Transition écologique: la ministre Agnès Pannier-Runacher menace de démissionner sans amélioration de son budget
N.D.L.R. : Si elle doit continuer à nous coller davantage d'éoliennes, qu'elle dégage et bon débarras, on ne la pleurera pas !
A.D.D.O.O.E.
lefigaro.fr
rédigé le Vendredi 18 Octobre 2024
Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - A.D.D.O.O.E.
rédigé le Vendredi 18 Octobre 2024
Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - A.D.D.O.O.E.
Fédération Environnement Durable
rédigé le Mercredi 23 Octobre 2024
Vie des associations - A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
rédigé le Mercredi 23 Octobre 2024
Vie des associations - A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
Communiqué de Presse - Réaction à la prise de position de l’UFC-Que Choisir sur la taxe intérieure sur la consommation finale d’électricité (TICFE)
Paris, le 21 octobre 2024
Nous saluons l’initiative de l’UFC-Que Choisir qui dénonce avec virulence l’augmentation de la taxe intérieure sur la consommation finale d’électricité (TICFE) prévue dans le projet de loi de finances pour 2025. Cette augmentation, qui s’ajoute à un contexte économique déjà tendu pour les ménages, mérite en effet d’être combattue.
Toutefois, il est regrettable que l’UFC-Que Choisir ne dévoile pas la véritable raison de cette hausse. Contrairement à ce que laissent penser les discours officiels trompeurs, cette augmentation de la TICFE est principalement due aux besoins de financement liés à la construction d’un réseau électrique gigantesque. Ce réseau doit couvrir l’ensemble du territoire français et relier les parcs éoliens terrestres et offshore ainsi que les champs de panneaux solaires, dispersés aux quatre coins du pays.
Le coût de cette infrastructure, estimé par le ministère de l’Économie et confirmé par plusieurs experts indépendants, pourrait dépasser les 200 milliards d’euros. Ce montant représente un fardeau financier insoutenable pour les consommateurs, surtout en cette période de restrictions budgétaires et de difficultés économiques. Il est essentiel que les citoyens soient informés des véritables raisons qui expliquent cette pression fiscale accrue, au lieu de se contenter d’analyses partielles.
La réalité est claire : c'est le financement d’un réseau destiné à compenser la dispersion des installations de production d’énergie renouvelable intermittente. Cette politique de développement décentralisé a un coût, et ce sont les consommateurs qui en font les frais insupportables à travers des hausses de la TICFE.
Nous appelons l’UFC-Que Choisir à une transparence totale sur ces enjeux, pour que les Français puissent juger en connaissance de cause les décisions qui impactent directement leur quotidien. Il est de la responsabilité de tous les acteurs de ne pas dissimuler les véritables coûts et conséquences des politiques énergétiques en cours.
Paris, le 21 octobre 2024
Nous saluons l’initiative de l’UFC-Que Choisir qui dénonce avec virulence l’augmentation de la taxe intérieure sur la consommation finale d’électricité (TICFE) prévue dans le projet de loi de finances pour 2025. Cette augmentation, qui s’ajoute à un contexte économique déjà tendu pour les ménages, mérite en effet d’être combattue.
Toutefois, il est regrettable que l’UFC-Que Choisir ne dévoile pas la véritable raison de cette hausse. Contrairement à ce que laissent penser les discours officiels trompeurs, cette augmentation de la TICFE est principalement due aux besoins de financement liés à la construction d’un réseau électrique gigantesque. Ce réseau doit couvrir l’ensemble du territoire français et relier les parcs éoliens terrestres et offshore ainsi que les champs de panneaux solaires, dispersés aux quatre coins du pays.
Le coût de cette infrastructure, estimé par le ministère de l’Économie et confirmé par plusieurs experts indépendants, pourrait dépasser les 200 milliards d’euros. Ce montant représente un fardeau financier insoutenable pour les consommateurs, surtout en cette période de restrictions budgétaires et de difficultés économiques. Il est essentiel que les citoyens soient informés des véritables raisons qui expliquent cette pression fiscale accrue, au lieu de se contenter d’analyses partielles.
La réalité est claire : c'est le financement d’un réseau destiné à compenser la dispersion des installations de production d’énergie renouvelable intermittente. Cette politique de développement décentralisé a un coût, et ce sont les consommateurs qui en font les frais insupportables à travers des hausses de la TICFE.
Nous appelons l’UFC-Que Choisir à une transparence totale sur ces enjeux, pour que les Français puissent juger en connaissance de cause les décisions qui impactent directement leur quotidien. Il est de la responsabilité de tous les acteurs de ne pas dissimuler les véritables coûts et conséquences des politiques énergétiques en cours.
Transition & Energies
rédigé le Lundi 18 Novembre 2024
Vie des associations - A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
rédigé le Lundi 18 Novembre 2024
Vie des associations - A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
Electricité : la chute de la maison Allemagne
La stratégie énergétique allemande, marquée par l’abandon du nucléaire et le choix du tout renouvelables s'appuyant sur des centrales à charbon ou à gaz, est un échec cuisant. En dépit de centaines de milliards d’euros d’investissements, non seulement l’Allemagne n’est plus capable de subvenir seule à ses besoins en électricité, notamment quand il y a peu de vent et peu de soleil, mais en outre les prix de l’électricité n’ont cessé d’augmenter pesant sur le pouvoir d’achat des ménages et la compétitivité de l’industrie.
Longtemps considérée comme une puissance électrique exportatrice, l’Allemagne a connu une profonde transformation de son paysage énergétique au cours des dernières années. La décision d’abandonner progressivement le nucléaire, prise après l’accident de Fukushima en 2011, a été un tournant majeur. Ce choix, mû par des prétextes environnementaux et surtout politiques, a entraîné une refonte complète du système énergétique allemand, avec des conséquences inattendues sur ses échanges commerciaux avec ses voisins.
Jusqu’au milieu des années 2010, l’Allemagne était un fournisseur d’électricité en Europe. Son parc nucléaire, l’un des plus importants au monde, couplé à une production thermique conséquente assurée par des centrales au charbon et au lignite, lui permettait de générer un surplus qu’elle écoulait largement vers ses voisins.
L’échec de l’Energiewende
Toutefois, la sortie progressive du nucléaire, décidée en 2011, et le lancement alors de la révolution énergétique allemande faisant des renouvelables une priorité (l’Energiewende) ont créé une situation de plus en plus déséquilibrée. La fermeture des centrales nucléaires a creusé un trou dans la production électrique allemande. Si le développement des énergies renouvelables intermittentes (éolienne et solaire) a été rapide avec des investissements considérables de plus de 600 milliards d’euros en un peu plus d’une décennie, leur production, fortement dépendante des aléas météorologiques, ne peut pas toujours compenser les pertes liées à l’abandon du nucléaire.
Ainsi, les renouvelables ont la fâcheuse tendance de produire trop (quand il y a du vent et du soleil) ou trop peu créant des période de surproduction pendant lesquelles personne ne veut de l’électricité produite, et d’autres moments où l’abandon d’une source de production pilotable, indépendante de la météorologie, devient très préjudiciable.
