Abords, Avenue, terrasse

Voici un modèle de pilastres qui ne me semblerait pas incongru en haut de l'allée historique de la Chaslerie. Ceux-ci se trouvent en contrebas de la chaussée de la nationale, près de l'arrivée à Saint-Mars-d'Egrenne en venant de Domfront :

13 juillet 2021.

13 juillet 2021.

13 juillet 2021.

13 juillet 2021.


J'aime bien l'idée que les trois pilastres n'aient pas la même hauteur.
Comme hier, la matinée sera consacrée à pointer les commentaires, en date du 10 juin dernier, de l'architecte du patrimoine à ma note du mois précédent relative à son projet de contrat de maîtrise d’œuvre pour la "mission n°2".

Ce véritable étouffe-chrétien est en discussion depuis le 6 août 2020. On n'a pas idée de transmettre un document aussi complexe, de 27 pages imprimées en petits caractères. Comme l'on sait, mes deux "lignes rouges" ont été acceptées mais le diable est dans les détails.
Je ne sais quelle est l'authenticité des pilastres du portail piétonnier du château de Godras, dans la Grande Rue de Domfront...

15 juillet 2021.

... mais leur sommet ressemble beaucoup à celui des pilastres que j'ai photographiés dernièrement près de l'entrée de Saint-Mars-d'Egrenne en venant de Domfront.

Comme le château de Godras était la résidence domfrontaise des LEDIN, on accordera à ces pilastres le bénéfice du doute si leur forme doit inspirer peu ou prou la restauration de ceux du haut de l'allée historique de la Chaslerie.
Au courrier ce matin :

Le dispositif mis en place par le parc naturel régional Normandie-Maine pour la (re)plantation de haies bocagères est très efficace :


Je conseille vivement à tous les propriétaires fonciers du secteur d'y recourir.

Une intervention très bien documentée, un comportement parfaitement fiable, du vrai travail de professionnels, bravo !
(On aimerait tant pouvoir en dire autant de toutes les administrations...).
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : vendredi 16 juillet 2021 17:40
À : (...)architecte@gmail.com>
Cc : C F. ; T. F.
Objet : RE: Chaslerie - "Mission n°2" - Projet de contrat de maîtrise d’œuvre

Madame,

Je réponds en détail à votre courriel du 10 juin dernier à 16 h 16, me transmettant votre dernière version du C.C.A.G. et du C.C.A.P. de la "mission n°2".

A cet effet, vous trouverez ci-joint le document que vous m'avez transmis par courriel du 21 juin ci-après, complété en vert, comme demandé, par mes propres annotations.

Je vous prie de bien vouloir répondre aux questions résiduelles ainsi signalées par moi.

Sur le fond de ce dossier, mes "lignes rouges" ont toujours concerné, outre l'usage de mon site internet, ce que j'appelle "l'extension de la mission" et "l'ordre de priorité".

Au titre de l'extension de la "mission n°2" dont il s'agit ici, j'entends qu'elle couvre tous les bâtiments sur cour, la chapelle, la charretterie et, quitte à ajouter un avenant au contrat comme vous l'avez suggéré, la cave et la ferme.

Quant à l'ordre de priorité des travaux, il est indispensable que je dispose dans les meilleurs délais, pour pouvoir définir cet ordre, d'un premier chiffrage des coûts du chantier pour l'ensemble des bâtiments en question. Ce chiffrage serait analogue, en détail et en précision, à celui que vous avez bien voulu me transmettre, le 10 juillet dernier, pour l'aile Ouest. Il serait important que je dispose de ce chiffrage ainsi étendu afin de nourrir mes réflexions avant la réunion très importante qui devrait avoir lieu à la fin de l'été pour caler le contenu de la tranche de 250 000 € de travaux qu'il m'est demandé de préciser pour pouvoir accrocher des financements 2022, notamment de la Région.
Vous savez à ce sujet qu'il a été envisagé le 12 juillet dernier que cette dernière enveloppe concerne la cave et la ferme.
Toutefois, en raison du caractère hélas limité des fonds propres à ma disposition, il est urgent et même critique que je m'assure que, compte tenu de toutes les autres contraintes connues, la priorité donnée à la cave et à la ferme ne rendrait pas, à elle seule, impossible la restauration d'autres parties du manoir au moins aussi importantes pour les uns et les autres. Car, vous le savez, si je suis dans cette affaire le payeur final et, au moins dans le passé, très largement prépondérant (89 %...), je suis soumis à toutes sortes de contraintes, plus ou moins légitimes à mes yeux, dont je ne puis, au moins en première analyse, m'abstraire complètement.

Cordialement,

PPF

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De : (...)architecte@gmail.com>
Envoyé : lundi 21 juin 2021 11:38
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Objet : Re: Chaslerie - "Mission n°2" - Projet de contrat de maîtrise d’œuvre

Bonjour,

Veuillez trouver ci-joint le document que vous m'aviez remis complété avec les remarques modifiées.

Concernant les 'lignes rouges' :
- 1ère ligne rouge : je vous propose la rédaction d'un programme mais par localisation de bâtiment. On se met d'accord sur les limites du projet et cela ne doit pas avoir la forme d'une liste à la prévert de type programme de travaux par pièce. Je suis suffisamment intelligente pour répondre à une commande sans qu'on me liste tous les travaux. Il faut faire confiance à votre architecte.
- 2ème ligne rouge: je ne sais pas comment vous avez travaillé avec mes confrères mais il va de soi que la priorisation des travaux se fait en accord avec vous. Je me dois de vous donnez mon avis de conseil mais ce qui sera demandé pour approbation à la DRAC sera ce qui a été validé par vous. Même si je ne suis pas d'accord. ET Si je ne suis pas d'accord, j'argumenterai ma position.

Vous trouverez également mon attestation d'inscription architecte. Elle est délivrée qu'en cas de paiement des assurances. Donc je suis assurée.

Bien cordialement,
(...)
Architecte DPLG - Architecte du Patrimoine

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Le mar. 15 juin 2021 à 03:49, Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com> a écrit :

Madame,

Le projet de contrat de maîtrise d’œuvre pour la « mission n°2 » que vous m’avez transmis le 10 juin dernier appellerait à ce stade de trop nombreuses remarques complémentaires de celles que je vous ai présentées le 9 mai dernier à propos de sa première version.

Bien que je ne sois pas sûr d’avoir convenablement pris la mesure des demandes que vous avez, à ce stade, accepté de retenir pour amender votre texte initial – votre envoi du 10 juin ne comportant aucune explication de votre part et les passages modifiés n’étant pas surlignés – je suis soucieux de ne pas retarder l’envoi de ce courriel-ci, ne serait-ce qu’en raison de l’intérêt qui s’attache à ce que vous puissiez livrer dans les meilleurs délais les réponses ou prestations signalées comme urgentes, que ce soit d’ailleurs au titre de la « mission Exe » ou de cette « mission n°2 ».

Tout d’abord, je souhaite vous remercier d’avoir pris la peine d’étudier mes remarques de mai et d’en avoir retenu déjà un bon nombre, notamment celle relative à la liberté d’expression à laquelle vous avez compris que je suis très attaché.

