), l’installation de caméras thermiques est primordiale pour appréhender les risques incendie. Or l’auteur écrit qu’une seule cathédrale, celle de Mende, est équipée de ce matériel. Malgré la mise en œuvre d’un « Plan cathédrale », l’État rechigne à prendre à bras-le-corps la question de l’entretien des 87 cathédrales dont il est le propriétaire.

À l’évidence, Emmanuel Macron, qui souhaitait restaurer Notre-Dame en cinq ans, tiendra sa promesse. Mais à quel prix ? « Emmanuel Macron fera de la réouverture de la cathédrale et de sa restauration un de ses plus grands succès. Il témoigne en réalité de son plus grand échec, qui est celui de tous ses prédécesseurs : leur incapacité à entretenir notre patrimoine » tance Didier Rykner. Et nous ne pouvons que le rejoindre dans ce constat amer.
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : jeudi 28 décembre 2023 08:04
À : Delalande Jean-Pierre
Objet : RE: "Domfrontais médiéval" et pensées connexes

Cher Monsieur le député,

Voilà une nouvelle qui m'enchante !

A l'évidence, vous êtes doté d'une excellente mémoire et êtes très physionomiste, une qualité dont je suis totalement dépourvu et à mon grand regret.
Maintenant que vous me parlez d'une ancienne conversation dans le cadre des V.M.F., la mémoire me revient, petit à petit.

Excellente année à vous et à votre famille !

Bien cordialement,

PPF

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De : Delalande Jean-Pierre
Envoyé : jeudi 28 décembre 2023 07:58
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Objet : Re: "Domfrontais médiéval" et pensées connexes

Cher Ami,
Merci de votre réponse et de votre invitation.
Ce sera, bien sûr, avec plaisir que je vous reverrai à la mi-avril à "La Chaslerie" avec Hervé Morin.
Je me rappelle bien de notre visite faite dans le cadre des VMF il y a quelques années.
Bonne année 2024 à vous.
Bien à vous.
Jean-Pierre Delalande

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Le mercredi 27 décembre 2023 à 21:21:55 UTC+1, Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com> a écrit :


Monsieur le député,

Pour info : https://www.chaslerie.fr/blog/message/58170

Avec mon très cordial souvenir,

PPF

(Fin de citation)
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 28 Décembre 2023
Vie des associations - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Anecdotes
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L'article du "Publicateur Libre" est en effet paru dans l'édition de ce matin :


Il comporte une faute de frappe puisque la date à laquelle le forfait relaté aurait été perpétré n'était pas le 4 décembre dernier, mais le 14.

Ce texte reprend et diffuse les mensonges habituels et toujours irresponsables de Jean Paul LEROY-TULLIE.

Je me suis demandé si je ne devrais pas corriger ceux-ci dans le cadre d'un droit de réponse auquel ma position de vice-président de l'association trucidée me permettrait sans doute de prétendre.

Mais, me fiant à la sagesse populaire, j'incline d'autant plus à m'en abstenir que Cécile CORMIER, fidèle entre les séides en cause, s'est révélée, encore récemment, une lectrice assidue de notre site favori. Donc elle sait clairement à quoi s'en tenir dans cette affaire, même si j'observe qu'elle campe toujours aussi obstinément dans le déni le plus profond.

Les dictons auxquels je pense ici sont, par exemple :
"La bave du crapaud n'atteint point la blanche colombe" ou encore "Laissons les morts enterrer les morts", voire, à l'africaine (un continent qui m'est cher), "Assieds-toi au bord de la rivière et tu verras passer le corps de ton ennemi".

Il a bien plu ces derniers temps en Normandie, de sorte que, tant la Varenne que le Choisel (ou Beaudouët), ces deux cours d'eau qui longent ou traversent les terres du manoir favori, m'invitent à m'asseoir sous la ramure des saules qui les bordent depuis, au moins, les temps médiévaux.

J'ai été reçu aujourd'hui à ma demande par M. Bernard SOUL, maire de Domfront en Poiraie.

Je souhaitais d'abord m'enquérir du statut de M. Jean Paul LEROY-TULLIE au sein de la municipalité de Domfront en Poiraie.
M. SOUL m'a répondu que M. LEROY-TULLIE n’apparaîtra pas, ni comme participant, ni "a fortiori" comme votant, sur le procès-verbal de la séance du conseil municipal du 14 décembre dernier, sa démission ayant été enregistrée antérieurement par la préfecture dûment informée.

L'objet principal de ma venue était de m'assurer que la municipalité de Domfront en Poiraie comprend et accepte la "main tendue" de "Domfront-Patrimoine au Carré" pour l'aider, alors que le "projet MORIN" a été lancé, m'a rappelé M. SOUL, dès janvier 2018 (c'est-à-dire il y a bien six ans comme relaté dernièrement par "Ouest-France"), à sortir le dossier de l'ornière où il paraît profondément enlisé. M. SOUL m'a informé qu'il y aurait, début mars 2024, une "mise en lumière du projet par le muséographe mandaté", un intervenant très brillant paraît-il.