Elle l’est d’autant plus que la consommation électrique allemande, dopée par une croissance économique relativement soutenue et une électrification croissante des usages, n’a cessé d’augmenter jusqu’à la crise de 2022 née de l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Ce double mouvement, caractérisé par une baisse de fait de la capacité de production quand la
météorologie est défavorable et une hausse de la consommation, a inexorablement conduit l’Allemagne à devenir importatrice nette d’électricité (voir l’infographie ci-dessous).
Ce basculement a été accéléré par la hausse des prix de l’énergie sur les marchés internationaux, notamment du gaz avec l’arrêt brutal de l’approvisionnement russe, rendant les importations d’électricité plus attractives durant plusieurs années et incitant le pays à externaliser la gestion de sa pointe de consommation. Et la volatilité des marchés de l’énergie, accentuée par des facteurs géopolitiques et climatiques, a rendu la planification énergétique allemande encore plus incertaine.
La stratégie énergétique allemande, marquée par l’abandon du nucléaire et le choix du tout renouvelables s'appuyant sur des centrales à charbon ou à gaz, est un échec cuisant. En dépit de centaines de milliards d’euros d’investissements, non seulement l’Allemagne n’est plus capable de subvenir seule à ses besoins en électricité, notamment quand il y a peu de vent et peu de soleil, mais en outre les prix de l’électricité n’ont cessé d’augmenter pesant sur le pouvoir d’achat des ménages et la compétitivité de l’industrie.
Longtemps considérée comme une puissance électrique exportatrice, l’Allemagne a connu une profonde transformation de son paysage énergétique au cours des dernières années. La décision d’abandonner progressivement le nucléaire, prise après l’accident de Fukushima en 2011, a été un tournant majeur. Ce choix, mû par des prétextes environnementaux et surtout politiques, a entraîné une refonte complète du système énergétique allemand, avec des conséquences inattendues sur ses échanges commerciaux avec ses voisins.
Jusqu’au milieu des années 2010, l’Allemagne était un fournisseur d’électricité en Europe. Son parc nucléaire, l’un des plus importants au monde, couplé à une production thermique conséquente assurée par des centrales au charbon et au lignite, lui permettait de générer un surplus qu’elle écoulait largement vers ses voisins.
L’échec de l’Energiewende
Toutefois, la sortie progressive du nucléaire, décidée en 2011, et le lancement alors de la révolution énergétique allemande faisant des renouvelables une priorité (l’Energiewende) ont créé une situation de plus en plus déséquilibrée. La fermeture des centrales nucléaires a creusé un trou dans la production électrique allemande. Si le développement des énergies renouvelables intermittentes (éolienne et solaire) a été rapide avec des investissements considérables de plus de 600 milliards d’euros en un peu plus d’une décennie, leur production, fortement dépendante des aléas météorologiques, ne peut pas toujours compenser les pertes liées à l’abandon du nucléaire.
Ainsi, les renouvelables ont la fâcheuse tendance de produire trop (quand il y a du vent et du soleil) ou trop peu créant des période de surproduction pendant lesquelles personne ne veut de l’électricité produite, et d’autres moments où l’abandon d’une source de production pilotable, indépendante de la météorologie, devient très préjudiciable.
Elle l’est d’autant plus que la consommation électrique allemande, dopée par une croissance économique relativement soutenue et une électrification croissante des usages, n’a cessé d’augmenter jusqu’à la crise de 2022 née de l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Ce double mouvement, caractérisé par une baisse de fait de la capacité de production quand la
météorologie est défavorable et une hausse de la consommation, a inexorablement conduit l’Allemagne à devenir importatrice nette d’électricité (voir l’infographie ci-dessous).
Balance du solde électrique de l’Allemagne en TWh. Source: Energy Charts.
Ce basculement a été accéléré par la hausse des prix de l’énergie sur les marchés internationaux, notamment du gaz avec l’arrêt brutal de l’approvisionnement russe, rendant les importations d’électricité plus attractives durant plusieurs années et incitant le pays à externaliser la gestion de sa pointe de consommation. Et la volatilité des marchés de l’énergie, accentuée par des facteurs géopolitiques et climatiques, a rendu la planification énergétique allemande encore plus incertaine.
lepoint.fr
rédigé le Samedi 30 Novembre 2024
Vie des associations - A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
rédigé le Samedi 30 Novembre 2024
Vie des associations - A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
Énergie : en Allemagne, la grande désillusion
Son réseau électrique est au bord de la rupture : comment le pays s’est fourvoyé dans une impasse à 520 milliards et reste dépendant des fossiles.
N.D.L.R. : Il n'est que temps que cette invraisemblable bulle de connerie se dégonfle enfin !
Son réseau électrique est au bord de la rupture : comment le pays s’est fourvoyé dans une impasse à 520 milliards et reste dépendant des fossiles.
N.D.L.R. : Il n'est que temps que cette invraisemblable bulle de connerie se dégonfle enfin !
lepoint.fr
rédigé le Dimanche 1er Décembre 2024
Vie des associations - A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
rédigé le Dimanche 1er Décembre 2024
Vie des associations - A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
« Nous dénonçons le développement à marche forcée des énergies renouvelables »
TRIBUNE. Henri Proglio, Louis Gallois… Dans une lettre ouverte, 10 anciens dirigeants alertent le Premier ministre Michel Barnier, et dénoncent une politique ruineuse de développement massif des renouvelables.
N.D.L.R. : Excellent !
Ras le bol de ces inepties qui "crament un pognon de dingue", font exploser les tarifs de l'électricité, plombent la compétitivité économique nationale, défigurent les campagnes et dont ne profitent (mais dans quelles proportions !) que quelques spéculateurs sans scrupules !
Patrice CAHART aurait, selon moi, mérité de faire partie des signataires.
TRIBUNE. Henri Proglio, Louis Gallois… Dans une lettre ouverte, 10 anciens dirigeants alertent le Premier ministre Michel Barnier, et dénoncent une politique ruineuse de développement massif des renouvelables.
N.D.L.R. : Excellent !
Ras le bol de ces inepties qui "crament un pognon de dingue", font exploser les tarifs de l'électricité, plombent la compétitivité économique nationale, défigurent les campagnes et dont ne profitent (mais dans quelles proportions !) que quelques spéculateurs sans scrupules !
Patrice CAHART aurait, selon moi, mérité de faire partie des signataires.
Fédération Environnement Durable
rédigé le Dimanche 8 Décembre 2024
Lobbying environnemental - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie - Désultoirement vôtre ! - A.D.D.O.O.E.
rédigé le Dimanche 8 Décembre 2024
Lobbying environnemental - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie - Désultoirement vôtre ! - A.D.D.O.O.E.