Il demeure néanmoins à ce stade deux points que je considère comme non traités d’une façon qui me convienne et constituant des « lignes rouges », c’est-à-dire des sujets à propos desquels, d’une part, ma marge de négociation est des plus étroites et, d’autre part, votre refus éventuel serait considéré, sans qu’il me paraisse utile d’épiloguer, comme une cause légitime de fin de notre collaboration.

Il s’agit premièrement de l’extension de la mission. Pour les raisons déjà exposées, je tiens à ce que cette « mission n°2 » concerne principalement tous les bâtiments sur cour, et pas seulement ceux que vous avez cru pouvoir distinguer, à savoir la moitié Nord du logis et le colombier. Sur une telle base, la mission doit en tout état de cause couvrir, outre l'apurement du passé, tout le processus architectural, jusques et y compris l’obtention des autorisations administratives (pour les parties classées) ou permis de construire (pour les parties inscrites) nécessaires pour l'achèvement des formalités administratives du programme et tels que requis par les textes.

La seconde « ligne rouge » concerne l’identité de l’intervenant donnant l’ordre de priorité des prestations (essentiellement, mais pas uniquement, des travaux). Pour moi, il ne fait aucun doute que votre seul interlocuteur en la matière, dans le cadre des missions qu’il choisit de vous confier, doit être le maître d’ouvrage.

Je vous prie de m’indiquer si vous partagez ces manières de voir.

Cordialement,

Pierre-Paul FOURCADE

(Fin de citation)
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En arrivant à la porte de la barbacane, qui fut jadis un pont levis, vous serez impressionné par la haute façade du corps de logis 💜 :


N.D.L.R. : A rapprocher du portail de Montflaux...
Je viens de signer, au nom de l'APIJOMM, un contrat de travail en C.D.D. pour deux mois commençant le 9 août prochain, et applicable trois jours par semaine (lundi, mardi et jeudi) de 9 h à midi, au bénéfice de Jean-François FORTIN, fils de Francis qui pourra ainsi l'encadrer sur le terrain.
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : vendredi 23 juillet 2021 09:21
À : Philippe Durand (FR) <philippe.durand@avocats.pwc.com>
Objet : RE: Questions d'ordre fiscal

Cher Philippe,

Auriez-vous le temps d'examiner ces questions ? Le sujet étant critique, n'hésitez pas à facturer la SVAADE.

Bonnes vacances (if any).

Amicalement,

PPF

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De : Patrice CAHART
Envoyé : vendredi 23 juillet 2021 09:14
À : 'Pierre-Paul Fourcade' <penadomf@msn.com>
Objet : RE: Questions d'ordre fiscal

Cher Pierre-Paul,

Tes questions sont correctement posées. Mais c’est très compliqué. Je doute que tu aies une réponse avant la rentrée d’automne. Peut-être la DH te demandera-t-elle de t’adresser à un spécialiste du genre Francis Lefebvre.

A la fin : hommages.

Je te souhaite quand même un bon été.

Patrice

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De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : vendredi 23 juillet 2021 07:48
À : Patrice CAHART
Objet : Questions d'ordre fiscal

Cher Patrice,

Sur ton conseil, je me propose d'interroger Mme Armelle VERJAT, des services de la "Demeure Historique", sur certaines questions juridiques ou fiscales que je me pose. Les sujets sont complexes et j'espère ne pas écrire d'ânerie ou enfoncer de portes ouvertes, ou encore ne pas abuser du temps de cette interlocutrice.

Puis-je te prier de me dire si ce projet de courriel te paraît clair (et quel type de formule de politesse employer à la fin) ?

(Début de citation)

Madame,

Adhérent de la "Demeure Historique", je souhaiterais vous interroger sur un certain nombre de points précis, d'ordre fiscal. Certaines de mes questions sont générales, pour m'assurer de ma bonne compréhension des dispositifs en cause, d'autres particulières à mon monument historique (www.chaslerie.fr) ou à ses modes de détention (j'ai deux fils porteurs très majoritaires des parts de deux S.C.I. familiales détenant la nue-propriété de deux dépendances protégées) ou à l'intervention d'une association à but culturel (la SVAADE, statuts joints), susceptible de bénéficier d'un bail sur certaines parties du monument et qui pourrait être le maître d'ouvrage de certains travaux de restauration sur ces parties.

En pratique je vous interroge ici sur deux sujets principaux :

1 - La déductibilité des travaux :

Je suis en possession du "Guide fiscal 2021" de la DH, excellent document mais dont je ne puis prétendre maîtriser toutes les données.
Mon monument est ouvert à la visite payante tout au long de l'année, à l'exception des deux dépendances détenues en nue-propriété par les S.C.I. en question, dépendances néanmoins ouvertes à la visite gratuite à ce stade et, plus généralement, non productives de recettes.

11 - Qui a droit à la déductibilité ?
- dans le cas général, c'est moi qui règle les travaux ; je peux me prévaloir de la déductibilité ainsi que du report des déficits fonciers éventuels.
- quid si des travaux sont réglés par mes fils sur des parties du monument sur lesquelles ils n'ont aucun droit de propriété ? Quelle vous semblerait la structure minimale de portage ou de détention pour leur donner accès à la déductibilité ?
- sur les dépendances en S.C.I., mes fils ont-ils bien droit à la déductibilité des travaux correspondants qu'ils financeraient ? quid si c'est moi qui finance en partie ?
- si la SVAADE est locataire de certaines parties du monument (ce qui, en principe, devrait permettre d'accéder, par exemple, à des subventions régionales), peut-on envisager, dans l'hypothèse où je couvrirais la part des travaux excédant les subventions et les dons, que je puisse continuer à me prévaloir de la déductibilité des sommes que j'aurais effectivement réglées, même si la Région oblige à ce que les factures soient, pour leur totalité, libellées au nom de l'association ? Y a-t-il une forme minimale de bail à mettre en place pour arriver à ce résultat fiscal ? Quid, en termes de déductibilité pour mes fils, s'ils couvrent une partie de ces dépenses résiduelles ?

12 - S'agissant de la déductibilité sur les revenus fonciers ou sur le revenu global :
- comme ces notions de revenu global et de revenus fonciers ne sont pas évidentes pour moi qui tends à considérer que ma caisse est unique, pouvez-vous me rappeler ce qui les distingue, d'une part en termes de définition, d'autre part en termes de possibilités de déduction (et de report de déficits) dans le cadre du régime des monuments historiques ;
- pour des monuments ouverts à la visite payante, je comprends que le droit commun est une répartition 75% - 25 % entre ces deux types de revenus. Or mon monument a ceci de particulier que, sur les quelques 2 500 m2 de SHOB qu'il comporte (à la louche), à peine 65 m2 sont habitables toute l'année car chauffables, le reste demeurant, pour une majorité écrasante des surfaces, en travaux de gros-œuvre lourd. Dans ces conditions, à quel type de répartition puis-je prétendre ? 90 % - 10 % ? 96 % - 4 % ?

2 - L'intervention d'une association :

21 - Dans le cas général, quelles sont les conditions d'application de l'art 200 du cgi pour les associations les plus quelconques ? Je crois comprendre que, dès lors que les dons ne sont pas affectés et que l'association n'a aucune activité commerciale, l'application de l'art 200 est de droit au bénéfice des donateurs personnes physiques. Si tel n'est pas le cas, quelles sont les conditions minimales à respecter pour l'association ?