J'ai confirmé à M. SOUL que "Domfront-Patrimoine au Carré" le saisira très prochainement d'une demande formelle de communication des pièces du "projet MORIN". Il m'a répondu qu'il conviendrait de citer les pièces désirées et qu'il apprécierait si la loi l'oblige à une telle communication. Je lui ai dit qu'en l'état d'opacité maintenue du dossier, je serais bien en peine de fournir une telle liste mais que j'ai pris rendez-vous avec sa secrétaire, Mme S., pour le 10 janvier prochain afin qu'elle me communique les procès-verbaux de toutes les séances du conseil municipal de Domfront en Poiraie où il aurait été question, de près ou de loin, du "projet MORIN". M. SOUL m'a indiqué être déjà au courant de cette demande à sa secrétaire.
Poursuivant ma lecture studieuse des documents reçus hier du président de l'A.R.C.D., j'extrais les passages suivants de son "rapport moral" qui sera présenté à l'A.G. du 20 janvier prochain :



En mes qualités de fidèle adhérent à l'A.R.C.D., de résident et contribuable domfrontais, de membre de l'association "Les Amis de la Chaslerie", de vice-président de l'association prétendument dissoute "Domfront-Patrimoine" et - "last but not least" - de président de l'association "Domfront-Patrimoine au Carré", je ne puis que faire miennes les appréciations du premier extrait, à la dénomination près du "projet MORIN". En effet, et comme notre conseillère régionale et départementale Catherine MEUNIER a bien voulu le reconnaître lors d'une de nos dernières conversations, c'est bien sous le nom de "projet MORIN" qu'est toujours désignée par la population domfrontaise et connue de cette dernière l'offre de 20 M€ promise il y a six ans.

Quant au second extrait ci-dessus, je m'associe de même aux appréciations portées sur l'enlisement des travaux de restauration que feu M. COUPPEL du LUDE avait prévu de financer il y a treize ans donc.

Enfin, en ma qualité de membre de "Les Amis de la Chaslerie", de surcroît propriétaire dudit manoir, et de "La SVAADE", cette dernière de surcroît locataire dudit manoir, je découvre dans ce second extrait que M. Jean-Philippe CORMIER disposerait de "nouveaux documents concernant le manoir de la Chaslerie et la famille Ledin". J'espère qu'il voudra bien les communiquer rapidement à "La SVAADE" puisque cela concerne directement l'"étude de diagnostic d'ensemble" menée dans son intérêt à la Chaslerie.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 29 Décembre 2023
Vie des associations - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - "Projet MORIN" - Anecdotes
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Troisième extrait que je cite ici du remarquable "rapport moral" du président de l'A.R.C.D., M. Jean-Philippe CORMIER :


Je note la raison pour laquelle le site internet de l'A.R.C.D. est en panne. Cela tient donc à l'incorrection d'"Orange" ("boîte de merde" comme je la qualifie chaque fois que j'en parle, notamment sur le site favori). "Pan sur le bec !" comme dirait le volatile. Ceci étant, où se procurer les statuts actuels de l'A.R.C.D. ?

Enfin je vois que M. Jean Paul LEROY-TULLIE a démissionné du CA de l'A.R.C.D. N'aurait-il pas déjà prétendu "retirer sa démission", ainsi qu'il en était coutumier au sein de "Domfront-Patrimoine" ? Et son nom s'orthographie-t-il bien "Jean-Paul LEROY", comme dans cet extrait, ou bien ce nouvel avatar n'est-il qu'une des conséquences de l'absence de netteté et de franchise d'un personnage fourbe qu'on est heureux de savoir enfin parti se faire pendre sous d'autres cieux ?
Je viens de terminer de passer en revue toutes les photos conservées sur mon ordi (ensemble plus large que celui des photos mises en ligne sur le site favori). Je vais donc pouvoir enrichir de quelques-unes d'entre elles la dernière version de l'"étude de diagnostic d'ensemble" sur laquelle je continue de travailler, ce qui, à soi seul, est une tâche énorme.

J'ai reçu hier après-midi la visite de mes amis CLOSTERMANN. Je leur ai montré l'avant-dernière version de ce travail, celle pour laquelle je dispose d'un tirage-papier. Ils ont été époustouflés par l'extrême précision des relevés au "laser 3-D de compétition", très impressionnés par la qualité manifeste du travail d'Arnaud PAQUIN, particulièrement en matière tant de reconstitution historique que de projets pour la suite des travaux. Ils font observer, à juste titre d'après moi, que, telle que cette étude est présentée, son tirage-papier nuit fortement à son attrait ; ils recommandent que des nombreuses photos soient d'un format plus grand et que la police des caractères soit elle aussi agrandie.

L'inconvénient de cette recommandation est que, même en format "A3", on exploserait le nombre de pages bien au-delà de 350.

Je suis cependant d'avis qu'on n'y échappera pas et qu'il y a lieu de suivre ce conseil.
Voici, pour rappel, les 64 premières page de la deuxième version de l'"étude de diagnostic d'ensemble", consacrées pour l'essentiel aux "Relevés" à l'aide du "laser 3-D de compétition" :
- Sommaire et préambule.
- Relevé des bâtiments sur cour.
- Relevé des dépendances.

Elles appellent de ma part 45 pages de commentaires.

Comme on le voit, cette relecture est un gros travail et je pointe tout.

Je vais maintenant passer à la partie "II - Etude historique et patrimoniale".