Échec des Éoliennes : L'Allemagne, la Grande-Bretagne et le Danemark en crise
Malgré des investissements colossaux de plus de 500 milliards d'euros, l'Allemagne se retrouve avec un réseau électrique au bord de la rupture et une dépendance accrue aux énergies fossiles.
En Grande Bretagne une situation météorologique similaire vient de conduire à des dépenses astronomiques pour l’arrêt des éoliennes, soulevant des questions sur l’efficacité de la transition énergétique britannique. Plus d’un milliard de livres sterling dépensé en " coûts de congestion" !
Au Danemark, les champs géants d’éoliennes en mer ne trouvent pas preneurs.
Malgré des investissements colossaux de plus de 500 milliards d'euros, l'Allemagne se retrouve avec un réseau électrique au bord de la rupture et une dépendance accrue aux énergies fossiles.
En Grande Bretagne une situation météorologique similaire vient de conduire à des dépenses astronomiques pour l’arrêt des éoliennes, soulevant des questions sur l’efficacité de la transition énergétique britannique. Plus d’un milliard de livres sterling dépensé en " coûts de congestion" !
Au Danemark, les champs géants d’éoliennes en mer ne trouvent pas preneurs.
Transitions & Energies
rédigé le Mercredi 18 Décembre 2024
A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie - Vie des associations
rédigé le Mercredi 18 Décembre 2024
A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie - Vie des associations
La Commission européenne n’a pas renoncé à saboter la stratégie nucléaire française
C’est une constante depuis plus d’une décennie à Bruxelles. La tentative permanente de remettre en cause le modèle énergétique français construit sur le nucléaire par une alliance inédite d'eurocrates et de politiques « progressistes ». Leur ambition est d'imposer à tous et par tous les moyens le modèle allemand du tout renouvelables. Peu importe, s'il s'agit d'un échec cinglant qui s'est traduit par une envolée des prix de l’électricité, les plus élevés d’Europe, des performances médiocres de baisse des émissions et une menace grandissante de pénuries. Cela fait deux mois que faute de vent, l'Allemagne importe massivement l'électricité nucléaire française. Dernier épisode en date de la bataille souterraine à Bruxelles, une passe d’armes entre le tout nouveau Commissaire européen de l'énergie, le Danois Dan Jørgensen, adversaire historique du nucléaire, et la Française Agnès Pannier-Runacher, ministre démissionnaire de l'Écologie et de l'Énergie.
C’est un feuilleton qui se poursuit depuis des années à Bruxelles dans les couloirs de la Commission européenne et dans ceux du Parlement européen. Technocrates et politiques « progressistes » entendent par tous les moyens imposer leur stratégie de transition énergétique qui passe par le tout renouvelables. Peu importe que cette stratégie soit un échec comme le montre de façon éclatante l’exemple allemand de l’Energiewende. Après avoir investi 600 milliards d’euros dans les renouvelables, l’Allemagne se retrouve avec l’électricité la plus chère d’Europe et quand il y a peu de vent et de soleil, comme depuis plusieurs semaines, elle est contrainte d’importer massivement… l’électricité nucléaire française.
Mais à Bruxelles l’idéologie et les calculs politiques ont pris le pas depuis longtemps sur les réalités physiques et économiques. Ce qui explique d’ailleurs le rejet croissant des institutions européennes. Avec la stratégie qu’elles imposent depuis plus d’une décennie, les gains en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre ne sont pas au rendez-vous et l’intermittence des renouvelables éolien et solaire contraint à avoir des moyens de production d’électricité dits pilotables qui sont la plupart du temps fossile, au gaz ou au charbon.
La Commission ne reconnaît jamais ses errements
Cela se traduit par la nécessité d’avoir des capacités de production bien plus importantes que la demande, ce qui rend les investissements dans les équipements de substitution peu ou pas rentables et en outre, cela déstabilise les marchés de l’électricité. Car quand les conditions météorologiques sont favorables aux renouvelables intermittents, la production est trop importante et les prix s’effondrent et quand elle est insuffisante, en général en fin de journée quand la demande est la plus forte, les prix s’envolent…
Le nucléaire apporte une solution à ce problème, même si elle n’est pas techniquement optimale car le fonctionnement des réacteurs n’a pas la souplesse des turbines à gaz. Mais le nucléaire fournit une production dite de base, abondante, totalement décarbonée et non intermittente sur laquelle il est plus facile de construire un système électrique fiable et avec des prix prévisibles et à peu près maîtrisés.
Mais la Commission européenne persiste dans l’erreur. Nouvelle illustration, la passe d’armes qui n’augure rien de bon entre le tout nouveau commissaire européen de l’énergie, le Danois Dan Jørgensen, adversaire historique du nucléaire, et la Française Agnès Pannier-Runacher, ministre démissionnaire de l’Écologie et de l’Énergie.
La tentative de tromperie du nouveau Commissaire européen à l’énergie
Lors d’un Conseil des ministres européens de l’énergie, qui s’est tenu le 16 décembre, celle-ci a dû intervenir pour empêcher une modification importante d’un texte essentiel sur les objectifs énergétiques européens. Le diable se cache dans les détails. La lettre de mission de Dan Jørgensen, qui précise ses priorités politiques, avait été modifiée à la dernière minute lui demandant de « soumettre une initiative pour booster le déploiement du stockage de l’énergie et des énergies renouvelables, y compris en proposant un objectif pour les renouvelables en 2040 ». Cela ne figurait pas dans la version de la même lettre de mission soumise le 17 septembre lors des auditions des commissaires par le Parlement européen.
Agnès Pannier-Runacher a indiqué qu’il était hors de question que l’Union européenne impose un objectif précis de parts des énergies renouvelables dans la production électrique d’ici 2040. « Une telle cible semble contredire le principe de neutralité technologique […] et crée un risque de discrimination », a-t-elle fait valoir.
Deux mois sans vent en mer du nord
La France ne veut pas que l’objectif, déjà inatteignable et irréaliste, de 42,5% de renouvelables dans le mix énergétique en 2030 imposé aux Etats de l’Union soit encore augmenté… pour le seul bénéfice de la communication politique de la Commission et du Commissaire.