22 - Si les dons à l'association servent à financer des travaux de restauration d'un monument historique, quel est le régime qui s'applique au bénéfice des donateurs personnes physiques : celui de l'art 200 ou celui de la déductibilité des travaux ? Ceci vaut-il pour tous les donateurs ou y a-t-il des restrictions pour certains d'entre eux ? En particulier, à quel régime fiscal seraient soumis mes fils dans ce cas : art 200, déductibilité au taux marginal d'imposition à l'IR ou pas de déductibilité ?

23 - S'agissant du financement de travaux sur un monument historique, dans quelle mesure la reconnaissance de l'utilité publique de l'association serait-elle un point de passage obligé pour permettre à ses donateurs de bénéficier de l'art 200 du cgi ? Si oui, vous paraitrait-elle facile à obtenir pour la SVAADE, dont l'activité se borne, pour l'essentiel, à organiser, dans mon monument, des animations culturelles quasiment gratuites pour le public ?

24 - Que se passe-t-il quand les dons transitent par une fondation du type de la "Fondation du patrimoine" (ou de la "Fondation Mérimée" j'imagine) ? Quel est le régime fiscal de ces dons pour les donateurs ? Est-il le même pour tous les donateurs personnes physiques ou y a-t-il des restrictions ? Puisqu'à l'évidence, de tels labels sont de nature à rassurer de nombreux donateurs, ce qui me paraît loin d'être négligeable, cette intermédiation a-t-elle un coût en vertu duquel toutes les sommes données ne parviendraient pas à l'association maître d'ouvrage ?

25 - Il est probable que la SVAADE n'arrivera pas à couvrir, par les dons reçus de tiers ou les subventions, le coût du chantier dont elle sera le maître d'ouvrage et pour les factures libellées à son nom. Autrement dit, il m'appartiendra de régler le solde. Que devrais-je faire pour ne pas perdre la déductibilité (voire bénéficier de l'art 200) pour les montants que je supporterais ?

Je vous remercie d'avance de bien vouloir m'éclairer sur les réponses à ces questions que je me pose en pratique au moment de mettre en place le bail au profit de la SVAADE, avec l'espoir que celle-ci puisse être subventionnée dans les plus courts délais.


(Fin de citation)

Amicalement,

PPF

(Fin de citation)
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : vendredi 23 juillet 2021 16:17
À : pref-arg-secretariat@orne.gouv.fr <pref-arg-secretariat@orne.gouv.fr>
Objet : Demande de rendez-vous auprès de Madame la sous-préfète d'Argentan

Madame,

Comme indiqué ce matin, je sollicite un entretien avec Madame la sous-préfète d'Argentan, en ma qualité de propriétaire du manoir de la Chaslerie, monument protégé (inscrit et classé) sis sur le territoire de Domfront-en-Poiraie.

Il s'agit pour moi de lui signaler le programme de travaux en cours pour restaurer ce manoir et ses dépendances, sous ma maîtrise d'ouvrage depuis trente ans, et, surtout, d'évoquer avec elle l'avenir proche, c'est-à-dire le programme qui va être pris en charge par la SVAADE ("Association pour la promotion et la défense du spectacle vivant et de l'artisanat d'art dans le Domfrontais et ses environs"), pour les parties qui vont être prises à bail par cette association. Cette démarche s'inscrit dans la perspective de la prochaine candidature de la SVAADE à la "mission BERN", avec l'ambition de décrocher le gros lot.

La SVAADE organise, dans le cadre du manoir de la Chaslerie, monument protégé (inscrit depuis 1926 et classé plus récemment pour certaines parties), des animations culturelles de qualité et généralement gratuites pour le public. Or la SVAADE va prendre à bail une partie du manoir (l'aile Ouest pour l'essentiel) et de ses dépendances (en l'occurrence le cave et la ferme, toutes deux inscrites), de manière à disposer des locaux nécessaires à ses activités, y compris l'organisation de résidences d'artistes. Ces locaux appellent un important programme de travaux, pour un coût de l'ordre du million d'euros.

Ainsi, la SVAADE va me relayer pour assurer la maîtrise d'ouvrage d'une partie des travaux qu'appelle le manoir. De mon côté, je vais devoir poursuivre à mon rythme (j'atteins l'âge de soixante-dix ans et mes moyens déclinent) la poursuite de la restauration des parties non louées du manoir.

Il me paraît utile, après avoir dit un mot hier de ce projet à Monsieur le secrétaire général de la préfecture de l'Orne, de prendre l'attache de Madame la sous-préfète d'Argentan, territorialement compétente, pour l'associer en tant que de besoin à ces réflexions et à ce projet.

Je vous prie de bien vouloir m'indiquer quand elle serait disponible pour me rencontrer, soit dans ses locaux, soit au manoir si elle préfère.

Cordialement,

Pierre-Paul FOURCADE
06 12 96 01 34

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De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : vendredi 23 juillet 2021 15:48
À : secretariat-direction.drac.normandie@culture.gouv.fr <secretariat-direction.drac.normandie@culture.gouv.fr>
Cc : Hugues Hourdin
Objet : Demande de rendez-vous auprès de Madame la D.R.A.C. de Normandie

Madame la directrice régionale,

Comme indiqué ce matin à votre secrétariat, Hugues HOURDIN, Conseiller d'Etat honoraire, président de la SVAADE ("Association pour la promotion et la défense du spectacle vivant et de l'artisanat d'art dans le Domfrontais et ses environs"), et moi-même, propriétaire du manoir de la Chaslerie, sis à Domfront-en-Poiraie dans l'Orne, sollicitons un entretien avec vous.

Il s'agit pour nous, principalement, de vous signaler la prochaine candidature de la SVAADE (statuts actuels joints) à la "mission BERN". La SVAADE a l'ambition de décrocher le gros lot.

La SVAADE organise, dans le cadre du manoir de la Chaslerie, monument protégé (inscrit depuis 1926 et classé plus récemment pour certaines parties), des animations culturelles de qualité et généralement gratuites pour le public.

La SVAADE va prendre à bail une partie du manoir (l'aile Ouest pour l'essentiel) et de ses dépendances (en l'occurrence le cave et la ferme, toutes deux inscrites), de manière à disposer des locaux nécessaires à ses activités, y compris l'organisation de résidences d'artistes.

Dans ce cadre, la SVAADE va me relayer (j'atteins l'âge de soixante-dix ans et mène ce chantier depuis trente ans) pour assurer la maîtrise d'ouvrage de ces travaux, pour un programme évalué à ce stade à un million d'euros et dont la maîtrise d'œuvre serait, bien entendu, confiée à un architecte du patrimoine.

Outre la présentation de la SVAADE et de ce projet, nous souhaiterions, au cours de cet entretien, solliciter votre avis sur les différentes autres pistes envisageables pour boucler ce budget.

Je précise que, si je suis présent sur le site tout au long de l'année, Hugues HOURDIN, qui conserve des activités professionnelles à Paris, serait plus aisément disponible ce mois d'août où il sera en résidence à Mortain.

Je vous prie d'agréer, Madame la directrice régionale, l'expression de mes respectueux hommages.

