A la Chaslerie

RÉVÉLATION MUSICALE DE L’ANNÉE ⭐️
C’est un grand honneur de recevoir le prix de la Révélation musicale de l’année 2025 par le Syndicat professionnel de la Critique qui récompense notre Saison 2024-2025 que nous partageons avec tous nos précieux soutiens, partenaires et notre public.
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Retrouverez-nous dès le 2 Juillet prochain sur les routes d’un bel été 🌞


N.D.L.R. : Encore un très grand bravo !

(C'est à des occasions comme celle-ci qu'on peut regretter de ne pas être doté d'un compte "Instagram" actif, si je comprends bien ce qu'est cette liste...).
Les Derniers Jours de Harry Yuan : l’OVNI de la rentrée

La première critique de mon livre est parue hier dans le magazine littéraire en ligne l’Actualitté, sous le titre “Le futur OVNI de la rentrée littéraire”. Il est dû à la plume de Nicolas Gary.

De cet article fouillé dont, je crois, tout auteur pourrait rêver, j’extrais les passages suivants :

« On dit souvent qu’il y a des vies qui dépassent la fiction. Celle de Harry Yuan semble les engloutir toutes. Dans Les Derniers Jours de Harry Yuan, Arbon, l’auteur-narrateur, ressuscite la trajectoire hors norme de cet énigmatique magnat de la tech, disparu des radars depuis près de vingt ans.

(…) [Le roman] relate avec précision l’effervescence technologique, les négociations d’acquisition, les manœuvres financières et les utopies qui portaient [autour de l’an 2000] vers un avenir dématérialisé. (…) L’intrigue, pourtant, se construit moins sur des rebondissements que sur une lente dérive des certitudes. (…) Et c’est là que le roman surprend, par son art du décalage. (…) Harry Yuan devient un miroir, une chimère, presque un prétexte à l’introspection.

(…) Le style, limpide et précis, épouse cette atmosphère flottante (…) Le roman avance par ellipses, digressions, retours en arrière, creusant la matière même du vide laissé par la disparition de Yuan. (…) [Il] parle de l’effondrement des illusions, de la fuite, du vieillissement, de cette étrange parenthèse qu’a été l’avènement du numérique. (…) Pourtant, l’essentiel n’est jamais là où on l’attend (…) Le véritable moteur du texte réside dans sa respiration, sa capacité à capturer l’indicible, à faire exister le mystère sans jamais le résoudre.

(…) Arbon réussit ainsi un pari rare : écrire un roman de l’incertitude, suspendu entre biographie et fiction, entre récit économique et introspection douce-amère (…) »


J’invite mes lecteurs à découvrir cet article en intégralité en cliquant sur le lien ci-après, mais je ne cache pas qu’il m’a mis en joie.


N.D.L.R. : Et moi, je subodore que, pour la seconde fois en 2025, un artiste intervenu à la Chaslerie pourrait se voir décerner une récompense nationale très prestigieuse, celle-ci dans le monde de la littérature.

ARBON est cet artiste que nous avons aimé entendre dans le cadre des spectacles organisés par La SVAADE, le prochain devant commencer le 5 juillet 2025 à 18 heures dans le salon du manoir favori et nulle part ailleurs, faut-il le rappeler ?

La SVAADE, mazette, quelle superbe association !

Et porteuse d'un "Projet" particulièrement bien étudié (avec l'aide de la Région Normandie) et tellement porteur d'un avenir idéal pour le tourisme bagnolo-domfrontais ou domfronto-bagnolais, "médiéval" ou autre, peu importe en fait !
Dans "Le Publicateur Libre" du jour :


N.D.L.R. : Cet article ne comporte pas d'erreur factuelle, ce qui est une bonne chose.

Mais que l'on me permette de m'étonner qu'aucun organe de la presse locale, quotidienne comme hebdomadaire, ne se soit fait l'écho de la récompense nationale obtenue dernièrement par un violoniste intervenu six fois à la Chaslerie, dans le cadre des concerts organisés par La SVAADE.

Là aussi, la mauvaise monnaie chasserait-elle la bonne ?