« Cela fait deux mois qu’il n’y a pas de vent en mer du Nord et que les éoliennes produisent peu, tous les pays du Nord importent massivement de l’électricité nucléaire française. Pourquoi se fixerait-on un objectif qui dépend de facteurs qu’on ne contrôle pas », souligne-t-on au cabinet de la ministre française. Et de mettre en avant l’échec allemand, ce qui est presque trop facile. En 2023, la France qui n’est pas sortie du nucléaire comme l’Allemagne était à 22,2% d’énergies renouvelables dans son mix énergétique, mieux que l’Allemagne avec 22%…
Après avoir tenté de faire modifier subrepticement sa lettre de mission, Dan Jørgensen a semblé faire machine arrière. « Nous devons évidemment formuler les politiques pour atteindre cet objectif [sur les renouvelables] d’une manière qui ne porte pas préjudice à la possibilité d’utiliser également d’autres technologies propres, des technologies neutres en carbone comme par exemple le nucléaire », a-t-il déclaré. Il doit tenir compte, à défaut de la réalité énergétique, des rapports de force politique. L’Alliance du nucléaire qui regroupe 12 pays européens (et 3 observateurs) et a été lancée en février 2023, notamment à l’initiative d’Agnès Pannier-Runacher, s’est réunie le 16 décembre, en marge du Conseil, en présence de Dan Jørgensen
C’est une constante depuis plus d’une décennie à Bruxelles. La tentative permanente de remettre en cause le modèle énergétique français construit sur le nucléaire par une alliance inédite d'eurocrates et de politiques « progressistes ». Leur ambition est d'imposer à tous et par tous les moyens le modèle allemand du tout renouvelables. Peu importe, s'il s'agit d'un échec cinglant qui s'est traduit par une envolée des prix de l’électricité, les plus élevés d’Europe, des performances médiocres de baisse des émissions et une menace grandissante de pénuries. Cela fait deux mois que faute de vent, l'Allemagne importe massivement l'électricité nucléaire française. Dernier épisode en date de la bataille souterraine à Bruxelles, une passe d’armes entre le tout nouveau Commissaire européen de l'énergie, le Danois Dan Jørgensen, adversaire historique du nucléaire, et la Française Agnès Pannier-Runacher, ministre démissionnaire de l'Écologie et de l'Énergie.
C’est un feuilleton qui se poursuit depuis des années à Bruxelles dans les couloirs de la Commission européenne et dans ceux du Parlement européen. Technocrates et politiques « progressistes » entendent par tous les moyens imposer leur stratégie de transition énergétique qui passe par le tout renouvelables. Peu importe que cette stratégie soit un échec comme le montre de façon éclatante l’exemple allemand de l’Energiewende. Après avoir investi 600 milliards d’euros dans les renouvelables, l’Allemagne se retrouve avec l’électricité la plus chère d’Europe et quand il y a peu de vent et de soleil, comme depuis plusieurs semaines, elle est contrainte d’importer massivement… l’électricité nucléaire française.
Mais à Bruxelles l’idéologie et les calculs politiques ont pris le pas depuis longtemps sur les réalités physiques et économiques. Ce qui explique d’ailleurs le rejet croissant des institutions européennes. Avec la stratégie qu’elles imposent depuis plus d’une décennie, les gains en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre ne sont pas au rendez-vous et l’intermittence des renouvelables éolien et solaire contraint à avoir des moyens de production d’électricité dits pilotables qui sont la plupart du temps fossile, au gaz ou au charbon.
La Commission ne reconnaît jamais ses errements
Cela se traduit par la nécessité d’avoir des capacités de production bien plus importantes que la demande, ce qui rend les investissements dans les équipements de substitution peu ou pas rentables et en outre, cela déstabilise les marchés de l’électricité. Car quand les conditions météorologiques sont favorables aux renouvelables intermittents, la production est trop importante et les prix s’effondrent et quand elle est insuffisante, en général en fin de journée quand la demande est la plus forte, les prix s’envolent…
Le nucléaire apporte une solution à ce problème, même si elle n’est pas techniquement optimale car le fonctionnement des réacteurs n’a pas la souplesse des turbines à gaz. Mais le nucléaire fournit une production dite de base, abondante, totalement décarbonée et non intermittente sur laquelle il est plus facile de construire un système électrique fiable et avec des prix prévisibles et à peu près maîtrisés.
Mais la Commission européenne persiste dans l’erreur. Nouvelle illustration, la passe d’armes qui n’augure rien de bon entre le tout nouveau commissaire européen de l’énergie, le Danois Dan Jørgensen, adversaire historique du nucléaire, et la Française Agnès Pannier-Runacher, ministre démissionnaire de l’Écologie et de l’Énergie.
La tentative de tromperie du nouveau Commissaire européen à l’énergie
Lors d’un Conseil des ministres européens de l’énergie, qui s’est tenu le 16 décembre, celle-ci a dû intervenir pour empêcher une modification importante d’un texte essentiel sur les objectifs énergétiques européens. Le diable se cache dans les détails. La lettre de mission de Dan Jørgensen, qui précise ses priorités politiques, avait été modifiée à la dernière minute lui demandant de « soumettre une initiative pour booster le déploiement du stockage de l’énergie et des énergies renouvelables, y compris en proposant un objectif pour les renouvelables en 2040 ». Cela ne figurait pas dans la version de la même lettre de mission soumise le 17 septembre lors des auditions des commissaires par le Parlement européen.
Agnès Pannier-Runacher a indiqué qu’il était hors de question que l’Union européenne impose un objectif précis de parts des énergies renouvelables dans la production électrique d’ici 2040. « Une telle cible semble contredire le principe de neutralité technologique […] et crée un risque de discrimination », a-t-elle fait valoir.
Deux mois sans vent en mer du nord
La France ne veut pas que l’objectif, déjà inatteignable et irréaliste, de 42,5% de renouvelables dans le mix énergétique en 2030 imposé aux Etats de l’Union soit encore augmenté… pour le seul bénéfice de la communication politique de la Commission et du Commissaire.
« Cela fait deux mois qu’il n’y a pas de vent en mer du Nord et que les éoliennes produisent peu, tous les pays du Nord importent massivement de l’électricité nucléaire française. Pourquoi se fixerait-on un objectif qui dépend de facteurs qu’on ne contrôle pas », souligne-t-on au cabinet de la ministre française. Et de mettre en avant l’échec allemand, ce qui est presque trop facile. En 2023, la France qui n’est pas sortie du nucléaire comme l’Allemagne était à 22,2% d’énergies renouvelables dans son mix énergétique, mieux que l’Allemagne avec 22%…
Après avoir tenté de faire modifier subrepticement sa lettre de mission, Dan Jørgensen a semblé faire machine arrière. « Nous devons évidemment formuler les politiques pour atteindre cet objectif [sur les renouvelables] d’une manière qui ne porte pas préjudice à la possibilité d’utiliser également d’autres technologies propres, des technologies neutres en carbone comme par exemple le nucléaire », a-t-il déclaré. Il doit tenir compte, à défaut de la réalité énergétique, des rapports de force politique. L’Alliance du nucléaire qui regroupe 12 pays européens (et 3 observateurs) et a été lancée en février 2023, notamment à l’initiative d’Agnès Pannier-Runacher, s’est réunie le 16 décembre, en marge du Conseil, en présence de Dan Jørgensen
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 20 Décembre 2024
A.D.D.O.O.E. - Sud Manche - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie - Vie des associations
rédigé le Vendredi 20 Décembre 2024
A.D.D.O.O.E. - Sud Manche - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie - Vie des associations
(Début de citation)
De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : samedi 21 décembre 2024 11:11
À : hervé texier <vdcenpb@yahoo.fr>
Objet : RE: Eoliennes de Ger et de Saint-Georges-de-Rouelley
Avec plaisir.