Pierre-Paul FOURCADE
06 12 96 01 34

(Fin de citation)
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : jeudi 29 juillet 2021 17:28
À : (...)architecte@gmail.com>
Cc : C. F. ; Hugues Hourdin ; Jacques Meyer
Objet : RE: MISSION PARTIELLE - CONTRAT ET NOUVELLE PROPOSITION FINANCIERE

Madame,

J'étudie cela et reviens vers vous dans les meilleurs délais.

J'ai mis le président et le futur trésorier de la SVAADE en copie car, s'ils en sont d'accord, ils seront sans doute amenés à tenir, pour le compte de cette association, le rôle de maître d'ouvrage des travaux en question. Bien entendu, je me tiendrai, tant que je vivrai et que le bail de la SVAADE durera, à leur disposition (et à celle de leurs successeurs éventuels) pour fournir toute information utile en ma possession, voire toute assistance dont ils auraient besoin, le tout toujours dans l'intérêt, principal et bien compris, du monument.

Cordialement,

PPF

____________________________________________________________________________________

De : (...)architecte@gmail.com>
Envoyé : jeudi 29 juillet 2021 16:47
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Objet : MISSION PARTIELLE - CONTRAT ET NOUVELLE PROPOSITION FINANCIERE

Bonjour,
Veuillez trouver ci-joint les contrats mis à jour et une nouvelle proposition d'honoraire intégrant une mission d'un économiste et une mission partielle d'un bureau d'étude concernant la trémie d'escalier.
Vous trouverez le devis du BET Structure en pièce jointe. Il est intégré dans ma rémunération.

Bien cordialement,
(...)
Architecte DPLG - Architecte du Patrimoine

(Fin de citation)
Ras-le-bol du kroumirat !
J'appelle ainsi la propension de certains membres de professions bénéficiant d'un monopole légal à ne pas tenir compte des "desiderata" légitimes de ceux qui sont leurs clients, et non, sauf erreur de ma part, des administrés sur lesquels ils pourraient, en toute impunité, essuyer leurs godillots ô combien lourdingues.

Bon sang de bon soir, tous les propriétaires privés de monuments historiques ne sauraient être traités comme des carpettes déployées en silence sous les kroumirs et autres mamamouchis !

(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : vendredi 30 juillet 2021 07:22
À : (...)architecte@gmail.com>
Cc : C. F. ; T. F. ; W. F. ; Hugues Hourdin ; Jacques Meyer
Objet : RE: MISSION PARTIELLE - CONTRAT ET NOUVELLE PROPOSITION FINANCIERE

Madame,

Commençant ma lecture des documents que vous m'avez transmis hier, et plus particulièrement par le projet de C.C.A.P., je constate, dès l'article P2 en page 2, que vous persistez, malgré mes demandes précises, réitérées et pressantes, à limiter cette "mission n°2" à un champ qui ne me convient pas.

Il n'est ainsi pas tenu compte d'une de mes "lignes rouges", signalée comme telle.

Dans ces conditions, il est inutile que je poursuive la lecture de votre envoi d'hier.

Par conséquent, je vais devoir, sauf si vous vous reprenez enfin, confier le dossier à l'un de vos confrères. J'invoquerais à votre encontre la faute commise en ne répondant que très incomplètement à ma récente lettre recommandée, pourtant parfaitement explicite et portant sur des questions de sécurité.

Salutations distinguées.

PPF

(Fin de citation)
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : vendredi 30 juillet 2021 15:19
À : (...)architecte@gmail.com>
Cc : C. F. ; T. F. ; W. F. ; ; Hugues Hourdin ; Jacques Meyer
Objet : MISE EN DEMEURE ADRESSEE CE JOUR PAR COURRIEL ET PAR L.R.A.R.

Madame,

Après avoir reçu mon courriel de ce matin, vous avez cherché à me joindre, à 8 h 44 puis 8 h 45. Les deux fois, étant sous la douche, je n'ai pu décrocher immédiatement. J'ai essayé de vous rappeler les deux fois, à 8 h 45 et à 8 h 48. Vous n'avez pas répondu.

A 12 h 01, vous m'avez appelé. Je vous ai répondu que j'étais dans un lieu public et qu'il valait mieux me rappeler plus tard. Vous m'avez rappelé immédiatement, m'obligeant à sortir de ma cantine et à vous répondre de la rue, comme je vous l'ai précisé, ce qui ne vous a pas arrêtée.

A la suite de cette conversation, nous avons procédé à un échange de S.M.S. que je rapporte sans rien y modifier, ni dans les termes, ni dans l'orthographe employés :
Moi (à 12 h 22) : Madame, vous n'avez pas à me raccrocher au nez comme vous venez de le faire une nouvelle fois, alors même que c'est vous qui m'appeliez. C'est inadmissible. Relisez plutôt l'article P2 de votre projet de C.C.A.P. Même dans sa troisième version reçue hier, il ne répond pas à ma demande explicitée, y compris par écrit. Votre entêtement à ne pas tenir compte de mes lignes rouges est tout simplement incompréhensible. Je n'admets pas davantage le ton polémique que vous employez à mon égard au lieu de faire votre travail. Reprenez-vous rapidement et présentez des excuses !
Vous (à 12 h 24) : La discussion ne menait à rien. Je vous ai transmis votre fichier de doléances avec les modifications apportées sur le contrat et votre retour. Vous n'avez jamais répondu sur cette base.
Moi (à 12 h 26) : Je n'ai pas l'intention de polémiquer. Relisez mes écrits. Tout y est clairement exprimé pour ma part.
Vous (à 12 h 26) : Et pour la première fois de ma vie je ne m'excuserait pas. Vous avez créé un précédent.
Vous (à 12 h 27) : Et je le déplore de ne pas pouvoir m'es user.
Moi (à 12 h 34) : Ce que vous écrivez continue à être incompréhensible pour moi. Je vais devoir vous adresser une mise en demeure. J'en suis désolé mais, en l'état du dossier, je ne vois pas d'autre façon d'avancer dans l'intérêt du monument.

Sur la base de ces échanges et en l'état du dossier, j'ai l'honneur de vous adresser la mise en demeure suivante :

I - Au titre du "contrat Exe" daté du 21 novembre 2019 :

Ce contrat prévoit que vous êtes en charge de la maîtrise d’œuvre de la restauration des menuiseries extérieures du manoir de la Chaslerie. Il est également convenu que vous vous chargiez dans ce cadre de la résolution du problème dit des "poutres pourries" au 1er étage Nord du logis.

Mes demandes étant restées sans écho de votre part à propos de certains travaux à mener d'urgence, je vous ai adressé une L.R.A.R. en date du 30 juin 2021 dont les deux premiers paragraphes sont ainsi libellés :
Suite à notre conversation d'hier, je vous prie de bien vouloir m'indiquer quand vous me soumettrez, pour envoi à la D.R.A.C. pour autorisation, les dossiers entrant dans le champ du "contrat Exe" dont je vous ai signalé l'urgence depuis que nous dialoguons, à savoir :

la restauration des deux portes extérieures de la tour Louis XIII,
la restauration de la porte entre la cour et l'arrière-cour,
la restauration de la porte entre l'arrière-cuisine et l'arrière-cour
et la restauration des "poutres pourries" au 1er étage Nord du logis.