Tu peux y joindre mes vœux qu'ils ne désarment jamais devant la bêtise envahissante !
_____________________________________________________________________________________
De : hervé texier <vdcenpb@yahoo.fr>
Envoyé : samedi 21 décembre 2024 11:09
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Objet : Re: Eoliennes de Ger et de Saint-Georges-de-Rouelley
Serais tu d'accord pour que je diffuse ton mail aux adhérents de BNE ?
Hervé
_____________________________________________________________________________________
De : hervé texier <vdcenpb@yahoo.fr>
Envoyé : samedi 21 décembre 2024 11:07
À : 'Pierre-Paul Fourcade' <penadomf@msn.com>; (...)
Objet : Re: Eoliennes de Ger et de Saint-Georges-de-Rouelley
Un Très Grand Bravo. C'est un victoire mémorable qui mérite d'être connue.
Je me souviens du départ quand nous avons commencé à démarcher les premiers foyers qui risquaient d'être impactés et des premières réunions à la Chaslerie.
Mais tu as raison, restons vigilants. BNE sera là pour défendre notre environnement
Bonnes fêtes de fin d'année
Hervé Texier
Président BNE
_____________________________________________________________________________________
De : Patrice CAHART
Envoyé : samedi 21 décembre 2024 09:18
À : 'Pierre-Paul Fourcade' <penadomf@msn.com>; (...)
Objet : RE: Eoliennes de Ger et de Saint-Georges-de-Rouelley
Bravo cher Pierre-Paul. Ta ténacité et ta vigueur, tout au long de ces neuf années, sont pour beaucoup dans ce succès.
Je suis heureux de constater que l’éolien n’est pas gagnant à tous les coups.
Patrice
_____________________________________________________________________________________
De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : vendredi 20 décembre 2024 22:33
À : (...)
Cc : Cabinet d'avocats Monamy ; Denis de la BURGADE
Objet : Eoliennes de Ger et de Saint-Georges-de-Rouelley
Chers amis,
De mémoire, Xavier de THIEULLOY m'a signalé le 22 avril 2015 que le préfet de la Manche avait, le 12 mars précédent, autorisé l'extension du parc éolien de Ger à 6 nouveaux aérogénérateurs électriques industriels de 152 m de haut. Le projet devait être installé sur les territoires de Ger et Saint-Georges-de-Rouelley.
Depuis cette époque, nous avons formé une équipe qui a tenu et nous sommes battus avec résolution. Certains d'entre nous, (...), ont recherché des moyens à faire valoir et cette quête aura été très fructueuse.
Sachez que nous avons gagné : j'ai reçu aujourd'hui le courrier joint du Conseil d'Etat nous annonçant que le pourvoi de notre adversaire vient d'être rejeté.
C'en est donc fini pour cette vague de huit procès (de mémoire) à laquelle nous avons dû faire face.
Voici une bonne nouvelle dans un monde qui en manque et à la veille de Noël de surcroît.
Ceci dit, ne nous trompons pas : notre adversaire est énorme puisque c'est le groupe Total, la politique énergétique des pouvoirs publics est toujours aussi lamentablement absurde et les possibilités de nous défendre à l'avenir ont été fortement réduites à la suite des manœuvres incessantes du lobby éolien.
Fort des enseignements de la première vague de procès, notre adversaire a désormais tout loisir de monter un nouveau dossier qui parerait à nos ripostes de la première vague.
Donc restons mobilisés et, en particulier, à l'affût de tout nouveau projet dont il pourrait être question dans notre secteur.
Je compte sur vous pour ne jamais relâcher la veille !
Sur ce, joyeux Noël et bonne année !
Bien cordialement,
PPF
(Fin de citation)
De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : samedi 21 décembre 2024 11:11
À : hervé texier <vdcenpb@yahoo.fr>
Objet : RE: Eoliennes de Ger et de Saint-Georges-de-Rouelley
Avec plaisir.
Tu peux y joindre mes vœux qu'ils ne désarment jamais devant la bêtise envahissante !
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De : hervé texier <vdcenpb@yahoo.fr>
Envoyé : samedi 21 décembre 2024 11:09
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Objet : Re: Eoliennes de Ger et de Saint-Georges-de-Rouelley
Serais tu d'accord pour que je diffuse ton mail aux adhérents de BNE ?
Hervé
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De : hervé texier <vdcenpb@yahoo.fr>
Envoyé : samedi 21 décembre 2024 11:07
À : 'Pierre-Paul Fourcade' <penadomf@msn.com>; (...)
Objet : Re: Eoliennes de Ger et de Saint-Georges-de-Rouelley
Un Très Grand Bravo. C'est un victoire mémorable qui mérite d'être connue.
Je me souviens du départ quand nous avons commencé à démarcher les premiers foyers qui risquaient d'être impactés et des premières réunions à la Chaslerie.
Mais tu as raison, restons vigilants. BNE sera là pour défendre notre environnement
Bonnes fêtes de fin d'année
Hervé Texier
Président BNE
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De : Patrice CAHART
Envoyé : samedi 21 décembre 2024 09:18
À : 'Pierre-Paul Fourcade' <penadomf@msn.com>; (...)
Objet : RE: Eoliennes de Ger et de Saint-Georges-de-Rouelley
Bravo cher Pierre-Paul. Ta ténacité et ta vigueur, tout au long de ces neuf années, sont pour beaucoup dans ce succès.
Je suis heureux de constater que l’éolien n’est pas gagnant à tous les coups.
Patrice
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De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : vendredi 20 décembre 2024 22:33
À : (...)
Cc : Cabinet d'avocats Monamy ; Denis de la BURGADE
Objet : Eoliennes de Ger et de Saint-Georges-de-Rouelley
Chers amis,
De mémoire, Xavier de THIEULLOY m'a signalé le 22 avril 2015 que le préfet de la Manche avait, le 12 mars précédent, autorisé l'extension du parc éolien de Ger à 6 nouveaux aérogénérateurs électriques industriels de 152 m de haut. Le projet devait être installé sur les territoires de Ger et Saint-Georges-de-Rouelley.
Depuis cette époque, nous avons formé une équipe qui a tenu et nous sommes battus avec résolution. Certains d'entre nous, (...), ont recherché des moyens à faire valoir et cette quête aura été très fructueuse.
Sachez que nous avons gagné : j'ai reçu aujourd'hui le courrier joint du Conseil d'Etat nous annonçant que le pourvoi de notre adversaire vient d'être rejeté.
C'en est donc fini pour cette vague de huit procès (de mémoire) à laquelle nous avons dû faire face.
Voici une bonne nouvelle dans un monde qui en manque et à la veille de Noël de surcroît.
Ceci dit, ne nous trompons pas : notre adversaire est énorme puisque c'est le groupe Total, la politique énergétique des pouvoirs publics est toujours aussi lamentablement absurde et les possibilités de nous défendre à l'avenir ont été fortement réduites à la suite des manœuvres incessantes du lobby éolien.