Je vous ai rappelé une nouvelle fois hier qu'à l'exception des portes de la tour Louis XIII, tous ces travaux sont qualifiés d'urgents parce qu'ils sont relatifs ni plus ni moins qu'à des questions de sécurité, actuellement non assurée en raison des retards accumulés.


Vous n'avez pas plus répondu à ces demandes après ladite L.R.A.R. qu'avant, et pas plus aujourd'hui que les autres jours malgré le rappel effectué dans mon courriel de ce matin.

Compte tenu de ces éléments et en application de l'article G 9.2.1 du C.C.A.G. dudit contrat, je m'estime en droit d'enclencher le mécanisme contractuel de "résiliation pour faute de l'architecte". A cet effet, cette lettre-ci vaut mise en demeure de vous conformer sous quinzaine à vos obligations en mettant fin immédiatement à la situation de manquement constatée. Je signale que ce délai de quinze jours résulte des termes-mêmes du contrat puisque, s'agissant de questions de sécurité, il y a urgence.

II - Au titre du projet de "Contrat n°2" :

Vous avez signé dès le 6 août 2020, avant toute discussion sur sa trentaine de pages écrites en petits caractères, un "Contrat n°2". J'ai protesté contre cette façon de procéder et rappelé que tout contrat de droit privé doit pouvoir être discuté entre les parties.

Selon les termes de mon courriel du 9 mai 2021 à 19 h 31 analysant votre projet de contrat, et plus particulièrement aux termes de ma "Remarque n°3" relative au projet d'article "P2 - Désignation de l'opération" du C.C.A.P., j'avais demandé que ce contrat couvre les postes suivants :
- Régularisation administrative, en tant que de besoin, de tous travaux déjà réalisés ;
- Autorisation des travaux ayant fait, pour l'essentiel, l'objet des plans de l'architecte du patrimoine datés de septembre 2020.


Le 21 juin 2021, vous m'avez transmis vos réponses à mes remarques, dont la n°3 en question, et demandé de réagir à mon tour à vos réponses à mes remarques.

Je vous ai répondu le 16 juillet dernier. S'agissant de l'article "P2 - Désignation de l'opération", j'ai, à la suite d'une réunion importante tenue le 12 juillet dernier et à laquelle, bien qu'invitée de longue date, vous n'aviez pu participer, complété mon libellé en ajoutant la "cave" et la "ferme" au champ de la mission.

Le projet de C.C.A.P. que vous m'avez transmis hier ne prévoit, pas plus que les précédentes versions, que le champ de la mission couvre, pour ce qui concerne les principaux bâtiments sur cour, autre chose que ce que vous appelez bizarrement l'"aile Nord du logis" et le "Colombier et escalier d'accès à la tour colombier".

Par conséquent, vous continuez à faire fi de mes instructions. Dans un S.M.S. de ce jour, vous allez même jusqu'à les qualifier de "fichier de doléances", ce qui, sans vouloir engager de polémique, peut apparaître comme une nouvelle et triste illustration de la façon dont, forte du monopole légal qui régit votre corporation, vous traitez le manant que je semble demeurer à vos yeux. Je comprends toutefois qu'il s'agit peut-être là d'une nouvelle manifestation de la faiblesse évidente de votre expression écrite, voire de la rigidité de votre pensée, déjà remarquées maintes fois dans vos écrits.

Mais ce n'est pas tout. Désireux d'introduire un peu de méthode dans l'étude des documents particulièrement indigestes dont vous avez pris l'habitude de m'accabler, je vous ai demandé plusieurs fois par écrit de signaler les novations qu'entre deux versions, vous y introduisiez quelque peu subrepticement, comme encore signalé par moi dans ma réponse à votre réponse à ma "Remarque n°15", en date du 16 juillet dernier.

Une fois de plus, vous n'avez tenu aucun compte de cette demande pourtant destinée à faciliter le dialogue nécessaire à la suite de la réception des différentes versions de votre projet de contrat. Je le déplore.

Ce projet de contrat n'ayant, pour les raisons précisées, jamais pu à ce jour être approuvé par moi, j'en arrive à m'interroger, au-delà de la mise en demeure contenue dans la première partie de cette lettre, sur la possibilité que nous arrivions jamais à dialoguer puis coopérer utilement.

J'espère que vous comprendrez que, dans ces conditions, la SVAADE, appelée à assurer la maîtrise d'ouvrage de l'essentiel des travaux à venir, puisse ne pas se sentir liée par les échanges intervenus entre vous et moi, y compris relatifs aux contrats ou projets de contrats susceptibles de nous lier, vous et moi, et qu'elle recherche à bénéficier des services d'un autre architecte du patrimoine, mieux à même de mener à bien, avec tout le professionnalisme et la sérénité requis, la restauration à venir à la Chaslerie.

En tout cas, si telle était l'intention de cette association, ce que j'ignore encore, je ne me verrais pas l'en dissuader en l'état du dossier. J'espère que vous le comprendriez et veilleriez à assurer un relais en bon ordre avec le successeur qu'elle pourrait ainsi vous désigner.

Je vous prie d'agréer, Madame, l'expression de ma considération distinguée.

Pierre-Paul FOURCADE

____________________________________________________________________________________

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : vendredi 30 juillet 2021 07:22
À : (...)architecte@gmail.com>
Cc : C. F. ; T. F. ; W. F. ; Hugues Hourdin ; Jacques Meyer
Objet : RE: MISSION PARTIELLE - CONTRAT ET NOUVELLE PROPOSITION FINANCIERE

Madame,

Commençant ma lecture des documents que vous m'avez transmis hier, et plus particulièrement par le projet de C.C.A.P., je constate, dès l'article P2 en page 2, que vous persistez, malgré mes demandes précises, réitérées et pressantes, à limiter cette "mission n°2" à un champ qui ne me convient pas.

Il n'est ainsi pas tenu compte d'une de mes "lignes rouges", signalée comme telle.

Dans ces conditions, il est inutile que je poursuive la lecture de votre envoi d'hier.

Par conséquent, je vais devoir, sauf si vous vous reprenez enfin, confier le dossier à l'un de vos confrères. J'invoquerais à votre encontre la faute commise en ne répondant que très incomplètement à ma récente lettre recommandée, pourtant parfaitement explicite et portant sur des questions de sécurité.

Salutations distinguées.

PPF

(Fin de citation)
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : mercredi 4 août 2021 10:24
À : (...)architecte@gmail.com>
Cc : C. F. ; T. F. ; W. F. ; Hugues Hourdin
Objet : Votre L.R.A.R. du 2 août 2021.

PAR COURRIEL ET L.R.A.R.

Madame,

Par L.R.A.R. du 2 août dernier reçue ce matin, vous nous informez, mon épouse et moi, de votre démission pour le projet de "mission n°2" ainsi que pour le projet de "mission Exe".

J'en prends acte.

Vous motivez cette démission en écrivant : "Après enquête auprès de mes confrères, vous n'avez jamais voulu signer de contrat avec chacun, nous poussant consécutivement à une mésentente et à une démission".

Je vous prie de bien vouloir justifier chacun des quatre mots ainsi soulignés par moi dans cette citation.

Je note que cette formule est dépourvue de la moindre ambiguïté. Elle doit s'analyser comme telle, y compris, le cas échéant, devant les tribunaux s'il devait apparaître que vous ne fourniriez pas les éléments de preuve correspondants et/ou dans le cas où vous entreprendriez de la diffuser, en tout ou partie, auprès de quiconque, et notamment auprès de la tutelle ou de l'un quelconque de vos confrères, ces notions devant s'entendre au sens large, qu'il s'agisse d'individus ou de groupes d'individus comme votre ordre professionnel.

Pour ma part, je rejette formellement votre allégation comme fausse et me réserve donc, au cas où vous n'apporteriez pas une réponse, satisfaisante sur le fond ou pleinement rassurante quant à la diffusion de votre appréciation, à ma question précédente, de vous poursuivre le cas échéant devant les tribunaux pour diffamation.

Engagé depuis plus de trente ans dans le sauvetage d'un monument historique, toujours prompt à prendre toutes les initiatives qui m'apparaissent nécessaires dans l'intérêt principal du monument, je ne saurais admettre qu'un "buzz" de médisances ou de diffamations complique davantage la tâche du maître d'ouvrage que je suis encore à ce jour ou de quelque maître d'ouvrage, comme la SVAADE, qui pourrait accepter de me succéder dans un proche avenir.

Je mets en copie de ce courriel, que je confirme formellement par L.R.A.R., les personnes suivantes : mon épouse, maître d'ouvrage à mes côtés depuis que nous avons acheté la Chaslerie, mes fils, susceptibles de me relayer, et le président de la SVAADE.

Je vous prie d'agréer, Madame, l'expression de ma considération distinguée.

Pierre-Paul FOURCADE

(Fin de citation)
On n'imagine pas tout le travail que me donne, pour la partie qui me concerne (j'insiste bien sur cette limitation), l'ordre du jour de l'A.G. de la SVAADE du 17 août prochain.

Heureusement pour moi, le point qui, en l'état du dossier, m'apparaissait le plus difficile à traiter est désormais résolu d'une façon très satisfaisante dans l'intérêt du monument. Il reste certes quelques préalables plus ou moins formels à lever mais je ne doute pas que, chacune des personnes concernées y mettant du sien, nous ne parvenions à relancer très prochainement, et sur de bonnes bases, le chantier favori.
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : jeudi 5 août 2021 18:17
À : (...)@wanadoo.fr
Cc : Hugues Hourdin ; Jacques Meyer ; C. F. ; T. F. ; W.F.
Objet : Chantier de la Chaslerie - Prise de contact

Monsieur,

Pour faire suite à notre échange téléphonique de ce matin, je vous confirme que :

- Mme (...), architecte du patrimoine, a démissionné de son rôle de maître d'œuvre auprès de moi, maître d'ouvrage à ce jour ;
- la SVAADE ("Association pour la promotion et la défense du spectacle vivant et de l'artisanat d'art dans le Domfrontais et ses environs") va, sur convocation de son président, M. Hugues HOURDIN, Conseiller d'Etat honoraire, se réunir en A.G. le 17 août prochain à 17 h 30 à la Chaslerie ; à son ordre du jour sont notamment inscrits, d'une part, l'extension du chantier dont cette association serait désormais en charge de la maîtrise d'ouvrage et, d'autre part, le recrutement d'un architecte du patrimoine pour assurer la maîtrise d'œuvre correspondante.

Bien que je ne fasse plus partie du bureau de la SVAADE (j'ai en effet démissionné de ma position de trésorier-fondateur), je me permets, avec l'accord de son président, de vous contacter pour vous prier de préparer :

(1) dans les meilleurs délais, une estimation des travaux à réaliser sur le logis, la cave et la ferme de la Chaslerie ; nous disposons déjà d'une estimation pour l'aile Ouest (pour environ 750 000 € T.T.C.) et nous aurions besoin, idéalement pour le 17, d'un travail comparable pour ces trois autres bâtiments ; s'agissant de la cave, nous disposons d'un devis du charpentier-couvreur (pour environ 50 000 € T.T.C., afin d'en améliorer l'isolation thermique) ;
(2) votre projet de contrat couvrant :
- pour les trois bâtiments cités (logis, cave, ferme) plus l'aile Ouest (le bâtiment Nord restant en revanche sous ma maîtrise d'ouvrage) :
- dans un premier temps : la demande d'autorisations relative aux travaux prévus dans la tranche 1 régionale (sur la base d'une réunion tenue le 12 juillet dernier avec des élus, la SVAADE a écrit au président de la Région Normandie pour solliciter une aide d'environ 80 000 € pour une première tranche de travaux d'environ 300 000 €) ;
- dans un premier temps (bis) : la régularisation des travaux faits par moi sans autorisation et l'obtention des autorisations nécessaires pour l'ensemble du programme considéré, tous bâtiments confondus, y compris le relais de Mme (...) dans les relations avec le bureau d'études "Bee +" et y compris tous les fluides, notamment internet ;
- dans une troisième temps, le suivi du chantier dans l'ordre où les tranches seraient définies ; vous pouvez d'ores et déjà vous tenir prêt à assumer ce rôle pour les tranches 1 et 2 des menuiseries extérieures du logis (tranches pour lesquelles, pour des raisons administratives, je continuerai à être le maître d'ouvrage) et pour la tranche 1 régionale.

Quant à l'ordre dans lequel il nous sera possible d'avancer dans ce chantier, il devra tenir compte notamment des considérations suivantes (qui, à mes yeux, sont de simple bon sens) :

- la porte entre l'arrière-cuisine et l'arrière-cour est absolument prioritaire (...) ;
- la logique paraît commander de traiter la "problématique des poutres pourries" au 1er étage Nord du logis avant tout autre travail dans cette moitié Nord ;
- au 1er étage Nord, le remplacement de la "cheminée de Mebzon" par celle de la "Julinière" et la restauration du haut de l'intérieur du conduit de cheminée correspondant, avant de traiter le reste du plancher et du plafond de cette pièce ;
- l'installation (dès que la poutraison et le solivage auront été installés après recalibrage approprié) des circuits de chauffage par le sol, au moins dans la moitié Nord du logis et les étages du colombier, avant tout travail dans ces pièces autre que ci-dessus énoncé ; pour ce qui concerne les volumes voués à être rendus de nouveau habitables (excluant ainsi les futures salles de spectacle et ce qui va avec), ceux-ci auraient la priorité sur les autres (le cas de la ferme étant à part puisque bénéficiant, grâce à mon cadet, d'un mode de financement significativement autonome) ;
- l'installation de l'"escalier-en-facteur-commun" dans l'aile Ouest avant les travaux dans cette aile autres que ceux des étages du colombier ;
- la restauration des enduits de la cage d'escalier du logis une fois seulement que les menuiseries des ouvertures extérieures et les radiateurs de ce volume auront été scellés ;
- l'optimisation des taux de subvention (ce qui, s'agissant des subventions départementales, obligera à certains fractionnements des tranches subventionnables) ;
- la définition, avec l'ADEME, d'un mode d'isolation thermique permettant d'optimiser leurs subventions, compte tenu des autres contraintes évidentes.

Dans ce programme, il est probable que seront traités en dernier lieu les volumes intérieurs de la moitié Sud du logis (salon "pseudo-IIIème République-pseudo-style Louis XV" au rez-de-chaussée, "salle dévastée" au 1er étage, et les deux pièces de la tour Sud-Ouest attenante).