Fort des enseignements de la première vague de procès, notre adversaire a désormais tout loisir de monter un nouveau dossier qui parerait à nos ripostes de la première vague.
Donc restons mobilisés et, en particulier, à l'affût de tout nouveau projet dont il pourrait être question dans notre secteur.
Je compte sur vous pour ne jamais relâcher la veille !
Sur ce, joyeux Noël et bonne année !
Bien cordialement,
PPF
(Fin de citation)
Les Echos
rédigé le Mercredi 25 Décembre 2024
A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie - Vie des associations - Désultoirement vôtre !
rédigé le Mercredi 25 Décembre 2024
A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie - Vie des associations - Désultoirement vôtre !
Prix négatifs de l’électricité : la France veut mettre au pas les centrales solaires et éoliennes
Alors que le phénomène prend de l'ampleur en France, le régulateur de l'énergie propose de limiter les heures à prix négatif en amendant les contrats historiques conclus entre l'Etat et les producteurs solaires et éoliens.
Ils sont devenus la bête noire du marché de l'énergie. Encore rarissimes il y a quelques années, les épisodes de prix négatifs de l'électricité se multiplient dans l'Hexagone. Au point que les autorités souhaitent endiguer le phénomène, provoqué principalement par un surplus de production d'énergie solaire.
Gendarme du secteur, la Commission de régulation de l’énergie (CRE) mène la charge, dans une série de recommandations publiées fin novembre. Elles suivent la tentative de régulation du précédent gouvernement, dans son projet de budget 2025, et les préconisations faites l'été dernier par RTRE, le gestionnaire des lignes à haute tension.
10 % d'heures négatives au deuxième trimestre
Les heures négatives sur le marché spot (pour livraison le lendemain, donc distinct des contrats à prix fixe des particuliers et de la majorité des contrats des entreprises) ont pris de l'ampleur cette année en raison d'un effet ciseau défavorable. La consommation d’électricité reste inférieure au niveau d'avant-Covid en France, alors que l'offre d'énergies renouvelables est toujours plus abondante et la production des centrales nucléaires quasiment revenue à la normale.
Jamais supérieur à 102 heures par an jusqu'en 2022, le phénomène d'heures négatives a duré 147 heures en 2023, avant de bondir à 235 heures sur le seul premier semestre 2024, selon la CRE. Cela signifie qu'à fin juin, l'offre d'électricité a dépassé la demande durant 5,4 % du temps. La proportion a même grimpé à 10,2 % du temps au deuxième trimestre.
Ces épisodes se situent majoritairement entre 12 heures et 16 heures, période de fort ensoleillement où les besoins des ménages sont au plus bas, et le week-end, lorsque beaucoup d'entreprises sont à l'arrêt.
Un coût de 30 millions d'euros pour l'Etat en 2024
Ce déséquilibre ne traduit pas « un dysfonctionnement du système électrique ou du marché » mais « une utilisation sous-optimale du parc de production installé, engendrant une perte économique pour la collectivité », explique le régulateur. Pour l'Etat, la facture atteint « 30 millions d'euros » en 2024, indiquait le gouvernement Barnier, dans un amendement au projet de Budget 2025 qui extrapolait les données semestrielles sur une année entière.
En cas de prix négatif, l'Etat compense en effet le manque à gagner pour les centrales qui bénéficient de contrats avec obligation d'achat. Celles-ci représentent une grosse moitié des 69 GW de capacités solaires et éoliennes en France. La CRE propose d'amender donc une partie des contrats historiques, afin d'inciter ces installations à interrompre leur production lors des heures à prix négatif. Elle vise en priorité les premières grandes fermes éoliennes en mer installées en face de Saint-Nazaire, Yeu-Noirmoutier, Fécamp ou Saint Brieuc.
A priori, les producteurs ne sont pas contre faire bouger les lignes mais ils veulent le faire sur la base du volontariat, sans toucher aux contrats déjà signés avec l'Etat. « La filière des énergies renouvelables doit faire des efforts pour éviter les prix négatifs, concède Jules Nyssen, président du Syndicat des énergies renouvelables. Nous ne sommes pas opposés à une déconnexion des centrales qui bénéficient quoi qu'il arrive, d'un tarif d'achat. Mais il faut éviter de revenir sur les contrats déjà signés car cela pose un problème de confiance. Pour ce type de contrats historiques, cela ne peut marcher que sur la base du volontariat ».
Décaler les heures creuses
Au-delà du cas des centrales avec obligation d'achat, le régulateur souhaite renforcer les dispositifs d'incitation à couper la production et corriger des biais, pour le quart du parc solaire et éolien qui bénéficie d'un mécanisme de complément de rémunération (le quart restant ne profitant pas de mesures de soutien).
Pour mieux équilibrer l'offre et la demande électrique, la CRE propose aussi que les énergies renouvelables contribuent plus à la programmation de la production, en concertation avec RTE. Encore faut-il que les installations soient équipées d'outils permettant de piloter la production à distance. Autre piste, le stockage d’énergie sur batteries, encore balbutiant.
En parallèle des réflexions sont en cours pour mieux piloter la consommation d'électricité. La CRE travaille avec Enedis à une nouvelle répartition entre heures pleines et heures creuses. Ces dernières se situent majoritairement la nuit, quand les centrales solaires ne tournent pas. Les décaler en partie en journée permettrait de profiter de cette énergie bas carbone pour recharger les voitures électriques ou pour alimenter les chauffe-eau, traditionnellement programmés la nuit.
N.D.L.R. : C'est vrai ça ! A une époque où l'Etat cherche frénétiquement des moyens de colmater les trous béants des finances publiques, pourquoi continue-t-il à engraisser toujours davantage les promoteurs éoliens, et ceci sans le moindre intérêt - bien au contraire - pour la collectivité ?
Ne serait-il pas enfin temps pour les brillants esprits qui nous gouvernent d'avoir deux sous de bon sens ?
Alors que le phénomène prend de l'ampleur en France, le régulateur de l'énergie propose de limiter les heures à prix négatif en amendant les contrats historiques conclus entre l'Etat et les producteurs solaires et éoliens.
Ils sont devenus la bête noire du marché de l'énergie. Encore rarissimes il y a quelques années, les épisodes de prix négatifs de l'électricité se multiplient dans l'Hexagone. Au point que les autorités souhaitent endiguer le phénomène, provoqué principalement par un surplus de production d'énergie solaire.
Gendarme du secteur, la Commission de régulation de l’énergie (CRE) mène la charge, dans une série de recommandations publiées fin novembre. Elles suivent la tentative de régulation du précédent gouvernement, dans son projet de budget 2025, et les préconisations faites l'été dernier par RTRE, le gestionnaire des lignes à haute tension.
10 % d'heures négatives au deuxième trimestre
Les heures négatives sur le marché spot (pour livraison le lendemain, donc distinct des contrats à prix fixe des particuliers et de la majorité des contrats des entreprises) ont pris de l'ampleur cette année en raison d'un effet ciseau défavorable. La consommation d’électricité reste inférieure au niveau d'avant-Covid en France, alors que l'offre d'énergies renouvelables est toujours plus abondante et la production des centrales nucléaires quasiment revenue à la normale.