Pour accéder à toute la documentation, je demeure bien entendu à votre disposition et vais sans doute vous envoyer une série de courriels complémentaires, plus, à coup sûr et par la poste, une clé USB. En plus de ceci, je ne saurais trop vous recommander l'usage du moteur de recherche du site de la Chaslerie (par exemple en y entrant des mots-clés comme Mebzon ou Julinière).

Je suis conscient que tout cela est complexe et suis à votre disposition pour clarifier en tant que de besoin.

Vous voudrez bien m'indiquer si cela vous gêne que votre nom apparaisse sur mon site (...). Outre Hugues HOURDIN, président de la SVAADE, j'ai mis en copie de ce courriel Jacques MEYER, futur trésorier, mon épouse et mes deux fils, (...) (43 ans) et (...) (39).

A titre personnel, je me réjouis de nos premiers échanges et ne doute pas que vous êtes doté de la compétence, du bon sens et de la réactivité des plus utiles dans de tels dossiers.

Cordialement,

PPF

(Fin de citation)
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : vendredi 13 août 2021 16:11
À : (...)@culture.gouv.fr>
Cc : Hugues Hourdin
Objet : Manoir de la Chaslerie (Orne) et SVAADE

Monsieur,

(...), avec qui je me suis longuement entretenu hier, notamment de la "mission BERN", m'a parlé de vous en termes élogieux. Bien que je n'aie pas le souvenir que nous nous soyons déjà rencontrés, même si j'ai lu votre nom dans un courriel récent, je me permets de vous écrire.

Sachez que je serais heureux de vous faire découvrir la Chaslerie quand vous le souhaiterez. Depuis plus de trente ans, je restaure ce manoir qui était dans un triste état quand mon épouse et moi l'avons acheté. J'aurai 70 ans dans quelques semaines et j'ai souhaité commencer à préparer ma succession dans l'intérêt du monument, notamment en aidant à y développer, sous la bannière de la SVAADE (statuts joints) qui a déjà montré son dynamisme, des animations culturelles de qualité (résidences d'artistes incluses) qui soient essentiellement gratuites pour le public.

La SVAADE, dans le cadre d'un bail à long terme en cours de finalisation, devrait me relayer comme principal maître d'ouvrage des travaux de restauration de cet ensemble manorial, de manière à y disposer de locaux appropriés pour ses activités.

Sachez que la SVAADE se réunira en assemblée générale mardi 17 août prochain à 17 h 30 au manoir, avec l'ordre du jour suivant :

1 - Rapport moral.
2 - Rapport financier.
3 - A titre extraordinaire : déménagement du siège de l'association vers la maison des associations à Domfront-en-Poiraie.
4 - Changement de trésorier à la suite de la démission de M. Pierre-Paul FOURCADE, trésorier-fondateur.
5 - Nomination d'un (ou de deux) secrétaire(s), membre(s) du bureau.
6 - Prospections en cours pour de prochaines animations. Projet de résidences d'artistes.
7 - Mise en dépôt chez un adhérent du tableau acheté par la SVAADE.
8 - Actions tendant à développer la notoriété de la SVAADE.
9 - Projet de bail à long terme à conclure avec les propriétaires du manoir de la Chaslerie.
10 - Etat du chantier de restauration de la Chaslerie. Programme de travaux envisagé par la SVAADE en relais des propriétaires. Extension et phasage des travaux à venir.
11 - Architecte du patrimoine à mandater par la SVAADE, maître d'ouvrage.
12 - Relations avec la D.R.A.C. (conservation régionale du patrimoine et service régional d'archéologie).
13 - Recherche de financements pour les spectacles (subventions, dons et mécénat).
14 - Recherche de financements pour les travaux (subventions, dons et mécénat).
15 - Décision de préparer un dossier pour la "Mission BERN".
16 - Questions diverses.


S'agissant du point 12 de l'ordre du jour, il s'agira pour moi d'exposer comment je compte régulariser les dossiers de travaux menés sans autorisation et finir les travaux subventionnés dont je suis le maître d'ouvrage, deux responsabilités que j'entends bien assumer dans les meilleurs délais, le cas échéant avec l'aide de la SVAADE.

Si vous avez la possibilité d'assister à cette A.G., vous ou l'un de vos collègues, je pense me faire l'interprète d'Hugues HOURDIN, Conseiller d'Etat honoraire, président de la SVAADE, en vous écrivant que vous êtes évidemment les bienvenus.

Je vous informe que Madame la sous-préfète d'Argentan (compétente territorialement pour la partie de l'Orne où est implantée la Chaslerie), viendra au manoir mercredi 18 août à 10 heures pour découvrir le monument et la SVAADE et nous rencontrer, le président de la SVAADE et moi. Nous avons en effet souhaité lui faire part de l'état des lieux et, surtout, de nos ambitions qui sont grandes pour ce monument et son animation.

Nous comptons entreprendre la même démarche, de concert, auprès de Madame la directrice régionale des affaires culturelles.

Je vous prie d'agréer, Monsieur, l'expression de mes salutations distinguées.

Pierre-Paul FOURCADE
06 12 96 01 34

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De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : samedi 7 août 2021 16:17
À : (...)@gmail.com>
Objet : Mission BERN, bail, mécénat, programme Leader etc

Madame, Monsieur,

Notre amie Isabelle d'Harcourt m'a recommandé de vous contacter pour vous demander conseil sur les sujets en objet.

L'assemblée générale de l'association qui va désormais assurer la maîtrise d'ouvrage de la restauration de mon manoir de la Chaslerie se réunit le 17 août prochain pour traiter, entre autres, de ces sujets.

Dans cette perspective, je souhaiterais, si vous en avez le loisir, m'entretenir avec vous à leur propos. (...).

Je me tiens à votre disposition pour, à votre choix, soit échanger par courriel ou par téléphone, soit venir à (...) (dont je suis avec beaucoup d'intérêt la progression des travaux via "Facebook"), soit vous recevoir à la Chaslerie (www.chaslerie.fr).

Bien cordialement,

PPF
06 12 96 01 34

(Fin de citation)
La SVAADE est très diligente. Je reçois à l'instant, sous forme de projet, le document suivant :


Pour ma part, je n'ai pas de remarque. Ce texte me paraît permettre de procéder sans attendre aux formalités requises par les changements de siège et de trésorier.
Reçu hier, par téléphone, une convocation à me rendre lundi prochain à la D.R.A.C. de Caen pour rencontrer le conservateur régional des monuments historiques, flanqué de mon "officier traitant" et d'une autre personne que je ne pense pas avoir déjà croisée.

J'imagine que c'est pour faire le point des dossiers en cours à la suite de la démission de la dernière architecte du patrimoine et dans la perspective de l'intervention prochaine de la SVAADE. Depuis l'A.G. du 17 août dernier, la SVAADE a en effet été désignée pour être le nouveau maître d'ouvrage du chantier favori. Comme tel, elle est chargée de recruter un nouvel architecte du patrimoine (même si celui-ci pourrait, à titre secondaire, intervenir également comme mon maître d’œuvre pour les travaux dont je garderais la maîtrise d'ouvrage, travaux à définir dans le temps compte tenu de la réussite de la SVAADE que j'espère).

Ces dossiers en cours concernent selon moi :
- les tranches 1 et 2 de restauration des menuiseries extérieures du logis, travaux que je freinais pour deux raisons, d'une part - et, compte tenu de la limitation de mes moyens financiers, c'est important pour moi - parce que je demeure en avance sur le chantier dans ma problématique fiscale (du fait notamment de "déficits fonciers reportables"), d'autre part et surtout, parce que j'essayais de faire pression sur mon interlocutrice pour qu'elle traite enfin les questions qu'en ma qualité de maître d'ouvrage, je lui avais désignées comme prioritaires (mais "chante, fauvette" ; comme d'autres, elle préférait évidemment écrémer mon dossier en facturant des honoraires ne lui demandant guère de travail, ce qui explique par exemple que, depuis une douzaine d'années au moins, la question des "poutres pourries" n'a toujours pas été traitée) ;
- la consommation, enfin, d'un petit reliquat de subvention relatif à la restauration des enduits muraux de la cage d'escalier du logis ; à mes yeux, ce dossier a été mal emmanché dès le départ puisqu'il n'a pas été tenu compte de la nécessité, au préalable, de traiter la restauration des menuiseries extérieures de ladite cage (ceci fait partie de la "tranche 1") ni le scellement des radiateurs (lui-même conditionné par la problématique de l'aquathermie, donc, à ce stade des débats, du pavement de la cour).

Il est fort possible que, lors de cet entretien, mes interlocuteurs cherchent de nouveau à m'inviter à canaliser le programme de travaux en me concentrant sur la restauration intérieure du colombier et de la moitié Nord du logis, comme ils l'ont déjà fait il y a quelque chose comme dix-huit mois. Or, même si je perçois la part d'empathie que comporte une telle recommandation, je demeure rétif à de tels conseils car je considère que la question fait partie des prérogatives du maître d'ouvrage, seul responsable "in fine" du bon déroulement de l'ensemble des opérations et seul en capacité de gérer au mieux toutes les contraintes dont lui seul a une vue d'ensemble (et Dieu sait que ce ne sont pas les contraintes qui manquent dans une telle entreprise).


D'aucuns pourront me déclarer un peu raide dans mes positions. Mais pensez-vous qu'on puisse changer un homme âgé de bientôt 70 ans dans son comportement face au chantier de sa vie ?
(Début de citation)

De : (...)@culture.gouv.fr>
Envoyé : jeudi 26 août 2021 09:31
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Cc : (...)@culture.gouv.fr> ; (...)@culture.gouv.fr> ;(...)@culture.gouv.fr> ; (...)@culture.gouv.fr>
Objet : RE: Réunion de lundi 30 août à, 16 heures.

Cher Monsieur,

Je vous remercie de ce retour . Nous maintenons donc notre entretien de lundi prochain 16 h en vous indiquant toutefois avoir un impératif à 17h. Une heure devrait suffire pour que vous nous brossiez la situation actuelle et nous faire part plus en détail de vos projets sur la Chaslerie.

Je vous communiquerai à cette occasion les contacts de notre collègue en charge du spectacle vivant et de l’animation .

Cordialement

(...)
Conservateur régional des monuments historiques
Direction régionale des affaires culturelles de Normandie
13 bis rue st Ouen 14052 Caen cedex4

_______________________________________________________________________________________________

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : jeudi 26 août 2021 08:54
À : (...)@culture.gouv.fr>
Cc :(...)@culture.gouv.fr>; (...)@culture.gouv.fr>; Hugues Hourdin ; (...)@culture.gouv.fr
Objet : RE: Réunion de lundi 30 août à, 16 heures.

Monsieur,

A dire vrai, la demande de rendez-vous auprès de Mme BOURA, datant du 23 juillet dernier, n'était pas formulée que par moi mais aussi par Hugues HOURDIN, Conseiller d'Etat honoraire et président de la SVAADE ("Association pour la promotion et la défense du spectacle vivant et de l'artisanat d'art dans le Domfrontais et ses environs").

Il s'agissait en effet d'évoquer le futur rôle de la SVAADE, y compris les projets de cette association en matière d'animations culturelles et de résidences d'artistes, sujets qui, en l'état de mon information, ne me semblaient pas de votre compétence directe. Ce sont des sujets pour lesquelles la SVAADE est d'ores et déjà en contact avec des entités dont Mme BOURA a à connaître, comme l'ensemble "Correspondances" de Sébastien DAUCE ou encore le "Préau de Vire", mais je crois me faire l'interprète de la SVAADE (dont j'ai démissionné du bureau lors de la dernière A.G., le 17 août) en confirmant que cette association serait intéressée par tous contacts lui permettant d'élargir ses perspectives en ces domaines.

Bien entendu, je ne vois que des avantages à évoquer avec vous la maîtrise d'ouvrage du chantier de restauration de la Chaslerie, du moins pour la partie qui relève de moi seul. A ce titre, la réunion de lundi prochain est sans doute opportune, ne serait-ce que parce qu'il y a eu divers événements de mon côté depuis notre dernière rencontre, à la Chaslerie il y environ dix-huit mois. Le moindre de ces événements n'est certainement pas le relais que la SVAADE devrait m'assurer en matière de maîtrise d'ouvrage pour une forte proportion, espérons-nous, du programme des travaux à venir, estimé à ce stade à 2 M€ dont les trois-quarts restent à trouver.

Donc, si vous le voulez bien, maintenons ce rendez-vous. D'ici là, je vais me concerter avec Hugues HOURDIN pour savoir ce qu'il m'autorisera à vous divulguer des projets de l'association en matière de travaux dont la SVAADE assurerait la maîtrise d'ouvrage à la Chaslerie.

Mais un autre rendez-vous serait nécessaire, me semble-t-il, celui-ci soit avec Mme BOURA, soit, si son secrétariat n'en trouve toujours pas le créneau dans son emploi du temps, avec ses collaborateurs en charge des questions d'animation culturelle et de spectacle vivant.

Cordialement,

PPF

______________________________________________________________________________________________

De :(...)@culture.gouv.fr>
Envoyé : jeudi 26 août 2021 08:16
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Cc : (...)t@culture.gouv.fr>; (...)@culture.gouv.fr>
Objet : RE: Réunion de lundi 30 août à, 16 heures.

Bonjour Monsieur Fourcade

Il s’agit simplement de donner suite à la demande de rv que vous avez vous même formulée auprès de notre directrice pour évoquer l’avenir de la Chaslerie et que m’a fait suivre Mme Boura .

Je vous remercie de bien vouloir m’indiquer si vous confirmer ou non ce rendez vous .

Cordialement,

(...)

Conservateur régional des monuments historiques
Direction régionale des affaires culturelles de Normandie
13 bis rue st Ouen 14052 Caen cedex4


______________________________________________________________________________________________

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : jeudi 26 août 2021 00:04
À : (...)s@culture.gouv.fr>Cc : Hugues Hourdin
Objet : Réunion de lundi 30 août à, 16 heures.

Monsieur le conservateur régional,

Vous m'avez fait demander de me rendre lundi prochain dans vos bureaux de Caen pour vous rencontrer avec deux de vos collaborateurs.

Puis-je vous prier de me communiquer l'ordre du jour de cette réunion ?

Cordialement,

PPF

(Fin de citation)