Jamais supérieur à 102 heures par an jusqu'en 2022, le phénomène d'heures négatives a duré 147 heures en 2023, avant de bondir à 235 heures sur le seul premier semestre 2024, selon la CRE. Cela signifie qu'à fin juin, l'offre d'électricité a dépassé la demande durant 5,4 % du temps. La proportion a même grimpé à 10,2 % du temps au deuxième trimestre.
Ces épisodes se situent majoritairement entre 12 heures et 16 heures, période de fort ensoleillement où les besoins des ménages sont au plus bas, et le week-end, lorsque beaucoup d'entreprises sont à l'arrêt.
Un coût de 30 millions d'euros pour l'Etat en 2024
Ce déséquilibre ne traduit pas « un dysfonctionnement du système électrique ou du marché » mais « une utilisation sous-optimale du parc de production installé, engendrant une perte économique pour la collectivité », explique le régulateur. Pour l'Etat, la facture atteint « 30 millions d'euros » en 2024, indiquait le gouvernement Barnier, dans un amendement au projet de Budget 2025 qui extrapolait les données semestrielles sur une année entière.
En cas de prix négatif, l'Etat compense en effet le manque à gagner pour les centrales qui bénéficient de contrats avec obligation d'achat. Celles-ci représentent une grosse moitié des 69 GW de capacités solaires et éoliennes en France. La CRE propose d'amender donc une partie des contrats historiques, afin d'inciter ces installations à interrompre leur production lors des heures à prix négatif. Elle vise en priorité les premières grandes fermes éoliennes en mer installées en face de Saint-Nazaire, Yeu-Noirmoutier, Fécamp ou Saint Brieuc.
A priori, les producteurs ne sont pas contre faire bouger les lignes mais ils veulent le faire sur la base du volontariat, sans toucher aux contrats déjà signés avec l'Etat. « La filière des énergies renouvelables doit faire des efforts pour éviter les prix négatifs, concède Jules Nyssen, président du Syndicat des énergies renouvelables. Nous ne sommes pas opposés à une déconnexion des centrales qui bénéficient quoi qu'il arrive, d'un tarif d'achat. Mais il faut éviter de revenir sur les contrats déjà signés car cela pose un problème de confiance. Pour ce type de contrats historiques, cela ne peut marcher que sur la base du volontariat ».
Décaler les heures creuses
Au-delà du cas des centrales avec obligation d'achat, le régulateur souhaite renforcer les dispositifs d'incitation à couper la production et corriger des biais, pour le quart du parc solaire et éolien qui bénéficie d'un mécanisme de complément de rémunération (le quart restant ne profitant pas de mesures de soutien).
Pour mieux équilibrer l'offre et la demande électrique, la CRE propose aussi que les énergies renouvelables contribuent plus à la programmation de la production, en concertation avec RTE. Encore faut-il que les installations soient équipées d'outils permettant de piloter la production à distance. Autre piste, le stockage d’énergie sur batteries, encore balbutiant.
En parallèle des réflexions sont en cours pour mieux piloter la consommation d'électricité. La CRE travaille avec Enedis à une nouvelle répartition entre heures pleines et heures creuses. Ces dernières se situent majoritairement la nuit, quand les centrales solaires ne tournent pas. Les décaler en partie en journée permettrait de profiter de cette énergie bas carbone pour recharger les voitures électriques ou pour alimenter les chauffe-eau, traditionnellement programmés la nuit.
N.D.L.R. : C'est vrai ça ! A une époque où l'Etat cherche frénétiquement des moyens de colmater les trous béants des finances publiques, pourquoi continue-t-il à engraisser toujours davantage les promoteurs éoliens, et ceci sans le moindre intérêt - bien au contraire - pour la collectivité ?
Ne serait-il pas enfin temps pour les brillants esprits qui nous gouvernent d'avoir deux sous de bon sens ?
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 6 Janvier 2025
Vie des associations - A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
rédigé le Lundi 6 Janvier 2025
Vie des associations - A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 7 Janvier 2025
Vie des associations - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie - A.D.D.O.O.E.
rédigé le Mardi 7 Janvier 2025
Vie des associations - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie - A.D.D.O.O.E.
On sait que je réside à temps complet à la Chaslerie, très souvent seul, à mi-temps (ou quelque chose comme ça) avec Carole, et que nous y disposons, sur la base des relevés effectués par Arnaud PAQUIN à l'aide de son laser 3-D de compétition (précis au millimètre près) de moins de 100 m2 de surface habitable.
J'ai reçu hier la facture suivante d'EdF correspondant à ce volume et à ce mode d'occupation pendant les deux derniers mois :
Le montant m'en a paru très élevé. Je l'ai donc rapprochée de la facture analogue d'il y a un an :
Ce rapprochement montre que la douloureuse a cru, toutes choses égales par ailleurs (du moins le croyais-je au départ et en première approche) de rien moins que 64,2 % !
Les assureurs rapaces auraient-ils trouvé leur maître ?
J'observe que le taux moyen de T.V.A. qui m'est appliqué est passé de 18,5 à 19,1 %. Ce nouveau glissement des prélèvements fiscaux explique donc 6,1 % de ces 64,2 %.
Une analyse plus fine me montre cependant que les taux de T.V.A. n'ont pas changé, contrairement au rapport, dans mon cas, entre le coût de l'abonnement et celui de la consommation, les deux étant affectés de taux de T.V.A. différents, 5,5 % pour le premier et 20 % pour le second (et vive la simplification administrative !).
Regardons les quantités d'électricité consommées : 1947 kWh en 2023 et 3009 en 2024, soit + 54,5 %.
Voici donc le principal facteur explicatif ici. Évolution curieuse toutefois, même si j'ai cru bien faire en ne lançant la vieille chaudière à fuel que tardivement. Il est également vrai que, juste avant le début de cet hiver, cette chaudière est tombée plusieurs fois en panne, ce qui a obligé à rebrancher des radiateurs électriques. Troisième argument : le Speedy Gonzales est moins rustique que le Guguss-Gros-Cochon de fameuse mémoire : encore plus que son prédécesseur, il aime se blottir contre l'un de ces radiateurs que j'allume donc pour lui ; surtout, son collègue nous avait déjà quittés l'an dernier à la même époque.
Les graphiques en bâtons verts permettraient de préciser l'analyse mais, rassurez-vous, je vous en fais grâce pour cette fois-ci.
Bref j'espérais trouver là une preuve supplémentaire de l'absurdité manifeste et éclatante de la politique énergétique des pouvoirs publics mais, au moins sur ces bases, c'est râpé pour aujourd'hui.
Toutefois, je lis que la "CSPE (Contribution au Service Public d'Electricité)" est, flanquée de ses zakouskis, passée pour moi de 9,95 € à 70,80 €, soit + 611,6 %.
Carrément, faut surtout pas se gêner !
La voici donc l'arnaque immédiate, à l'évidence due à cette politique énergétique à la con qui vérole tout le système électrique du pays avec ces ô combien absurdes éoliennes !
J'ai reçu hier la facture suivante d'EdF correspondant à ce volume et à ce mode d'occupation pendant les deux derniers mois :
Le montant m'en a paru très élevé. Je l'ai donc rapprochée de la facture analogue d'il y a un an :
Ce rapprochement montre que la douloureuse a cru, toutes choses égales par ailleurs (du moins le croyais-je au départ et en première approche) de rien moins que 64,2 % !
Les assureurs rapaces auraient-ils trouvé leur maître ?
J'observe que le taux moyen de T.V.A. qui m'est appliqué est passé de 18,5 à 19,1 %. Ce nouveau glissement des prélèvements fiscaux explique donc 6,1 % de ces 64,2 %.
Une analyse plus fine me montre cependant que les taux de T.V.A. n'ont pas changé, contrairement au rapport, dans mon cas, entre le coût de l'abonnement et celui de la consommation, les deux étant affectés de taux de T.V.A. différents, 5,5 % pour le premier et 20 % pour le second (et vive la simplification administrative !).
Regardons les quantités d'électricité consommées : 1947 kWh en 2023 et 3009 en 2024, soit + 54,5 %.
Voici donc le principal facteur explicatif ici. Évolution curieuse toutefois, même si j'ai cru bien faire en ne lançant la vieille chaudière à fuel que tardivement. Il est également vrai que, juste avant le début de cet hiver, cette chaudière est tombée plusieurs fois en panne, ce qui a obligé à rebrancher des radiateurs électriques. Troisième argument : le Speedy Gonzales est moins rustique que le Guguss-Gros-Cochon de fameuse mémoire : encore plus que son prédécesseur, il aime se blottir contre l'un de ces radiateurs que j'allume donc pour lui ; surtout, son collègue nous avait déjà quittés l'an dernier à la même époque.
Les graphiques en bâtons verts permettraient de préciser l'analyse mais, rassurez-vous, je vous en fais grâce pour cette fois-ci.
Bref j'espérais trouver là une preuve supplémentaire de l'absurdité manifeste et éclatante de la politique énergétique des pouvoirs publics mais, au moins sur ces bases, c'est râpé pour aujourd'hui.
Toutefois, je lis que la "CSPE (Contribution au Service Public d'Electricité)" est, flanquée de ses zakouskis, passée pour moi de 9,95 € à 70,80 €, soit + 611,6 %.
Carrément, faut surtout pas se gêner !
La voici donc l'arnaque immédiate, à l'évidence due à cette politique énergétique à la con qui vérole tout le système électrique du pays avec ces ô combien absurdes éoliennes !
Fédération Environnement Durable
rédigé le Jeudi 9 Janvier 2025
Vie des associations - A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
rédigé le Jeudi 9 Janvier 2025
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Mécanisme de Dépense Publique pour l'Énergie en France :
Les milliards d'euros gaspillés au nom du Service Public de l'Energie.
Un récent rapport publié par Jean-Louis Rémouit et Michel Faure sur le mécanisme de dépense publique pour lutter contre les émissions de gaz à effet de serre (GES) en France révèle des failles alarmantes. Ce mécanisme, principalement identifié dans le programme "Service Public de l’Énergie" (SPE), est intégré au budget "Écologie, développement et mobilité durables". Cependant, il est urgent de souligner les graves erreurs et les incohérences de ce dispositif.
Les milliards d'euros gaspillés au nom du Service Public de l'Energie.
Un récent rapport publié par Jean-Louis Rémouit et Michel Faure sur le mécanisme de dépense publique pour lutter contre les émissions de gaz à effet de serre (GES) en France révèle des failles alarmantes. Ce mécanisme, principalement identifié dans le programme "Service Public de l’Énergie" (SPE), est intégré au budget "Écologie, développement et mobilité durables". Cependant, il est urgent de souligner les graves erreurs et les incohérences de ce dispositif.
lefigaro.fr
rédigé le Mercredi 15 Janvier 2025
Vie des associations - A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
rédigé le Mercredi 15 Janvier 2025
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États-Unis : Donald Trump promet de bloquer tout nouveau projet d'éolien
Pour Donald Trump, l’éolien est «l’énergie la plus chère» et «ne fonctionne qu’avec des subventions massives, que nous allons arrêter de verser!».
Le président élu Donald Trump a promis mercredi de bloquer tout nouveau projet éolien aux États-Unis durant son futur mandat, se refusant à subventionner davantage le secteur. «Les éoliennes sont un désastre économique et environnemental», a clamé le milliardaire républicain sur son réseau Truth Social. «Je ne veux pas en voir ne serait-ce qu'une construite sous ma présidence.» Selon le ministère américain de l'Énergie, il y avait, en 2023, plus de 90.000 éoliennes sur le territoire américain.
N.D.L.R. : Une excellente décision, parfaitement motivée sans l'ombre d'un doute.
Sur ce sujet également, on attend que nos dirigeants se réveillent enfin.
Pour Donald Trump, l’éolien est «l’énergie la plus chère» et «ne fonctionne qu’avec des subventions massives, que nous allons arrêter de verser!».
Le président élu Donald Trump a promis mercredi de bloquer tout nouveau projet éolien aux États-Unis durant son futur mandat, se refusant à subventionner davantage le secteur. «Les éoliennes sont un désastre économique et environnemental», a clamé le milliardaire républicain sur son réseau Truth Social. «Je ne veux pas en voir ne serait-ce qu'une construite sous ma présidence.» Selon le ministère américain de l'Énergie, il y avait, en 2023, plus de 90.000 éoliennes sur le territoire américain.
N.D.L.R. : Une excellente décision, parfaitement motivée sans l'ombre d'un doute.
Sur ce sujet également, on attend que nos dirigeants se réveillent enfin.
lexpress.fr
rédigé hier
A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie - Vie des associations
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A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie - Vie des associations
Éric Lombard : Vers une « Radicalité » verte et 100 Milliards d'Euros pour la Transition Écologique.
Supplément partenaire. La lutte contre le dérèglement climatique nécessite un investissement de 'radicalité verte' selon le Directeur Général de la Caisse des Dépôts.
Publié le 03/07/2023 à 11:35
N.D.L.R. : Bon, je sais que cet article commence à dater. Mais il est permis de se demander si ce petit-fils de milliardaire et néanmoins "homme de gauche" ne serait pas également fou à lier.
Supplément partenaire. La lutte contre le dérèglement climatique nécessite un investissement de 'radicalité verte' selon le Directeur Général de la Caisse des Dépôts.
Publié le 03/07/2023 à 11:35
N.D.L.R. : Bon, je sais que cet article commence à dater. Mais il est permis de se demander si ce petit-fils de milliardaire et néanmoins "homme de gauche" ne serait pas également fou à lier.